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Les Rois Mages

Images ci-contre, bas-relief - Ville d'Autun (Région Bourgogne - France)
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A l’exemple des Mages et des bergers, restez simples pour trouver Dieu

Message du Ciel - Jean messager de la lumière Livre Tome 6 : Pour bien passer la porte du Ciel - Page 70 : L’Épiphanie - Message du 5 janvier 2008

La recherche de Dieu est difficile pour beaucoup d’hommes et cela à cause du matérialisme et des principes contraires à la morale qui abondent et éloignent l’humanité de Dieu.


Vous ne disposez pas de la simplicité qu’avaient les bergers qui simplement et même instinctivement ont ressenti la présence du Ciel dans ce petit enfant déposé dans une mangeoire.


Les Mages par leur sagesse et par l’étoile qui les avait guidés, savaient que cet Enfant nouveau-né était la présence même de Dieu qui allait rayonner sur le monde.

Ils représentent l’image du discernement de ceux qui cherchent la présence de Dieu qu’ils découvrent dans les signes du monde créé et qui leur sont donnés par Dieu.

A l’exemple des Mages et des bergers, restez simples pour trouver Dieu en scrutant le Ciel et en partant des réalités qui se présentent à vos yeux. Vous y découvrirez la présence cachée du Dieu invisible qui ne demande qu’à Se manifester à vous.


Des hommes pensent que les astronomes connaissent toutes les étoiles et peuvent ainsi prévoir l’avenir, mais ils ne sont ni sages ni mages. Ils veulent tout expliquer, tout savoir sur le mystère de la vie et considèrent que la science des astres consiste à les découvrir, à mieux les connaître.


Pour les Rois Mages, la véritable science était de connaître cette étoile unique, celle qui les guidait vers Dieu.

Il y a en chacun de vous, heureusement, un berger et un côté Mage qui vous donnent la possibilité de découvrir l’intérieur même de la réalité des choses, c’est-à-dire le mystère de la présence cachée de Dieu. Alors vous désirez être proches de l’Epiphanie de Dieu, c’est-à-dire de Sa manifestation à travers les signes et les événements les plus humbles et les plus simples de votre vie.

Actuellement l’humanité ne vit que dans les protestations.
En manifestant leur mal de vivre pour un oui ou pour un non, les hommes perdent la valeur et la richesse de leur intimité spirituelle.
Il existe aujourd’hui des sociétés où Dieu est ignoré, qui sont dans un état permanent d’insatisfaction.

L’Épiphanie touche le cœur de la foi des chrétiens. Elle rend visible quelque chose d’invisible, mais qui est tellement vrai, tellement solide, comme une maison bâtie sur le roc.


L’Église est encore aujourd’hui mystère de la présence réelle de Dieu au milieu de Ses enfants, au milieu de Son peuple.

L’Église se doit de refuser de devenir une institution sociale ou politique, purement humaine.

Priez le Seigneur pour qu’Il illumine votre cœur, qu’Il le transfigure pour que vous aussi contempliez le Ciel infini de Sa Présence et la profondeur illimitée de Son Amour ....
C’est ainsi que vous découvrirez dans la petite lumière de cette étoile tout l’éclat de l’immense Présence du Ciel, car cette petite étoile, ce n’est rien d’autre que le visage du Christ Jésus dans l’Eglise, confié aujourd’hui à votre humanité.

Et qu’y a-t-il de plus réel et de plus fragile que l’éclat d’une étoile ?

Jean, votre messager d’amour


Les mages cherchent et demandent, les réponses sont imprécises comme celle d’Hérode qui leur indique bien un chemin mais dans une intention perverse. Tout comme eux, votre quête de Dieu passe inévitablement par des épreuves

Message du Ciel - Jean messager de la lumière  (France) -5 janvier 2013

Mes chers et bien-aimés frères et sœurs,

A leur arrivée à Jérusalem, les mages étaient désemparés du fait de l’absence de l’étoile qui jusqu'alors les guidaient... Tout comme pour eux, en ce qui vous concerne, la quête de Dieu ne va pas toujours sans épreuves...

Les mages cherchent et demandent, les réponses sont imprécises comme celle d’Hérode qui leur indique bien un chemin mais dans une intention perverse. Tout comme eux, votre quête de Dieu passe inévitablement par des épreuves.

Sont nombreuses aujourd'hui les personnes qui pensent que par leur indépendance et leur liberté, elles peuvent dans le bonheur construire une vie personnelle et sociale : L'essentiel de leur vie consistant à s'enrichir et à obtenir des honneurs. Si l'homme, grand voyageur, est appelé à renouveler constamment son horizon il n'a pas à s'accrocher au temporel car sa vraie patrie, et son vrai lieu de repos est bien le Royaume de Dieu.
 
