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Apparition de la Vierge à l'Escorial (Espagne 1980 - 2002) |
Luz Amparo, la
voyante de l'Escorial, est entrée au Ciel le
17 août 2012
Pour en savoir plus : http://www.jesusmarie.com/apparitions_escorial.html Humble femme de ménage, mère de sept enfants. Amparo acceptera de N.-Seigneur, les stigmates de la Passion pour qu'un tiers de l'humanité soit sauvé d'un cataclysme sans précèdent. Amparo Cuevas a été miraculeusement guérie à Lourdes d'un cancer en phase terminale en 1979. Les messages étaient reçus le premier samedi de chaque mois. |
Voyage de noce à l'Escorial
(1999) Et puis Dieu dit " ça suffit ". Le propriétaire du champ mourut soudainement, l’équipe municipale perdit les élections et tout rentra dans l’ordre. (Photo ci-contre, l'arbre des apparitions ou l'on a eu ce miracle de l'odeur de rose.) Et là, le cadeau de mariage du Seigneur nous y attendait, j’étais debout, devant l’arbre des apparitions, situé dans un champ parsemé de grosses pierres et d'arbres, le tout inondé d'une magnifique lumière, nous étions fin septembre mais en Espagne, c'était comme l'été en France, il y avait en permanence une cinquantaine de personnes qui allaient et venaient. Étant en voyage de noce, on passait notre temps à nous embrasser, mais on fut rappelé à l'ordre par une personne que cela gênait dans ses prières, on avait oublié qu'on était en Espagne. Puis ma femme s’était assise sur une des pierres et se mit à réciter le chapelet, puis elle me dit," tu ne sens rien ?." Je respirais à plein poumon et lui dit que non, elle me dit "assis toi et récite le chapelet avec moi", je m’assis à ses côtés et à peine ai-je commencé le premier "Je vous salue Marie" qu’on aurait dit que j’avais le nez sous une rose, nous étions entouré d’une très forte odeur de rose, alors que naturellement aucune rose n’était proche de nous. On s'est mis à fondre en larme devant une telle grâce. Pour ceux qui ne sont pas habitués à ce genre d’endroit, à savoir les lieux d’apparitions. Ce type de miracle est très fréquent et les témoignages très nombreux. |
Cela dure un certain
temps: ça peut aller de quelques minu-tes à quelques
heures et puis, petit à petit, tout rentre dans
l'ordre, les plaies se referment, et les mains et
les pieds redeviennent normaux. Le sang qui a coulé est
recueilli et conservé. L'Esprit divin qui le
choisi pour qu'il puisse diriger l'Eglise
La
Très Sainte Vierge : Notre
Seigneur : Aimez
l’Eglise, ne la critiquez pas en raison de la
défaillance des hommes, l’église restera debout.
Et tant de messages, dit-on encore ! Mais mes enfants, êtes-vous aveugles ? Je vous dis et redis encore : (vous êtes) aveugles, sourds et je demande aux âmes consacrées de beaucoup prier pour l’Eglise, le Saint Père, et les brebis égarées. Mes enfants, aimez, mais d’un amour pur et saint, qui procède du Cœur du Christ. Convertissez-vous et repentez-vous, mes enfants, méditez les messages. Il n’y aura plus de
message, mais il y aura des bénédictions très
spéciales, et des marques qui demeureront
scellées sur les fronts. La
Très Sainte Vierge : Nota Bene : MESSAGE RECU PAR LUZ AMPARO CUEVAS LE 6 AVRIL 2002 (Premier samedi du mois au Pré Neuf de L'Escorial)
Depuis que les hommes ont
oublié Dieu et que mes prêtres bien-aimés se sont
relâchés dans la prière et dans leur ministère. MESSAGE RECU PAR LUZ AMPARO CUEVAS LE 2 MARS 2002 (Premier samedi du mois au Pré Neuf de L'Escorial) La Très Sainte Vierge : Ma fille, me voici une fois encore, comme Mère des pécheurs. Les hommes disent que je me manifeste très souvent mais ils ne voient pas la situation du monde. Comment une Mère qui aime tant ses enfants, ne va-t-elle pas les aviser du danger qui les guette ? Mes enfants, convertissez-vous, priez car les hommes s’éloignent toujours davantage de Dieu. Et comment vais-je répéter que les hommes deviennent des bêtes sauvages s’ils n’ont pas d’amour envers Dieu. Quelle peine me font ces âmes qui n’écoutent pas ma voix et se moquent de mes paroles ! Notre Seigneur : Toi, ma fille, n’aies pas peur de dire ce que je te communique. Crie-le, car les hommes font la sourde oreille parce qu’ils veulent justifier la vie qu’ils mènent et il ne leur convient pas d’entendre nos paroles. Mais il faut être aveugle, ma fille, pour ne pas voir la méchanceté et le péché qu’il y a dans le monde. J’ai beaucoup averti les hommes du grand danger qui les guette. C’est pourquoi je demande, la prière, la prière et le sacrifice car Dieu va décharger sa colère sur ces âmes si ingrates. Et il a retenu son bras sur l’humanité, grâce aux âmes qui aiment Dieu et le glorifient. Comme
vous êtes incrédules, mes enfants, et comme le péché
vous aveugle car vous ne voyez pas que le monde est
en train de se détruire par manque de Dieu ! C’est
pourquoi je donne un avertissement à tous les
pasteurs de mon Eglise, et je demande à ceux qui
sont des fonctionnaires dans le monde, de cesser
leur fonction dans les affaires du monde pour
travailler dans l’Eglise, car ils peuvent faire un
si grand bien aux âmes. Je leur demande de
rassembler les troupeaux et d’être avec les brebis.
Le pasteur s’en allant, les brebis se perdent. Voilà
pourquoi je lance un appel à tous mes prêtres : Obéissez mes enfants, aux
recommandations du Saint Père, à celles de vos
Evêques, ne vous relâchez pas dans la prière, et
contrits et repentis je vous donnerai l’accolade.
Et votre cœur, je le laisserai propre afin que le
démon n’y fasse pas de dégât. Votre cœur
appartient à l’Eglise, au Christ, aux âmes, aux
pauvres pécheurs. Mais ne vous laissez pas tromper
par l’éblouissement du monde, mes enfants, soyez
de fidèles témoins de l’Evangile. Et vous, les laïcs, aidez l’Eglise, et
que ceux qui désirent se consacrer au sacerdoce,
éduquent leur âme pour Dieu, mes enfants : il y a
un si grand besoin de saints prêtres pour
convertir les âmes ! Dans l’Eglise, le travail
abonde, mes enfants, et les travailleurs sont peu
nombreux. Aimez l’Eglise, aimez le Saint Père. Mes enfants, soyez unis dans la
prière, le sacrifice, et la pénitence. Les
hommes ont oublié Dieu et ils se sont introduits
dans les passions, (ils se sont introduits) dans
le monde. Quelles tristes âmes, comme elles se
laissent séduire par la ruse de Satan ! Il
est très difficile pour les hommes, dans la
situation où se trouve le monde, de cheminer sur la
voie du salut. Oui, ma fille, oui, les âmes
vont en Enfer même si les hommes ne veulent pas
crier la vérité qu’il y a en Enfer. Ils le cachent. Comme vous cachez la
vérité, mes enfants ? Comment dites-vous que les
hommes sont sauvés et que l’Enfer n’existe pas ?
Combien vous serez responsables devant Dieu, pour
n’avoir pas prêché la vérité ! Dites les vérités,
mes enfants, parce que le salut des âmes est dans
la vérité. Je suis la Vérité, le Chemin et la Vie,
et celui qui ne dit pas la vérité, est avec le roi
du mensonge qui est Satan. La Très Sainte Vierge : Accourez à ce lieu, méditez la Passion du Christ, approchez-vous du sacrement de l’Eucharistie en recevant d’abord le sacrement de Pénitence. Aimez nos Cœurs, mes enfants, soyez doux et humbles de cœur. Aimez-vous les uns les autres, observez les commandements, voilà pourquoi nous venons mes enfants : pour vous aviser de mettre en pratique les lois de Dieu et vous le répéter encore et encore, comme un père qui donne des recommandations à ses enfants, et leur répète jour après jour : mes enfants, prenez garde ; et quand les enfants ne changent pas, il répète et répète encore et le père et la mère donnent inlassablement des conseils à l’enfant. Ainsi répétons-nous encore et encore, mes enfants, pour ne pas que vous soyez aveugles et fassiez cas de nos conseils.
