Un
extrait des messages
Un
événement sans égal dans toute l'histoire de
l'Église : Marisa a
entendu la voix de Dieu qui a
adressé un appel à l'humanité.
Personne
n'a
jamais vu Dieu (Jean 1,18) a écrit Jean dans le
prologue de
son Évangile et cette vérité doit être
acceptée par toutes les fils de Dieu.
Jean Baptiste, après avoir baptisé Jésus vit les
cieux déchirés et le Saint Esprit, comme une
colombe, descendre sur Lui. Et une voix vint des
cieux: "Tu es mon Fils bien aimé, Je me suis
complu a toi". (Marc 1,10-11)
Pierre, Jacques et Jean, le jour de la
transfiguration "s'épouvantèrent lorsque ils entrèrent
dans le nuage. Et du nuage vint une voix:
"Celui-ci est mon Fils l'Élit: écoutez-Le". (Luc
9,34-35)
Dans tout le Nouveau Testament dès l'origine
jusqu'à nos jours aucun autre homme n'a jamais
entendu la voix de Dieu.
Mais le 1er novembre
1999 il est arrivé un événement extraordinaire
et jusqu'aujourd'hui sans égal dans toute
l'histoire de l'Église qui on ne peut pas
tenir caché, mais qui doit être connu par tous
ceux qui croient en l'existence de la Sainte
Trinité.
À dix heures le jour de la
Toussaint, comme notre communauté, après avoir
écouté le commentaire des derniers messages de
la Mère de l'Eucharistie, fait par Don Claudio
Gatti, était en oraison, Marisa est
tombée en extase et a vue une suite de scènes
merveilleuses. D'abord elle a vu une
longue procession de saints qui précédaient
Jésus et la Saints Vierge entourés par myriades
d'anges. La Vierge s'est adressée à Marisa qui
souffrait beaucoup d'une façon douce et a
conversé avec la voyante. Ensuite tout à coup
Marisa a vu les anges, les saints, la Sainte
Vierge et Jésus aussi se mettre à genoux, le
visage tourné à bas. Un grand feu, beau à voir
qui ne faisait pas peur et ne gênait pas, s'est
présenté aux yeux étonnés de Marisa et en dedans
de lui est sortie une voix puissante qui a
affirmé: "MOI, JE SUIS DIEU".
À Marisa qui disait: "Je ne Te vois pas" Dieu à
répondu: "Tu ne peux pas Me voir parce que Je suis
Dieu".
Rome, le 1er novembre
1999, h.10:35 a.m.
Lettre de Dieu communiquée par la Mère de
l'Eucharistie.
Marisa :
"Jésus, Marie et Joseph sont environnés par
nombreux saints, c'est une scène merveilleuse.
Grâce à Dieu il y a beaucoup de saints en
Paradis".
La Sainte Vierge
: "Non, ma petite
Marisa, si l'on tient compte de tout ce que Jésus
à fait, les saints ne sont pas nombreux.
Pendant toute
l'histoire de l'humanité les hommes sont
arrivés à plusieurs milliards et ils vont
devenir de plus en plus nombreux, tandis que
les saints en Paradis sont un petit nombre,
il y a aussi des saints sur la terre qui souffrent
et continuent à souffrir. J'ai accepté tes larmes
avant d'arriver ici et J'ai compris ta grande
souffrance.
C'est vrai, tu ne peux pas arriver à
l'apparition, le cœur brisé par faute de ceux qui
te font souffrir volontairement pour te détourner
de cette rencontre, mais comme Dieu m'a donné le
courage d'aller en avant pendant longtemps, tout
en connaissant à l'avance la mort de Jésus et de
Joseph, mon aimé époux, ainsi le donne à
toi-aussi, Votre Excellence, à toi, ma petite
Marisa, et à tous que vous êtes ci-présents.
Ils sont présents les saints, les âmes sauvées et
mes papes, le grand Paul VI, le grand Pi XII, Jean
Paul I et plusieurs d'autres, ainsi que tu vois.
Ils n'ont pas atteint à la sainteté parce qu'ils
se sont fait papes, mais parce qu'ils ont suivi la
voie de la vie spirituelle et de l'amour: la même
chose que Je vous demande toujours.
