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Marcel Van
(1928-1959)
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Marcel Van est né le 15 mars 1928 à Ngam Giao, au Viêt Nam, d'une famille profondément chrétienne. Il fut baptisé le lendemain, sous le patronage de saint Joachim.

En juillet 1954, après les accords de Genève, le Viêt Nam est coupé en deux. Alors que de nombreux chrétiens fuient le nord pour se réfugier au Viêt Nam Sud, Marcel Van qui est au sud, demande à retourner au Nord, devenu communiste. Il est arrêté, le 7 mai 1955, jugé et condamné à 15 ans de travaux forcés.Il meurt d’épuisement et de maladie le 10 juillet 1959 à l'âge de 31 ans.

Le procès de béatification de Marcel Van a été ouvert le 26 mars 1997 au diocèse de Belley-Ars. Le Cardinal François-Xavier Nguyên Van Thuân fut le premier postulateur.

Dans sa spiritualité, Marcel Van était très proche de Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus. Il lui était demandé de prier et de faire prier pour la France.
Lorsque Marcel Van était en prière, Jésus et Marie se montraient souvent à lui.

Voyage au Vietnam

(Vincent 29 septembre 2016) Je reviens d'un voyage au Vietnam, Ce pays n'est plus communiste car le capitalisme y est roi, mais c'est toujours une dictature plus ou moins mafieuse. Le guide nous disait : "On peut tout faire au Vietnam, sauf de la politique. Le peuple vietnamien est libre comme l'est un cerf-volant".

L'ennemie du Vietnam actuellement est la Chine, qui se fait de plus en plus menaçante.
 
Je fus durant ce voyage en union spirituelle avec Marcel Van dont je viens de commander les livres.

Le culte des ancêtres est très présent dans la culture vietnamienne. Il existe un bouddha "homme" et un "femme" qui s'occupe des personnes en souffrances, ce qui m'a fait penser à la Sainte Vierge. Le catholique n'est pas dépaysé dans le Vietnam bouddhiste car le système de croyances est similaire. Un Protestant en revanche n'y trouverait pas son compte.

Pour exemple, on a visité la Pagode de la Dame céleste

(Wikipédia) La pagode de la Dame céleste, construite en 1601, est la pagode la plus haute du Viêt Nam avec les six étages supérieurs de sa tour, dénommée « Source de félicité ». Elle se trouve à Hué sur la colline Hà Khê à trois kilomètres de la citadelle de Hué et surplombe la rivière des Parfums. C'est un des symboles majeurs de la ville. Selon la légende, une dame apparut un jour en ces lieux et prédit que celui qui bâtirait une pagode sur cette colline fonderait une grande dynastie.

Dans les temples et pagodes bouddhistes, les fidèles déposent des offrandes (de la nourriture), certaines sous forme de faux billets (dollars ou euros) qui sont ensuite brulés et des intentions de prière sur papier également brulées (et aussi des objets en papier). Tout cela monte au ciel en fumer.
Lorsqu'il y a une statue de Bouddha, c'est une pagode, gérée par des moines, (les moines recueillent les orphelins) sinon, on appelle ça un temple pour prier les ancêtres.

Le culte des ancêtres est omniprésent. Chaque maison possède son hôtel des ancêtres.

On ne voit aucun bonze au Vietnam, il faut aller dans les pays avoisinants pour en voir. Le catholicisme semble avoir fait fuir les monastères bouddhistes qui sont encore présents mais assez rares. Les moines bouddhistes au Vietnam ont des tenues marrons foncés, ressemblants de celles des religieux catholiques, et non pas orange (sauf lors des cérémonies).