Message reçu par Luz Amparo Cuevas le 2 Février 2002 (Premier samedi du mois au Pré Neuf de L'Escorial) La Très Sainte Vierge : Ma Fille, me voici à nouveau comme Mère des affligés, Mère des pécheurs. Je sais, ma fille, que ton cœur est affligé, tu es devenue orpheline d’un Directeur (spirituel) qui t’a tellement aidée au cours de tant d’années, ma fille. Mais il t’a préparée et, du Ciel, il continuera à t’aider et à soutenir cette œuvre qu’il a tant et tant aimée. Le Père Alfonso Maria : Dieu permet que tu me vois, ma fille ; quelle différence celle du Ciel et de la Terre ! Ici les titres et les nominations n’ont pas de valeur. Ici tout est à la façon de Dieu ! Quelles grandeurs, celles du Ciel et de voir le visage de Dieu ! Combien d’âmes parviennent ici en raison de ce lieu (le Pré-Neuf) avec une vie parfaite, parce que les hommes se disent « catholiques pratiquants » mais comment vivent-ils la doctrine ? Quelles merveilles, celles du Ciel ! Combien j’ai désiré ce lieu et ce moment ! Tu ne demeures point seule : d’ici je veillerai sur toi. Luttez tous pour venir afin que nous nous rassemblions tous ! Comment les hommes peuvent-ils nier l’existence du Ciel et de l’Enfer ? Et beaucoup de pasteurs qui nient l’existence de l’enfer, ne savent pas le mal qu’ils font aux âmes ; quand ils se trouveront devant le Tribunal de Dieu !.. Frères, soyez sincères et prêchez l’Evangile tel qu’il est écrit ; que les hommes sachent les vérités. N’ayez crainte de les leur expliquer, car combien (d’âmes) ne parviennent pas ici parce qu’on ne leur a pas expliqué clairement l’existence du ciel et de l’enfer. Quelles grandeurs celles qui se trouvent ici ! Quelle différence entre la terre et ce lieu ! Sur terre, l’homme est attiré par tout sauf par Dieu ! Et ici, seul Dieu vous attire ! Cette grandeur infinie, ne la perdez-pas mes enfants ! Comment osez-vous ne pas expliquer les vérités ! Luz Amparo : Ah quelles grandeurs, mon Dieu ! Ah Père, aidez-moi ! Père Alfonso Maria : Je
suis déjà parvenu ici pour contempler le visage de
Dieu ! Quelle joie ressent tout mon être parce que
je suis imprégné de la divinité de Dieu en prenant
part à ces grandeurs ! Quelles grandeurs et combien
j’ai désiré ce moment ! Voilà la grandeur infinie
pour laquelle l’homme doit lutter ! Il n’y a pas sur
terre d’autres grandeurs qui surpassent celle-ci !
Laissez de côté les flatteries, vivez pour Dieu et
ne soyez pas des centres, car les hommes sont très
portés à se faire « centres » et ne vous laissez pas
séduire par quelques tapes sur l’épaule ; car si
vous ne réfléchissez pas, il est aisé pour le démon
de vous conquérir par l’orgueil et la vanité !
Luttez, seul Dieu suffit ! Aimez les créatures, mais
mettez Dieu par-dessus tout ! Combien (d’âmes) ne
peuvent parvenir en ce lieu, mes enfants, parce
qu’ils se sont pris pour des dieux ! Et tout ce
qu’ils ont fait, ils l’ont fait pour leur vanité et
leur personne ! Ne vous laissez pas conquérir par
les hommes ; allez à leur conquête pour Dieu et
laissez Dieu conquérir votre cœur ! Vivez une vie
consacrée. Aimez beaucoup cette Oeuvre. Dans cette
œuvre, vous irez sur le chemin de la perfection ! Mais malheur à vous si vous prêtez l’oreille aux flatteries et vous laissez taper sur l’épaule ! Ne soyez pas des centres, mes enfants ! Combien cela m’a servi, alors que j’aimais beaucoup mon Dieu ; mais comme cela m’a fait du bien ! Ah, ma fille, lutte pour qu’un jour nous soyons réunis. Ton âme, ma fille, je l’ai dirigé du mieux que j’ai pu afin qu’elle chemine vers Dieu. Suis le chemin parfait, celui du détachement et humilie-toi, ma fille, car tous ceux qui s’humilient seront élevés. N’oublie pas tout ce que je t’ai enseigné. Et je vous remercie aussi pour tous les biens que j’ai reçus de vous. Créatures qui vous êtes consacrées à Dieu, c’est le meilleur chemin, le chemin le plus parfait et le plus sûr ! Que personne ne vous confonde ! Personne ! Soyez toujours unis, et que personne ne soit au-dessus de l’autre. Aimez-vous. Comme elles sont nombreuses les âmes en ce lieu qui participent à cette même grâce, mais elles ont du être humiliées et foulées au pied pour parvenir si haut ! Sois très humble ma fille, n’oublie pas mes conseils ! La Très Sainte Vierge : D’autres âmes sont en ce lieu. Cette âme va parler parce que Dieu le lui permet. Une âme du Purgatoire :
Je suis ici au Purgatoire. Je suis une âme qui me
suis consacrée à Dieu mais je n’ai pas été fidèle à
ma vocation et je devais aller à un autre lieu, un
lieu ténébreux, un lieu où la paix n’existait pas,
où l’amour n’existe pas ; mais grâce à la
miséricorde de Dieu, je suis ici. Grâce à vos
prières, j’espère quitter ce lieu d’un moment à
l’autre. Bien que c’est un lieu de purification,
nous sommes si heureux de réparer nos dettes ! Nous
ne changerions pas le Purgatoire pour rien de ce
qu’il y a sur la terre. Car nous avons vu Dieu de
loin, il nous a fait entrevoir un rayon du Ciel et
nous l’avons vu et sa Mère très sainte nous console.
Nous ne voulons rien et nous n’aspirons à rien qui
ne soit Dieu, l’Eternité : être avec la Divine
Majesté de Dieu Notre Seigneur : Regarde les damnés. Luz Amparo : Quelle horreur ! Une âme damnée : Nous ne
voulons rien savoir, ni de vous ni de Dieu. Nous ne
changerions pas les peines ni la douleur pour aller
au Ciel ! Notre mission est la haine, la
destruction, le manque d’amour. C’est un tourment
qui ne finira jamais et ne nous consumera jamais.
C’est un feu dévorant, qui dévore nos entrailles.