Oh, Je sais bien ce que vous voulez et ce que vous
pensez en vous-mêmes, mais dans la lettre de Dieu
il n'y a pas ça.
Mon Tout a dit que vous ne devez pas perdre votre
confiance et que vous devez montrer du courage et
aller en avant.
Moi aussi Je vous répète, comme à ce moment Je
suis avec vous, allez en avant".
APPEL
DE DIEU-LE PÈRE.
Dieu-le Père: "Moi, Je suis Dieu!".
Marisa: "Je ne Te vois pas!".
Dieu-le Père :
"Ma voix a toujours crié conter tous les hommes
qui voulaient détruire le monde. J'ai toujours
crié: convertissez vous!
Tu ne peux pas Me voir parce que Je suis Dieu, et
il n'y a pas un autre Dieu.
Je veux la conversion des mes fils bien aimés (1);
Je veux leur conversion".
Marisa :
"Mon Dieu, j'entende une voix très forte, mais je
ne vois rien. Jésus, la Sainte Vierge, S. Joseph,
les anges, les saints sont tous prosternés, les
visages baissés".
Dieu-le Père :
"Ne t'inquiète pas, ma petite Marisa,
aucun homme de la terre n'a jamais vu Dieu. Moi,
Je suis Dieu, ce Dieu qui continuent
jusqu'aujourd'hui d'outrager et, ainsi qu'a dit
mon fils Jésus, ils vous persécutent, ils vous
attaquent, parce qu'ils n'osent pas de se jeter
ouvertement sur Moi.
Moi, Je suis Dieu et Je commande tous: dès papes
jusqu'au prêtre le plus petit, jusqu'à la plus
petite créature.
Moi, Je suis Dieu, unique et vrai Dieu.
Vous attendez, vous voulez connaître le moment de
mon intervention et vous avez raison, mais Je ne
vois pas encor la conversion de mes cher fils, Moi
Je vois seulement que les hommes aiment le
pouvoir, les honneurs et le vil et sal argent.
Je ne peux pas accepter que le planète
terre reste plongé dans la fange; Je ne peux pas
accepter que mon Fils Jésus, la Seconde Personne
de la Sainte Trinité, soit morte en vain pour
les hommes que J'ai crées et J'ai appelés fils,
parce qu'ils sont mes fils.
Il y a une grande fête en Paradis et toi, ma
petite Marisa, tu vois les anges, les saints et
les âmes sauvées qui m'entourent, mais tu ne Me
vois pas, parce que ce n'est pas encore arrivé le
temps de Me voir, tu entends seulement ma voix, tu
entends mon navré appel adressé à l'homme que Moi,
J'ai appelé fils et que J'ai crée à mon image et
ressemblance.
Moi, Je suis Dieu!"
Marisa :
"Comment fais-je maintenant à parler à Dieu? Je
désirais Te demander humblement: N'en veux-Tu pas
à nous, n'est-ce-pas?".
Dieu-le Père :
"Non, ni à toi, ma petite Marisa, ni à toi, mon
cher évêque, parce que tu as accepté mon
ordre, et tu as obéi à Dieu chaque jour de ta
vie, ni à vous, mon petit troupeau, comme
vous appelle la Mère de l'Eucharistie. Non! Ce ne
sont pas les pauvres et les petits, mais les
riches et les puissants qui ne cherchent pas Dieu,
mais seulement eux-mêmes".
Marisa :
"Comment fais-je à demander?".
Dieu-le Père :
"Ma petite Marisa, Moi Je sais
ce que tu veux demander et Je pourrais répondre
(2) parce que Moi, Je suis Dieu, mais Je veux
encore des conversions, des conversions et des
conversions".
Marisa : "Je vois un grand feu.
Ou es Tu, mon Dieu?".
Dieu-le Père :
"Tu ne peux pas Me voir; mais
Moi, Je suis Dieu.
Écoute l'hymne que chantent, en l'honneur de Moi,
les anges et les saints.
Je ne veux pas que la Seconde Personne de la
Sainte Trinité soit morte en vain, ainsi que tout
il peut faire paraître.
Il Me plait d'être sous cette large tente (3);
autrefois on vivait dans une tente ou sous la
voûte étoilé.
