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Apparition de Rome à Marisa
du SEIGNEUR et de la VIERGE MARIE

(1970 - 2001)

Pour en savoir plus : http://www.madredelleucaristia.it/fra/

Durant un certains temps, la Sainte Vierge apparaissait à Rome en privé à Marisa Rossi. Elle nous transmets des messages de Dieu au sujet de L'EUCHARISTIE qui est le centre de la foi Catholique. En Juin 1993 Elle a demandé que les messages soient rendus publiques

Pour connaître l'historique de ces apparitions

Un extrait des messages

Un événement sans égal dans toute l'histoire de l'Église : Marisa a entendu la voix de Dieu qui a adressé un appel à l'humanité.

Personne n'a jamais vu Dieu (Jean 1,18) a écrit Jean dans le prologue de son Évangile et cette vérité doit être acceptée par toutes les fils de Dieu.
Jean Baptiste, après avoir baptisé Jésus vit les cieux déchirés et le Saint Esprit, comme une colombe, descendre sur Lui. Et une voix vint des cieux: "Tu es mon Fils bien aimé, Je me suis complu a toi". (Marc 1,10-11)
Pierre, Jacques et Jean, le jour de la transfiguration "s'épouvantère
nt lorsque ils entrèrent dans le nuage. Et du nuage vint une voix: "Celui-ci est mon Fils l'Élit: écoutez-Le". (Luc 9,34-35)
Dans tout le Nouveau Testament dès l'origine jusqu'à nos jours aucun autre homme n'a jamais entendu la voix de Dieu.


Mais le 1er novembre 1999 il est arrivé un événement extraordinaire et jusqu'aujourd'hui sans égal dans toute l'histoire de l'Église qui on ne peut pas tenir caché, mais qui doit être connu par tous ceux qui croient en l'existence de la Sainte Trinité.


À dix heures le jour de la Toussaint, comme notre communauté, après avoir écouté le commentaire des derniers messages de la Mère de l'Eucharistie, fait par Don Claudio Gatti, était en oraison, Marisa est tombée en extase et a vue une suite de scènes merveilleuses. D'abord elle a vu une longue procession de saints qui précédaient Jésus et la Saints Vierge entourés par myriades d'anges. La Vierge s'est adressée à Marisa qui souffrait beaucoup d'une façon douce et a conversé avec la voyante. Ensuite tout à coup Marisa a vu les anges, les saints, la Sainte Vierge et Jésus aussi se mettre à genoux, le visage tourné à bas. Un grand feu, beau à voir qui ne faisait pas peur et ne gênait pas, s'est présenté aux yeux étonnés de Marisa et en dedans de lui est sortie une voix puissante qui a affirmé: "MOI, JE SUIS DIEU".


À Marisa qui disait: "Je ne Te vois pas" Dieu à répondu: "Tu ne peux pas Me voir parce que Je suis Dieu".

Rome, le 1er novembre 1999, h.10:35 a.m.

Lettre de Dieu communiquée par la Mère de l'Eucharistie.


Marisa : "Jésus, Marie et Joseph sont environnés par nombreux saints, c'est une scène merveilleuse. Grâce à Dieu il y a beaucoup de saints en Paradis".


La Sainte Vierge : "Non, ma petite Marisa, si l'on tient compte de tout ce que Jésus à fait, les saints ne sont pas nombreux.
Pendant toute l'histoire de l'humanité les hommes sont arrivés à plusieurs milliards et ils vont devenir de plus en plus nombreux, tandis que les saints en Paradis sont un petit nombre, il y a aussi des saints sur la terre qui souffrent et continuent à souffrir. J'ai accepté tes larmes avant d'arriver ici et J'ai compris ta grande souffrance.


C'est vrai, tu ne peux pas arriver à l'apparition, le cœur brisé par faute de ceux qui te font souffrir volontairement pour te détourner de cette rencontre, mais comme Dieu m'a donné le courage d'aller en avant pendant longtemps, tout en connaissant à l'avance la mort de Jésus et de Joseph, mon aimé époux, ainsi le donne à toi-aussi, Votre Excellence, à toi, ma petite Marisa, et à tous que vous êtes ci-présents.

