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La bilocation

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Voici une info insolite

Message du Seigneur donné à John Leary (USA) Mardi 6 septembre 2016

Jésus : Priez que vous ayez un prêtre fidèle pour vos messes quotidiennes (lorsque vous serez en refuge, pour les USA).
Je réponds à ta question sur la façon dont tu seras en mesure de partager les messages avec d'autres refuges. Tu seras en bilocation vers différents refuges alors que ton corps sera endormi.
Quand tu iras vers eux, cela leur donnera espoir.

Il y aura de nombreuses guérisons quand mes
fidèles regarderont ma croix lumineuse, ou lorsque vous serez bénis avec l'eau bénite ou de l'eau de source miraculeuse.
Je veillerais à ce que vous ayez tous assez de nourriture, d'eau et de combustibles pour votre survie. (...)




Bilocations du Padre Pio
(1887-1968)

L’épouse d’un industriel de Ligurie séjournait chez sa fille, à Bologne. Elle était atteinte d’une tumeur au bras. 
Après en avoir parlé avec sa fille, la dame avait décidé de se faire opérer. Le chirurgien lui avait recommandé de patienter quelques jours, le temps de fixer une date pour l’intervention chirurgicale. 

Dans l’intervalle, le gendre de la dame adressa à Padre Pio un télégramme lui demandant d’intercéder pour sa belle-mère. À l’heure où Padre Pio se vit remettre le télégramme, la dame, seule dans la salle de séjour, chez sa fille, vit entrer un moine capucin qui lui dit : « Je suis Padre Pio de Pietrelcina ». Après lui avoir demandé ce que le chirurgien lui avait dit et l’avoir exhortée à se confier à la Très Sainte Vierge, il lui fit un signe de croix sur le bras et, après l’avoir saluée, s’en fut.
La dame appela la femme de chambre, sa fille et son gendre et leur demanda pourquoi ils ne lui avaient pas annoncé la visite de Padre Pio; ils lui répondirent qu’ils ne l’avaient pas vu et qu’ils n’avaient laissé entrer personne. 

Le lendemain, quand le chirurgien rendit visite à la dame pour la préparer à l’opération, la tumeur avait disparu.

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En 1946, une famille américaine vint de Philadelphie à San Giovanni Rotondo pour remercier Padre Pio. En effet, le fils avait été pilote de bombardiers pendant la Seconde Guerre mondiale et avait été sauvé, au-dessus de l’océan Pacifique, par Padre Pio. Comme il s’apprêtait, après avoir effectué un bombardement, à rentrer dans l’île où se trouvait son port d’attache, il fut atteint par des avions de chasse japonais.  Le pilote raconta: 
L’avion tomba et explosa avant que mon équipage n’ait eu le temps de sauter en parachute. J’arrivai à sauter, bien que j’ignore comment.  Je tentai d’ouvrir mon parachute, sans y parvenir; j’aurais fait une chute mortelle si un moine barbu ne m’était apparu, qui me posa en douceur juste à l’entrée du commandement de la base.

Vous imaginez la stupeur que provoqua mon récit, mais le fait que je fusse sain et sauf obligea tout le monde à me croire. Quelques jours plus tard, alors que j’étais en permission, je rentrai à la maison.  C’est alors que ma mère me montra une photographie de Padre Pio, auquel elle avait confié ma protection. Je reconnus en lui le moine qui m’avait sauvé la vie.

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Le général italien Cadorna, après la défaite de Caporetto (guerre 14/18), tomba en grave dépression et prit la décision de s’enlever la vie. Un soir, il donna ordre de ne laisser entrer personne et se retira dans ses appartements.  Une fois seul à sa chambre, il prit son pistolet et, comme il approchait le canon de sa tempe, il entendit une voix : 
« Oh, mon général, désirez-vous vraiment commettre pareille bêtise ? » 
Cette voix et la présence d’un moine saisirent tant le général qu’il se ravisa. Il alla demander aux gardiens comment le moine avait pu pénétrer dans sa chambre; ceux-ci lui déclarèrent n’avoir vu personne. 

Plus tard, le général lut dans les journaux qu’un moine, vivant sur le Gargano, opérait des miracles. Incognito, il se rendit à San Giovanni Rotondo, où il reconnut le moine qui lui était apparu:  c’était Padre Pio. 
Il n’était pas au bout de ses surprises. En effet, quand Padre Pio passa près de lui, il lui dit à voix basse:  « Vous l’avez échappé belle ce soir-là, pas vrai, mon général ? »


Wikipédia : La bataille de Caporetto (également appelée bataille de Karfreit par les empires centraux ou douzième bataille de l'Isonzo) est une bataille de la Première Guerre mondiale, qui eut lieu du 24 octobre au 9 novembre 1917 au nord de l'Italie. Caporetto, aujourd’hui Kobarid en Slovénie, est alors le point central d'une offensive austro-allemande menée par Otto von Below qui bouscule les armées italiennes.

Cette bataille se solde par une très lourde défaite des Italiens, alors dans le camp de la Triple-Entente, face aux armées austro-allemandes. Les Italiens parviennent ensuite à stabiliser le front sur la ligne du Piave.




La bilocation
(Wikipédia)

L'Église catholique romaine reconnaît l'existence du phénomène en général mais rarement en particulier. Selon elle, le phénomène peut venir aussi bien du bien que du mal et elle n'en fait donc pas un critère.

Concernant des saints ou mystiques, l'Église reconnaît quelques cas de bilocation chez (Padre Pio, Marthe Robin, Joseph de Copertino, María de León Bello y Delgado, Ursula Micaela Morata ou Yvonne Beauvais (en religion Mère Yvonne-Aimée de Jésus du couvent de Malestroit), mais n'en fait pas une preuve de sainteté et n'y voit même qu'un événement spectaculaire mais secondaire, seule comptant l'héroïcité des vertus pratiquées.

D'une façon générale, L'Église romaine recommande la méfiance lorsque des cas paranormaux sont rapportés.

Agnès de Langeac était un jour en extase et elle « resta comme morte pendant 24 heures ». C'est pendant ce laps de temps qu'elle serait apparue à M. Olier, à Paris, tandis que son corps restait bien visible à Langeac. M. Olier se présenta au parloir. « Ma mère, dit-il, je vous ai vue ailleurs. » « Cela est vrai, vous m'avez vue, répondit-elle, deux fois à Paris où je vous ai apparu dans votre retraite de Saint-Lazare parce que j'avais reçu de la Vierge l'ordre de prier pour votre conversion. »

L'évêque italien Alphonse de Liguori a affirmé être allé assister à Rome le pape Clément XIV sur son lit de mort alors qu'il se trouvait endormi deux jours durant à Arienzo, près de Naples : « Vous pensiez que je dormais, mais non, j'étais allé assister le pape qui vient de mourir. » On sut peu après que le pape était mort le 22 septembre 1774, à l'heure exacte où l'évêque est sorti de son sommeil.

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