Qu'est ce que M'en fais-Je des grandes églises,
des grandes basiliques ou il n'y a pas d' amour,
car les gens d'église tâchent de détruire
celui-qui M'aime et pensent à se faire élégants,
beaux pas pour Jésus Eucharistie, pas pour la
Sainte Trinité, pas pour Dieu, mais pour
eux-mêmes?".
Marisa :
"Écoute moi, ma petite Vierge, que fait
Dieu maintenant?".
(La Sainte Vierge
s'adresse aux présents et converse avec
Marisa)
La Sainte Vierge
: "Mes chers fils, merci
pour vôtre présence.
Dieu a parlé et Moi, Je suis certain que vous avez
compris. C'est là le grand regret de nous tous:
l'homme n'aime pas. Je suis avec vous, mon petit
troupeau, Je veux vous voir sereins. Dieu a parlé
d'une manière forte, mais Il n'était pas
certainement adressé à vous, comme vous avez bien
compris. Égayez vous et réjouissez. Lisez et
méditez les béatitudes; là vous trouverez tout.
Jacopo, mon enfant et Davide-Maria, Je vous couvre
de mon manteau et Je couvre vous tous en vous
pressant fortement contre mon cœur. Vôtre
Excellence, levez la tête et souriez, souriez. (4)
Quoi que ce soit ce que Dieu a apprêté il n'est
pas certainement contre toi. Souris car tu as
aimé, tu aime, tu sais aimer malgré quelques âmes
abusent de ton amour si grand, de ta souffrance.
Tuas le poids de l'église sur tes épaules; même si
tu le dis en riant, c'est vraiment comme ça.
Le Pape ne t'appellera pas; ça Nous fait
souffrir.
Tous mes vœux, mes chers fils, parce
qu'aujourd'hui c'est la fête de tous, spécialement
de ceux qui n'ont pas un saint à festoyer".
Marisa :
"Mais tous les autres saints ne nous disent rien
de ce que nous voulons savoir?".
La Sainte Vierge: "Ma petite Marisa, si
Dieu n'a dit rien, les saints ne peuvent pas
parler. Tu es toujours gamine".
Marisa :
"Tu sais comme on dit: "Je fais l'innocente, même
si, de toute façon, je ne peux rien savoir".
La Sainte Vierge
: "Tu dois être sereine,
ma fille".
Marisa :
"Mais comme fais Je à être sereine si...
Attend un moment, je le demande à Don Claudio".
La Sainte Vierge
: "Non, mon petite
Marisa, on dit à son Excellence".
Marisa :
"Je le sais, mais je l'appelle Don Claudio,
je l'ai toujours appelé comme ça pendant
vingt-huit ans.
Écoute, Excellence, il me fait défaut la
respiration, J'ai beaucoup de douleurs et la
Sainte Vierge m'a dit que je dois être sereine;
qu'est ce que Lui dis ?".
Don Claudio : "Qu'Elle
t'aide à ne pas aller ou tu ne veux pas aller".
Marisa : "Et ou ne veux-je
pas aller?".
Don Claudio : "A
l'hôpital".
Marisa : "Ma petite
Vierge, je fais tout ce que Tu veux, pourvu que Tu
ne m'envoie pas à l'hôpital, parce qu'il y a
quarante et une fois que j'y vais. Peux Tu
répondre au moins à ça?".
La Sainte Vierge :
"Maintenant vous de la Terre et Nous du Paradis
nous nous donnons la main et cette fois la Maman
vous demande de chanter le Nôtre Père avec Moi,
avec les anges, les saints et surtout avec Joseph,
mon époux bien aimé.
(Tous les présents se
donnent la main et chantent le Nôtre Père)
Merci, mes chères fils, d'avoir chanté le Notre
Père, la prière de Jésus.
Avec mon évêque bien aimé, Je vous bénit, Je bénit
vos parents bien aimés, Je donne un baiser aux
enfants, aux malades, aux jeunes malades
lointains. Je vous presse fortement contre mon
cœur et Je vous couvre avec mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, de Dieu le
Fils, de Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus
Christ".
