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Frère Élie |
Frère Elie n'est pas
prêtre. Il est religieux avec les vœux. L'adresse du couvent
: Convento di San Berardo
- Via San Francesco, 12 - 05032 Calvi
dell'Umbria - (Terni) Italie - Tél. : 0039-0744 710322
- de 9h30 à 11h00 et de 15h30 à 17h00 uniquement (excepté le dimanche) Pour aller au
monastère : En
voiture : Prendre l'autoroute A1 qui va de
Florence à Rome en prenant la sortie de Magliano
Sabina (30 km avant Rome). Calvi dell'Umbria se
trouve à environ 10 km de cette sortie. (...) Nous avons découvert
le Frère Élie,
stigmatisé aux nombreux charismes, à travers deux livres de Fiorella
Turolli que les Éditions
du Parvis publieront en février sous les titres:
Frère Elie, charismes et stigmates (tome 1) et
Frère Élie des Apôtres de
Dieu (tome 2). (...) http://www.parvis.ch
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Autre chapitre : Élie et Enoch ... Les deux témoins |
"Non, des âmes errantes qui, ne trouvant pas la paix, étaient restées sur la terre" Extrait de STELLA MARIS n° 467 Mars 2010 - Par Fiorella Turolli (...) Vision du mal — Couvent de Calvi 31 mars 2009 ; 9h Ces derniers jours, Frère Elie sort souvent de son corps. C’est une grâce du Seigneur pour lui permettre de reprendre son souffle… Son esprit sort de son corps qui vole vers des lieux merveilleux pour ensuite y rentrer avec une énergie renouvelée. Je ne voulais pas raconter ces choses, mais aujourd’hui j’en ai entendu de terribles qui hélas arrivent constamment dans notre monde malheureux. (je préfère ne pas mettre la suite - VDT) L’ennemi est arrivé — Couvent de Calvi, jeudi 2 avril 22h 30 Après les complies, les frères et les sœurs rejoignirent leur chambre. Frère Elie ne se sentait pas bien et il s’étendit, espérant s’endormir rapidement. Quelques instants plus tard, il entendit des coups violents qui provenaient d’en dessous de sa chambre, le battement insistant d’une porte en fer, celle qui du jardin, donne sur l’arrière, là où sont entassés le mobilier et les piles de bois. Que c’est étrange, les frères avaient fait le tour comme toujours, et tout était fermé. Et il n’y avait pas le moindre vent! Frère Elie trop épuisé pour descendre, et vu que les coups semblaient augmenter, cria: la porte, la porte, fermez la porte… Mais personne dans les petites chambres proches ne l’entendit. Alors Frère Elie rassembla toutes ses forces, descendit, traversa le jardin et se dirigea vers le portail qu’étrangement il trouva fermé. A peine franchit-il le seuil que deux mains gigantesques lui serrèrent un gros nœud coulant au cou presque jusqu’à l’étouffer. Puis, l’être immonde, avec une force surhumaine, le fit tournoyer comme un drapeau et plusieurs fois il le flanqua contre le mur extérieur. Il lui arracha sa chemise, il le griffa sur tout le corps jusqu’à ce qu’il eut passé toute sa fureur et à la fin il l’envoya planer sous un lourd tas de pierres, fer, débris et autres… Frère Elie s’évanouit on ne sait combien de temps. Vers 7 heures, quand Frère Serge sorti sur l’arrière pour aller aux cours comme chaque matin, il se trouva devant Buc, le chien, tout agité. Il n’aurait pas vu Frère Elie si Buc n’eut couru vers lui en aboyant, de sorte qu’il le conduisit au Frère. Avec l’aide des ouvriers qui commencent les travaux de restructuration à cette heure-là, péniblement, on réussit à extraire le corps raidi de Frère Elie, tuméfié, transi, presque congelé, mais vivant. Quand quelques heures plus tard Frère Elie m’appela au téléphone, je ne reconnu pas sa voix qui semblait venir d’une caverne. — Tu l’as vu Frère Elie? — Oui… Cette fois il avait une gigantesque ressemblance humaine, mais avec des poils! Le miracle des Rameaux. Couvent de Calvi, dimanche 5 avril 8h 30 Après m’avoir souhaité un bon dimanche, Frère Elie, d’une voix claire et d’un ton serein me dit qu’on pouvait appeler la nuit passée «Nuit des miracles», et il me raconta: Je me suis réveillé comme toujours vers trois heures et quart. Il pleuvait et, de ma fenêtre, je cherchais à scruter le ciel noir, espérant voir arriver bientôt la fin du mauvais temps. Tout à coup une lueur immense déchira un gros nuage noir, illuminant le ciel à l’entour. C’est ainsi que durant presque une heure, j’ai vu de longues files d’âmes qui étaient en train de rentrer… tant et tant d’âmes. — Des âmes de personnes qui venaient juste de mourir? — Non, des âmes errantes qui, ne trouvant pas la paix, étaient restées sur la terre, mais cette nuit, elles sont toutes rentrées… grâce à Dieu. Et puis d’innombrables anges sont sortis… une marée d’anges qui se dirigèrent vers moi. Ils sont rentrés là, ils m’ont entouré et ils ont enivré tout le couvent de leur merveilleux parfum… De fait, maintenant, je me sens bien, je me sens frais et plein d’énergie. J’ai seulement quelques petites douleurs ici et là. Et alors je peux descendre et boire mon thé avec mes confrères… — Ils t’ont transmis la force angélique, Elie… je suis si heureuse pour toi… Semaine sainte — Lundi 6 avril Nous arrivons au couvent juste avant le souper et à peine avions-nous franchi le seuil, qu’un parfum enivrant nous envahit. Non pas le suave parfum de rose, mais une fragrance plus piquante, comme souvent cela arrive depuis quelques années, avant les saignements. Soudain je le reconnus. Ce parfum était en tout semblable à l’huile de nard que moi aussi j’acquis à Jérusalem; cette huile qu’utilisa aussi la Magdeleine pour oindre les pieds de Jésus! L’huile de nard est un composé d’huile de coco auquel on ajoute des essences de nard et de la résine d’encens… Elle était en usage parmi les Israélites pour des frictions bénéfiques sur le corps. Comment se fait-il que je n’aie pu le comprendre avant? Frère Elie vient à notre rencontre, amaigri, avec les yeux creusés et des égratignures voyantes sur le visage et sur les mains. Pour lire la suite : STELLA MARIS Avec frère ELIE à la Sainte Baume
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