Ils sont présents les saints, les âmes sauvées et mes papes, le grand Paul VI, le grand Pi XII, Jean Paul I et plusieurs d'autres, ainsi que tu vois.


Ils n'ont pas atteint à la sainteté parce qu'ils se sont fait papes, mais parce qu'ils ont suivi la voie de la vie spirituelle et de l'amour: la même chose que Je vous demande toujours.
Oh, Je sais bien ce que vous voulez et ce que vous pensez en vous-mêmes, mais dans la lettre de Dieu il n'y a pas ça.
Mon Tout a dit que vous ne devez pas perdre votre confiance et que vous devez montrer du courage et aller en avant.
Moi aussi Je vous répète, comme à ce moment Je suis avec vous, allez en avant".

APPEL DE DIEU-LE PÈRE.

Dieu-le Père: "Moi, Je suis Dieu!".


Marisa: "Je ne Te vois pas!".


Dieu-le Père : "Ma voix a toujours crié conter tous les hommes qui voulaient détruire le monde. J'ai toujours crié: convertissez vous!
Tu ne peux pas Me voir parce que Je suis Dieu, et il n'y a pas un autre Dieu.
Je veux la conversion des mes fils bien aimés (1); Je veux leur conversion".


Marisa : "Mon Dieu, j'entende une voix très forte, mais je ne vois rien. Jésus, la Sainte Vierge, S. Joseph, les anges, les saints sont tous prosternés, les visages baissés".


Dieu-le Père : "Ne t'inquiète pas, ma petite Marisa, aucun homme de la terre n'a jamais vu Dieu. Moi, Je suis Dieu, ce Dieu qui continuent jusqu'aujourd'hui d'outrager et, ainsi qu'a dit mon fils Jésus, ils vous persécutent, ils vous attaquent, parce qu'ils n'osent pas de se jeter ouvertement sur Moi.
Moi, Je suis Dieu et Je commande tous: dès papes jusqu'au prêtre le plus petit, jusqu'à la plus petite créature.
Moi, Je suis Dieu, unique et vrai Dieu.
Vous attendez, vous voulez connaître le moment de mon intervention et vous avez raison, mais Je ne vois pas encor la conversion de mes cher fils, Moi Je vois seulement que les hommes aiment le pouvoir, les honneurs et le vil et sal argent.


Je ne peux pas accepter que le planète terre reste plongé dans la fange; Je ne peux pas accepter que mon Fils Jésus, la Seconde Personne de la Sainte Trinité, soit morte en vain pour les hommes que J'ai crées et J'ai appelés fils, parce qu'ils sont mes fils.


Il y a une grande fête en Paradis et toi, ma petite Marisa, tu vois les anges, les saints et les âmes sauvées qui m'entourent, mais tu ne Me vois pas, parce que ce n'est pas encore arrivé le temps de Me voir, tu entends seulement ma voix, tu entends mon navré appel adressé à l'homme que Moi, J'ai appelé fils et que J'ai crée à mon image et ressemblance.
Moi, Je suis Dieu!"


Marisa : "Comment fais-je maintenant à parler à Dieu? Je désirais Te demander humblement: N'en veux-Tu pas à nous, n'est-ce-pas?".


Dieu-le Père : "Non, ni à toi, ma petite Marisa, ni à toi, mon cher évêque, parce que tu as accepté mon ordre, et tu as obéi à Dieu chaque jour de ta vie, ni à vous, mon petit troupeau, comme vous appelle la Mère de l'Eucharistie. Non! Ce ne sont pas les pauvres et les petits, mais les riches et les puissants qui ne cherchent pas Dieu, mais seulement eux-mêmes".


Marisa : "Comment fais-je à demander?".


Dieu-le Père : "Ma petite Marisa, Moi Je sais ce que tu veux demander et Je pourrais répondre (2) parce que Moi, Je suis Dieu, mais Je veux encore des conversions, des conversions et des conversions".


Marisa :
"Je vois un grand feu. Ou es Tu, mon Dieu?".