Marisa : "Écoute-moi: où
est allé Dieu? Ne me dis pas qu'll est encore en
train de penser. Je désirais Lui parler et Lui
demander beaucoup de choses, mais il m'est
impossible de parler quand Je ne vois pas une
personne. J'ai entendu une voix, j'ai vu un feu,
j'ai vu vous tous, mais je n'ai pas vu Dieu".
Don Claudio : "On ne peux
pas voir Dieu".
Marisa : "Je désirais Le voir".
Don Claudio : "Tant que tu
vivras sûr la Terre, tu ne pourras pas Le voir".
Marisa : "Alors je Le
verrai ensuite".
Don Claudio : "Après la
mort".
Marisa : "Oui, quand je
meurs. Ets ce que je ne dois pas mourir? Ça va,
ciao!
Excellence, lorsque je parlais avec toi, Elle se
n'est allée. Est ce qu'il te semble juste? Elle
m'a distraite. Elle savait que je devais encore
dire quelque chose et Elle s'en est allée.
La voilà encore! Est-ce que Tu es allée chez Dieu,
voir ce qu' Il fait?".
La Sainte Vierge : "Ma
petite Marisa, Je suis ici et Je te regarde. Tu
m'attendais fortement, ta simplicité Me touche".
Marisa : "Maintenant
n'avances pas de prétextes, moi je ne suis pas
simple, je veux Te demander, Don Claudio aide-moi,
qu'est ce que je dois Lui demander? Courage,
autrement Elle s'en va, dépêche- toi!".
Don Claudio : "Novembre
est commencé et...".
Marisa: "L'évêque a dit...".
La Sainte Vierge : "Oui,
J'ai compris que novembre est commencé. Bonne fête
et mes vœux les meilleurs à tout le monde".
Don Claudio : "Ce n'était
pas ce que je voulais entendre".
Marisa : "Elle s'en est
allée. Excuse moi, il faut que tu parles! À
présent, Elle s'en est allée".
Don Claudio : "Je ne La
vois pas et il m'est impossible de Lui parler".
Marisa : "Moi aussi je ne
pouvais pas parler à Dieu, car je ne Le voyais
pas".
Don Claudio : "Fais que je La
voie et alors je pourrai Lui parler".
Marisa : "Est-ce que c'est moi
qui dois faire que tu La voie?".
Don Claudio : "Non, c'est Elle
qui doit tenir la promesse qu'Elle m'a fait".
Marisa : "Cette fois Elle
s'en est vraiment allée. As tu compris?".
Don Claudio : "Oui, j'ai
compris, j'ai compris".
Quelques
notes explicatives soignées par Don Claudio
Gatti
(1) La conversion des prêtres, des évêques et des
cardinaux.
(2) Marisa et moi nous désirons connaître le
moment ou Dieu renversera la critique et pesante
situation d'aujourd'hui et fera renaître son
Église.
(3) Dieu se rapporte à la large tente que nous
avons dressé pour accueillir les personnes qui
viennent prier au lieu thaumaturgique.
(4) Don Claudio est accablé de la si grande
souffrance qui lui est causée par beaucoup de
confraternels prêtres.
(5) Allusion à des interventions punissent de
Dieu.
Nous ne savons pas si cet appel de Dieu est le
dernier avant que commencent les temps rudes et
difficiles pour l'Eglise, de toute façon la Mère
de l'Eucharistie nous a dit qu'on le doit traduire
en toutes langues et qu'il doit être connu par
tous les hommes, parce qu'ils s'arrêtent de tomber
dans l'abîme qui va s'ouvrir sous nos pieds. Il
est urgent que chacun fasse de son mieux pour
répondre l'appel de Dieu et ainsi prêter la main
au salut éternel de ses propres frères.
Sur notre site Internet vous trouverez la
traduction de l'appel divin en italien, en anglais
et en espagnol, si vous êtes en état faites la
traduction en autres langues, faites-la paraître,
répandez-la par tous moyens, ainsi vous
respecterez la volonté de Dieu, Qui veut une
rapide et capillaire diffusion de son appel.
La miséricorde de Dieu accorde encore du temps aux
hommes pour se convertir, mais ensuite, le moment
fixé, entrera en exécution sa justice.