Mais nous sommes maudits de Dieu parce que nous,
nous n’avons pas voulu l’aimer. Mais je veux que
vous avertissiez les hommes des tourments si grands
de ce lieu afin qu’ils n’y entrent pas. C’est la
voix de Dieu qui me le commande ! Mais pour moi,
j’entraînerai tout le monde dans ce lieu où ils se
consumeraient par le feu, où la haine, la
destruction sont toujours présents ! Tout n’est
qu’amertume Luz Amparo : Quelle horreur ! Une âme damnée : Beaucoup parviennent en ce lieu parce que personne n’a voulu leur dire la vérité et nous nous n’avons pas voulu la comprendre. Il était plus facile de vivre dans les commodités, l’abondance, et à notre guise sans faire la volonté de Dieu. Ceci est notre salaire. Nous sommes payés par celui pour lequel nous avons travaillé. Nous éprouvons de la haine, du mépris. Si Dieu nous laissait, nous détruirions le monde. Nous n’éprouvons que le désir d’entraîner tous les hommes pour qu’ils participent à cette souffrance. La Très Sainte Vierge : Ma fille, tu vois quelle différence il y a entre l’amour et la haine ? Observe la paix qu’il y a en ce lieu et la haine, le mépris et la rancœur qu’il y a dans l’autre. Luttez mes enfants, et ne vous laissez pas conquérir par des paroles qui flattent vos ouies, par des commodités pour votre corps. Soyez fidèles à la volonté de Dieu, aimez nos Cœurs, mes enfants ! Les âmes bonnes jouissent de la miséricorde si grande que Dieu a eue envers elles parce qu’elles ont été capables de lutter, de se détacher, de rejeter les vanités, les rancoeurs, les envies, d’être pauvres, humbles et sacrifiées, d’imiter Jésus sur la Croix et Marie à Nazareth ! N’as-tu pas vu ton Père Spirituel, ma fille, comme il est joyeux en la présence de Dieu ? Il a consacré toute sa vie à Dieu depuis son enfance. A l’âge de 9 ans, il a commencé son chemin ma fille. Notre Seigneur : Il s’est consacré entièrement. C’est pourquoi je vous ai récompensé, lui et toi : je l’ai récompensé en étant ton directeur spirituel, et je t’ai récompensée en apprenant de lui. C’est pourquoi je demande aux hommes : approchez-vous des sacrements, mes enfants, ne vous relâchez pas dans la prière, laissez le monde et toutes ses vanités et prenez un chemin droit et sûr. Dans le monde il y a une crise de la foi que les hommes ont perdu parce qu’ils considèrent que tout est bien. L’homme a perdu la morale et le monde est rempli d’immoralité : car rien n’est péché. On porte la chair en triomphe et je te répète, ma fille, que les hommes veulent changer les lois, chacun ne s’acceptant pas tel qu’il est, sur le chemin de sainteté, mais dans l’immoralité et en adultérant leur corps : les hommes avec les hommes, les femmes avec les femmes. Mais jusqu’où allez-vous en venir, créatures, car vous ne respectez pas la loi de Dieu ! Dieu a crée l’homme et la femme pour procréer, non point pour la jouissance, les plaisirs ou les passions. L’homme l’a oublié. Je te répète ma fille que cela ressemble à Sodome et Gomorrhe. Jusqu’à quand Dieu doit-il avoir honte des hommes ! Priez mes enfants, priez pour ne pas tomber en tentation. Accourez à ce lieu, mes enfants. Je viens seulement vous enseigner à observer l’Evangile tel qu’il est écrit et à ne pas mettre des lois chacun à votre guise ! Priez. Sacrifiez-vous, mes enfants, approchez-vous du Sacrement de la Confession et de l’Eucharistie pour fortifier vos âmes, car les hommes sont dans la tiédeur parce qu’ils ont abandonné Dieu. Et de jour en jour, le démon s’empare davantage des âmes, et les guides ne voient pas la situation du monde. Aveugles, votre orgueil vous empêche de voir et d’accepter que Dieu se manifeste aux humbles pour confondre les orgueilleux et ceux qui se croient grands et puissants ! Priez pour eux, mes enfants ! La Très Sainte Vierge : Levez
tous les objets. Ils seront tous bénis avec des
bénédictions spéciales pour les pauvres pécheurs. Message reçu par Luz Amparo Cuevas le 5 Janvier 2002 La Très Sainte Vierge: Ma fille, me voici une fois encore parmi vous comme Mère de tous les hommes. Ma fille, je viens chercher du réconfort dans mon Cœur. En ce lieu, tant et tant d’Ave Maria soulagent beaucoup mon Cœur. Les hommes, ma fille, sont plongés dans le monde, dans les ténèbres et ils s’introduisent dans le péché. C’est pourquoi je veux que vous réconfortiez mon Cœur, mes enfants, parce que pendant les fêtes les péchés augmentent ainsi que la souffrance de mon Cœur. Les hommes s’enfoncent de jour en jour ma fille, dans les plaisirs du monde. Notre Seigneur : Oui, mes enfants, je crie tendrement à mes âmes : « N’entrez pas dans le péché ; veillez, priez pour que la tentation s’éloigne » ; et vous, mes enfants, vous n’écoutez pas ma voix. J’appelle mes épouses d’une voix tendre. Je crie à mes prêtres bien-aimés, à tous mes enfants : « Soyez fidèles, mes enfants » ! Et vous, vous faites la sourde oreille à mes paroles. Je vous parle avec tendresse, mais vous n’avez pas compassion de nos Cœurs. Le péché de la chair, mes enfants, Satan le porte en triomphe. Ah ! Quelle ingratitude que celle des hommes ! Je les appelle avec tendresse, je suis au Tabernacle par amour pour eux ; j’ai tout donné pour les hommes et j’ai tout fait pour eux : le Sacrement de l’Eucharistie, mon Eglise… Et que faites-vous mes enfants, de tant et tant de grâces que je vous ai données pour votre salut ? Mes appels sont inutiles, mes enfants, vous rejetez mon message, vous êtes sourds et aveugles. Jusqu’où voulez-vous aller ? La miséricorde de tout un Dieu est en train de s’épuiser. Comme les hommes sont ingrats ! Regarde nos Cœurs, ma fille. Luz Amparo : Ah Seigneur ! Notre Seigneur : Toutes
ces épines, ma fille, sont si profondément enfoncées
qu’on ne peut les bouger, ma fille, à moins que les
hommes fassent des actes d’amour… des actes
(d’amour) envers la divine Majesté de Dieu. Des
actes d’amour, mes enfants, voilà ce que je veux ;
d’amour pur, sincère ; non point d’amour passionnel,
charnel qui détruisent l’homme. Luz Amparo : Quelle tristesse, mon Dieu ! Oh ! que puis-je faire Seigneur face à cette souffrance, à cette incompréhension des hommes ? Notre Seigneur :
Prosterne-toi face contre terre, ma fille. (Luz
Amparo se prosterne) Luz Amparo : Mon Dieu ! Seigneur, Seigneur… Notre Seigneur : La
prière, ma fille, le sacrifice, l’humiliation sont
si importants dans la vie, ma fille. L’homme ne
s’humilie pas devant Dieu. Notre Père, qui êtes aux
Cieux, que votre nom soit sanctifié, que votre règne
arrive, que votre volonté soit faite sur la terre
comme au ciel. Donnez-nous aujourd’hui notre pain de
chaque jour, pardonnez-nous nos offenses comme nous
pardonnons à ceux qui nous ont offensés, et ne nous
laissez pas succomber à la tentation, mais
délivrez-nous du mal. Je veux des actes de réparation, ma fille, et (je veux) que les hommes apprennent à être humbles. Priez, mes enfants, la prière en famille est très importante, en communautés (groupes), consolez nos Cœurs. Ils sont si affligés par les hommes ! Regarde, ma fille, une fois encore, comme les péchés des hommes ont laissé mon visage. Luz Amparo : Mon Dieu, on dirait que ce n’est pas Vous, Seigneur ! Notre Seigneur : Les hommes sont si ingrats qu’ils ne regardent pas la douleur de tout un Dieu pour ses créatures. Luz Amparo : Mon Dieu ! Ah ! Je t’aime pour ceux qui ne t’aiment pas, je te glorifie pour ceux qui ne te glorifient pas, je me sacrifierai pour ceux qui ne se sacrifient pas. Notre Seigneur : Mes enfants, approchez-vous de l’Eucharistie, du sacrement de la Pénitence, visitez votre Jésus qui est triste et seul dans le Tabernacle. Luz Amparo : Ah ! Seigneur, quelle douleur ! Ah ! quelle souffrance ! Dites-moi, Seigneur, que puis-je faire ? Notre Seigneur : Sois humble, ma fille. Luz Amparo : Quelle douleur ressent mon cœur, Seigneur ! Notre Seigneur : Je demande la prière ; que la prière sorte du plus profond de votre cœur ; qu’elle ne soit pas mécanique. Car les hommes remuent leurs lèvres, ma fille, mais ils n’exercent pas leur cœur. Luz Amparo : Ah Seigneur ! Je t’aime, Seigneur, je t’aime. Je t’aime, Seigneur. Seigneur. Ah ! Si je pouvais t’enlever toutes ces épines, Seigneur, si je pouvais vous réconforter un peu, Seigneur ! Que dois-je faire pour pouvoir soulager votre Cœur ? Notre Seigneur : Sois obéissante, ma fille. Tu es un instrument de Dieu, un instrument de réparation ; je te demande l’humilité. Luz Amparo : Fais de moi ce que tu voudras, Seigneur. Ah mon Dieu, ah, quelle douleur, Seigneur ! nous allons prier Notre Seigneur : Notre
Père, qui êtes aux Cieux, que votre nom soit
sanctifié, que votre règne arrive, que votre volonté
soit faite sur la terre comme au ciel. Donnez-nous
aujourd’hui notre pain de chaque jour,
pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à
ceux qui nous ont offensés et ne nous laissez pas
succomber à la tentation, mais délivrez-nous de tout
mal. Notre Seigneur : La prière seule, ma fille, peut les enlever. Dis aux hommes qu’ils consolent mon Cœur par la prière. Luz Amparo : (en sanglots) Ah, Ah, Ah, mon Dieu ! Ah, mon Dieu, mon Dieu ! Ah, quelle douleur ! Notre Seigneur : Les
âmes , ma fille, ne s’attendrissent ni devant ce
cadre de douleur, ni devant le sang versé pour eux. Luz Amparo : Ah, Ah, mon Dieu ! Je t’aime, Seigneur ! Notre Seigneur : Mes