Dieu-le Père : "Tu ne peux pas Me voir; mais Moi, Je suis Dieu.
Écoute l'hymne que chantent, en l'honneur de Moi, les anges et les saints.
Je ne veux pas que la Seconde Personne de la Sainte Trinité soit morte en vain, ainsi que tout il peut faire paraître.


Il Me plait d'être sous cette large tente (3); autrefois on vivait dans une tente ou sous la voûte étoilé.
Qu'est ce que M'en fais-Je des grandes églises, des grandes basiliques ou il n'y a pas d' amour, car les gens d'église tâchent de détruire celui-qui M'aime et pensent à se faire élégants, beaux pas pour Jésus Eucharistie, pas pour la Sainte Trinité, pas pour Dieu, mais pour eux-mêmes?".


Marisa : "Écoute moi, ma petite Vierge, que fait Dieu maintenant?".
(La Sainte Vierge s'adresse aux présents et converse avec Marisa)


La Sainte Vierge : "Mes chers fils, merci pour vôtre présence.
Dieu a parlé et Moi, Je suis certain que vous avez compris. C'est là le grand regret de nous tous: l'homme n'aime pas. Je suis avec vous, mon petit troupeau, Je veux vous voir sereins. Dieu a parlé d'une manière forte, mais Il n'était pas certainement adressé à vous, comme vous avez bien compris. Égayez vous et réjouissez. Lisez et méditez les béatitudes; là vous trouverez tout.
Jacopo, mon enfant et Davide-Maria, Je vous couvre de mon manteau et Je couvre vous tous en vous pressant fortement contre mon cœur. Vôtre Excellence, levez la tête et souriez, souriez. (4) Quoi que ce soit ce que Dieu a apprêté il n'est pas certainement contre toi. Souris car tu as aimé, tu aime, tu sais aimer malgré quelques âmes abusent de ton amour si grand, de ta souffrance. Tuas le poids de l'église sur tes épaules; même si tu le dis en riant, c'est vraiment comme ça.
Le Pape ne t'appellera pas; ça Nous fait souffrir.


Tous mes vœux, mes chers fils, parce qu'aujourd'hui c'est la fête de tous, spécialement de ceux qui n'ont pas un saint à festoyer".


Marisa : "Mais tous les autres saints ne nous disent rien de ce que nous voulons savoir?".


La Sainte Vierge: "Ma petite Marisa, si Dieu n'a dit rien, les saints ne peuvent pas parler. Tu es toujours gamine".


Marisa : "Tu sais comme on dit: "Je fais l'innocente, même si, de toute façon, je ne peux rien savoir".


La Sainte Vierge : "Tu dois être sereine, ma fille".


Marisa : "Mais comme fais Je à être sereine si...
Attend un moment, je le demande à Don Claudio".


La Sainte Vierge : "Non, mon petite Marisa, on dit à son Excellence".


Marisa : "Je le sais, mais je l'appelle Don Claudio, je l'ai toujours appelé comme ça pendant vingt-huit ans.
Écoute, Excellence, il me fait défaut la respiration, J'ai beaucoup de douleurs et la Sainte Vierge m'a dit que je dois être sereine; qu'est ce que Lui dis ?".


Don Claudio : "Qu'Elle t'aide à ne pas aller ou tu ne veux pas aller".


Marisa : "Et ou ne veux-je pas aller?".


Don Claudio : "A l'hôpital".


Marisa : "Ma petite Vierge, je fais tout ce que Tu veux, pourvu que Tu ne m'envoie pas à l'hôpital, parce qu'il y a quarante et une fois que j'y vais. Peux Tu répondre au moins à ça?".


La Sainte Vierge : "Maintenant vous de la Terre et Nous du Paradis nous nous donnons la main et cette fois la Maman vous demande de chanter le Nôtre Père avec Moi, avec les anges, les saints et surtout avec Joseph, mon époux bien aimé.
(Tous les présents se donnent la main et chantent le Nôtre Père)


Merci, mes chères fils, d'avoir chanté le Notre Père, la prière de Jésus.
Avec mon évêque bien aimé, Je vous bénit, Je bénit vos parents bien aimés, Je donne un baiser aux enfants, aux malades, aux jeunes malades lointains. Je vous presse fortement contre mon cœur et Je vous couvre avec mon manteau maternel.


