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Don Bosco

Saint Jean Bosco ou Don Bosco (né Giovanni Melchior Bosco le 16 août 1815 près de Turin, Italie - mort le 31 janvier 1888 à Turin) est un prêtre italien qui a voué sa vie à l'éducation des jeunes enfants issus de milieux défavorisés et qui a fondé en 1854 la Société de Saint François de Sales plus connue sous le nom de Congrégation des Salésiens.

L'Église catholique l'a déclaré saint en 1934, sous le nom de saint Jean Bosco. Il est fêté le 31 janvier. C'est le saint patron des imprimeurs, des apprentis et des magiciens

http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Bosco

Songes prophétiques de Saint Jean Bosco

Tiré de l’ouvrage « Le temps qui vient selon les prophéties », pages 86 et 87 :

« LA FRANCE :

Du sud, vient la guerre ; du nord, la paix. Dieu punira la France par trois fois :

  • La première, par la déroute, la mise à sac, la destruction des récoltes, animaux et hommes. 

  • La deuxième fois, Paris souffrira de la faim et d’épouvante ; le Panthéon sera réduit en cendres.

  • La troisième fois, cette ville tombera entre des mains étrangères qui l’incendieront : Paris sera converti en champ de ruines.

Mais le Pape ira au devant du guerrier du nord, dont l’étendard noir deviendra blanc. Lui et les siens honoreront le Pape.

L’ITALIE :

L’Italie sera soumise à la désolation, à la famine, la peste et la guerre. Rome sera punie par quatre fois :

  • La première, dans ses terres et ses habitants.

  • La seconde, par l’extermination, jusqu’à ses murailles.

  • La troisième, ses défenses et défenseurs seront abattus : ce sera le règne de la terreur et de la désolation.

  • La quatrième fois, par la guerre, la peste et la faim ; elle se remplira de décombres.

Le démon sèmera la discorde parmi les conseillers du Pape.

[Voici les propos célestes adressés au Pape qu’il entendît pendant ses songes :] " Toi, dépêche-toi, si les difficultés ne se résolvent pas, tranche dans le vif. Si tu te sens angoissé, ne t’attarde pas ; au contraire, va de l’avant, jusqu’à ce que soit coupée la tête de l’hydre de l’erreur. Ce coup fera trembler la terre et l’enfer, mais le monde retrouvera la sécurité et tous les bons se réjouiront. Conserve près de toi seulement deux conseillers et partout où tu iras [ce sera le Pape qui sortira de Rome, notre Saint-Père Benoît XVI ?], continue et termine l’œuvre qui t’a été confiée ".

Pendant ces 200 jours, le Pape sera hors de Rome ; auparavant, il y a une lutte entre la lumière et les ténèbres, des morts et des blessés. Ceux qui accompagnent le Pape diminuent beaucoup. Ensuite les anges lui disent : " tes ennemis ont disparu ".

Le Pape revient, de nombreux habitants ont péri, la terre est dévastée : 400 jours ont passé depuis le début. L’obscurité cesse et luit un soleil splendide. "Ordonne la réforme des mœurs dans le monde entier ".



Un songe prophétique de Dom Bosco :
le rêve des deux piliers (fin mai 1862) appelé aussi « songe des Trois Blancheurs »


Don Bosco vit la mer, et là, rangée en bataille, des vaisseaux innombrables remplis d'armes de toutes sortes. Cette immense armada s'apprête à livrer un assaut sans merci à un grand et majestueux vaisseaux, lequel commande à toute une flottille massée contre ses flancs.

Et la bataille navale s'engage. Or, le vent s'est levé et la tempête se déchaîne. La mer démontée favorise les assaillants. Soudain, voici qu'apparaissent, dominant les flots en furie, deux colonnes. L'une, la plus grande, porte sur son faîte une lumineuse hostie, et sur le fût, cette inscription : « SALUT DES CROYANTS ». L'autre où sont gravés ces mots : « SECOURS DES CHRÉTIENS », est surmontée d'une statue de la Vierge Immaculée, ayant un chapelet passé à son bras. Le socle des colonnes est garni d'ancres, de crochets et de chaînes. L'assaut tourne à l'avantage des agresseurs.

C'est alors qu'apparaît à la proue du grand vaisseau l'homme qui en assume le commandement. Et c'est le Pape. D'où il devient désormais fort clair qu'il s'agit de la Nef de l'Église. Le commandant suprême du grand Vaisseau (le Pape) convoque à son bord les capitaines des vaisseaux auxiliaires (les Évêques) afin de délibérer des décisions à prendre.

La tempête, un instant apaisée, se ranima plus violente, obligeant chacun des capitaines à regagner son navire. Une accalmie se fit sur la mer et l'hostilité des ennemis parut fléchir. La grande Nef reprit sa route. Le pilote suprême en profite pour appeler de nouveau les autres pilotes à son bord.

Mais voici, soudain, que la tempête une fois encore se déchaîne, plus violente que jamais. Mais les colonnes sont toujours là, dressées immobiles sur la mer en furie. Et le Pape, tenant ferme la barre, s'efforce de maintenir la Nef entre elles deux. Or, le Navire est assailli de toutes parts et de toutes les manières. Les vaisseaux ennemis vomissent le feu de toutes les gueules de leurs canons, ou foncent sur lui, le frappant de leurs étraves cuirassées.

Pourtant, quelque acharnement qu'ils mettent en leurs assauts, et quelques très grands dommages qu'ils infligent, les efforts des ennemis ne peuvent venir à bout de la grande Nef. D'un formidable coup de sa proue, un vaisseau des assaillants ouvre une large blessure dans le flanc de la Nef de l'Église. Mais un souffle mystérieux, venu des Colonnes, referma la brèche par où allait s'engouffrer la mer. La confusion se met alors dans la flotte ennemie. Dans le vacarme énorme du combat, ses propres vaisseaux se heurtent entre eux, se brisent et coulent. « L'ennemi entreprend alors sur les ponts un corps à corps furieux; les mains et les poings se tordent dans la mêlée, pendant que pleuvent blasphèmes et malédictions»

«Tout à coup le Pape est frappé. Il tombe, ses sujets le relèvent ; mais un deuxième coup l'abat ; il est frappé à mort. Un cri de victoire retentit. Sur les vaisseaux ennemis on exulte et on danse»

«La mort du Pape est à peine connue que le successeur est élu. Les adversaires perdent courage. Le nouveau Pontife passe à travers tous les obstacles et conduit le Vaisseau entre les deux Colonnes, où il amarre solidement la proue à la Colonne de l'Hostie et la poupe à celle de la Vierge.

«Alors, panique générale, désordre indescriptible. Tous les ennemis se dispersent. Leurs navires se heurtent et se brisent. Ceux qui coulent tâchent de faire couler les autres.

« Quelques vaisseaux qui avaient lutté vaillamment, pour le pape viennent, eux aussi, s'attacher aux colonnes. D'autres qui, loin du danger, avaient attendu prudemment la victoire, suivent leur exemple.

«Sur la mer règne maintenant un grand calme»




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