enfants, Je demande seulement aux parents : élevez
vos enfants dans la sainte crainte de Dieu. Ne les
laissez pas entrer dans le monde où les entraîne le
démon et la chair. Veillez sur eux, vous les
parents. Vous devrez rendre un compte très spécial
devant Dieu pour vos enfants ! Vous, les Epouses,
soyez soumises à vos époux. Vous, Epoux, aimez vos
épouses. Le démon s’est emparé des foyers parce que
les épouses ne sont pas humbles et les enfants ne
respectent pas leurs parents. Les familles sont
désunies parce que la mère n’est pas soumise à son
époux et elle détruit le foyer par son mauvais
exemple, ma fille. La majorité des ménages sont détruits parce qu’ils ne se respectent pas les uns les autres. Les enfants commencent par ne pas respecter leurs parents et les épouses, (par ne pas respecter) leurs maris. Les hommes en restent seulement à l’image du temps et ne veulent pas parvenir à l’éternité. Il n’y a ni paix ni harmonie dans les familles. C’est Satan qui règne dans le monde. Beaucoup d’âmes consacrées se sont fanées. Il y a si peu d’endroits où nous pouvons trouver refuge ! C’est pourquoi je vous demande de vous aimer les uns les autres, de vous respecter, de montrer à vos enfants l’union des époux. Donnez le bon exemple de la sainteté dans vos foyers pour que vos enfants soient comme vous. Mais, qu’avez-vous fait des foyers, des couvents ? Il y a un certain temps que le monde se précipite dans un abîme d’où seul Dieu peut le tirer. Si l’homme ne regarde pas vers Dieu, le monde sera détruit par le manque d’amour entre les hommes. Priez ! Et toi, crie ma fille : que l’on entende ma voix, que l’on ne fasse pas la sourde oreille ! Je ne peux leur donner davantage, ma fille. Ils foulent au pied les grâces, ils repoussent mon amour et imposent eux-mêmes des lois à leur convenance. A quelle place laissent-ils tout un Dieu ? Aimez l’Eglise de tout votre cœur, mes enfants. Aimez le Saint Père. Priez pour les prêtres et les évêques ; que chacun d’eux sache exercer le ministère qui lui revient, pour plaire à Dieu et conquérir les âmes. Réconfortez nos Cœurs, mes enfants. Chacun de vos « ave maria » parviendra au ciel et soulagera aussi les âmes du Purgatoire. Accourez à ce lieu, mes enfants, vous recevrez des grâces pour vivre en état de grâce. Ne vous relâchez pas dans les sacrements. Approchez-vous chaque jour de l’Eucharistie. Fortifiez-vous de Moi, mes enfants. Mon Corps est une vraie nourriture et un vrai breuvage ; nourrissez-vous de Mon Corps, mes enfants. J’ai institué l’Eucharistie par amour pour vous. Ne m’abandonnez pas, mes enfants, car très souvent, je suis triste et seul à vous attendre ; dans l’attente de votre visite, mes enfants. La Très Sainte Vierge :
Levez tous les objets, ils seront tous bénis avec
des bénédictions spéciales pour les pauvres
pécheurs. Message reçu par Luz Amparo Cuevas le 1er décembre 2001 La
Sainte Vierge : Notre
Seigneur : Voilà où ils veulent en venir, ma fille. L'homme sans Dieu n'a pas de vie parce que c'est une vie végétative. C'est pourquoi je vous demande, mes enfants, priez, priez pour que l'homme ne soit pas orgueilleux au point de vouloir enlever au Créateur, sa place. Et personne n'est comme Dieu ! L'homme est une créature créée par lui. Le monde est corrompu, ma fille, les hommes n'ont pas de morale. Jusqu'où, créatures de Dieu, voulez-vous arriver ? Le monde est ainsi parce que les hommes ont perdu le sentiment. C'est pourquoi je demande la prière ; seule la prière et la pénitence peuvent aider l'homme à courber l'échine et à se refuser à transgresser la Loi de Dieu. La
Sainte Vierge : Que
vais-je dire de plus, mes enfants, alors que j'ai
déjà tout dit ? Je vous demande seulement de prier,
et de ne pas vous endormir. Dans la prière, vous
êtes en communication avec Dieu et celui qui a Dieu
ne doit craindre personne. Il ne lui manque rien. Mes enfants, je vous le répète : priez, prière et pénitence, car l'homme a oublié la prière. C'est pourquoi l'homme n'accepte pas son état naturel ; chacun modifie sa nature car il n'est pas d'accord avec ce que Dieu a fait en lui. L'homme n'est pas capable de se soumettre à la Loi divine et c'est pourquoi les hommes établissent eux-mêmes leurs propres règles. Ils ne s'acceptent pas tels qu'ils sont et je le répète ; l'homme veut être une femme et la femme veut être un homme. Ils n'acceptent pas de mener une vie propre et pure ; ils ne se soumettent pas à la volonté de Dieu : que chacun soit comme il est. Le monde est en train de devenir comme Sodome et Gomorrhe. Ce sera horrible d'aller jusque dans les rues. Vous ne vous rendez pas compte du danger que court le monde ni des pièges de Satan. Soyez en éveil pour vos âmes. Veillez. Je vous bénis comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit. MESSAGE REÇU PAR LUZ AMPARO CUEVAS le 3 novembre 2001 La
Sainte Vierge : Amparo
: La
Sainte Vierge : Amparo
: La
Sainte Vierge : Amparo
: Notre
Seigneur : Mais Dieu est au-dessus de vous, mes enfants. Vois ma fille, ces âmes passent leur temps à comploter pour détruire mon Oeuvre. Si je le voulais ma fille, je les ferais disparaître, mais je veux que tu répares leurs ingratitudes et leurs manipulations, ma fille. Elles manipulent les âmes pour faire disparaître mon Oeuvre. Prie beaucoup pour eux, et aime-les de tout ton coeur. Si Dieu est avec vous, personne ne pourra rien contre vous. Prie pour eux ma fille, ils sont dignes de pitié. Mon coeur les aime tant et ils se consacrent à détruire : au lieu de construire de bonnes oeuvres, ils essaient de détruire, ma fille, l'Oeuvre que j'ai créée. Ne te font-ils pas de la peine, ma fille ? Une occasion de plus (de se sauver) ! Accourez
à ce lieu, mes enfants, car de ce lieu vous recevrez
des grâces pour fréquenter l'Église mes enfants,
pour changer vos âmes, pour vous approcher du
sacrement de l'Eucharistie et du sacrement de la
Pénitence. Mon Coeur est triste mais je ressens
aussi une grande joie en voyant que tant et tant
d'âmes sont parvenues à la félicité éternelle. Il
vaut la peine de lutter, ma fille, pour trouver le
calme et la félicité. Ne crains personne, ma fille,
réfugie-toi en nos Coeurs et tu recevras la force
pour combattre face aux tempêtes. Je demande prière
et sacrifice à toutes les âmes car la situation du
monde est grave bien qu'ils s'obstinent à ne pas
voir (la gravité de) la situation du monde. Seul
Dieu peut apporter la solution à toutes ces
calamités. Le monde est au bord de l'abîme. Accourez
à ce lieu, mes enfants. Ce lieu est un lieu d'amour,
de prière, de pardon. Ici les âmes apprennent à
s'aimer et à se pardonner. Ici elles apprennent
à aimer l'Église, à la fréquenter, à recevoir les
sacrements et tant et tant de grâces qu'elle
renferme. C'est pourquoi, je veux mes enfants, que
vous continuiez à prier pour les pécheurs et que
vous vous aimiez les uns les autres ; car les âmes
qui n'aiment pas, ces âmes-là sont possédées
intérieurement de sorte qu'elles ne peuvent aimer. Ma fille, réfugie-toi en nos Coeurs. Consume-toi en notre amour et en amour pour les âmes. Je t'ai souvent dit ma fille, de t'abandonner comme un jouet entre nos mains, comme un jouet que l'on met dans les mains d'un enfant, pour que nous, nous fassions de toi ce que nous voulons. Répare les ingratitudes de tant d'âmes, des âmes qui se croient élevées et que tout le monde admire pour leurs apparences, mais, malheur à elles, lorsqu'elles se présenteront devant la Divine Majesté de Dieu ! N'avez-vous pas peur, mes enfants, de vivre pour l'apparence ? Ne soyez pas des hypocrites et des pharisiens. Convertissez-vous, mes enfants, aimez toutes les âmes et n'ayez pas le désir de détruire mon Oeuvre. Mes bras sont ouverts pour vous tous, mes enfants. Comment n'avez-vous pas peur de diffamer, de calomnier et de profiter de ces pauvres âmes qui ont tout donné et ont tout abandonné par amour des hommes et par amour de Dieu ! Pourquoi ne les imitez-vous pas et n'examinez-vous pas le chemin qu'elles ont choisi. Non, car vous agissez sans connaître. Ma fille, quelle tristesse que mes âmes agissent ainsi ! Et malgré tout, mes enfants, mon Coeur vous est ouvert. Et toi, ma fille, ne cesse de prier pour eux. La prière est bonne et n'est jamais perdue, ma fille. Il vaut la peine de souffrir pour ensuite trouver la félicité, comme ces âmes. Amparo
: Notre
Seigneur : Amparo
: Notre
Seigneur : Amparo
: Notre
Seigneur : La
Sainte Vierge : Message reçu par LUZ AMPARO CUEVAS le 04 aout 2001 La Très Sainte Vierge : Ma fille, mon Coeur est rempli de douleur, percé de tant et tant d'épines. Les hommes ingrats, mes enfants, ne cessent d'enfoncer des épines dans mon Coeur. Réparez pour toutes ces offenses. Pour chacun de vos Ave Maria, mes enfants, je vous promets de protéger vos maisons des embûches de l'ennemi. Venez, venez en ce lieu ; mon Coeur reçoit beaucoup de consolation. Notre
Seigneur : Ma fille, je cherche des coeurs où
me réfugier et j'en trouve si peu... parce que la
majorité des coeurs sont attachés au monde, à la
chair et au sang. Les hommes, ma fille, ont oublié
Dieu, leur orgueil détruit l'amour, et ils ne
s'aiment pas d'une façon désintéressée ; ils
s'aiment égoïstement. C'est pourquoi je demande
prière et sacrifice, or les hommes font les sourds.