Allez dans la paix de Dieu le Père, de Dieu le Fils, de Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ".


Marisa : "Écoute-moi: où est allé Dieu? Ne me dis pas qu'll est encore en train de penser. Je désirais Lui parler et Lui demander beaucoup de choses, mais il m'est impossible de parler quand Je ne vois pas une personne. J'ai entendu une voix, j'ai vu un feu, j'ai vu vous tous, mais je n'ai pas vu Dieu".


Don Claudio : "On ne peux pas voir Dieu".


Marisa :
"Je désirais Le voir".


Don Claudio : "Tant que tu vivras sûr la Terre, tu ne pourras pas Le voir".


Marisa : "Alors je Le verrai ensuite".


Don Claudio : "Après la mort".


Marisa : "Oui, quand je meurs. Ets ce que je ne dois pas mourir? Ça va, ciao!
Excellence, lorsque je parlais avec toi, Elle se n'est allée. Est ce qu'il te semble juste? Elle m'a distraite. Elle savait que je devais encore dire quelque chose et Elle s'en est allée.
La voilà encore! Est-ce que Tu es allée chez Dieu, voir ce qu' Il fait?".


La Sainte Vierge : "Ma petite Marisa, Je suis ici et Je te regarde. Tu m'attendais fortement, ta simplicité Me touche".


Marisa : "Maintenant n'avances pas de prétextes, moi je ne suis pas simple, je veux Te demander, Don Claudio aide-moi, qu'est ce que je dois Lui demander? Courage, autrement Elle s'en va, dépêche- toi!".


Don Claudio : "Novembre est commencé et...".
Marisa: "L'évêque a dit...".


La Sainte Vierge : "Oui, J'ai compris que novembre est commencé. Bonne fête et mes vœux les meilleurs à tout le monde".


Don Claudio : "Ce n'était pas ce que je voulais entendre".


Marisa : "Elle s'en est allée. Excuse moi, il faut que tu parles! À présent, Elle s'en est allée".


Don Claudio : "Je ne La vois pas et il m'est impossible de Lui parler".


Marisa :
"Moi aussi je ne pouvais pas parler à Dieu, car je ne Le voyais pas".


Don Claudio :
"Fais que je La voie et alors je pourrai Lui parler".


Marisa :
"Est-ce que c'est moi qui dois faire que tu La voie?".


Don Claudio :
"Non, c'est Elle qui doit tenir la promesse qu'Elle m'a fait".


Marisa : "Cette fois Elle s'en est vraiment allée. As tu compris?".


Don Claudio :
"Oui, j'ai compris, j'ai compris".

Quelques notes explicatives soignées par Don Claudio Gatti
(1) La conversion des prêtres, des évêques et des cardinaux.
(2) Marisa et moi nous désirons connaître le moment ou Dieu renversera la critique et pesante situation d'aujourd'hui et fera renaître son Église.
(3) Dieu se rapporte à la large tente que nous avons dressé pour accueillir les personnes qui viennent prier au lieu thaumaturgique.
(4) Don Claudio est accablé de la si grande souffrance qui lui est causée par beaucoup de confraternels prêtres.
(5) Allusion à des interventions punissent de Dieu.
Nous ne savons pas si cet appel de Dieu est le dernier avant que commencent les temps rudes et difficiles pour l'Eglise, de toute façon la Mère de l'Eucharistie nous a dit qu'on le doit traduire en toutes langues et qu'il doit être connu par tous les hommes, parce qu'ils s'arrêtent de tomber dans l'abîme qui va s'ouvrir sous nos pieds. Il est urgent que chacun fasse de son mieux pour répondre l'appel de Dieu et ainsi prêter la main au salut éternel de ses propres frères.
Sur notre site Internet vous trouverez la traduction de l'appel divin en italien, en anglais et en espagnol, si vous êtes en état faites la traduction en autres langues, faites-la paraître, répandez-la par tous moyens, ainsi vous respecterez la volonté de Dieu, Qui veut une rapide et capillaire diffusion de son appel.
La miséricorde de Dieu accorde encore du temps aux hommes pour se convertir, mais ensuite, le moment fixé, entrera en exécution sa justice.
Après la purification naîtra la nouvelle Église et il n'y aura qu'un bercail et un pasteur (Jean 10,16); c'est ça le triomphe de l'Eucharistie, apprêté par la Mère de l'Eucharistie et attendu de tous ceux qui ont prié et souffert pour sa réalisation dans le monde entier.