Image ci-dessous, Notre-Dame de Saigon, avec ses briques roses de Toulouse.   Voir d'autres photos

 



Si mon Père du Ciel révélait au monde jusqu'à quel point lui est agréable une âme d'enfant, il est probable que le monde reconnaitrait cet enfant comme roi de l'univers

Message de Jésus et Marie à
Marcel Van, reçus en 1946, sur les enfants

Marcel Van, qui avait une vraie âme d’enfant, poursuit ici sa méditation sur les enfants : « Voici ce que j'ai vu hier soir durant la méditation : Jésus m'a dit que seul mon père spirituel comprendrait cette vision. »

Donc, en entendant lire le passage sur la Passion, je ne savais pas du tout comment méditer. Je demandai alors à Jésus de m'apprendre à méditer. Mais Jésus ne disait rien. Je lui ai ensuite posé cette question : « Jésus, es-tu triste de rester toujours dans ce tabernacle ? » Mais il ne répondit pas d'avantage. Je vis seulement qu'il me regardait en pleurant. Voyant cela, je me mis aussi à pleurer.

Mais j'avais à peine pleuré un instant, que Jésus se mit à sourire et me dit : « Assez Van, je ne suis plus triste.
[Jésus passe des pleurs au sourire comme le ferait un enfant.] Peu après, je le vis de nouveau, comme les précédentes fois, toujours pieds nus et revêtu d'une robe blanche descendant jusqu'en bas des genoux. Il se tenait debout et ne faisait que me regarder. Il me dit alors qu'il allait m'apprendre à le regarder...

Ensuite, je vis soudain une croix apparaitre à côté de Jésus, en haut de cette croix était suspendu un morceau de tissu sur lequel était imprimée la Face de Jésus. Jésus me regarda d'un air très joyeux, puis me montrant la Croix, il me dit : « Petit frère, voici ta part d'héritage, voici la part d'héritage des enfants. L'as-tu vue clairement ? »

Puis Jésus se désignant lui-même ajouta : « Petit frère, voici l'ascenseur qui te fera entrer en possession de cet héritage, et il en sera de même pour les enfants. Tu as compris ? C'est là la voie par où t'a conduit jusqu'à maintenant ta sœur Thérèse et qu'elle a elle-même suivie. Petit frère, dis cela aux enfants. » Ensuite, j'ai réalisé que c'était fini. Cependant, cette vision reste toujours gravée dans mon esprit ; je n'en ai pas oublié le moindre détail.

O Mère, qui sait s'il ne sera pas donné aux enfants d'être tes petits apôtres ? C'est là un simple souhait que j'exprime car de fait, je ne connais pas ton intention. Toi-même sais s'il est juste ou non. Quoi qu'il en soit ô Mère, je te prie d'avoir pitié des enfants. Mes sentiments sont semblables aux leurs, de sorte que, comprenant les miens, tu comprends également ceux des enfants.

Mère, je pense sans cesse aux âmes des enfants. Impossible pour moi de chasser cette pensée. A mon avis, si mon Père du Ciel révélait au monde jusqu'à quel point lui est agréable une âme d'enfant, il est probable que le monde reconnaitrait cet enfant comme roi de l'univers. S'il n'y avait pas les enfants dans le monde pour réjouir le regard de notre vrai Père du ciel, certainement que Celui-ci ne voudrait plus abaisser son regard sur cette terre.


Autrefois, Jésus a particulièrement grondé les apôtres parce qu'ils avaient empêché les enfants de venir à lui. O Mère, bienheureux les enfants ! Jésus les a aimés plus que tous les autres. Durant sa vie, il n'a pas hésité à les prendre dans ses bras et à leur donner des baisers. Et parmi les privilégiés de Jésus, personne n'a eu la faveur d'être pressé sur son Cœur et de recevoir ces marques d'amour, si ce n'est ces enfants. O Mère, nous sommes vraiment privilégiés, nous, les enfants...

O Mère, me voilà rendu au bout de mon papier ; il ne me reste plus que quelques lignes. Veuille donc me donner un baiser, de même qu'aux âmes de tes enfants chéris... O Marie, les enfants sont vraiment comme des livres toujours ouverts où tous les hommes peuvent apprendre la conduite à tenir à l'égard de leur vrai Père du Ciel. Mais, ô Mère, comment se fait-il que je comprenne ces choses ? En vérité, c'est là l'œuvre de ma sœur, la petite Thérèse.