Les hommes veulent être au-dessus de Dieu et
ils veulent imposer leurs lois à Dieu, ils
n'acceptent pas les lois de Dieu. A
combien d'âmes, ma fille, j'ai donné des milliers et
des milliers de grâces et elles leur ont servi à se
détruire, car elles les ont repoussées et foulées
aux pieds ; elles n'acceptent pas la parole de Dieu.
L'homme est si orgueilleux qu'il impose à Dieu ce
qu'il doit faire. N'imposez pas vos désirs, à Dieu et laissez Dieu agir selon sa volonté. Mes enfants, les hommes sont devenus des bêtes sauvages blessées, et ils n'acceptent pas la présence de Dieu, ni ses manifestations. Dieu veut que les hommes changent, ma fille. Les hommes ont été crées pour aimer et glorifier Dieu, et non pour se glorifier eux-mêmes. A quelle extrémité en arrivez-vous, mes enfants ? A enlever à Dieu la place qui lui correspond. Personne n'est comme Dieu, mes enfants. L'orgueil des hommes les empêche d'accepter que Dieu se manifeste où il veut et quand il veut. Moi, j'ai institué l'Eucharistie par amour des hommes, or les hommes ne savent pas aimer, ils ne savent que se haïr et ne pas respecter la loi de Dieu. Combien de fois vais-je vous répéter, mes enfants, de reconnaître le péché, de ne pas voir dans la vertu le péché, et dans le péché la vertu ! Comme
ils sont peu nombreux ceux qui suivent l'Évangile
tel qu'il est écrit ! Combien de fois te l'ai-je
dit, ma fille !, ils font passer leur mère, leur
père, leur frère, leur soeur, avant Dieu !.
L'infidélité des âmes consacrées vient de
l'attachement à la chair et au sang. Les vacances,
ma fille, détruisent les vocations. Oui, je
te le répète, une fois et encore : les âmes ne sont
pas fidèles à leur vocation. Ah, âmes ingrates qui
n'êtes pas fidèles à vos engagements et à vos voeux
! Votre engagement et vos voeux sont écrits dans le
Ciel. Malheur à ces âmes qui s'introduisent dans le
monde et abandonnent leur vocation, mes enfants. L'infidélité
est
quelque chose qui offense Dieu terriblement.
Et il y a de plus en plus d'infidélité dans les
âmes. Ah, âmes ingrates, il aurait mieux valu pour
vous de n'être jamais nées ! L'infidélité à Dieu est
plus grave encore que l'infidélité aux hommes ;
c'est un péché éternel. Il ne faut pas jouer avec
Dieu, mes enfants. Allez devant le Tabernacle
lorsque vous rencontrerez des difficultés,
et là vous me trouverez pour vous donner des
forces et du courage afin de continuer à avancer. Mais
méfiez-vous de la ruse de Satan qui vous introduit
dans le monde et prend possession de vos âmes. Et
les âmes qui sont fidèles, vous voulez les détruire,
mes enfants. Laissez donc ces âmes qui sont fidèles
à Dieu vivre la vie qu'elles ont choisie. Ne
soyez pas comme des païens qui n'entre pas (au
Ciel) et empêchent (les autres) d'y entrer.
Vous, les laïcs, aimez l'Église, aimez le
Saint-Père, aimez les évêques, respectez-les. Luz Amparo : Ah, mon Dieu, pardonne-moi si je me fâche quelquefois, ou si je pèche par omission en ne faisant pas ce que tu me demandes ! Seigneur, pardonne-moi d'avoir tant de misères et d'être si remplie de défauts. Mon Seigneur, je ne suis pas digne de t'aimer, mais, Seigneur, je t'aime de tout mon coeur et de mes cinq sens. Notre Seigneur : Aime-moi, Luz bien-aimée. Les âmes qui m'aiment de cette manière, je me livre à elles, je suis pour elles un baume et je me fonds en elles. Voyons, ma fille, si pendant tout ce mois nous réparons pour les péchés de ces âmes, puisqu'elles sont tellement ingrates qu'elles ne veulent pas faire réparation pour leur péchés, nous allons réparer, ma fille. Je leur ai tant donné et elles m'ont correspondu si peu ! Mais mon Coeur les suit et les poursuit encore. Nous allons voir, ma fille, si nous sommes capables d'attendir leurs coeurs. Sois humble, ma fille, l'humilité est la base principale de tout, l'humilité ainsi que l'obéissance ; voilà la plus belle vertu. Prie beaucoup pour les pécheurs. Ce qui attriste mon Coeur, ma fille, ce sont les pauvres pécheurs, c'est le relâchement qu'il y a dans le monde des âmes ! Et les hommes disent que le monde va bien ! Ils sont aveugles, ma fille, parce que chacun vit selon ses goûts et ses caprices, et non selon la volonté de Dieu. Elles sont si peu nombreuses, ces âmes consacrées qui me sont fidèles ! Mon Coeur les aime tellement que je suis toujours avec elles et que je ne les abandonne jamais. Priez,
mes enfants, priez, faites pénitence, faites des
sacrifices, car le monde a besoin de prière, d'une
prière bien faite et non d'une prière mécanique qui
se contente de remuer les lèvres. Aimez les pauvres
et les nécessiteux. Consacrez-vous corps et âme à
tous ceux qui ont besoin de vous, ma fille : c'est
là mon Oeuvre d'Amour et de Miséricorde. Donnez-vous
aux autres et consacrez-vous corps et âme à cette
Oeuvre sortie de mes mains. Que l'amour
resplendisse, ma fille, l'amour de Dieu et du
prochain. La
Très Sainte Vierge : Levez tous les objets,
ils seront tous bénis pour les pauvres pécheurs. Message reçu par LUZ AMPARO CUEVAS le 07 juillet 2001 La Très Sainte Vierge :
C'est pourquoi je demande une fois encore,
prière, sacrifice, pénitence. Notre Seigneur : Je veux que tous ceux qui appartiennent à cette Oeuvre m'aiment et me glorifient, aiment Dieu par-dessus tout et aiment leur prochain comme eux-mêmes, car c'est ce que l'homme a oublié. Mais certains veulent être glorifiés et non me glorifier. Il n'y en a qu'un qui est votre Seigneur : votre Dieu. Mais il y en a aussi, ma fille, qui se dévouent à la mesure de leurs forces, me louent et me glorifient ; ils se laissent corriger, car ceux qui font ma volonté sont ceux qui me plaisent. Mais ceux qui ne pensent qu'à eux-mêmes, aux leurs, sans se souvenir de celui qui leur tend la main ; pour l'aider, le protéger... L'amour, mes enfants,
est la monnaie la plus grande pour atteindre le
Ciel et parvenir à la Patrie céleste. Une
âme glacée ne sert à rien même si elle remue
beaucoup les lèvres, c'est un pain de glace, car si
elle n'a pas l'amour, ses oeuvres ne me servent de
rien, ma fille. L'homme a été crée pour
aimer : pour aimer son Créateur et ses créatures ;
c'est pourquoi je veux que vous vous
consacriez corps et âme aux pauvres et aux
nécessiteux. Et malheur à ceux qui ne pensent qu'à
eux-mêmes et aux leurs ; à ceux qui remuent les
lèvres sans exercer leur coeur, à ces pharisiens qui
ne viennent pas au secours des pauvres ! Je vous promets que tous ceux qui collaboreront avec les pauvres et les nécessiteux auront une place dans l'éternité. Et celui qui aime Dieu de tout son coeur, de toutes ses forces, de ses cinq sens, aime aussi le prochain ; si les hommes échouent en amour, c'est parce qu'ils n'aiment pas Dieu comme il faut l'aimer. Lorsque Dieu les met à l'épreuve, ils rejettent la croix et ils ne veulent pas entendre parler de croix ni d'obéissance car ils veulent faire leur volonté : la liberté des enfants des ténèbres ; car la liberté de Dieu donne à l'homme, c'est pour aimer Dieu et le prochain. C'est pourquoi, une fois de plus, je demande que vos oeuvres soient unies à l'amour de Dieu, et vous gagnerez le paradis. Voilà la monnaie que je donne en échange de l'amour envers les nécessiteux. Que rien ne t'angoisse, ma fille ; sois humble et fortifie-toi chaque jour davantage en nos Coeurs. La Très Sainte Vierge :
Message reçu par LUZ AMPARO CUEVAS le 02 juin 2001 Luz Amparo : Oh, comme tu es belle ! La Très Sainte Vierge : Regarde, ma fille, aujourd'hui je viens avec le manteau d'or (tissé) de tant et tant d'Ave Maria que j'ai reçus de ce lieu. C'est pourquoi je te le dis, ma fille : tu vois comme il y a beaucoup d'âmes qui m'aiment. Tous les Ave Maria de chaque âme sont recueillis par les Anges qui les placent dans le lieu qui leur correspond dans l'éternité. Notre
Seigneur : La prière est une richesse,
ma fille. Mais la prière sans l'action n'est rien.
