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Sauver Paris
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Photo ci-contre, l'Esplanade du Trocadéro en décembre 2009
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La bataille de la Marne, 5-8 septembre 1914

(Texte trouvé sur internet)

Après l’échec du plan Joffre en Lorraine, l’échec de la bataille des frontières, l’invasion et la retraite, l’armée française recule, mais quel facteur pourrait la sauver du désastre ?

La 1e Armée von Klück, chargée d’investir Paris, délaisse la ville pour participer à la curée des armées adverses. Le demi-tour des Français le 6 septembre, brusque, inattendu, frappe de stupeur les Allemands. Il faut se battre, or les homme sont sous-alimentés, épuisés, les pieds meurtris.

Le trou entre les 1e et 2e Armées atteint 30 kilomètres, il faut ressouder les armées allemandes sur l’Aisne, le 9 l’ordre de repli général est donné. La vérité historique est simple, von Klück trop sûr de son armée a pris l’initiative de la poursuite de forces qu’il estimait en déroute.


Extraits de http://www.missionet.fr/y_sacre_coeur_suite.htm


Mais laissons Dominique D. être notre guide…

La Vierge de la Marne - (Portemont, le 16 octobre 2008)


Un silence d’une intensité égale à celle des bombardements sur Verdun lors de la Grande Guerre couvre un événement dont pourtant l’on aurait pensé qu’il susciterait, dès qu’avéré, mieux que de la curiosité, de la reconnaissance. Or ni curiosité ni reconnaissance : un oubli presque absolu, la dalle scellée d’un tombeau.

Quelle page de l’histoire voudrais-je ici revisiter ? Car il s’agit de notre histoire, même si elle passe par une intervention surnaturelle : il s’agit de la victoire remportée lors de la première bataille de la Marne en septembre 1914. Obstinément, on se refuse à reconnaître une intervention historique qui eut une importance décisive, sans pour autant dévaloriser l’efficacité de l’Armée française.

Quels furent les faits ? Ils se déroulent du 5 au 8 septembre. Comment les connaissons-nous ? Par des témoignages convergents qui émanent des deux côtés du front d’alors.

Il n’est pas question pour moi, en cette simple note, de faire le relevé de tous ces témoignages : simplement indiquer que quelque chose d’important a eu lieu qui a modifié d’une façon claire l’évolution de la bataille de ces jours-là et accentué la formation d’une brèche entre les Ie et IIe Armées allemandes ; elle est attribuée à l’Armée anglaise commandée par le général French et à une erreur stratégique de l’État major allemand, sans oublier l’action de commando d’une division de la cavalerie française sur la rive occupée de l’Ourcq, mais le sentiment général fut alors un immense étonnement si bien que l’on parlât même de miracle du côté français…

La brèche en question menaçait de devenir béante : elle motiva donc le retrait allemand vers le Nord, soustrayant ainsi la capitale française à la menace directe que faisait peser sur elle la première de ces armées ennemies (1).

Je n’ai pas encore pu retrouver le numéro du Monde et la Vie de février 1965 où fut publiée une lettre intitulée : « Le miracle de la Marne, miracle de la Sainte Vierge ». Mais il m’est possible d’en citer certains passages :

« Je voudrais vous parler d’une rumeur qui parcourut le front et les tranchées en 1915 et 1916 relative à la bataille de la Marne. Cette rumeur faisait allusion à des apparitions de la Sainte Vierge au moment du 8 septembre qui aurait joué un rôle décisif dans ce retournement de la situation difficilement explicable, humainement parlant, à cause de l’état de délabrement moral et physique des combattants.

Je peux en parler en connaissance de cause, ayant participé à la retraite depuis la Belgique jusqu’aux abords de Paris. Les comptes-rendus des journaux parus fin août et commencement de septembre derniers (2) faisaient allusion au « Miracle de la Marne », en se contentant d’exalter le sursaut des combattants de 1914 qui, le 8 septembre, avait refoulé l’envahisseur.