Mais parce que, autrefois, elle n'a pas eu assez de temps pour parler de toi aux enfants, elle veut bien se servir de moi maintenant pour le faire à sa place. Si je parle ainsi, ce n'est pas du tout dans l'intention d'arriver, par ces paroles, à me faire connaitre de tous les hommes mais bien parce que Jésus m'a révélé clairement ces choses aux environs du carême, l'an dernier, alors que j'étais assis sur ses genoux...



Les enfants possèdent toujours en eux la Trinité et goûtent continuellement les joies naturelles que leur prodigue la même Trinité...

Message de Jésus à Marcel Van, reçu en 1946, sur les enfants

Van : Maintenant, Jésus, permets-moi une question. Pourquoi, dans l'Evangile, profères-tu des menaces si terribles contre ceux qui scandalisent les enfants ? Dans tout l'Evangile, si je me rappelle bien, c'est peut-être le seul passage où tu dis de telles choses.

Jésus : Petit frère, ne comprends-tu pas pourquoi il en est ainsi ? Je vais te l'expliquer... La seule différence qu'il y a entre l'âme des enfants et les anges du ciel, c'est que l'âme des enfants est unie à un corps et que, par conséquent, elle a des défauts naturels. Mais malgré cela, l'âme des enfants et pure comme les anges du ciel. De là que les enfants possèdent toujours en eux la Trinité et goûtent continuellement les joies naturelles que leur prodigue la même Trinité...

Pas besoin de m'étendre longuement sur ce sujet ; je me contente de dire que l'âme des enfants est un temple parfaitement pur où habite la Sainte Trinité. C'est pourquoi quiconque scandalise l'un de ces petits fait lui-même signe au démon, l'invitant à venir plus tard avec le péché pour souiller l'âme de cet enfant. Celui qui agit ainsi enlève à la Trinité un temple magnifique ; il enlève aux saints une demeure où ils pouvaient louer la Trinité ; il expose l'âme de cet enfant à perdre son innocence.

C'est pour ces raisons que je profère de si graves menaces contre le scandaleux qui outrage la Sainte Trinité d'une manière on ne peut plus monstrueuse. Van, même les démons et les damnés en enfer ne peuvent outrager à ce point la Trinité. La mort serait pour lui préférable au scandale.l'âme de cet enfant ne voit plus clairement la vraie lumière, elle ne voit plus clairement son divin époux, car le péché a laissé son empreinte dans son cœur innocent. Quant au Saint-Esprit, il ne peut plus, librement, donner à cette âme les baisers de l'Amour. Ainsi donc, dans ses relations avec cette âme, la Trinité se trouve empêchée d'agir en toute liberté comme auparavant.

Devant le regard de Dieu le Père, l'âme de cet enfant perd la beauté naturelle qu'elle tenait de lui parce que le sceau du péché a été imprimé en elle. Dans ses rapports avec Dieu le Fils,

Van, n'est-ce pas là une chose terrible ? Mille fois malheur au monde ! Combien d'âmes encore pures ont été corrompues à cause de lui. Le monde est tellement aveuglé qu'il a détruit presque tous les temples magnifiques de la Trinité... Van, écoute... Le monde est bien stupide. Le cœur des enfants et devenu comme un temple où habite ici-bas la Bonté du Dieu Trinité et cette Bonté a le pouvoir d'attirer sur le monde le regard bienveillant de la Trinité ; malgré cela, le monde travaille à détruire ces temples de la Divine Bonté et à les dissimuler au moyen du scandale.

O monde, sans l'Amour, tu serais déjà entièrement détruit et réduit en cendres. O monde, Dieu veut maintenant te transformer au moyen de l'Amour ; il faut que tu vives dans l'Amour.... Cependant, Van mon petit frère, pour en arriver là, il faudra beaucoup de prières. Car le monde s'oppose encore à l'amour.