Deuxième appel de Dieu le Père à l'humanité

Rome, 1er novembre 2000 - 10h45

Marisa - Oh là là, que de monde ! Aujourd'hui est la fête de tous les saints, également de tous les saints qui sont sur terre. Qui parle à présent ?

Dieu le Père - Moi, Dieu, Je vous ai parlé il y a un an et ce que j'avais dit s'est produit pratiquement partout. Vous savez pour quelle raison Je vous parlais. J'ai dit "Malheur à ceux qui profanent ce lieu de guérison ; malheur à ceux qui détruisent l'évêque ; malheur à ceux qui ne croient pas aux apparitions eucharistiques". De nombreux miracles eucharistiques ont eu lieu sous vos yeux.


Je suis Dieu et je peux faire absolument tout ce que je veux. Je pourrais détruire le monde et le rebâtir en ne le peuplant que de quelques hommes et quelques prêtres. Peu nombreux, mais saints.


Je ne veux pas que les hommes continuent à vous persécuter et vous faire souffrir.
Moi seul peut convertir ceux qui disent croire.


Je suis venu vous remercier de ce que vous faites, même s'il y a encore quelques petits choses qui ne vont pas comme il faut, mais elles ne M'offensent pas. Les hommes importants m'offensent continuellement. J'avais dit que, avant que Je commence Mes grandes interventions sur le monde, au moins une moitié de l'humanité devait se convertir, mais les conversions sont toujours peu nombreuses.
Aujourd'hui les Grands personnages de l'Eglise pensent qu'ils sont meilleurs, plus parfaits, parce qu'ils célèbrent l'Année Sainte et qu'ils ont pu rassembler à Rome toutes les catégories de personnes. Au contraire, ils sont loin de Moi car ils se sont obstiné à garder le pouvoir et à accumuler de l'argent, l'argent mauvais qui détruit l'homme.


Moi Dieu, Je suis heureux de vous voir rassemblés sous une tente ; voici Jésus, Marie, Mère de l'Eucharistie, Saint Joseph, Padre Pio et tous les anges et les saints ; Je n'ai pas dit saint Padre Pio, Marisella, mais Padre Pio parce que cela t'es plus familier. Combien de saints sont venus vous parler, spécialement à toi Marisella !


Attention : vous continuez à chuter et à vous effondrer, ce n'est pas bien, ce n'est pas beau, car cela signifie que votre confiance et votre foi en Moi vacillent.
Tu essaies de Me regarder, mon enfant, mais tu ne Me vois pas, tu ne peux pas Me voir.


Marisa - Oui, je sais, l'évêque m'a expliqué qu'aucun homme tant qu'il est sur terre, ne peut voir Dieu. Mais en entendant Votre voix, il me semble que je Vous vois, même si je ne Vous vois pas. Vous verrai-je un jour ?


Dieu le Père - Oui, bien sûr, tu Me verras très bientôt, comme Me verront les hommes de bonne volonté, tous les hommes qui ont accepté mes avertissements.


Pensez-vous que Je vous aie abandonnés ? Pas du tout. Si c'était le cas, votre Mère ne serait pas venue si souvent. Saint Joseph, Saint Padre Pio, tous les anges et tous les saints sont toujours avec vous également. Lorsque Saint Padre Pio a été béatifié, où se trouvait-il ? N'était-il pas avec vous ? Lorsque les Grands personnages organisaient des fêtes spectaculaires, les anges et les saints n'étaient ils pas avec vous ? La Mère de l'Eucharistie n'était-elle pas avec vous ?


Ne croyez pas ceux qui disent que la Mère de l'Eucharistie apparaît en un autre endroit, la Mère de l'Eucharistie n'apparaît qu'en ce lieu de guérison.