» Pour quelqu’un qui a pris part à ces événements, ce sursaut est impensable et aurait pu tout juste permettre un coup d’arrêt de 24 ou  48 heures.

» Le document que je joins à cette lettre et qui est entièrement tombé dans l’oubli, éclaire ces événements d’un jour nouveau et donne l’explication de ce mystère du retournement complet de la situation le 8 septembre 1914 (3).
» C’est une coupure du journal de l’époque, Le Courrier de la Manche, numéro du 8 janvier 1917, qui relate ce qu’auraient dit des Allemands faits prisonniers après les combats du 5 au 8 septembre 1914. » (...)

Voici un témoignage précis, de Madame Tripet-Nizery, veuve du Capitaine Tripet, mort au combat le 4 septembre 1916 : elle déclara qu’étant infirmière dans l’ambulance de l’École Polytechnique, de fin 1914 à juin 1916, elle y reçut un blessé qui avait participé à la bataille de la Marne du côté français ; il lui confia : « Quand nous avons eu l’ordre de repartir en avant, une femme en blanc, devant la tranchée, nous entraînait ».

Le Courrier, journal de Saint-Lô, publia le 8 janvier 1917 une lettre datée quant à elle du 3 janvier 1915.

Un prêtre allemand, blessé et fait prisonnier à la bataille de la Marne, est mort dans une ambulance française où se trouvaient des religieuses. Il leur a dit : « Comme soldat, je devrais garder le silence ; comme prêtre, je crois devoir dire ce que j’ai vu. Pendant la bataille, nous étions surpris d’être refoulés car nous étions légion comparés aux Français, et nous comptions bien arriver à Paris.

Mais nous vîmes la Sainte Vierge toute habillée de blanc, avec une ceinture bleue, inclinée vers Paris… Elle nous tournait le dos et, de la main droite, semblait nous repousser. »

Deux officiers allemands, prisonniers et blessés, témoignèrent comme l’avait fait le prêtre mort le 3 janvier 1915. Que dit l’un d’entre eux ? Ceci :

Si j'étais sur le front, je serais fusillé, car défense a été faite de raconter, sous peine de mort ce que je vais vous dire : vous avez été étonnés de notre recul si subit quand nous sommes arrivés aux portes de Paris. Nous n'avons pas pu aller plus loin, une Vierge se tenait devant nous, les bras étendus, nous poussant chaque fois que nous avions l'ordre d'avancer. Pendant plusieurs jours nous ne savions pas si c'était une de vos saintes nationales, Geneviève ou Jeanne d'Arc. Après, nous avons compris que c'était la Sainte Vierge qui nous clouait sur place.

Le 8 septembre, Elle nous repoussa avec tant de force, que tous, comme un seul homme, nous nous sommes enfuis. Ce que je vous dis, vous l'entendrez sans doute redire plus tard, car nous sommes peut-être 100.000 hommes qui l'avons vue. » (5)

Des prêtres, des religieuses… Est-ce que l’on va se mettre à croire en des racontars de bigots quand on écrit l’histoire ? Voici pourtant un autre témoignage : il provient de deux officiers allemands blessés. Une bénévole infirmière les accompagne dans l’ambulance de la Croix Rouge française et jusqu’à la salle de l’hôpital où ils allaient être soignés. Entrés là, ils aperçoivent une statue de la Vierge de Lourdes et l’un d’eux s’écrit : « Die Frau von der Marne ! »
(Oh ! La Vierge de la Marne !) . Son compagnon lui désigna l’infirmière afin qu’il se taise car elle les écoutait. Elle tenta, mais vainement, de les faire parler alors qu’elle leur prodiguait ses soins.

Ce récit en recoupe un autre, écrit par une religieuse qui soigne les blessés à Issy-les-Moulineaux.