Message de Jésus et Marie à Marcel Van, donnés en 1946, sur les apôtres des derniers temps

L'ARMEE DE LA SAINTE VIERGE

Jésus : « Il y aura aussi plus tard une armée de la Sainte Vierge.... souviens toi de prier dès maintenant pour cette faible armée car à peine sera-t-elle lancée dans la bataille, tout l'enfer se lèvera en bloc contre elle, de sorte qu'elle se verra comme dans l'impossibilité de lui tenir tête.

Mais dans la suite, l'enfer subira une défaite retentissante et alors la Sainte Vierge sera glorifiée sur cette terre.

Tu dois prier beaucoup pour que cette armée puisse lutter avec ardeur et courage jusqu'au bout. Cette armée n'existe pas encore actuellement, mais elle existera plus tard...



LES APOTRES DE MARIE

Le 3 septembre 1946, durant la méditation du soir, Van a une vision de Marie. Avec toute sa candeur, il trouve que « son visage a beaucoup de ressemblance avec celui de l'Enfant-Jésus, mais un peu moins joufflu ».

La sainte Vierge lui dit : « Van mon enfant, ne crains rien, malgré les souffrances, tu resteras toujours abrité sou mon manteau, en compagnie de l'Enfant-Jésus.....Mes mains deviendront l'autel du sacrifice, tandis que toi, à l'exemple de sainte Thérèse, tu seras la victime d'holocauste offerte à l'Amour que Jésus accueillera... »

Le lendemain, Marie se mit alors à insister sur la venue de son règne : « Mon petit Van, voici une chose que je te recommande et que tu devras mettre en pratique... Je fais la même recommandation à ton père spirituel : demain, premier samedi du mois, jour qui m'est consacré, je ne te demande rien d'extraordinaire, mais seulement d'offrir tes œuvres à l'intention de mes petits apôtres – ceux-là qui doivent plus tard établir mon règne sur terre – afin que, remplis de ferveur et de courage, ils puissent tenir tête au monde et à l'enfer. Mon règne arrivera après celui de l'Amour de Jésus ; et ce règne sera plus ou moins stable ici-bas, selon qu'il y aura plus ou moins de prières. Si l'on prie peu, il durera peu ; mais plus on priera, plus aussi mon règne sera solide et de longue durée.

Vu que mon règne viendra après le règne de l'Amour de Jésus, il ne sera que le signe qui révélera clairement aux hommes le Règne de l'Amour de Jésus, et amènera le monde à reconnaitre que je suis vraiment Mère.



MARIE CONTINUE A REVELER A VAN SA MISSION (5 janvier 1946)

Mon enfant, souviens-toi toujours que je t'ai donné une mission particulière envers moi.....Tu dois beaucoup prier pour les apôtres de mon règne. La prière leur servira d'arme et de nourriture ; et avant de les engager dans la bataille contre l'enfer, il faut que je leur prépare cette arme et cette nourriture dont ils se serviront plus tard.

C'est à toi que je confie cette mission que tu devras remplir pendant que tu es encore sur cette terre.
Au ciel, je t'en confierai une autre ».

Au XVIIIe siècle, saint Louis Marie Grignon de Montfort annonçait le règne de Marie par l'éclosion future des apôtres des derniers temps ; au XXe siècle, on voit se lever beaucoup d'apôtres de Marie dont l'admirable saint Maximilien Kolbe. En 1936, celui-ci écrit : « Il faut que l'Immaculée règne dans le cœur de tous ceux qui se trouvent partout dans le monde sans distinction de races, de nationalités, de langues et, aussi, dans le cœur de tous ceux qui vivront en n'importe quel temps jusqu'à la fin du monde......Ceux qui se donnent à l'Immaculée désirent conquérir pour elle le monde entier...»