Après la purification naîtra la nouvelle Église et
il n'y aura qu'un bercail et un pasteur (Jean
10,16); c'est ça le triomphe de l'Eucharistie,
apprêté par la Mère de l'Eucharistie et attendu de
tous ceux qui ont prié et souffert pour sa
réalisation dans le monde entier.
Deuxième appel de Dieu le
Père à l'humanité
Rome, 1er novembre 2000
- 10h45
Marisa - Oh là là,
que de monde ! Aujourd'hui est la fête de tous les
saints, également de tous les saints qui sont sur
terre. Qui parle à présent ?
Dieu le Père - Moi,
Dieu, Je vous ai parlé il y a un an et ce que
j'avais dit s'est produit pratiquement
partout. Vous savez pour quelle raison Je vous
parlais. J'ai dit "Malheur à ceux qui
profanent ce lieu de guérison ; malheur à ceux
qui détruisent l'évêque ; malheur à ceux qui
ne croient pas aux apparitions
eucharistiques". De nombreux miracles
eucharistiques ont eu lieu sous vos yeux.
Je suis Dieu et je
peux faire absolument tout ce que je veux. Je
pourrais détruire le monde et le rebâtir en ne
le peuplant que de quelques hommes et quelques
prêtres. Peu nombreux, mais saints.
Je ne veux pas que les hommes continuent à vous
persécuter et vous faire souffrir.
Moi seul peut convertir ceux qui disent croire.
Je suis venu vous remercier de ce que vous faites,
même s'il y a encore quelques petits choses qui ne
vont pas comme il faut, mais elles ne M'offensent
pas. Les hommes importants m'offensent
continuellement. J'avais dit que, avant que Je
commence Mes grandes interventions sur le monde,
au moins une moitié de l'humanité devait se
convertir, mais les conversions sont toujours peu
nombreuses.
Aujourd'hui les Grands personnages de
l'Eglise pensent qu'ils sont meilleurs, plus
parfaits, parce qu'ils célèbrent l'Année Sainte
et qu'ils ont pu rassembler à Rome toutes les
catégories de personnes. Au contraire, ils sont
loin de Moi car ils se sont obstiné à garder le
pouvoir et à accumuler de l'argent, l'argent
mauvais qui détruit l'homme.
Moi Dieu, Je suis heureux de vous voir rassemblés
sous une tente ; voici Jésus, Marie, Mère de
l'Eucharistie, Saint Joseph, Padre Pio et tous les
anges et les saints ; Je n'ai pas dit saint Padre
Pio, Marisella, mais Padre Pio parce que cela t'es
plus familier. Combien de saints sont venus vous
parler, spécialement à toi Marisella !
Attention : vous continuez à chuter et à vous
effondrer, ce n'est pas bien, ce n'est pas beau,
car cela signifie que votre confiance et votre foi
en Moi vacillent.
Tu essaies de Me regarder, mon enfant, mais tu ne
Me vois pas, tu ne peux pas Me voir.
Marisa - Oui, je sais, l'évêque m'a
expliqué qu'aucun homme tant qu'il est sur terre,
ne peut voir Dieu. Mais en entendant Votre voix,
il me semble que je Vous vois, même si je ne Vous
vois pas. Vous verrai-je un jour ?
Dieu le Père -
Oui, bien sûr, tu Me verras très bientôt, comme Me
verront les hommes de bonne volonté, tous les
hommes qui ont accepté mes avertissements.
Pensez-vous que Je vous aie abandonnés ?
Pas du tout. Si c'était le cas, votre
Mère ne serait pas venue si souvent. Saint Joseph,
Saint Padre Pio, tous les anges et tous les saints
sont toujours avec vous également. Lorsque Saint
Padre Pio a été béatifié, où se trouvait-il ?
N'était-il pas avec vous ? Lorsque les Grands
personnages organisaient des fêtes spectaculaires,
les anges et les saints n'étaient ils pas avec
vous ? La Mère de l'Eucharistie n'était-elle pas
avec vous ?
Ne croyez pas ceux qui disent que la Mère de
l'Eucharistie apparaît en un autre endroit, la
Mère de l'Eucharistie n'apparaît qu'en ce lieu de
guérison.