Les hommes d'Eglise ont lu ces messages et se sont emparé soit du titre "Mère de l'Eucharistie", soit de toutes les idées qu'avait votre évêque et qu'il avait consignées par écrit. Ne vous en inquiétez pas, cela n'offense personne.


Ils prétendent ne pas y croire, mais la majorité des prêtres croient en ce lieu de guérison. Les prêtes étrangers téléphonent, écrivent, viennent sans crainte, au contraire les prêtres italiens ont un peu peur et les prêtres romains ont très peur. Mais malheur, malheur, malheur, car le Paradis est fermé à ceux qui ont peur.


Je suis Dieu et il n'y en a pas d'autre que Moi, mais ce n'est pas pour cela que les musulmans, les juifs et les membres de toutes les autres religions n'entreront pas au Paradis. Ils y entreront aussi s'ils aiment leur dieu, car après tout, c'est également Moi.


Courage Mes enfants bien aimés. Les saints qui M'entourent vous adressent leurs meilleurs vœux; particulièrement aux malades, à ceux qui sont sur un lit d'hôpital, aux prisonniers, aux alcooliques, à tous car Dieu aime tout le monde. Je le répète : malheur à ceux qui tuent, malheur à ceux qui scandalisent l'un de mes enfants. Comme le dit l'Evangile, il vaudrait mieux qu'ils s'attachent une grosse pierre au cou et qu'ils se jettent dans la mer, car il n'y a rien à faire pour eux.


Recevez toutes nos meilleures pensées Aimez vous les uns les autres et aimez-nous.
Courage, Monseigneur. Tout comme Jésus vous paraissez avoir échoué, mais ce n'est pas le cas. De même que Jésus a vaincu le monde, vous aussi vous vaincrez et vous parviendrez où je vous l'ai promis.


Avec mon évêque et votre évêque et avec toute la cour céleste, Moi Dieu, le Puissant, le Miséricordieux et demain le Juste, Je vous bénis.


Notre Dame - Je suis votre Mère. Dieu a parlé, après cela je n'ai rien à dire. Je vous tiens tout contre mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint-Esprit. Loué soit Jésus Christ.


Marisa - Au revoir. Ce baiser est pour Dieu que je ne vois pas et celui-ci pour vous tous. Au revoir.
Elle est partie, Monseigneur. Tout le Paradis a disparu. Il y avait beaucoup de prêtres.


Don Claudio - C'est réconfortant.


Marisa - Évidemment il y avait les papes, et de nombreuses âmes sauvées. Comme le Paradis est (...)


Troisième appel de Dieu le Père à l'humanité

Rome, 4 novembre 2001 - 10h45

Marisa - Qui êtes-vous?

Dieu le Père - Je suis Dieu le Père, et Je viens en ce lieu choisi par Moi, pour vous remercier et vous inviter à prier, comme l'a souvent demandé Marie, Mère de l'Eucharistie.

Cette fois je vous invite à prier pour tous les prêtres, depuis le Pape jusqu'aux prêtres les plus petits, et pour tous les chefs, du plus grand au moins important.
Je suis las de voir tant d'iniquité dans ce monde que j'ai créé et que les hommes ne s'en rendent toujours pas compte.
La boue vient de la jeunesse, des adultes et des anciens, j'en ai assez de voir tant d'ordure. Vous avez été choisis par Moi, j'ai envoyé Marie, Mère de l'Eucharistie, pour prier avec vous et vous transmettre Mes lettres, qui ne sont pas toujours prises en considération.

Oui, Je suis Dieu. Tu ne peux pas Me voir, petite Marisa, car personne ne peut voir Dieu. Lorsque ta vie aura pris fin, après le jugement, tu connaîtras Dieu, ce Dieu qui a créé le monde, ce Dieu qui a livré Son Fils à la mort pour toi et pour toute l'humanité.


Vous vous demandez pourquoi Dieu n'intervient pas et vous dites sans cesse "Pourquoi, Dieu, pourquoi ?".