Marie donne encore des précisions sur ses futurs apôtres : « Van, écoute-moi. Comme Jésus te l'a dit auparavant, au début de la lutte, mes apôtres paraitront très faibles, si faibles qu'on les croira incapables de tenir tête à l’enfer... Par là, mes apôtres apprendront à être plus humbles... Cependant, plus l'enfer aura été victorieux auparavant, plus il sera honteux ensuite, car ce ne sera pas moi en personne qui écraserai la tête de Satan, mais mes enfants....

Voyant que j'utilise mes faible enfants, comme autant de pieds pour lui écraser la tête, Satan sera honteux..... Ensuite, mon règne s'établira peu à peu dans le monde, comme Jésus te l'a dit. Je serai beaucoup glorifiée sur la terre, mais, petit enfant, il faut que tu pries beaucoup pour mes petits apôtres. Prie en paroles, prie par tes soupirs, prie par tes désirs...






En présence de Jésus, Marcel Van dialogue avec sa petite sœur Thérèse, en novembre 1945 : la petite Thérèse rassure Marcel Van sur l’avenir de la France

UN DRAPEAU NOIR SUR LA FRANCE

Jésus me dit : Mon enfant, prie pour la France, sinon malheur à elle !

En disant ces paroles, il avait l'air plus triste qu'auparavant, mais je ne l'ai pas vu pleurer. J'ai constaté seulement qu'il fixait du regard le drapeau noir qui se trouvait là ; puis me regardant de nouveau, il sourit et me recommanda de vous communiquer ces choses...

Durant la méditation qui suivit je revis ma sœur Thérèse. Elle avait d'abord les yeux fixés sur le drapeau puis elle me regarda de nouveau, ne cessant de sourire. Mais au moment où elle leva une seconde fois les yeux vers le drapeau noir, les larmes inondaient son visage. Le regard fixé sur le drapeau, elle ne cessait de verser d'abondantes larmes. J'en fus tellement ému que je me mis moi-même à pleurer.

Thérèse pleurait toujours. C'était la première fois que je la voyais pleurer ainsi. Maintenant encore, quand j'y pense, je ne peux retenir mes larmes. Ma sœur leva ensuite les yeux sur Jésus qui, lui, ne pleurait pas, se contentant de regarder le drapeau. J'ai entendu alors ma sœur Thérèse, toujours en pleurs, parler à Jésus en français. Je n'ai retenu que quelques mots que, d'ailleurs, je ne peux écrire correctement...

Elle disait : « O mon Jésus... Jésus… Embrasse la France... »

C'est tout ce que j'ai retenu et je n'y comprends rien. Ma sœur Thérèse me regarda de nouveau, ses larmes avaient cessé de couler et elle me dit : « Mon cher petit frère, qu'est ce que tu penses de cela ? » Je me contentai de lui répondre : « Tout ce que je peux faire c'est de prier ». Elle ajouta : « Oui, mon petit frère, prie, ne cesse pas de prier ! »

Vers la fin de l'oraison, je vis que le drapeau noir était brisé et qu'il gisait par terre. Alors, Jésus se pencha de nouveau sur moi… Comme au début... Thérèse fit de même et je ne vis plus rien, si ce n'est mes larmes qui coulaient en présence d'un si grand amour....

Quand je me voyais assis sur les genoux de Jésus, je tenais en main du papier et une plume et j'étais très beau, n'ayant pas la taille que j'ai maintenant mais celle d'un enfant de 4 ans…Ma sœur Thérèse était, elle aussi, très belle. Cette fois, je l'ai vue plus distinctement; son visage frais et souriant venait encore ajouter à ma beauté.

THERESE RASSURE VAN SUR LA FRANCE

Suite à une question de Van sur la France, Frère Eugène lui répondit : « La France est actuellement très corrompue; tout le pays est communiste. On a tué des prêtres et on persécute la religion plus qu'en Russie ». Van était absolument découragé.