Il y en a beaucoup qui remuent leurs lèvres, ma
fille, mais non leur coeur. Il faut remuer les
lèvres, pour faire bouger le coeur. La Très Sainte Vierge : Toi, ma fille, protège-toi sous ce manteau ; il sera ton réconfort et ta force. Je protégerai tous les tiens, et surtout, ma fille, pour qu'ils entrent au Ciel. Cela ne veut pas dire que tu cesseras de souffrir, ma fille : depuis que tu est née, ta mission est de souffrir, mais ma protection, personne ne te l'enlèvera, ma fille. Les hommes changent, mais moi je ne change pas. Je t'ai choisie comme instrument de mon Oeuvre, pour que tu fasses ce travail, et je t'ai polie peu à peu, ma fille, dans les douleurs et les souffrances, les calomnies, les découragements. Mais cela c'est le Ciel, ma fille. Luz Amparo : Je te prie, ma Mère, pour tous mes enfants, pour tous les pécheurs du monde ; j'aime tous ceux qui me haïssent, et je ferai des sacrifices pour tous ceux qui me calomnient. Notre
Seigneur : Mères, luttez pour vos enfants,
priez pour eux. Les mères qui seront loyales se
sauveront par leurs enfants. Je t'ai dit à une autre
occasion, ma fille, que la mère s'élève ou s'abaisse
comme son enfant. Mères, tâchez de prier pour vos
enfants et de leur donner de bons exemples. Mais ne
vous laissez pas non plus entraîner par eux ; priez
pour eux. Luz Amparo : Oh, quelle félicité ! Notre Seigneur : Tu as éprouvé" la félicité. Bois (maintenant) quelques gouttes de la coupe de la douleur (Luz Amparo prend à deux mains une coupe invisible et boit ; on entend nettement le bruit de la déglutition, puis elle a des nausées et tousse). C'est amer, ma fille, mais c'est le chemin de la réparation. Maintenant, tu vas écrire dix noms dans le Livre de la Vie ; choisis-les toi-même (Luz Amparo prend quelque chose de sa main droite et, pendant quelques minutes, trace des signes en l'ai de droite à gauche). C'est noms ne s'effaceront jamais, ma fille. Ils sont inscrits dans le Livre de la Vie, en récompense de ta douleur, de ta souffrance, des calomnies, des persécutions. Tu vois comme je récompense, ma fille. Luz Amparo : Merci, Seigneur. Notre Seigneur : Combien de milliers d'âmes se sont sauvées, ma fille ! Combien de fruits ! Quelle joie éprouvent nos Coeurs à cause de toutes ces âmes qui sont parvenues en des lieux comme celui-ci, ma fille, parce qu'elles ont appris à prier et à aimer l'Église ! Luz Amparo : Oh, combien, Seigneur !... Merci, merci, Seigneur ! Oh, combien d'âmes ! Oh, combien ! Quelle grandeur, mon Dieu ! Merci, Seigneur, merci ! Notre
Seigneur : Tous sont
bienheureux. C'est cette récompense qui doit
t'encourager, ma fille. En avant ! Prière et
amour, ma fille ! La
Très Sainte Vierge : Levez tous les
objets, ils seront tous bénis avec des bénédictions
spéciales pour les pauvres pécheurs. Message reçu par LUZ AMPARO CUEVAS le 05.05.2001 La Très Sainte Vierge : Ma fille, me voici comme Mère douloureuse, comme Mère des pécheurs, comme Mère des affligés. Notre Seigneur : Je vais seulement donner un avertissement aux âmes ; et à toi, ma fille, je te demande de te laisser guider par mes mains ; moi, je te conduirai pour ma gloire et pour le bien des âmes. Ne t'afflige pas, ma fille, parfois il y a des épreuves douloureuses pour éprouver la foi des hommes. Toi, ma fille, que rien ne t'afflige. C'est moi qui permets tout. Pourquoi ai-je permis qu'Abraham aille vers la montagne sacrifier son fils ? Afin d'éprouver sa foi. C'est ainsi, ma fille, que je veux éprouver la foi de ceux qui t'aiment le plus. Luz Amparo : Seigneur, ce sont des épreuves si dures... (elle sanglote). Ah, Seigneur ! Ah, ne permets pas cela, Seigneur ! Parfois, Seigneur... Notre Seigneur : Toi, dis "oui" à tout ce que je voudrai, ma fille ; et "non" à ce que je ne voudrai pas, même si ce n'est pas clair pour toi, ma fille. Je permets aux hommes... (Luz Amparo explique : d'attenter contre les personnes et les instruments de Dieu). Luz Amparo : Ah, Ah, Ah, mon Dieu !...Ah, mon Dieu : fais ce que tu voudras, Seigneur ! Ah... Fais tout ce que tu voudras, cela et davantage ! Je suis dans tes mains... Notre Seigneur : C'est pourquoi je te le demande, ma fille ; laisse-toi diriger par moi ; ce que je fais, c'est pour ma gloire et pour le bien des âmes ; et j'éprouve la foi au plus profond des coeurs. Parfois je l'éprouve pour qu'elles voient l'obscurité là où est la lumière. Combien de fois, ma fille, es-tu restée dans les ténèbres, et c'est moi qui l'ai permis. Luz Amparo : Seigneur, fais de moi ce que tu voudras, mais surtout, donne-moi des forces pour savoir dire "oui" à toutes les choses, que je ne me défende en rien. Notre Seigneur : Ma fille, je veux des âmes victimes, des âmes dociles, des âmes désintéressées. Et c'est pourquoi j'éprouve parfois les âmes avec ces épreuves si terribles. Ce n'est que dans la sainteté qu'elles peuvent comprendre le mystère de Dieu. Toi, obéis en tout, ma fille. Luz Amparo : Seigneur, fais de moi ce que tu voudras, mais parfois, c'est si dur ! Ah, pardonne-moi, Seigneur, pour toutes mes faiblesses et mes misères ! Je veux faire ce que tu voudras, même si je ne le saisis pas, même si je ne le comprends pas... Notre
Seigneur : C'est ce que je veux enseigner aux
âmes, ma fille : à saisir sans comprendre. Je
demande la prière, ma fille. Je demande aussi un peu
de consolation pour nos Coeurs affligés par les
péchés des hommes. Priez, mes enfants, priez
beaucoup. Priez et ne
défaillez jamais dans la foi, quoi qu'il arrive,
mes enfants. Moi je permets parfois au diable de
vous tenter, pour voir si les hommes sont
fortifiés dans la foi. Luz Amparo (qui a une vision du Pape) : Oh, quelle capacité de sacrifice !... Notre
Seigneur : Regarde, ma fille, toute sa vie,
il l'a donnée pour l'unité des chrétiens et pour le