J'entends souvent tous ces pourquoi, ces longues litanies de pourquoi, et cela m'afflige.
Restez sur le droit chemin, pensez à prier pour la paix ; ne vous préoccupez pas des inimitiés ou des sympathies réciproques, ne succombez pas à l'envie, à la jalousie, à la calomnie et à la diffamation. Je vous invite à assister à la prière la plus sainte, la plus grande, la plus noble, c'est-à-dire la Sainte Messe, et à recevoir la Sainte Communion.

Combien de fois vous a-t-il été recommandé de recevoir la Sainte Eucharistie en état de grâce, ou de ne pas y aller. L'homme en état de péché ne peut recevoir Jésus Eucharistie car c'est un sacrilège grâce auquel le diable vous attirera à lui.
Lorsque le diable s'empare d'une âme c'est difficile de le faire lâcher prise, à moins de lui opposer une volonté solide et inébranlable.

Je le répète, Je suis fatigué de voir toute cette boue sur la planète terre que J'ai tant aimée, que Je continue d'aimer en dépit de tout et où Je continue d'envoyer la Mère de l'Eucharistie pour vous.


La Mère de l'Eucharistie n'apparaît qu'ici, en ce lieu. En ce moment, votre sœur La voit agenouillée à Mes pieds, prosternée la tête courbée, et tous les bébés, les âmes sauvées, les saints et les anges font de même car Je suis Dieu et il n'y a pas d'autre Dieu que Moi.

Mais ce n'est pas pour cela que les membres d'autres religions ne seront pas sauvés s'ils se conduisent bien. Je suis le Dieu de tous, J'aime tout le monde et Je veux sauver tout le monde.


Et maintenant petit troupeau, Moi Dieu, Je vous adresse une demande, comme toujours. Dans peu de temps les réunions bibliques vont commencer. Quelle est la prière la plus importante après la Sainte Messe ? Connaître la Parole de Dieu, Ma Parole. Vous connaîtrez le grand Paul et j'enverrai la Mère de l'Eucharistie avec tous ses bébés, vers vous et avec vous, à chaque fois. Mais pratiquez l'amour, la prière et le sacrifice entre vous.


Marisa - Je ne L'entends plus.

Notre Dame - Mes petits enfants, c'est moi votre Mère. Avez-vous entendu ce que Dieu a dit ? Cette planète Terre est tellement pleine de saleté. Ses paroles sont dures et tristes, mais je vous aiderai à prier pour les âmes qui ne savent pas prier et qui vivent dans l'iniquité.


Marisa - Petite Madone, je voudrais vous confier tous les enfants. Ne permettez jamais qu'il souffrent à cause de la méchanceté des hommes ou des femmes, protégez les. Les bébés sont radieux comme de petits soleils, ils sont bons, protégez les. Je vous confie tous les bébés, les malades, tout le monde.


Notre Dame - Je te confie l'Eglise entière, petite Marisa.


Marisa - Pas comme la nuit dernière, un peu moins.


Notre Dame - Je confie à tous mon Église, l'Eglise de Jésus.


Que tous ceux qui le peuvent pratiquent le jeûne et l'adoration Eucharistique.
Je vous en prie, assistez aux réunions bibliques, faites ce sacrifice une fois par semaine, ensuite vous vous sentirez plus satisfaits et plus heureux.

Avec mon saint évêque, je vous bénis, mes très chers, ainsi que vos objets sacrés. Je bénis tous les bébés. Soyez assurés que mes enfants les protègent.


Je vous serre sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint-Esprit. Loué soit Jésus Christ.


Marisa - Au revoir, petite Madone. Oui, lorsque j'ai entendu la voix de Dieu j'ai ressenti...Je ne sais pas si c'était de la peur ou de la crainte respectueuse. Nous continuons à patauger dans toute cette boue. Un jour vous avez dit que même dans la boue un lys garde sa blancheur, si c'est ce qu'il veut.


Notre Dame - Tu t'en souviens ?


Marisa - Au revoir. Don Claudio, le Père était là.


Don Claudio - Nous L'avons entendu.


Marisa - J'en avais la chair de poule.


Pour lire les anciens massages : http://www.madredelleucaristia.it/fra/infofr.htm

foire.jpg (8513 octets) 

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