En ce temps-là, ma sœur Thérèse me recommandait de prier beaucoup pour la France mais après avoir entendu ces paroles du frère Eugène, j'étais comme découragé, d'autant plus qu'il affirmait que plusieurs pères soutenaient ce qu'il avait dit.

J'interrogeais alors ma sœur Thérèse qui me répondit : « Reste tranquille, petit frère ; même si les paroles du frère Eugène étaient dix fois vraies, tu ne dois pas te troubler. Même si toute la France était réellement telle qu'il le dit, il suffirait qu'on y trouve un seul français qui aime Jésus, pour qu'il ait de nouveau pitié de la France. »

Jésus : « Oh !! Petit frère, il faut que tu pries vraiment beaucoup pour la France, surtout pour que les français soient toujours prêts à répandre mon Amour dans tout l'univers. Mais il faut faire en sorte que le règne de mon Amour s'établisse au plus intime du cœur des français. »

Jésus : « Le mois prochain, ta sœur Thérèse te donnera une formule de prière à cette intention. Je ne t'ai pas demandé de prier spécialement pour un autre pays, je te l'ai demandé uniquement pour la France. Quand la France a la joie de t'avoir comme intercesseur, que peut-elle désirer de plus ? »


Jésus, souriant à Van : « De plus, ces prières ne sortent pas de la bouche d'un homme de ce monde ; elles ont leur source dans mon Amour même. Etant favorisée à ce point, qu'est ce que la France peut désirer de plus ? Et pourtant, il y a encore un très grand nombre qui ne savent pas m'aimer »...




Une fois libérée du communisme, elle aura affaire à une société secrète plus perverse encore : la Franc-maçonnerie !

Message de Notre Dame à Marcel Van, Marcel Van reçu le 15 novembre 1945 : Marcel Van reçoit des visions sur la France, Marie lui parle de l’établissement du règne de son Cœur Immaculé

Pendant la bénédiction du Très Saint Sacrement, j'ai vu Jésus assis me prendre sur ses genoux (j'avais alors la taille d'un petit enfant) et m'étreindre dans ses bras. Je ne cessais de le regarder et lui, de son coté, me regardais aussi puis, approchant son visage du mien, il me donna un baiser. Ensuite, me faisant signe de regarder devant moi, il me dit à l'oreille : « Regarde la France, regarde la France ! »

Je tournai donc la tête et portai mon regard dans la direction qu'il m'indiquait de la main; j'aperçus un drapeau noir qui était planté là. Quant à ma sœur Thérèse, de son bras gauche, elle m'entourait l'épaule gauche et de ne cessait de me regarder en souriant comme si elle n'avait pas remarqué le drapeau planté devant elle... Un instant après, Jésus regarda ma sœur Thérèse et dit : « Pauvre France ! Une fois libérée du communisme, elle aura affaire à une société secrète plus perverse encore : la Franc-maçonnerie ! »

Notre Dame a dit : « Van, écoute-moi. Comme Jésus te l’a dit auparavant, au début de la lutte, mes apôtres paraîtront très faibles, si faibles qu'on les croira incapables de tenir tête a l'enfer... Par là, mes apôtres apprendront à être plus humbles. Cependant, plus l'enfer aura été victorieux auparavant, plus il sera honteux ensuite, car, ce ne sera pas moi en personne qui écraserai la tête de Satan mais mes enfants...


Ensuite, mon règne s'établira peu a peu dans le monde, comme Jésus te l'a dit. Je serai beaucoup glorifiée sur la terre, mais petit enfant, il faut que tu pries beaucoup pour mes petits apôtres...
Le monde entier me reconnaîtra pour sa véritable Mère, et, c'est alors qu'il comprendra clairement l'amour dont mon cœur déborde pour lui.

