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Les Saintes reliques, Source de guérison |
Lire aussi les chapitres : Messages sur les demandes de miracles et guérisons Miracles et guérisons |
Message de Jésus à John Leary (USA), le 24 avril 2014 [Selon la tradition, quelques gouttes du Saint Sang auraient été rapportées comme relique, en 1146, par Thierry d'Alsace à son retour de Terre sainte et furent conservées en la Basilique du Saint-Sang de Bruges. Cette relique est portée en procession dans les rues de la ville une fois par an lors de la procession du Saint-Sang.] Jésus : « Mon peuple, il y a de nombreux objets sacrés qui sont liés à Ma souffrance sur la terre. Cet objet à Bruges, en Belgique, contient une relique de mon Précieux Sang. L'un des miracles associés à cette relique, c'est, parfois, la liquéfaction du sang. Dans l’Évangile de ce
matin, Je
montrai à Mes apôtres Mes cinq plaies, et J’ai mangé
du poisson
pour leur montrer que J’étais dans la chair. Au
début, ils pensaient que J’étais un fantôme parce que
Je n’étais
pas venu par la porte. Après
avoir examiné Mes blessures, ils savaient que Je
n'étais pas un
fantôme, mais une personne dans la chair. » ---------------------------------- Le Saint Sang
de la basilique de Bruges Selon une légende, quelques gouttes
du Saint Sang auraient été rapportées comme
reliques, en 1146, par Thierry d'Alsace à son retour
de Terre sainte et furent conservées en la Basilique
du Saint-Sang de Bruges. Cette relique est portée en
procession dans les rues de la ville une fois par an
lors de la procession du Saint-Sang. Cette procession se déroule en
l'honneur d'un reliquaire contenant d'après la
tradition populaire des morceaux de terre du
Golgotha imbibés de gouttes de sang rapportées par
saint Longin de la Passion du Christ dans des
petites cassettes. La dépouille du centurion
saint Longin a été emportée à Mantoue (1) (Italie) avec les
reliques, dont une partie a été acquise par les
Guelfes grâce à l'empereur Henri III et au comte
Baudouin V de Flandre. Baudoin en donne une autre partie à
sa sœur Judith, duchesse de Bavière, qui se trouve
aujourd'hui à Weingarten, où se déroule une autre
procession du Saint-Sang, cette fois-ci équestre. (1) Selon la
tradition Longin le Centurion s'y serait installé
pour évangéliser la région. Les cassettes ont été
ensuite transmises en trois parties: l'une au pape
Léon IX, l'une au duc de Mantoue et la troisième à
Henri III. D'autres sources rapportent que saint
Longin a évangélisé la Cappadoce et que les
reliques ont été transportées à Constantinople,
puis à Mantoue où elles ont été transportées par
les Lombards. Henri III en a récupéré une partie
en 1055. Les
Saintes reliques, Source de guérison: Comment
les utiliser ? Message céleste de Sainte Thècle (Vierge et Martyre) donné à Jean-Marc (France, Lisieux) le Dimanche 9 Octobre 2005 - 17h25 Sainte Thècle (Vierge Martyre du 1er siècle, fêtée par l’Eglise Catholique le 23 Septembre) se manifeste d’abord par un parfum semblable à celui du jasmin. Elle est vêtue d’un blanc immaculé et porte sur sa tête un voile blanc vaporeux. Elle tient à la main droite une palme d’or. Elle est envoyée de la part de Dieu pour nous donner un enseignement sur le culte et la puissance de guérison des reliques des Saints, des Martyrs et des reliques de Notre Seigneur. Sainte Thècle s'est prononcée ainsi : -- Les reliques des Vierges Martyres seront utiles pour les cas de femmes stériles et pour les femmes ayant avorté.