La vie est d'ailleurs une incessante transformation et c'est à travers une multitude d'expériences qu'il pourra un jour atteindre son épanouissement pour se tourner vers Dieu. De ces savants venus d’Orient, la rencontre de l’enfant de Bethléem a changé entièrement leur vie.

Dans votre existence, toute rencontre avec le Seigneur Jésus vous conduira sur le chemin du Salut et votre vie ira vers le bien. Cette rencontre peut être fort diverse :

-- elle peut l'être à la suite d'une lecture de l’Écriture
-- ou à travers la rencontre d’un prêtre ou d'une personne engagée,
-- à la suite d'un pèlerinage
-- ou encore à la participation d'un sacrement et particulièrement à celui de la sainte Eucharistie.
 
Comme les mages qui ont suivi l'étoile, comprenez que vous n'avez jamais fini de chercher Dieu. Il est certain que vous avez une certaine connaissance de Dieu mais elle n'est pas forcément pleinement accomplie. Mais si votre quête de Dieu vous paraît arrivée à son terme, en ce qu'il est de vos semblables vous avez encore à les découvrir. Et même ceux qui vous sont proches vous les discernerez peu à peu ou à un moment donné : ce qui vous surprendra agréablement !
 
Il faut que vous réalisiez que vous vous connaissez mal et ce sont les événements de votre vie qui vous éclaireront par exemple lors d'un décès, d'une perte d'emploi, d'une déception, qui vous font découvrir les différentes faces de vous-mêmes que vous ne pouviez soupçonner. A l'égard du Seigneur Dieu il peut demeurer en vous des interrogations. Sans cesse Dieu peut vous surprendre, n'hésitez pas, le plus souvent possible, de le rejoindre dans une prière fervente.
 
En chacun de vous peut encore demeurer le combat de la foi.

En premier lieu, c'est le combat de l’intelligence pour mieux comprendre ce que le Seigneur Dieu vous donne à voir de Lui-même.
Et en second lieu, c'est le combat de la confiance en surmontant tous vos doutes, vos obscurités, vos incompréhensions pour ouvrir votre cœur et vos bras à Dieu qui est tout Amour.
 
Chacun de vous avez à réaliser des actes d’amour et de miséricorde envers tous vos semblables en particulier à l'égard de ceux qui sont dans la solitude, qui souffrent, se découragent et désespèrent.
Pensez que la cellule de base de la société est la famille où doit dominer l’amour mutuel des époux, des enfants et des parents, le tout couvert par l’amour de Dieu et des hommes qui vous entourent.
 
Avec toute votre famille du Ciel, sous la Lumière du Père Éternel, tout l’Amour du Seigneur Jésus, de Sa maman la Sainte Vierge Marie, je vous bénis au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Votre Jean, messager de l'amour du Ciel"

 Je vous souhaite à tous une heureuse et sainte Épiphanie du Seigneur!


Ces hommes venus d’Orient n’étaient pas Juifs

Message de Jésus donné au Père Melvin Doucette (Canada) - Dimanche 6 janvier 2013

Vous trouverez ci-dessous le message que notre Seigneur et Sauveur a donné au Père Melvin. Jésus lui a parlé en ces termes :

Soyez pleins de joie, toi mon frère Melvin et vous tous mes frères et mes sœurs qui me suivez chaque jour.

Aujourd’hui c’est la fête de l’Épiphanie, cette visite que m’ont rendue à Bethléem les trois mages. Ces hommes venus d’Orient n’étaient pas Juifs. Cela prouve que je ne suis pas venu dans le monde uniquement pour le salut des Juifs, mais pour le salut de tous les peuples du monde.

Mon sacrifice sur la croix a été offert pour vous qui habitez dans chacune des parties du monde. Ce qu’il vous faut, c’est avoir foi en moi votre Sauveur. Je veux que vous soyez tous membres à part entière de mon Église et que vous soyez des gens de prière. Vous avez besoin de prier chaque jour. Je vous bénis tous.

Traduction : RF



Je suis votre Sauveur, que vous soyez d’Europe, d’Afrique, d’Asie,
d’Océanie ou des Amériques

Message de Jésus donné au Père Melvin Doucette (Canada) - Dimanche 8 janvier 2012

Vous trouverez ci-après le message que notre Seigneur et Sauveur a donné au Père Melvin. Jésus lui a adressé les paroles qui suivent :


Je suis votre ami et je vous salue, toi mon frère Melvin et vous tous mes frères et mes sœurs qui lisez ce message. Comme vous le savez, trois mages son venus d’Orient pour me visiter et me rendre hommage. Ils m’ont apporté des cadeaux magnifiques.

Cela démontre, mes chers amis, que je suis venu dans le monde non seulement pour le peuple hébreu, mais pour tous les peuples du monde. Je suis votre Sauveur, que vous soyez d’Europe, d’Afrique, d’Asie, d’Océanie ou des Amériques. Je suis venu pour sauver tous les gens vivant sur la terre et tous ceux qui y vivront dans l’avenir.

Venez tous, mes frères et mes sœurs, acceptez-moi comme votre Seigneur et Sauveur. Personne d’autre que moi ne peut vous sauver. Si vous croyez en moi et entrez dans mon Église, je vous bénirai et je vous accorderai les grâces qu’il vous faut pour me suivre, et ainsi un jour dans l’avenir vous serez avec moi au ciel.

Mon plus grand désir est de vous emmener tous avec moi, mais pour cela j’ai besoin de votre collaboration. Venez, donnez-vous totalement à moi et laissez-vous conduire sur le chemin qui mène à la vie éternelle. Vous êtes nés afin de vivre sur la terre un certain temps pour me manifester votre amour et travailler avec moi, et à la fin je viendrai vous chercher pour vous emmener dans le bonheur éternel du ciel. Marchons ensemble tous les jours.

Traduction : RF


La visite de savants provenant d’un autre pays qu’Israël signifie que je ne suis pas venu seulement pour les Juifs, mais pour tous les peuples de la terre


Enseignement de Jésus donné au Père Melvin Doucette (Canada)
- Dimanche 2 janvier 2011

Jésus naquit à Bethléem, en Judée, à l'époque où Hérode était roi. Après sa naissance, des savants, spécialistes des étoiles, vinrent d'Orient. Ils arrivèrent à Jérusalem et demandèrent : « Où est l'enfant qui vient de naître, le roi des Juifs? Nous avons vu son étoile apparaître en Orient et nous sommes venus l'adorer. » Quand le roi Hérode apprit cette nouvelle, il fut troublé, ainsi que toute la population de Jérusalem. Il convoqua tous les chefs des prêtres et les maîtres de la loi, et leur demanda où le Messie devait naître. Ils lui répondirent : « À Bethléem, en Judée. Car voici ce que le prophète a écrit :

"Et toi, Bethléem, au pays de Juda, tu n'es certainement pas la moins importante des localités de Juda; car c'est de toi que viendra un chef qui conduira mon peuple, Israël." »

Alors Hérode convoqua secrètement les savants et s'informa auprès d'eux du moment précis où l'étoile était apparue. Puis il les envoya à Bethléem, en leur disant : « Allez chercher des renseignements précis sur l'enfant; et quand vous l'aurez trouvé, faites-le-moi savoir, afin que j'aille, moi aussi, l'adorer. »

Après avoir reçu ces instructions du roi, ils partirent. Ils virent alors l'étoile qu'ils avaient déjà remarquée en Orient : elle allait devant eux, et quand elle arriva au-dessus de l'endroit où se trouvait l'enfant, elle s'arrêta. Ils furent remplis d'une très grande joie en la voyant là. Ils entrèrent dans la maison et virent l'enfant avec sa mère, Marie. Ils se mirent à genoux pour adorer l'enfant; puis ils ouvrirent leurs bagages et lui offrirent des cadeaux : de l'or, de l'encens et de la myrrhe. Ensuite, Dieu les avertit dans un rêve de ne pas retourner auprès d'Hérode; ils prirent alors un autre chemin pour rentrer dans leur pays (Évangile de saint Matthieu 2.1-12).

Vous trouverez ci-après le message que notre Seigneur et Rédempteur a donné à Joseph Melvin. Jésus lui a dit ceci :

« Je vous bénis tous vous qui croyez en moi, en particulier toi Melvin, et vous tous mes frères et sœurs qui vivez dans chacun des pays du monde. Je suis réellement le Roi des Juifs, mais je suis encore davantage le Roi du monde entier. Les savants venus de l’Orient croyaient déjà que j’étais Roi et sont venus me rendre hommage à Bethléem. Ils avaient vu l’étoile en Orient et savaient que c’était l’étoile du Messie. Ils la suivirent jusqu'à Jérusalem, dans le pays où je me trouvais. Ils m’apportèrent des cadeaux dignes d’un roi comme de l’or, de l’encens et de la myrrhe.

« La visite de savants provenant d’un autre pays qu’Israël signifie que je ne suis pas venu seulement pour les Juifs, mais pour tous les peuples de la terre. Je suis le Sauveur de chaque personne habitant dans chacun des pays du monde. Je veux que chaque personne ouvre son cœur et m’accepte comme son propre Sauveur. Je suis venu pour vous sauver tous, car je vous aime. »

Traduction : RF



Adoration des trois Mages

Extrait des évangiles de Maria Valtorta
- 1.56.

Celui qui m'avertit intérieurement me dit : "Appelle ces contemplations que tu vas avoir et que je te présenterai : "Les Évangiles de la Foi" car, pour toi et pour les autres, ils viendront mettre en lumière la puissance de la Foi et de ses fruits, et vous assurer dans votre foi en Dieu. "

Je vois Bethléem, petite et toute blanche, rassemblée comme une couvée de poussins sous la lumière des étoiles. Deux rues principales s'y coupent à angle droit, l'une venant d'au-delà du pays, c'est la route principale qui continue au delà de la ville, et l'autre qui coupe la ville dans toute sa largeur mais ne va pas plus loin. D'autres petites rues découpent ce petit pays, sans la moindre trace d'un plan d'ensemble comme nous le concevons, mais s'adaptant au terrain qui est à plusieurs niveaux, et aux maisons qui se distribuent ça et là selon les accidents du sol et les caprices des constructeurs.

Tournées les unes à droite, les autres à gauche, d'autres de biais par rapport à la rue qui les borde, elles l'obligent à se présenter comme un ruban qui se déroule avec des sinuosités au lieu d'être un chemin rectiligne qui va d'un endroit à l'autre sans déviation. De temps en temps il y a une petite place, soit pour un marché, soit pour une fontaine, soit parce que, à cause des constructions qui se dressent au hasard, elle est restée une portion de travers où l'on ne peut plus rien construire.

À l'endroit où il me semble que je dois particulièrement m'arrêter, il y a précisément une de ces petites places irrégulières. Elle devrait être carrée ou au moins rectangulaire. Elle s'amène comme un trapèze si bizarre qu'on dirait un triangle acutangle dévié au sommet. Le côté le plus long, la base du triangle, est un bâtiment large et bas, le plus large du pays. Du dehors, c'est une haute muraille lisse et nue sur laquelle s'ouvrent à peine deux portes cochères maintenant bien closes.

À l'intérieur, au contraire, sur toute une cour carrée il y a de nombreuses fenêtres au premier étage, pendant qu'au rez-de-chaussée on voit des portiques qui entourent des cours jonchées de paille et de détritus avec des vasques pour abreuver chevaux et autres animaux. Aux rustiques colonnes des portiques il y a des anneaux pour attacher les animaux et, sur un côté, un vaste hangar pour abriter les troupeaux et les montures. Je comprends qu'il s'agit de l'auberge de Bethléem.

Sur deux autres côtés de même longueur il y a des maisons et des maisonnettes les unes précédées d'un jardinet; d'autres non, parce que parmi elles il yen a qui ont la façade sur la place et d'autres à l'arrière. Sur l'autre côté plus étroit, en face le caravansérail, il y a une unique maisonnette avec un petit escalier extérieur qui donne accès au milieu de la façade aux chambres du premier étage. Elles sont toutes fermées car il fait nuit. Il n'y a personne dans les rues à cause de l'heure.

 Je vois qu'augmente la clarté nocturne qui tombe d'un ciel constellé d'étoiles si belles dans le ciel d'Orient, si vivantes et si grandes qu'elles paraissent toutes proches et qu'il serait facile de les rejoindre et de les toucher, ces fleurs qui brillent sur le velours du firmament. Je lève les yeux pour me rendre compte de la source de cette croissance de lumière.

Une étoile de grandeur inhabituelle, comme une petite lune, s'avance dans le ciel de Bethléem.
Les autres semblent s'éclipser et lui donner passage, comme des suivantes au service de la reine, tant son éclat les surpasse et les fait disparaître. Du globe qui semble un énorme et clair saphir éclairé de l'intérieur par un soleil, part un sillage lumineux dans lequel, à la prédominance du clair saphir se fondent les blonds des topazes, les verts des émeraudes, la lueur opalescente des opales, les clartés sanguines des rubis et les doux scintillements des améthystes. Toutes les pierres précieuses de la terre sont dans ce sillage qui parcourt le ciel d'un mouvement rapide et ondulant comme s'il était vivant. Mais la couleur qui domine, c'est cette couleur qui semble pleuvoir du globe de l'étoile : la paradisiaque couleur de pâle saphir qui descend pour colorer d'argent azuré les maisons, les rues, le sol de Bethléem, berceau du Sauveur.

Ce n'est plus la pauvre cité, qui pour nous ne serait qu'une agglomération rurale. C'est une fantastique cité de contes de fées où tout est d'argent. L'eau des fontaines et des vasques est comme du diamant liquide.

Avec la splendeur d'un plus vif éclat, l'étoile s'arrête au-dessus de la petite maison qui se trouve sur le côté étroit de la petite place.
Ni ses habitants, ni ceux de Bethléem ne la voient parce qu'ils dorment dans les maisons fermées. Cependant l'étoile accélère les palpitations de sa lumière, et sa queue vibre et se balance davantage en décrivant des demi-cercles dans le ciel qui s'éclaire tout entier par l'effet de ce filet d'astres qu'elle entraîne, de ce filet de pierres précieuses qui resplendissent de mille couleurs sur les autres étoiles comme pour leur communiquer une parole joyeuse.

La petite maison est toute baignée de ce feu liquide de perles. Le toit de la petite terrasse, le petit escalier de pierre sombre, la petite porte, tout est un bloc de pur argent saupoudré d'une poussière de diamants et de perles. Nul palais de roi n'a eu, ni n'aura un perron semblable à celui-ci fait pour recevoir les pas des anges, pour servir à la Mère qui est la Mère de Dieu. Ses petits pieds de Vierge Immaculée peuvent se poser sur cette éclatante blancheur, ses petits pieds destinés à se poser sur les degrés du trône de Dieu.

Mais la Vierge ne sait rien de cette féerie. Elle veille près du berceau du Fils et prie. En son âme elle possède des splendeurs qui surpassent celles dont l'étoile embellit les choses.

De la rue principale s'avance un défilé : chevaux harnachés et d'autres conduits à la main, dromadaires et chameaux, les uns montés, les autres chargés. Le son des sabots fait un bruit d'eau qui ruisselle, en les heurtant, sur les pierres d'un torrent. Arrivés sur la place, tous s'arrêtent. Le défilé, sous le rayonnement de l’étoile, est d'une splendeur fantastique.

Les ornements des très riches montures, les habits des cavaliers, les visages, les bagages, tout resplendit ravivant et unissant le propre éclat des métaux, des cuirs, des soies, des gemmes, des pelages, à la clarté de l'étoile. Les yeux rayonnent et les bouches sourient parce que une autre splendeur s'est allumée en leur cœur : celle d'une joie surnaturelle.


Pendant que les serviteurs se dirigent vers le caravansérail avec les animaux, trois personnages de la caravane descendent de leurs montures respectives qu'un serviteur conduit ailleurs et se dirigent à pied vers la maison. Là, ils se prosternent, front contre terre, baisant la poussière.

Ce sont trois personnages puissants comme l'indiquent leurs très riches habits. L'un, de peau très foncée, à peine descendu d'un chameau s'enveloppe tout entier dans un magnifique vêtement de soie blanche. Son front est ceint d’un cercle de métal précieux et il a à la taille une riche ceinture d'où pendent un poignard ou une épée dont la garde est ornée de gemmes.


Les deux autres, descendus de deux magnifiques chevaux,
sont vêtus l'un d'une étoffe rayée très belle où domine la couleur jaune. Cet habit est fait comme un long domino garni d'un capuchon et d'un cordon qui semblent faits tout d'une pièce en filigrane d'or tant ils sont ornés de broderie d'or.


Le troisième porte une chemise de soie bouffante qui sort d'un large et long pantalon serré aux pieds. Il est enveloppé dans un châle très fin, véritable jardin fleuri tant sont vives les couleurs dont il est orné tout entier. Sur la tête un turban retenu par une chaînette ornée de chatons de diamants.


Après avoir vénéré la maison où réside le Sauveur, ils se relèvent et se rendent au caravansérail où les serviteurs ont frappé et fait ouvrir.

Ici s'arrête la vision.

Elle reprend trois heures plus tard avec la scène de l'adoration des Mages à Jésus.

Voilà le jour. Un beau soleil resplendit dans un ciel d'après-midi. Un serviteur des trois mages traverse la place et monte le petit escalier de la maisonnette. Il rentre. Il sort. Il retourne à l'auberge.

Les trois Mages sortent, suivis chacun de son propre serviteur. Ils traversent la place. Les rares passants se retournent pour regarder les majestueux personnages qui passent très lentement avec solennité. Entre la venue du serviteur et celle des trois, il s'est passé un bon quart d'heure ce qui a donné aux habitants de la maisonnette le temps de se préparer à recevoir les hôtes.

Ceux-ci sont encore plus richement vêtus que le soir précédent. Les soies resplendissent, les gemmes brillent, un grand panache de plumes de grand prix parsemé d'écailles encore plus précieuses étincelle sur la tête de celui qui porte le turban.

L'un des serviteurs porte un coffre tout orné de marqueteries dont les garnitures métalliques sont en or buriné. Le second porte une coupe d'un travail très fin, couvert par un couvercle tout en or ciselé. Le troisième une sorte d'amphore large et basse, en or également, avec une fermeture en forme de pyramide qui à son sommet porte un brillant. Ces objets doivent être lourds, car les serviteurs ont peine à les porter, spécialement celui qui est chargé du coffre.

Les trois montent l'escalier et entrent. Ils pénètrent dans une pièce qui va de la route à l'arrière de la maison. On aperçoit le jardinet par derrière à travers une fenêtre ouverte au soleil. Des portes s'ouvrent dans les deux autres murs, d'où regardent les propriétaires de la maison : un homme, une femme et trois ou quatre enfants entre deux âges.

Marie est assise avec l'Enfant sur son sein et Joseph debout à côté. Mais elle se lève aussi et s'incline quand elle voit entrer les trois Mages. Elle est toute vêtue de blanc. Si belle dans son simple habit blanc qui la couvre de la base du cou aux pieds, des épaules aux poignets délicats, si belle avec la tête couronnée de tresses blondes, en son visage que l'émotion couvre d'un rose plus vif, en ses yeux qui sourient avec douceur, avec une bouche qui s'ouvre pour saluer : "Dieu soit avec vous."

Les trois Mages en restent un instant interdits. Puis ils s'avancent, se prosternent à ses pieds et la prient de s'asseoir.


Eux non, ils ne s'assoient pas malgré l'invitation de Marie. Ils restent à genoux appuyés sur leurs talons. En arrière et à genoux aussi, sont les trois serviteurs. Ils sont tout de suite derrière le seuil. Ils ont posé devant eux les trois objets qu'ils portaient et ils attendent. Les trois Sages contemplent le Bébé.
Il me paraît avoir de neuf mois à un an 
tant il est éveillé et robuste. Il repose sur le sein de sa Mère.

Il sourit et jase avec une voix de petit oiseau. Il est tout vêtu de blanc, comme la Maman, avec des sandalettes minuscules aux pieds. Un petit vêtement très simple : une tunicelle d'où sortent les petits pieds remuants, les mains grassouillettes qui voudraient tout saisir,
et surtout le très joli petit visage où brillent les yeux d'azur foncé,
et la bouche qui fait des fossettes des deux côtés quand il rit et découvre ses premières petites dents. Les petites boucles de cheveux semblent une poussière d'or tant ils sont brillants et vaporeux.

Le plus âgé des Sages parle au nom de tous.

Il explique à Marie qu'ils ont vu, une nuit du mois de décembre précédent une nouvelle étoile qui s'est allumée dans le ciel avec une inhabituelle splendeur.


Jamais les cartes célestes n'avaient porté cet astre ou ne l'avaient signalé. Son nom était inconnu. Elle n'avait pas de nom. Née du sein de Dieu, elle avait fleuri pour dire aux hommes une vérité bénie, un secret de Dieu. Mais les hommes n'en avaient pas fait cas, car leurs âmes étaient plongées dans la boue. Ils ne levaient pas leurs regards vers Dieu et ne savaient pas lire les paroles qu'Il trace - qu'Il en soit éternellement béni - avec les astres de feu sur la voûte des cieux.

Eux l'avaient vue et s'étaient efforcés de comprendre sa voix. Renonçant de bon cœur au peu de sommeil qu'ils accordaient à leurs membres, oubliant de manger, ils s'étaient plongés dans l'étude du Zodiaque. Et les conjonctions des astres, le temps, la saison, les calculs des anciens temps et des combinaisons astronomiques leur avaient dit le nom et le secret de l'étoile. Son nom : "Messie". Son secret : "Être le Messie venu au monde". Et ils étaient partis pour l'adorer chacun à l'insu des autres.

Traversant monts et déserts, vallées et fleuves, voyageant de nuit, ils étaient venus vers la Palestine car l'étoile allait dans cette direction. Et chacun, des trois points différents de la terre, s'en allait vers cette direction,
et ils s'étaient trouvés ensuite ensemble au-delà de la Mer Morte
. La volonté de Dieu les avait réunis là, et ensemble ils étaient allés de l'avant se comprenant, bien que chacun parlât sa langue propre, comprenant et pouvant parler les langues des pays traversés par un miracle de l'Éternel.

Ensemble ils étaient allés à Jérusalem parce que le Messie devait être le Roi de Jérusalem, le roi des Juifs. Mais l'étoile s'était cachée sur le ciel de cette ville. Ils avaient senti leurs cœurs se briser de douleur et s'étaient examinés pour savoir s'ils avaient démérité de Dieu, Mais s'étant rassurés la conscience, ils étaient allés trouver le roi Hérode pour lui demander dans quel palais était né le Roi des Juifs qu'ils étaient venus adorer.

Le roi, ayant réuni les princes des prêtres et les scribes, leur avait demandé où pouvait naître le Messie et ils avaient répondu : "A Bethléem de Juda."


Ils étaient venus vers Bethléem et l'étoile était réapparue à leurs yeux, avait quitté la Cité Sainte et le soir précédent avait augmenté de splendeurs. Le ciel était tout embrasé. Puis, l'étoile s'était arrêtée, rassemblant la lumière des autres étoiles en son rayonnement, au-dessus de cette maison. Ils avaient compris que c'était là que se trouvait le Divin Né.

Maintenant ils l'adoraient, offrant leurs pauvres cadeaux et, par-dessus tout, leur cœur qui n'avait jamais cessé de bénir Dieu pour la grâce qu'Il leur avait accordée et d'aimer son Fils dont ils voyaient la sainte Humanité. Ensuite ils retourneraient rendre compte au roi Hérode parce que lui aussi désirait l'adorer.

- Voici à la fois, l'or qu'il convient à un roi de posséder,
- voici l'encens comme il convient à un Dieu, et
- voici, ô Mère, voici la myrrhe parce que ton Enfant Né, qui est Dieu, est aussi un Homme et dans sa chair


et sa vie d'homme il connaîtra l'amertume et la loi inévitable de la mort. Notre amour voudrait ne pas les dire, ces paroles et penser que sa chair est éternelle comme son Esprit.


Mais, ô Femme, si nos cartes et surtout nos âmes ne se trompent pas, Lui, ton Fils est le Sauveur, le Christ de Dieu et pour ce motif il devra, pour sauver la terre, prendre sur Lui le mal de la terre dont un des châtiments est la mort. Cette résine est pour cette heure, pour que ses chairs saintes ne connaissent pas la pourriture de la corruption et conservent leur intégrité jusqu'à la résurrection. Qu'à cause de ces dons, Lui se souvienne de nous et sauve ses serviteurs en leur donnant son Royaume." Pour l'instant, pour en être sanctifiés, qu'elle, sa Mère, offre son petit Enfant "à notre amour. Et en baisant ses pieds descende sur nous la bénédiction céleste."

Marie, qui a surmonté l'effroi provoqué par les paroles des Sages et a caché sous un sourire la tristesse de la funèbre évocation, offre le Bébé. Elle le met sur les bras du plus ancien qui l'embrasse et reçoit ses caresses, et puis le passe aux autres.

Jésus sourit et joue avec les chaînettes et les franges des trois. Il regarde avec curiosité l'écrin ouvert plein d'une matière jaune et brillante. Il rit en voyant que le soleil fait un arc-en-ciel en touchant le brillant du couvercle de la myrrhe.

Puis les trois rendent le Bébé à sa Mère et se lèvent. Marie aussi se lève. Le plus jeune des Mages donne à son serviteur l'ordre de sortir, alors on s'incline de chaque côté. Les trois parlent encore un peu. Ils ne peuvent se décider à quitter cette maison. Des larmes d'émotion se voient dans tous les yeux. A la fin ils se dirigent vers la sortie, accompagnés de Marie et de Joseph.

Le Bébé a voulu descendre et donner sa petite main au plus ancien des trois. Il marche ainsi, une main dans la main de Marie, l'autre dans celle du Sage qui se penche pour le conduire. Jésus a le pas encore incertain de l'enfant et rit en frappant du pied la bande lumineuse que fait le soleil sur le pavé.

Arrivés au seuil - il ne faut pas oublier que la pièce prenait toute la longueur de la maison - les trois personnages prennent congé en s'agenouillant une dernière fois et en baisant les pieds de Jésus. Marie, penchée sur le Bébé, prend sa petite main et la guide pour faire un geste de bénédiction sur la tête de chacun des Mages. C'est déjà un signe de croix tracé par les petits doigts de Jésus que guide Marie.

Puis les trois descendent l'escalier. La caravane est déjà là toute prête et qui attend. Les bossettes des chevaux resplendissent au soleil couchant. Les gens se sont rassemblés sur la petite place pour voir l'insolite spectacle.

Jésus rit en battant les petites mains. La Maman l'a soulevé et appuyé au large parapet qui borde le palier. Elle le tient, avec un bras sur sa poitrine pour l'empêcher de tomber. Joseph est descendu avec les trois et tient l'étrier à chacun d'eux pendant qu'ils montent à cheval ou à chameau.

Maintenant, serviteurs et maîtres, tout le monde est en selle. On donne le signal du départ. Les trois se courbent jusque sur le cou de leurs montures pour un ultime salut. Joseph s'incline. Marie aussi, et elle se met à guider la petite main de Jésus en un geste d'adieu et de bénédiction. (...)


Les trois savants vous représentent tous, vous les non-Juifs,
qui avez cru en moi et marchez à ma suite


Enseignement de Jésus donné au Père Melvin Doucette (Canada) - 4 janvier 2009


Jésus naquit à Bethléem, en Judée, à l'époque où Hérode était roi. Après sa naissance, des savants, spécialistes des étoiles, vinrent d'Orient. Ils arrivèrent à Jérusalem et demandèrent : « Où est l'enfant qui vient de naître, le roi des Juifs? Nous avons vu son étoile apparaître en Orient et nous sommes venus l'adorer. » Quand le roi Hérode apprit cette nouvelle, il fut troublé, ainsi que toute la population de Jérusalem. Il convoqua tous les chefs des prêtres et les maîtres de la loi, et leur demanda où le Messie devait naître. Ils lui répondirent : « À Bethléem, en Judée. » […]

Puis il les envoya à Bethléem, en leur disant : « Allez chercher des renseignements précis sur l'enfant; et quand vous l'aurez trouvé, faites-le-moi savoir, afin que j'aille, moi aussi, l'adorer. » Après avoir reçu ces instructions du roi, ils partirent. Ils virent alors l'étoile qu'ils avaient déjà remarquée en Orient : elle allait devant eux, et quand elle arriva au-dessus de l'endroit où se trouvait l'enfant, elle s'arrêta. Ils furent remplis d'une très grande joie en la voyant là. Ils entrèrent dans la maison et virent l'enfant avec sa mère, Marie. Ils se mirent à genoux pour adorer l'enfant; puis ils ouvrirent leurs bagages et lui offrirent des cadeaux : de l'or, de l'encens et de la myrrhe.

Ensuite, Dieu les avertit dans un rêve de ne pas retourner auprès d'Hérode; ils prirent alors un autre chemin pour rentrer dans leur pays (Matthieu 2.1-5; 8-12).


Joseph Melvin a reçu de Notre-Seigneur un autre message, que voici :

Les savants, qui n’étaient pas Juifs, arrivèrent de l’Orient en suivant une étoile jusqu’à Jérusalem. Ils avaient remarqué cette étoile qui, d’après leur interprétation, était l’étoile du roi des Juifs qui venait de naître, et ils voulaient aller lui rendre hommage. Ils s’arrêtèrent à Jérusalem pour demander au roi Hérode où j’étais né. Les chefs de prêtres et les scribes savaient que le Messie devait naître à Bethléem.

Le roi les envoya donc dans ce village en leur demandant de l’avertir s’ils trouvaient l’enfant, afin qu’il puisse lui aussi aller l’adorer. Ils partirent et l’étoile les guida jusqu’à la maison où je me trouvais avec ma Mère. Ils me rendirent hommage et me donnèrent des présents magnifiques. Puis ils rentrèrent dans leur pays par un autre chemin, car ils avaient été prévenus de ne pas retourner chez Hérode, qui leur avait fait accroire qu’il voulait aller m’adorer.
 
En cette fête de l’Épiphanie ou manifestation, je me suis révélé aux Gentils, car j’étais venu comme le Sauveur de tous les peuples de la terre et pas uniquement des Juifs. Cela se voit aujourd’hui par la présence de mon Église partout sur la terre. Les trois savants vous représentent tous, vous les non-Juifs, qui avez cru en moi et marchez à ma suite.

C’est aujourd’hui votre grande fête. Venez m’adorer comme les savants, et je vous bénirai. Vous êtes mes amis bien-aimés pour qui je suis venu dans ce monde et j’ai donné ma vie.

Traduction : RF


... nous fûmes appelés un jour parce que trois Sages étaient venus pour demander où était Celui qui était né roi des hébreux.

Extrait des évangiles de Maria Valtorta
- 7.156.
(pour lire le texte en entier)

(...) Un des Anciens, très âgé, parlote avec un prêtre et un scribe plus âgés que lui. Ils viennent en avant. Ils imposent le silence. C'est le vieux scribe qui parle, après avoir appelé aussi à lui Eléazar et les deux scribes Jean : "Seigneur, pourquoi ne veux-tu pas ceindre la couronne d'Israël ?"

Jésus : Parce qu'elle ne m'appartient pas. Je ne suis pas fils d'un prince hébreu.

"Seigneur, peut-être tu ne le sais pas. Eux deux et moi-même, nous fûmes appelés un jour parce que trois Sages étaient venus pour demander où était Celui qui était né roi des hébreux.


Comprends-tu ? "Né roi". On nous réunit, nous les princes des prêtres et des scribes du peuple sur l'ordre d'Hérode le Grand pour répondre à la question. Et avec nous, il y avait Hillel le Juste. Notre réponse fut : "à Bethléem de Juda". Toi, nous le savons, c'est là que tu es né et de grands signes accompagnèrent ta naissance. Parmi tes disciples, il y a des témoins.

Peux-tu nier que tu as été adoré comme Roi par les trois Sages ?"

Jésus : "Je ne le nie pas."

"Peux-tu nier que le miracle te précède, t'accompagne et te suit comme signe du Ciel ?"

Jésus : "Je ne le nie pas."

"Peux-tu nier que tu es le Messie promis?"

Jésus : "Je ne le nie pas."

"Et alors, au nom du Dieu vivant, pourquoi veux-tu tromper les espérances d'un peuple ?"

Jésus : "Je viens pour accomplir les espérances de Dieu."

"Lesquelles ?"

(...).pour lire la suite




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