Prie, le règne de l'amour arrivera bientôt dans le monde... Petit Van, sache que je me choisis des apôtres dans tous les pays, et, il y en a dans chaque pays... Je me servirai de la France pour étendre le règne de mon amour partout... Surtout, prie pour les prêtres de la France, car, c'est par eux que j'affermirai en ce pays le règne de mon amour... Français, mes enfants et vous mes prêtres de France, je vous aime.

Soyez sur vos gardes. [Il est un] parti [qui], contrairement au parti communiste, ne nuira pas directement à mes enfants... Il détruira [la foi] peu a peu ; oui, peu a peu, il va se propager, peu a peu il va vomir sa fumée infernale pour vous faire mourir asphyxiés ; il agira de façon a vous éloigner peu a peu de mon amour, pour vous rapprocher de l'amour profane...

Pauvre France, une fois libérée de communisme, elle subira une influence plus perverse encore, celle de la franc-maçonnerie.





Surtout, prie pour les prêtres de France, car c'est par eux que j'affirmerai
en ce pays le règne de mon Amour


Message de Jésus à Marcel Van, reçus en 1945 : le Seigneur va s’appuyer sur la France pour établir son règne d’Amour

« Ô mon enfant, prie pour le pays que j'aime particulièrement...
Ah ! La France... Si on ne prie pas, elle sera encore une fois malheureuse, et le Règne de mon Amour ne pourra que difficilement s'y établir...

Van, ne doute pas de ce que je viens de te dire, en voyant que la situation en France est déjà un peu plus stable
[1945 : la deuxième guerre mondiale vient de se terminer]...

Mon enfant, je parle ainsi pour que la France soit avertie et sache prévenir, car l'Ennemi veut faire de ce pays un foyer de discordes. Il faut beaucoup prier... France ! France ! Promets-tu d'être fidèle ? Es-tu décidée à protéger et étendre le Règne de mon Amour dans le monde ?


Je me servirai de la France pour étendre le règne de mon Amour partout... Surtout, prie pour les prêtres de France, car c'est par eux que j'affirmerai en ce pays le règne de mon Amour. Van, n'oublies pas le pays que j'aime le plus, tu entends ? C'est en France que mon Amour s'est tout d'abord manifesté.

Ô monde, Dieu veut maintenant te transformer au moyen de l'amour ; il faut que tu vives dans l'amour... Cependant, pour en arriver là, il faudra beaucoup de prière, car le monde s'oppose encore à l'amour.


Marcel Van : Pour moi, tout ce que je sais, c'est que Jésus veut rétablir en ce monde le règne de son Amour ; c'est par le lien de l'Amour qu'il veut ramener l'unité dans le monde, faire du monde un royaume qui lui appartienne en propre. Le règne de son Amour deviendra un pilier de feu qui soutiendra le monde sur le point de se disloquer... Et si le monde revient à la vie, il le devra à cette flamme d'Amour. ».




de la France, mon Amour s'étendra dans le monde...
Je me servirai de la France pour étendre le règne de mon amour partout...


Message de Jésus à
Marcel Van, reçus en 1945 : prédilection du Seigneur pour la France – union de la France et du Vietnam

En la fin de l'année 1945, voici que Jésus explique à Marcel Van, sa prédilection pour la France :

« Van, n'oublies pas le pays que j'aime le plus, tu entends ?... Le pays qui a produit la première petite fleur qui, depuis, en a engendré beaucoup d'autres...

Cette petite fleur, c'est celle que j'ai choisie pour être ta sœur aînée, Thérèse... Van, considère cette fleur-là et comprends ceci : c'est en France que mon amour s'est tout d'abord manifesté. Hélas ! Mon enfant, pendant que le flot de cet amour coulait par la France et l'univers, la France de façon sacrilège l'a fait dériver dans l'amour du monde, de sorte qu'il va diminuant peu à peu... C'est pourquoi la France est malheureuse.