bien de l'Église. C'est un homme infatigable, ma
fille, rempli de la Sagesse de l'Esprit Saint. Et
que personne ne s'étonne si je dis que c'est l'homme
le plus saint qui foule la terre. Et à toi, ma fille, je te demande la prière ; offre-toi en victime de réparation pour les péchés des hommes, (Cette souffrance) a beaucoup de valeur, ma fille parce que la douleur est plus forte (quand elle est provoquée par ceux qui te sont) les plus proches, par ceux que tu aimes le plus, ma fille. Luz Amparo : Ah, Seigneur, c'est très dur ! Ah, pourquoi me gardes-tu encore ici-bas, Seigneur, alors que moi ici je ne fais plus rien ? Emporte-moi avec toi, Seigneur ! Emporte-moi avec toi, Seigneur ! (elle sanglote). Ah, Seigneur, parfois je n'ai pas de forces, Seigneur, et je dois, en silence, garder tant de choses, Seigneur... Notre Seigneur : Tu as notre force, ma fille, sinon tu n'aurais pas pu survivre. Depuis ta plus tendre enfance, ma fille, tu as eu notre protection. Offre-toi en victime de réparation. Jamais, ma fille, nous n'avons cessé d'être à tes côtés. Tu sais que dans tes misères et tes douleurs tu as toujours trouvé une main amie pour t'aider, ma fille. Luz Amparo : Pardonne-moi, Seigneur, je suis si ingrate, que parfois je me plains de tout, Seigneur. Pardonne-moi et aide-moi. Notre Seigneur : Même si l'on te lance des piques, ma fille, même si l'on te persécute, et même si tu entends des horreurs, ne fais jamais un pas en arrière. Sois forte, et moi je serai toujours avec toi, même dans l'obscurité. Luz Amparo : Merci, Seigneur. Notre Seigneur : Tous ceux qui viendront en ce lieu seront bénis et marqués d'une croix sur le front. Priez le saint Rosaire, mes enfants ; n'oubliez pas cette prière qui plaît tant à Marie et qui fait tant de bien aux âmes. Avec le saint Rosaire on peut éviter de grandes catastrophes, ma fille. Le Rosaire a beaucoup de valeur, et les hommes l'ont oublié. Priez le Rosaire en famille, mes enfants. Parents, apprenez à vos enfants la prière du saint Rosaire, qui est unité. Ne vous relâchez pas et n'abandonnez pas vos enfants en ce qui concerne la prière. La
Très Sainte Vierge : Levez tous les objets,
ils seront tous bénis avec des bénédictions
spéciales pour les pauvres pécheurs. Message reçu par LUZ AMPARO CUEVAS le 7 avril 2001 La
Très Sainte Vierge : Me voici, ma fille, comme
Mère des Douleurs, comme Mère des pêcheurs.
Les hommes se moquent de mes paroles et de mes
messages, mais malheur à ceux qui en font
une occasion de moquerie, au lieu de se repentir et
de tourner leur regard vers Dieu ! Mon Nom, ils le
foulent aux pieds, et ils se moquent de mes paroles.
Une fois de plus je me manifeste, non pas pour dire
quelque chose de nouveau aux hommes, mais pour
ouvrir les oreilles des sourds et les yeux des
aveugles. Ils ne veulent pas écouter la
doctrine, et elle est pour eux prétexte à rire et à
moquerie. Et ils disent, mes enfants : pourquoi tant
de messages ! Ne voyez-vous pas, serviteurs
inutiles, que le monde est aux mains de
Satan, que vous faites les sourds et les
aveugles, et qu'une mère vient rappeler à ses
enfants le danger qu'il y a dans le monde ? Combien
de fois vous ai-je dit, mes enfants : mes messages
vont s'achever ? Mais les hommes ne changent pas. Et combien de fois une mère dit à ses enfants : "Mes enfants, je ne vous avertis plus !". Or, voyant que son enfant est engagé dans la perdition, la mère continue à l'avertir du danger qui le guette. Et bien, c'est ce que je fais, comme Mère des pêcheurs ; je leur demande de tourner leur regard vers Dieu, parce que le monde ne peut pas s'arranger sans Dieu. Et vous, guides des peuples, comment pouvez-vous vous moquer de mon Nom et du Nom de Dieu ? Au lieu de vous humilier et de courber l'échine, (cela) vous sert à vous enorgueillir davantage. Qui êtes-vous, pour imposer une limite à Dieu ? Notre
Seigneur : Oui, mes enfants, le Fils du Dieu
vivant vous parle et vous dit de ne pas vous moquer
des paroles du Ciel, Je vous ai donné le pouvoir de
pardonner les péchés, je vous ai oints de mes
grâces, et votre mission est d'appliquer la charité
sur les hommes, avec tendresse à l'égard des
pécheurs, comme un père conseille ses enfants. Mais
quelle sorte de guides des peuples êtes-vous, mes
enfants, si vous vous moquez de mon Nom et s'il est
pour vous l'occasion de rire avec vos amis ? Jusqu'à
quand, mon enfant, dois-je continuer à donner des
avertissements ? Implorez de Dieu le pardon
pour les âmes et la lumière pour qu'elles voient ;
(priez) aussi pour vous-mêmes, afin de recevoir la
lumière pour discerner les dons de l'Esprit Saint.
Mes enfants, combien êtes-vous à vous réunir pour
détruire, et non pour construire. Ne perdez pas de
temps, mes enfants. Soyez un bon engrais pour la
terre, afin que des fleurs poussent dans vos coeurs.
Ne soyez pas des chardons qui étouffez la semence
pour votre orgueil et votre infidélité. Et vous
dites encore, mes enfants ; tant de messages ! Vous
êtes aveugles. Changez
vos vies, mes enfants. Et à ceux que
vous voyez suivre le chemin droit et sûr, vous leur
faites des crocs-en-jambe, car vous n'entrez pas
vous-mêmes dans le Ciel et vous ne voulez pas que
les autres y entrent. Combien de fois vous ai-je
dit, mes enfants, que celui qui est avec moi ne va
pas contre moi. C'est vous qui vous opposez à moi,
car vous ne faites pas et vous ne laissez pas faire.
Laissez les saints prêtres accomplir leur mission et
prêcher l'Évangile tel qu'il est écrit, et ne leur
rendez pas la vie impossible. Convertissez-vous,
et repentez-vous. Ah,
mon peuple, qui ressemblez au peuple d'Israël ! Ah,
guides du peuple, qui ne dirigez pas les âmes sur le
chemin du salut ! Ne savez-vous pas, mes
enfants, que tous ceux qui s'opposent à Dieu reçoivent ce qu'ils méritent ?