-- La relique de la Sainte Croix doit être imposée sur les malades et sur les zones
malades. Il est nécessaire de dire un Notre
Père, un Je Vous salue Marie, un Gloire
au Père. On peut aussi imposer cette relique sur
les photos des malades. -- Les Saintes reliques de la Passion de notre Seigneur Jésus Christ doivent être utilisées pour les maladies du cerveau, de l’âme et les problèmes diaboliques. -- Les reliques des Saints Docteurs de l’Eglise doivent être utilisées pour les personnes ayant des problèmes de peau, de foie et du cœur. -- Les reliques des Saints Apôtres pour les personnes atteintes de maladies nerveuses et de dépression. Ces reliques rayonnent et transmettent la Paix du Seigneur. -- Les reliques de la Très Sainte Vierge et de Saint Joseph sont utiles pour toutes les maladies. Pour les agonisants, imposer la relique de Saint Joseph et réciter des prières en faveur des âmes du Purgatoire. -- Les reliques des grands prédicateurs et des témoins de la Foi: Ste Thérèse de l’Enfant-Jésus, Saint Curé d’Ars, Bienheureuse Mère Teresa, Père de Foucauld... Pour la conversion des âmes : imposer la relique sur le cœur de la personne. -- Les reliques de Sainte
Thérèse de l’Enfant-Jésus sont utiles pour les
petits enfants. -- Les reliques des Saints pénitents sont à utiliser pour remédier aux problèmes d’alcoolisme, de drogue, de tabagisme... Il
est nécessaire que la personne dise : « je promets devant Dieu de
renoncer au ... (tabac, à l’alcool, à la
drogue...). Donnez-moi la force d’y
résister. » Les
reliques sont une bénédiction permanente de Dieu
dans les maisons où elles seront vénérées et mises
dans le lieu de prière. Pour obtenir plus de
grâces, il est souhaitable de réciter la litanie
des Saints devant les reliques et d’ajouter le
nom du Saint ou du Martyr (s’il n’est pas inclus
dans la litanie).
Jean-Marc : « Qui
êtes-Vous ? »
Voici toute l’histoire qui entoure la fête de l’Exhaltation de la Sainte Croix ou encore de la Croix Glorieuse le 14 septembre. P.L. La Croix Glorieuse La fête de la Croix glorieuse rappelle deux fêtes distinctes, célébrées autrefois en des dates différentes : le 3 mai on célébrait l'Invention, c'est-à-dire la découverte, de la Sainte Croix, et le 14 septembre la fête de ce jour s'appelait l'Exaltation de la Sainte Croix. L'Invention de la Sainte Croix rappelait la découverte de la Croix du Seigneur, en l'an 326, au temps de sainte Hélène, la mère de l'empereur Constantin. L'Exaltation de la Sainte Croix, ou fête de la Croix glorieuse, commémore aujourd'hui le retour de la relique de la Sainte Croix à Constantinople d'abord, à Jérusalem ensuite, après avoir été pendant quinze ans, de 615 à 630, aux mains des païens perses. L'empereur Constantin, vainqueur par la Croix, lui rendait tous les honneurs dus à ce signe sacré du salut des hommes. En l'an 326, sa mère, sainte Hélène, inspirée par un mouvement d'en Haut, résolut, malgré son grand âge de près de quatre-vingts ans, de visiter les Lieux Saints et de chercher le bois salutaire sur lequel le Sauveur avait répandu son Sang. Sainte Hélène fit faire des fouilles au pied du Calvaire. On y découvrit trois croix, avec les clous qui avaient percé les mains et les pieds du Rédempteur et le titre que Pilate avait fait placer au-dessus de sa tête. Mais comment reconnaître laquelle de ces trois croix était celle du Sauveur ? L'évêque de Jérusalem eut l'heureuse pensée de les faire transporter chez une dame qui était sur le point de mourir ; l'approche des deux premières croix ne produisit aucun résultat, mais dès que la malade eut touché la troisième, elle se trouva guérie. Un autre miracle plus éclatant encore vint confirmer le premier, car un mort qu'on portait en terre ressuscita soudain au contact du bois sacré. On commémora bientôt ces événements par une fête : celle de la découverte de la Sainte Croix. Dans le même esprit, sainte Hélène fit bâtir au lieu de la découverte une magnifique église où fut déposée la plus grande partie de cette Croix ; elle envoya l'autre partie à Constantinople, où Constantin la reçut en triomphe. Trois siècles plus tard, vers l'an 615, sous le règne de l'empereur Héraclius Ier, les Perses s'emparèrent de Jérusalem et y enlevèrent la principale partie de la vraie Croix de Notre-Seigneur. Héraclius résolut de reconquérir cet objet précieux. Avant de quitter Constantinople, il vint à l'église, les pieds chaussés de noir, en esprit de pénitence ; il se prosterna devant l'autel et pria Dieu de seconder son courage ; enfin, il emporta avec lui une image miraculeuse du Sauveur, décidé à combattre avec elle jusqu'à la mort. Le Ciel aida sensiblement le vaillant empereur, car son armée courut de victoire en victoire ; une des conditions du traité de paix fut la reddition de la Croix du Christ dans le même état où elle avait été prise. Lors de son retour à Constantinople, Héraclius fut reçu par les acclamations du peuple ; on alla au-devant de lui avec des rameaux d'oliviers et des flambeaux, et la vraie Croix fut honorée, à cette occasion, d'un magnifique triomphe. L'empereur lui-même, en action de grâce, voulut rapporter à Jérusalem ce bois sacré, qui avait été quatorze ans au pouvoir des barbares. Quand il fut arrivé dans la Cité Sainte, il chargea la relique précieuse sur ses épaules ; mais lorsqu'il fut devant la porte qui mène au Calvaire, il lui fut impossible d'avancer, à son grand étonnement et à la stupéfaction de tous : "Prenez garde, ô empereur! lui dit alors le patriarche Zacharie; sans doute le vêtement impérial que vous portez n'est pas assez conforme à l'état pauvre et humilié de Jésus portant sa Croix." Héraclius, touché de ces paroles,quitta ses ornements impériaux, ôta ses chaussures, et, vêtu en pauvre, il put gravir sans difficulté jusqu'au Calvaire et y déposer la sainte relique. Pour donner plus d'éclat à cette marche triomphale, Dieu permit que plusieurs miracles fussent opérés par la vertu de ce bois sacré : -- un mort fut ressuscité, -- quatre paralytiques guéris ; -- dix lépreux recouvrèrent la santé, -- quinze aveugles la vue ; -- une quantité de possédés furent délivrés du malin esprit, et un nombre considérable de malades trouvèrent une complète guérison. A la suite de ces événements fut instituée la fête de l'Exaltation de la Sainte Croix, pour en perpétuer le souvenir. Bien plus tard, en l'an 1205, au lendemain de la quatrième Croisade, Henri, régent du Saint Empire Romain, envoya, de Constantinople à Namur, à son frère Philippe plusieurs reliques de la Passion du Seigneur. Parmi ces reliques figurèrent des fragments de la vraie Croix, celle reconnue par sainte Hélène et restaurée par l'empereur Héraclius. Deux ans après, en décembre 1207, le même Philippe marquis de Namur donna solennellement ces reliques à l'église Saint-Aubain. Depuis cette époque, la présence d'une relique de la Sainte Croix dans notre église est signifiée par une croix à double traverse qui surmonte le clocher. Ce qui peut se voir sur le clocher de l'ancienne cathédrale, ainsi que sur la coupole de la cathédrale actuelle. Au cours du XIXe siècle, la dévotion à la Sainte Croix s'accrut parmi les chanoines et les paroissiens de Saint-Aubain, si bien qu'une célébration hebdomadaire fut instituée pour vénérer la relique. Autrefois célébrée sous la forme d'une procession, cette vénération se traduit aujourd'hui par un cantique et une adoration, à la fin de chaque messe du mercredi, ou du vendredi, lorsqu'il s'agit du temps de l'Avent ou du Carême. La Croix est un signe, le signe du Salut en Jésus Christ ! Nous allons maintenant célébrer cet autre signe du Salut : celui du pain et du vin. Un signe qui est plus qu'un signe, puisqu'il est signe d'une réalité qu'il contient en lui : le Corps et le Sang du Christ ! Célébrons ensemble le mémorial de la Passion et de la Résurrection du Seigneur, et accueillons en nous Jésus, celui dont la venue sera un jour annoncée par le signe de la Croix dans le Ciel ! Chanoine Dr. Daniel Meynen de Belgique - 14 sept. 07 |