Mais, mon enfant, la France est toujours le pays que j'aime particulièrement... J'y rétablirai mon amour... Et pour commencer à répandre sur elle mon amour, je n'attends désormais qu'une chose : que l'on m'offre suffisamment de prières. Alors, mon enfant, de la France, mon Amour s'étendra dans le monde... Je me servirai de la France pour étendre le règne de mon amour partout...

Surtout, prie pour les prêtres de France, car c'est par eux que j'affermirai en ce pays le "Règne de mon Amour..."

Le Seigneur parle ensuite de la future et mystérieuse union de la France et du Vietnam dont Thérèse et Van sont le symbole :

« Pour ce qui est de ton temps, le Vietnam, la France est actuellement son ennemie ; mais dans l'avenir, elle fera de lui un pays qui me rendra un plus glorieux témoignage... Ô Van, ce que ta sœur Thérèse fait pour toi, tu dois le faire aussi pour la France.

Je veux que l'union qui existe entre les deux petites fleurs (de France et du Vietnam) soit le symbole de l'union que je veux voir régner entre la France et le Vietnam... Mon enfant, souviens-toi que c'est avec la France, que ton pays le Vietnam parviendra à consolider le Règne de mon Amour. Prie pour que les deux pays ne fassent plus qu'un ensemble...

Ô mon enfant, mon amour te donne le nom de seconde petite Thérèse. Dans le ciel, je te donnerai pour mission d'aider ta grande sœur Thérèse à inspirer au monde la confiance en mon amour...





Je me servirai de la France pour étendre le règne de mon amour partout...

Extrait des prophéties données à Marcel Van par la Vierge Marie, en 1946 :


Van, écoute-moi. Comme Jésus te l’a dit auparavant, au début de la lutte, mes apôtres paraîtront très faibles, si faibles qu'on les croira incapables de tenir tête a l'enfer...

Par là, mes apôtres apprendront à être plus humbles. Cependant, plus l'enfer aura été victorieux auparavant, plus il sera honteux ensuite, car, ce ne sera pas moi en personne qui écraserai la tête de Satan mais mes enfants... Ensuite, mon règne s'établira peu a peu dans le monde, comme Jésus te l'a dit. Je serai beaucoup glorifiée sur la terre mais, petit enfant, il faut que tu pries beaucoup pour mes petits apôtres...

Le monde entier me reconnaîtra pour sa véritable Mère, et, c'est alors qu'il comprendra clairement l'amour dont mon cœur déborde pour lui. Prie, le règne de l'amour arrivera bientôt dans le monde...

Petit Van, sache que je me choisis des apôtres dans tous les pays, et, il y en a dans chaque pays... Je me servirai de la France pour étendre le règne de mon amour partout... Surtout, prie pour les prêtres de la France, car c'est par eux que j'affermirai en ce pays le règne de mon amour...

Français, mes enfants et vous mes prêtres de France, je vous aime. Soyez sur vos gardes. Ce parti [la franc-maçonnerie], contrairement au parti communiste, ne nuira pas directement à mes enfants...

Il les détruira peu a peu ; oui, peu a peu, il va se propager, peu a peu il va vomir sa fumée infernale pour vous faire mourir asphyxiés ; il agira de façon a vous éloigner peu a peu de mon amour, pour vous rapprocher de l'amour profane...

Pauvre France, une fois libérée de communisme, elle subira une influence plus perverse encore, celle de la franc-maçonnerie.





Prière pour la France

Prière dictée par Jésus à Marcel VAN - 14 novembre 1945


Jésus : Petit enfant de mon amour, écoute, Je vais te dicter une prière et cette prière, Je veux que les Français Me la récitent :

Seigneur Jésus, aie compassion de la France, daigne l'étreindre dans Ton amour et lui en montrer toute la tendresse. Fais que, remplie d'amour pour Toi, elle contribue à Te faire aimer de toutes les nations de la terre. Ô amour de Jésus, nous prenons ici l'engagement de Te rester à jamais fidèles et de travailler d'un cœur ardent à répandre Ton Règne dans tout l'univers.

Amen




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