Étudiez le Coeur de Dieu et vous y trouverez la
douleur (causé par) votre infidélité et votre
mauvais exemple. Ne soyez pas des fonctionnaires ; soyez
des pasteurs d'âmes, mes enfants. Ouvrez
les églises pour que les âmes puissent faire des
visites au Prisonnier. Consacrez-vous aux âmes, et
vous verrez quelle paix vous aurez à l'intérieur de
vous-mêmes. Ah, mes enfants, jusqu'à quand Dieu
doit-il vous avertir. Vous dites : comment Dieu
peut-il se manifester aux hommes ? Ne donnez-vous
donc pas à Dieu des motifs de lancer des
avertissements ? L'infidélité
à Dieu est grave, mes enfants. Venez, mes
enfants, réfugiez-vous dans mon Coeur ; aussi graves
que soient vos péchés, plus grande est ma
miséricorde. Mais courbez la tête et ne soyez pas
orgueilleux, mes enfants. Je me manifeste aux
humbles, aux incultes, pour confondre les lettres et
les puissants. Pourquoi ne laissez-vous pas Dieu
oeuvrer ? Soyez humbles, mes
enfants, attirez les âmes, ne les persécutez pas et
ne leur lancez pas vos piques. Or vous êtes
constamment en train d'enfoncer l'aiguillon. Prenez
garde, mes enfants, car l'aiguillon peut fort bien
se retourner contre vous. La seule chose que Je
veuille, c'est que vous changiez. Je lance
un appel aux laïcs, aux prêtres, aux religieux ;
qu'ils ravivent leur foi, et qu'ils ne se laissent
pas entraîner par les passions ni par l'astuce de
l'Ennemi. Prêchez l'Évangile
tel qu'il est écrit ; ne le transformez pas en
métaphore. L'Évangile est toujours le même ; Malheur à celui qui rajoute ou qui enlève quelque chose de l'Évangile, lorsqu'il se présentera devant la Divine Majesté de Dieu ! N'avez-vous pas la crainte de Dieu, mes enfants ? Pour craindre une chose, il faut savoir, mes enfants, que cette chose existe, or beaucoup d'entre vous ne croyez pas à la Divine Majesté de Dieu. Des foyers, je fais une famille... (Luz Aparo, devant la vision qu'elle a à ce moment, pousse une exclamation et reprend) ; je fais des familles saintes de tous ceux qui veulent accepter ma Divine Volonté. Je lance un appel à tous les hommes, aimez l'Église, mes enfants, confessez vos fautes. Satan est en train de régner dans l'humanité. Ne voyez-vous pas, mes enfants, que sans la prière il n'est pas possible de vivre ? L'âme a besoin de s'alimenter et d'entrer en communication avec Dieu, or les hommes se sont relâchés. Confessez vos fautes, mes enfants, et approchez-vous du Très Saint Sacrement de l'Autel. Faites des visites à Jésus qui est triste et seul ; (faites) des oeuvres d'amour et de miséricorde unies à la prière et au sacrifice. Soyez humbles, mes enfants, et respectez ma Parole. Ne vous en moquez pas, mes enfants, car Dieu fera justice sur vous tous. Et vous, prêtres saints, avancez sur le chemin droit de l'Évangile, et ne vous laissez impressionner par rien, ni par personne. Portez le signe distinctif du prêtre, mes enfants ; aujourd'hui on ne reconnaît pas les prêtres parce qu'ils ne portent aucun signe distinctif. Quelle tristesse de voir qu'ils relèguent dans un coin leur vêtement sacré ! N'en ayez pas honte, mes enfants ; ce vêtement est un frein pour vos vies. La
Très Sainte Vierge : Mes messages seront très
courts ; en effet, je vous l'ai déjà dit, tout ce
que j'ai annoncé s'accomplira ; comme vous le savez,
beaucoup de ces annonces se sont accomplies, et
d'autres restent à accomplir. Mais je rappellerai la
pénitence et la prière, parce que les hommes, mes
enfants, oublient les obligations de chrétiens. Et
ils se demandent pourquoi je me manifeste ! Alors
que Dieu est oublié, et qu'aujourd'hui les hommes
ne se souviennent plus des sacrements ; ils vivent
comme des animaux, tous ensemble, sans éprouver le
besoin des sacrements. Et vous dites que le
monde va bien, mes enfants ! C'est pourquoi je viens
vous ouvrir les yeux et les oreilles. Il y a de
nombreuses années déjà que je suis venue vous
avertir et vous avez persisté dans votre surdité et
votre aveuglement. Humilité, prière et
sacrifice ; aimez
l'Église ; prêtres et laïcs, respectez
les évêques ; approchez-vous
de l'Eucharistie et du sacrement de la
Pénitence ; laïcs, aidez les prêtres et priez pour
eux ; soyez humbles pour reconnaître vos fautes. Message reçu par LUZ
AMPARO CUEVAS Mes enfants, je lance un appel aux âmes, visitez-moi au Tabernacle, mes enfants, recevez l'Eucharistie. Combien de nuits je crie depuis ma solitude : que font les âmes de la Divine Majesté de Dieu ?! Je veux que les hommes se rassemblent afin de prier et d'implorer pour les pécheurs. Je lance aussi un appel à Messieurs les Évêques afin qu'ils réunissent Messieurs les prêtres et leur enseignent à travailler pour leur ministère, à n'oeuvrer que pour les âmes, car la moisson est abondante et les ouvriers peu nombreux, à cesser d'être des fonctionnaires et à expliquer aux âmes la vérité de l'Évangile ! Que Messieurs les Prêtres fassent cas de Messieurs les Évêques ; qu'ils enseignent qui est le Créateur et qui est la créature, parce que les hommes sont en train de se transformer en créateurs et ont abandonné le Créateur. L'homme ne peut pas être un créateur, alors qu'il a été crée. Le Créateur est l'Incréé. Enseignez aux hommes les vérités, mes enfants, pour que les hommes changent leurs vies. Des temps graves approchent, mes enfants ; avec la prière et le sacrifice, on peut éviter tant de catastrophe, mes enfants !... Soyez humbles et comprenez la Parole de Dieu. Ne vous comportez pas comme au temps du déluge, de Sodome et Gomorrhe, mes enfants ; chaque fois que Dieu vous a avertis, mes enfants, votre orgueil vous a empêchés de voir les vérités que Dieu a dites. Dieu n'est pas catastrophiste, c'est la vérité de l'Évangile. Expliquez aux hommes toutes les vérités. Mes chers prêtres, mes enfants bien-aimés, faites cas de mes évêques bien-aimés, et prêchez dans le monde entier, afin que les hommes tournent leur regard vers Dieu. Ne voyez-vous pas que Dieu est de plus en plus oublié ? Ne faites pas la sourde oreille, mes enfants, écoutez ma parole. Donnez l'exemple, par votre vie. Et vous, les laïcs, aimez l'Église, aimez le Saint Père, mes enfants, et priez pour lui. Rassemblez-vous tous pour prier, mes enfants, le monde a besoin de prière. Si les hommes priaient, les âmes se convertiraient. Priez, priez, mes enfants. Récitez le saint Rosaire ; si possible, récitez-le en famille, car les foyers sont détruits. Les (membres des) familles se séparent les uns des autres et grandissent sans se connaître. Quelles tristes familles, mes enfants ! N'avez-vous pas de peine de ne pas respecter la Loi de Dieu, mes enfants ? Vivez dans la sainte crainte de Dieu, suivez l'Évangile, aimez-vous les uns les autres. Il faut enseigner aux hommes pourquoi ils ont été créés. En premier lieu, prêtres bien-aimés, enseignez aux hommes qu'ils ont été créés pour aimer et glorifier Dieu, et non pour idolâtre les hommes et s'idolâtrer eux-mêmes, tandis que Dieu est méprisé et oublié. N'êtes-vous pas peinés des offenses si graves que vous commettez contre Dieu, mes enfants ? Réfrénez vos sens, mes enfants. Le monde est plein d'immoralité, et quand l'homme tombe dans la luxure, il devient aveugle. Et c'est d'abord la désobéissance, ma fille. Lorsque l'homme désobéit à la Loi de Dieu, il devient sourd et aveugle ; et le péché de la luxure est celui qui règne dans l'humanité. On ne lui donne pas d'importance, ma fille, les péchés sont considérés comme des vertus et les vertus comme péchés. Pourquoi cachez-vous l'Évangile et ne l'expliquez-vous pas tel qu'il est (écrit), mes enfants, pour que les hommes sachent les vérités ? Priez beaucoup, faites oraison. Confessez vos fautes, mes enfants, faites des visites au Très Saint Sacrement, tenez-moi compagnie pendant quelque nuit, mes enfants. Les hommes ont oublié ma solitude. Quelle froideur je rencontre dans beaucoup de Tabernacles, ma fille ! Dans beaucoup de Tabernacles, je suis oublié. Faites-moi des visites, mes enfants. Aimez-vous les uns les autres, d'un amour sain et pur, mes enfants. Soyez humbles et comprenez la vérité, mes enfants. N'avez-vous pas peur de mettre un frein à Dieu, mes enfants ? Toi, ma fille, continue de faire réparation pour ces âmes, afin qu'elles reviennent vers moi. Comme les âmes sont dures ! Comme il leur en coûte, ma fille, alors qu'il est si facile d'aimer, mais elles confondent l'amour avec la passion. Elles ne savent pas ce qu'est l'amour véritables, qui vient de Dieu. L'homme aime avec passion et par égoïsme. Ainsi est le monde, mes enfants. Je demande sacrifice et pénitence. Je vous enseigne à aimer l'Église, mes enfants. Vous tous qui venez en ce lieu, mes enfants, confessez vos péchés, aimez beaucoup l'Église, les prêtres, le Saint Père, et priez, pour ne pas succomber à la tentation. La Très Sainte Vierge : Oui, ma fille, il est nécessaire de se sacrifier et de prier pour les âmes ; même si les âmes sont ingrates, prie pour elles sans te lasser. Levez tous les objets, ils seront tous bénis pour le Jour des ténèbres. Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint |