LES APPARITIONS
DE JESUS ET DE MARIE A KERIZINEN

France (1938 - 1965)

Retour au sommaire - Dernière mise à jour : mardi 19 août 2003 - France (Paris)

Des témoignage de guérisons


«Je viens attester pour la guérison de ma fille Y. obtenue à Kérizinen le 25 mars 1960 d'une grave maladie de coeur, à l'âge de 6 ans.

La petite tombe malade à 4 ans de rhumatismes cardiaques avec un coeur anormal, et qu'on entendait cogner. Tous les mois il fallait une prise de sang et une radio, chez le docteur B. à B. Avec, de plus, un régime sévère sans sel. Pas de gymnastique, aucun effort, aucune fatigue, et des cachets (extencilline) à prendre tous les jours. Les médecins ne me donnaient aucun espoir, et si, à 10 ans, elle vivait encore, on tenterait une opération à coeur ouvert.

Le 25 Mars 1960, des amies nous ont conduites à Kérizinen. Aussitôt la petite s'est mise à courir, à monter les talus. Elle a bu de l'eau de la fontaine, et ne cessait d'en réclamer.
A partir de ce jour-là, elle n'était plus comme avant. Plus vive, plus gaie, plus remuante.
Quatre jours après, j'ai refait les radios. Son cosur ne cognait plus. Tout était normal.
Je l'ai amenée à l'école (elle n'y allait plus depuis le début de sa maladie), je lui ai donné à manger comme tout le monde. Elle faisait de la gymnastique, du vélo, et aucune rechute depuis.

A présent, elle a quatorze ans et demi, et est pleine de santé. J'ai déposé radios et cachets chez Melle Ramonet.

Mme M.R. (Finistère Nord)


Le malade :

Monsieur l'abbé Gustave Albert, né le 29 septembre 1904, fut ordonné prêtre le 25 mai 1929. II est trois ans Vicaire Instituteur, puis dix ans Missionnaire diocésain en Vendée. Pendant la guerre 39/40 : Capitaine au 93 R.I., enfin pendant vingt cinq ans, Curé de paroisse.
Depuis une dizaine d'années, (1955 environ), je souffrais plus ou moins de malaises de la colonne vertébrale : déplacements de vertèbres, jugés alors accidentels mais réparables.
Le 16 Novembre 1964, travaillant dans mon jardin, je fais un violent effort qui détermine d'intolérables douleurs. Le 26 Décembre, je suis transporté au Centre Hospitalier Universitaire de N.

Là, pendant plus d'un mois, je subis de multiples traitements sans aucun résultat. Je pose au Professeur qui me soigne la question d'une opération : «Si vous étiez moins agé et moins puissant -m'a-t-il répondu- on pourrait y songer, mais... de plus, vous n'avez pas seulement une hernie discale classique entre la quatrième et la cinquième lombaire, mais aussi une autre plus profonde aux vertèbres sacrées, ce qui interdit toute opération. Nous avons 99 chances sur 100 de vous laisser paralysé.»

Renvoyé dans mon presbytère, je suis cloué pendant quatre mois sur une planche. Puis, pendant un an, d'avril 1965 à avril 1966, je suis de temps en temps, immobilisé pour quelques semaines, souffrant toujours, restant péniblement debout, marchant difficilement, incapable de rester longtemps assis et ne pouvant faire le moindre effort.

A Pâques 1966, je dois me retirer dans ma paroisse natale (Vendée). Là, je suis encore de temps en temps immobilisé pendant quinze jours, un mois, voire quatre mois. Un traitement de rayons X donne une légère amélioration avec alternance de souffrances plus ou moins vives.
Depuis le 12 Décembre 1966, je suis reconnu invalide à 85%, Carte n° 5.638 délivrée par la Préfecture de L.R.

La guérison :

Le lundi 30 Septembre 1968, profitant d'une accalmie, je me rends avec quelques prêtres amis à L. puis, avec un confrère à Kérizinen, le mercredi 2 octobre.
Après avoir salué Mademoiselle Jeanne-Louise Ramonet, je récite un chapelet à l'Oratoire et vais boire à la Source.
Alors, machinalement, je passe ma main mouillée sur mon dos, puis emporte allègrement une bonbonne de 10 kg, sans même m'apercevoir que je n'ai plus mal.
Dès lors, je circule librement, sans souffrir, monte et descend des escaliers sans canne et sans difficulté.
-Mais regardez-le donc- remarq'ue un de mes confrères, il s'est sûrement passé quelque chose qu'il ne veut pas dire.
-II y a - écrit plus tard Monseigneur L. Doyen de la faculté de Théologie à l'Université Catholique d'A., un des six prêtres témoins - il y a bien guérison imprévisible, instantanée

Et depuis ? Les docteurs radiologues, après plusieurs clichés, ne parlent plus de hernies discales.
Pourtant bien des faits auraient dû provoquer des rechutes, entre autres : soulever des poids de 40 à 50 kg ; au mois de mai, voulant escalader une dune à pic sur la plage de Bourgenay (Vendée) tomber de 3 mètres de haut sur des galets ; le 6 août : accident d'auto (côtes enfoncées, cartilages froissés, sans autre résultat que de vives douleurs, pendant quelques semaines, dans la poitrine, côté gauche, mais sans aucune gêne dorsale).
De nombreux docteurs et prêtres ont donné leur témoignage de tous ces faits. Résumons-les dans la déclaration du Docteur Olivieri, longtemps Président du Bureau des Constatations à Lourdes. Après étude du dossier, il affirme :

1 ) que la guérison semblait tout à fait extraordinaire.
2) que l'instantanéité du fait et la disproportion des moyens employés le faisait reconnaitre comme humainement inexplicable.
3) que la stabilité de la guérison, malgré chutes et accident d'auto confi mait ce point de vue.
4) qu'il y a dans la liste des 62 guérisons de Lourdes, deux cas analogues à celui-ci.
Conclusion :

Une conclusion s'impose à toute âme loyale et chrétienne :
1) louer, remercier et implorer le Bon Dieu par l'intercession de la Très Sainte Vierge.
2) s'efforcer de mettre en pratique les messages de Notre-Dame du Rosaire à Kérizinen, exprimés en ces trois mots qui résument parfaitement tout l'Evangile :
PRIERE... PENITENCE... CONFIANCE...»

1e 1 Mai 1979, Abbé Gustave Albert

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