Les hommes d'Eglise ont lu ces messages et se sont
emparé soit du titre "Mère de l'Eucharistie", soit
de toutes les idées qu'avait votre évêque et qu'il
avait consignées par écrit. Ne vous en inquiétez
pas, cela n'offense personne.
Ils prétendent ne pas y croire, mais la majorité
des prêtres croient en ce lieu de guérison. Les
prêtes étrangers téléphonent, écrivent, viennent
sans crainte, au contraire les prêtres italiens
ont un peu peur et les prêtres romains ont très
peur. Mais malheur, malheur, malheur, car le Paradis est fermé
à ceux qui ont peur.
Je suis Dieu et il
n'y en a pas d'autre que Moi, mais ce n'est
pas pour cela que les musulmans, les juifs et
les membres de toutes les autres religions
n'entreront pas au Paradis. Ils y entreront
aussi s'ils aiment leur dieu, car après tout,
c'est également Moi.
Courage Mes enfants bien aimés. Les saints qui
M'entourent vous adressent leurs meilleurs vœux;
particulièrement aux malades, à ceux qui sont sur
un lit d'hôpital, aux prisonniers, aux
alcooliques, à tous car Dieu aime tout le monde.
Je le répète : malheur à ceux qui tuent, malheur à
ceux qui scandalisent l'un de mes enfants. Comme
le dit l'Evangile, il vaudrait mieux qu'ils
s'attachent une grosse pierre au cou et qu'ils se
jettent dans la mer, car il n'y a rien à faire
pour eux.
Recevez toutes nos meilleures pensées Aimez vous
les uns les autres et aimez-nous.
Courage, Monseigneur. Tout comme Jésus vous
paraissez avoir échoué, mais ce n'est pas le cas.
De même que Jésus a vaincu le monde, vous aussi
vous vaincrez et vous parviendrez où je vous l'ai
promis.
Avec mon évêque et votre évêque et avec toute la
cour céleste, Moi Dieu, le Puissant, le
Miséricordieux et demain le Juste, Je vous bénis.
Notre Dame - Je suis votre Mère. Dieu a
parlé, après cela je n'ai rien à dire. Je vous
tiens tout contre mon cœur et vous couvre de mon
manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils
et Dieu le Saint-Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Au revoir. Ce baiser est pour Dieu
que je ne vois pas et celui-ci pour vous tous. Au
revoir.
Elle est partie, Monseigneur. Tout le Paradis a
disparu. Il y avait beaucoup de prêtres.
Don Claudio - C'est réconfortant.
Marisa - Évidemment il y avait les papes,
et de nombreuses âmes sauvées. Comme le Paradis
est (...)
Troisième
appel de Dieu le Père à l'humanité
Rome, 4
novembre 2001 - 10h45
Marisa - Qui
êtes-vous?
Dieu le Père - Je suis Dieu le Père, et Je
viens en ce lieu choisi par Moi, pour vous
remercier et vous inviter à prier, comme l'a
souvent demandé Marie, Mère de l'Eucharistie.
Cette fois je vous invite à prier pour tous
les prêtres, depuis le Pape jusqu'aux prêtres les
plus petits, et pour tous les chefs, du plus grand
au moins important.
Je suis las de
voir tant d'iniquité dans ce monde que j'ai
créé et que les hommes ne s'en rendent
toujours pas compte.
La boue vient de la jeunesse, des
adultes et des anciens, j'en ai assez de voir
tant d'ordure. Vous avez été choisis
par Moi, j'ai envoyé Marie, Mère de l'Eucharistie,
pour prier avec vous et vous transmettre Mes
lettres, qui ne sont pas toujours prises en
considération.
Oui, Je suis Dieu.
Tu ne peux pas Me voir, petite Marisa, car
personne ne peut voir Dieu. Lorsque ta vie
aura pris fin, après le jugement, tu
connaîtras Dieu, ce Dieu qui a créé le monde,
ce Dieu qui a livré Son Fils à la mort pour
toi et pour toute l'humanité.
Vous vous
demandez pourquoi Dieu n'intervient pas et vous
dites sans cesse "Pourquoi, Dieu, pourquoi ?".
J'entends souvent tous ces
pourquoi, ces longues litanies de pourquoi, et
cela m'afflige.