Que rapporte-t-elle ? Ceci :

« C’était après la bataille de la Marne. Parmi les blessés soignés à l’ambulance d’Issy, se trouvait un Allemand très grièvement atteint et jugé perdu. Grâce aux soins qui lui furent prodigués, il vécut encore plus d’un mois. Il était catholique et témoignait de grands sentiments de foi. Les infirmiers étaient tous prêtres. Il reçut les secours de la religion et ne savait comment témoigner sa gratitude. Il disait souvent : « Je voudrais faire quelque chose pour vous remercier ». Enfin, le jour où il reçut l’extrême-onction, il dit aux infirmiers :

Vous m’avez soigné avec beaucoup de charité, je veux faire quelque chose pour vous en vous racontant ce qui n’est pas à notre avantage mais qui vous fera plaisir. Je payerai ainsi un peu ma dette. Si j’étais sur le front, je serais fusillé car défense a été faite d’en parler. » Il parla de cette visite de la Vierge qui épouvanta les soldats allemands et provoqua leur fuite.

Dans une autre ambulance fut noté un témoignage semblable : un soldat allemand se mourait. Il avait été frappé par le dévouement parfait de la religieuse française qui le soignait. Il lui dit donc :

Ma sœur, c’est fini, bientôt je serai mort. Je voudrais vous remercier de m’avoir si bien soigné, moi un ennemi. Alors je vais vous dire une chose qui vous fera grand plaisir. En ce moment, nous avançons beaucoup en France mais, malgré tout, à la fin c’est votre pays qui gagnera.

Comment le savez-vous ?

À la bataille de la Marne, nous avons vu la Sainte Vierge nous repousser. Elle vous protège contre nous. Les officiers nous ont défendu, sous peine de mort, de parler de cette vision. Mais maintenant je suis fini. Quand je serai mort vous pourrez raconter la chose, pourvu que vous ne me nommiez pas » Il devait craindre des représailles contre sa famille.

Pendant plusieurs jours, toute notre division a vu devant elle, dans le ciel, une Dame blanche avec une ceinture bleue flottant et un voile blanc. Elle nous tournait le dos et nous effrayait beaucoup. Le 5 septembre 1914, nous avons reçu l’ordre d’avancer et nous avons essayé de le faire (7)  : mais la Dame a paru tellement éblouissante et nous repoussait de ses deux mains de façon si terrifiante que nous nous sommes tous enfuis.

À Liège, juste après l’armistice, un soldat se confia à son hôtesse qui s’empressa de noter ses propos :

Oh ! dès le commencement de la guerre je savais bien qu’à la fin nous serions battus. Je peux bien vous dire ça car je sais bien que vous ne le répèterez pas à nos officiers. » L’ancienne interdiction tenait donc toujours.
Il ajouta : « À la première bataille de la Marne, nous avions devant nous, dans le ciel, une Dame blanche qui nous tournait le dos et nous repoussait de ses deux mains. Malgré nous, nous étions pris de panique, nous ne pouvions plus avancer. Trois de nos divisions au moins ont vu cette apparition. C’était sûrement la Sainte Vierge !

À un moment, Elle nous a tellement épouvantés que nous nous sommes tous enfuis, les officiers comme les autres. Seulement, le lendemain ils ont défendu d’en parler sous peine de mort : si toute l’armée l’avait su, elle aurait été démoralisée. Pour nous, nous n’avions plus le cœur à nous battre puisque Dieu était contre nous. C’était sûr qu’on allait à la mort pour rien mais il fallait bien marcher quand même. Nous ne pouvions pas faire autrement. C’est dur la guerre !

Mais en France, que disait-on ? Le silence fut-il la seule réponse officielle ? Certes, l’Église de France fut attentive, du moins au début. Des évêques tels Mgr Gibier et Mgr Tissier, parmi d’autres, évoquèrent en chaire le « miracle de la Marne », mais avec réserve puisque l’interdiction de parler de l’événe-ment faite aux soldats allemands, sous peine du pire, empêchait toute enquête qui aurait permis d’établir un dossier précis. Leurs auditeurs cependant étaient enthousiastes et assurés de l’exac-titude des faits. Après, une fois l’horreur passée, sans doute a-t-on pensé à autre chose… Quant à l’État français, il se tut naturellement, de même l’Armée française, ce qui étonne, et les historiens qui ont étudié cette campagne, ce qui surprend.


Que faire aujourd’hui ? Il faut susciter les derniers témoignages encore possibles (8), faire des recherches dans les archives, établir promptement le dossier et dire aux Français comme aux Allemands ce qui s’est réellement passé ces jours-là. Ne serait-ce que pour remercier Celle qui s’est ainsi dévouée en notre faveur : juste assez pour empêcher l’écroulement de la France sans que soit atteinte la liberté des hommes.

(1) - Il est vrai que le général Foch, une fois ses ordres donnés, s’était retiré sous sa tente pour s’y mettre en prière…
(2) - Donc en 1964.
(3) - Le 8 septembre est fêté la Nativité de la Vierge Marie.
(4) - Lire à ce sujet mes deux ouvrages : Le Linceul du ressuscité aux éditions du Sarment (Paris 2004) et Le Linceul en question ?, aux éditions Andas (Troyes 2007).
(5) - Extraits du Courrier de la Manche, du dimanche 14 janvier 1917 à propos du retournement incompréhensible de la bataille de la Marne (5-8 septembre 1914).
(7) - Il s’agit de la bataille de l’Ourcq, qui dura du 5 au 8 septembre.
(8) - Hélas, il ne reste plus que quatre ou cinq survivants, qui n’ont sans doute pas connu la première bataille de la Marne.



La mort passera par Tarma et par Passos.
Les habitants de Paris vivront semblables souffrances.


Messages donnés à Pedro Régis (Brésil)
3444 - Message de Notre Dame d’Anguera, reçu le 26 février 2011

Chers enfants, cherchez des forces dans le Seigneur et ne laissez pas les choses du monde vous éloigner de la grâce de Mon Jésus. Vous êtes importants pour la réalisation de Mes plans. Ouvrez vos cœurs, et suivez-Moi sur le chemin du bien et de la sainteté. L'humanité se dirige vers la destruction que les hommes ont préparée de leurs propres mains. Repentez-vous rapidement. Vivez courageusement Mes appels et vous serez grands dans la foi.

Dites non aux faciles séductions du monde et revenez à Lui qui est votre Seul Chemin, votre Vérité et votre Vie. Je suis votre Mère et Je souffre de ce qui vient à vous. La mort passera par Tarma et par Passos. Les habitants de Paris vivront semblables souffrances. Pliez les genoux dans la prière. C’est maintenant l'heure de votre retour. Ne restez pas les bras croisés. Avancez sans peur.

C'est le message qu'aujourd'hui Je vous transmets au nom de la Très Sainte Trinité. Je vous remercie de Me permettre de vous réunir ici une fois de plus. Je vous bénis, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen. Demeurez dans la paix.

[Tarma est une ville péruvienne, capitale du district du même nom et de la province de Tarma, dans la Région de Junín. Elle est située à 3 060 mètres d'altitude. La population du district était estimée à 60 542 habitants en 2002.

Passos est une ville brésilienne de l'État du Minas Gerais. Sa population était estimée à 103 348 habitants en 2006. La municipalité s'étend sur 1 339 km².

Outre la capitale de la France, il existe une multitude de ville du nom de Paris : 22 aux USA, 2 au Canada, 2 en Russie, 1 en Ukraine, 1 en Suède et 1 au Gabon.]

Jésus veut sauver Paris

Deux sites sur le sujet : http://www.antiterrorisme.org et http://sauverparis.free.fr  Documents au format PDF : 7 croix - croix glorieuses - Paris 2004

Un prière pour Paris

Petit rapel : Paris est véritablement le "coeur de la France "(Marie Julie Jahenny dans ses messages l'appelle "le centre"),
Sa sauvegarde est donc primordiale, merci aux internautes de prier pour Elle.

Ce texte est extrait du dernier livre de révélation de JNSR  "Témoins de la Croix" -  tome 10 - " Le secret de Marie" Edition  RESIAC

Jésus : "Avec Dieu, rien n'est impossible. Jésus veut sauver votre capitale du feu et de l'eau." (...) "Pour sauver Paris, Dieu demande 7 Messes dans les églises qui vont protéger votre capitale. Je vous guiderai pour poser, devant ces 7 églises, la croix d'amour qui est l'annonce de la venue du Christ en Gloire."

Le 16 juillet 2003

Marie :
Quel désordre sur la terre des hommes qui rejettent Dieu. Mes enfants, c'est votre Mère très Sainte qui vous appelle. Écoutez Moi. Mettez vous à genoux pour prier Dieu. Reconnaissez vous pécheurs, demandez pardon à Dieu devant Sa Sainte Croix. Venez goûter au Pain qui descend du Ciel: Jésus s'est fait Pain pour vous rassasier de toute faim. N'ayez plus la faim du pouvoir. Revenez à de saintes nécessités, Jésus vous comblera de son Amour.
Rejetez le Mal qui est en vous et autour de vous, demandez Moi cette Aide précieuse, car Je suis Celle qui écrasera la tête de Satan très bientôt.

A présent Je veux vous délier du Mal: demandez Moi d'intervenir mais Je ne peux forcer votre liberté. Il est temps de vous voir dans le miroir de grâce que Dieu a laissé en vous. N'attendez pas que la lutte soit encore plus féroce car, en Vérité, à la fin c'est Dieu qui triomphera. Mais dans quel fracas vont tomber ceux qui luttent contre Dieu ! Retirez vous vite avant le dernier combat qui ne saurait tarder.

Quand le Père criera : "C'en est assez", tout s'effondrera. Dieu aura déjà retiré les Siens de ce désastre, Venez, votre Père avant le dernier son de la Trompette.

Votre Mère aimante qui a l'Amour en son cour Douloureux et immaculé, vous appelle en ce Jour de Fête de Notre Dame du Mont Carmel. Mon enfant, dis au monde entier ce que tu as reçu en ton coeur.

JNSR: Jésus m'a parlé hier, veille de cette Fête:

Jésus : Pour sauver Paris, Dieu demande 7 Messes dans les églises qui vont protéger votre capitale. Je vous guiderai pour poser, devant ces 7 églises, la croix d'amour qui est l'annonce de la venue du Christ en Gloire.

Marie : Cette oeuvre divine sera conduite par Notre Dame du Mont Carmel. Avec Dieu, rien n'est impossible. Jésus veut sauver votre capitale du feu et de l'eau.

19 juillet 2003

Il faut M'écouter, même si cela vous en coûte parfois. Car ils viennent, les jours les plus cruels pour l'Humanité qui n'a pas su répondre à Mon Appel alors qu'il en était encore temps. Je viens vous avertir de ce qui se passera dans les jours qui viennent. Je désire que vous preniez bien soin de ma sainte Eucharistie, car elle sera plus vulnérable en ces jours qui viennent. Je te demande de répandre ceci, vite!

Tout ce que tu entends nécessite une parfaite audition. Toute oreille qui entendra ceci, tout oeil qui lira ceci, devra tenir compte de cette urgence qui place chacun de vous devant une nécessité plus qu'évidente. Certaines églises vont être pillées. Je ne te dis pas lesquelles. Selon où siégera ce Mal, elles sont toutes menacées.

Prenez en grand soin. Entourez Ma Sainte Hostie de beaucoup d'Amour, de beaucoup de Prières: gardez la, faites une barrière avec vos corps priants et en adoration.

Les portes fermées ne résisteront plus parfois, car le Mal est armé et, dans sa colère, il va piller et surtout ce qui est religieux. Non pour le gain, mais pour détruire: il veut tuer Dieu et Ses fidèles. Il y aura beaucoup de martyrs. Ce sont vos supérieurs eux-mêmes qui vous interdiront de célébrer la Messe, en raison de la peur qui va s'emparer de ceux qui ne sont pas armés de Ma Foi et de Mon Amour Miséricordieux.

Non ! Ne fermez pas vos églises, la Messe sera célébrée et seulement cela sera la victoire contre le Mal.


La Messe partout, la Messe des catacombes: si une église se ferme, une autre, dans un autre site, doit s'ouvrir aussitôt. A ce prix, Je vous garderai.

Durant ce combat, préservez les Hosties pour un temps; ensuite vous les remettrez dans Mon saint Tabernacle...
«Je ne vous laisserai pas orphelins», on attaque l'Esprit Saint. Le péché contre l'Esprit est lié au péché contre Ma Sainte Eucharistie. Dieu, l'Eternel, ne peut laisser s'aggraver ce mal qui détruit sa Terre, ses enfants, et maintenant son Fils Luire dans la Très Sainte Eucharistie. Vous verrez les Forces de Dieu se déployer sur tout l'Univers. Le fracas de la chute de Satan ne saurait tarder. Car, s'attaquer à l'Hostie, c'est la dernière chose qu'il n'aurait jamais dû faire.


Je raccourcirai ce Temps.

Et voici que je viens. (...)

"Témoins de la Croix" Le Secret de Marie - Edition RESIAC


Une prière pour Paris

Jésus veut protéger Paris et ses habitants ! Priète quotidienne contre la haine et la souffrance (maladie, terrorisme, solitude)

16 mars 2004 (par une messagère anonyme et reconnue par son directeur spirituel)

« Je viens en ce jour donner une prière pour que s'accomplisse Mon Dessein sur votre Capitale. Amen, Je vous le dis : priez ensemble, vous relayant jour après jour jusqu'à la Victoire totale . »


JESUS DE NAZARETH a triomphé de la MORT SON REGNE est ETERNEL. IL vient vaincre le monde et le temps

Pitié mon DIEU pour ceux qui Te blasphèment, pardonne-leur, ils ne savent ce qu'ils font.
Pitié mon DIEU pour le scandale du monde, délivre-les de l'esprit de Satan
Pitié mon DIEU pour ceux qui Te fuient, donne-leur le goût de la Sainte EUCHARISTIE
Pitié mon Dieu pour ceux qui viendront se repentir au pied de la Croix Glorieuse; qu'ils y trouvent la PAIX et la JOIE en DIEU notre SAUVEUR.
Pitié mon DIEU pour que Ton REGNE arrive, mais sauve-les, il en est encore temps... Car le temps est proche et voici que JE VIENS. Amen!

VIENS, SEIGNEUR JESUS!

Réciter une dizaine de chapelet (1 Notre Père, 10 Je Vous Salue Marie)


Seigneur, répands sur le monde entier les trésors de ton infinie miséricorde.

« Seigneur, donne-nous la grâce de T'honorer à la Croix, donne-nous la lumière et la force d'accomplir ce que Tu veux de nous. Apprends-nous à aimer, à donner, mais aussi à Te donner et recevoir de Toi le pardon de nos péchés. Fais-nous entendre Ta voix, donne-nous Ta lumière, car sans Toi nous sommes seuls, et seuls, nous ne pouvons Te servir. Cette grâce ne peut s'accomplir qu'avec Toi, qu'avec Ta Complaisance, Viens Seigneur Jésus, tout accomplir en nous! »

Gloire au Père, et au Fils, et au Saint-Esprit, pour les siècles des siècles. Amen!

VIENS, SEIGNEUR JESUS (3)


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