Restez sur le droit chemin, pensez à prier
pour la paix ; ne vous préoccupez pas des
inimitiés ou des sympathies réciproques, ne
succombez pas à l'envie, à la jalousie, à la
calomnie et à la diffamation. Je vous invite à
assister à la prière la plus sainte, la plus
grande, la plus noble, c'est-à-dire la Sainte
Messe, et à recevoir la Sainte Communion.
Combien
de fois vous a-t-il été recommandé de recevoir la
Sainte Eucharistie en état de grâce, ou de ne pas
y aller.
L'homme en état de péché ne peut recevoir
Jésus Eucharistie car c'est un sacrilège grâce
auquel le diable vous attirera à lui.
Lorsque le
diable s'empare d'une âme c'est difficile de
le faire lâcher prise, à moins de lui opposer
une volonté solide et inébranlable.
Je le répète, Je
suis fatigué de voir toute cette boue sur la
planète terre que J'ai tant aimée, que Je
continue d'aimer en dépit de tout et où Je
continue d'envoyer la Mère de l'Eucharistie
pour vous.
La Mère de l'Eucharistie n'apparaît
qu'ici, en ce lieu. En ce moment, votre sœur La
voit agenouillée à Mes pieds, prosternée la tête
courbée, et tous les bébés, les âmes sauvées,
les saints et les anges font de même car Je suis
Dieu et il n'y a pas d'autre Dieu que Moi.
Mais ce n'est pas
pour cela que les membres d'autres religions
ne seront pas sauvés s'ils se conduisent bien.
Je suis le Dieu de tous, J'aime tout le monde
et Je veux sauver tout le monde.
Et maintenant petit troupeau, Moi Dieu, Je vous
adresse une demande, comme toujours. Dans peu de
temps les réunions bibliques vont commencer.
Quelle est la prière la plus importante après la
Sainte Messe ? Connaître la Parole de Dieu, Ma
Parole. Vous connaîtrez le grand Paul et
j'enverrai la Mère de l'Eucharistie avec tous ses
bébés, vers vous et avec vous, à chaque fois. Mais
pratiquez l'amour, la prière et le sacrifice entre
vous.
Marisa - Je ne
L'entends plus.
Notre Dame - Mes petits enfants, c'est moi
votre Mère. Avez-vous entendu ce que Dieu a dit ?
Cette planète Terre est tellement pleine de
saleté. Ses paroles sont dures et tristes, mais je
vous aiderai à prier pour les âmes qui ne savent
pas prier et qui vivent dans l'iniquité.
Marisa - Petite Madone, je voudrais vous
confier tous les enfants. Ne permettez jamais
qu'il souffrent à cause de la méchanceté des
hommes ou des femmes, protégez les. Les bébés sont
radieux comme de petits soleils, ils sont bons,
protégez les. Je vous confie tous les bébés, les
malades, tout le monde.
Notre Dame - Je te confie l'Eglise entière,
petite Marisa.
Marisa - Pas comme la nuit dernière, un peu
moins.
Notre Dame - Je confie à tous mon Église,
l'Eglise de Jésus.
Que tous ceux
qui le peuvent pratiquent le jeûne et
l'adoration Eucharistique.
Je vous en prie, assistez aux réunions
bibliques, faites ce sacrifice une fois par
semaine, ensuite vous vous sentirez plus
satisfaits et plus heureux.
Avec mon saint évêque, je vous bénis, mes très
chers, ainsi que vos objets sacrés. Je bénis tous
les bébés. Soyez assurés que mes enfants les
protègent.
Je vous serre sur
mon cœur et vous couvre de mon manteau
maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils
et Dieu le Saint-Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Au revoir, petite Madone. Oui,
lorsque j'ai entendu la voix de Dieu j'ai
ressenti...Je ne sais pas si c'était de la peur ou
de la crainte respectueuse. Nous continuons à
patauger dans toute cette boue. Un jour vous avez
dit que même dans la boue un lys garde sa
blancheur, si c'est ce qu'il veut.
Notre Dame - Tu t'en souviens ?
Marisa - Au revoir. Don Claudio, le Père
était là.
Don Claudio - Nous L'avons entendu.
Marisa - J'en avais la chair de poule.
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