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Le péché d’indépendance
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Autres chapitres : 
     
Obéissance   Votre mission   Abandon et confiance en Dieu   Adoration

La plus grande erreur, c’est l’indépendance.
C’est comme dire à Dieu : je n’ai pas besoin de Toi.


Message reçues par Alice Lenczewska (1934-2012)  Lire le livre (PDF) dont est issu ce message Exhortations


22 novembre 2004

Jésus : L’enfance spirituelle consiste à devenir entièrement dépendant de Dieu.
La plus grande erreur, c’est l’indépendance. C’est comme dire à Dieu : je n’ai pas besoin de Toi. Il y a en cela une trace de mépris et de se placer au-dessus de Dieu.


C’est justement ce qui caractérise le monde moderne, ce qui a commencé à la renaissance, à cette époque où l’on a déifié l’homme et son intelligence, en s’opposant à Dieu. L’homme est devenu l’ennemi de Dieu, il s’est mis à Le combattre et à s’efforcer de retirer à Dieu Sa tout-puissance, pour se l’approprier.

Combattre Dieu, c’est toujours combattre son prochain. D’où cette quantité de sang, de violence et de mort. Lucifer a voulu être indépendant, égal à Dieu et enfin supplanter Dieu. Mais comme il n’est pas le créateur, il ne peut rien créer, et sa seule activité c’est de détruire et de tuer non seulement les corps, mais surtout les âmes.

L’offrande enfantine de soi à Dieu est donc la décision la plus parfaite pour une créature intelligente. C’est la plus parfaite aspiration et le désir le plus parfait pour l’homme – pour Mon enfant bien-aimé, à qui J’ai donné une intelligence et un coeur capable d’aimer.

Se détourner de Dieu, surtout par la coupure définitive et la rébellion, est un suicide et un déicide. C’est tuer en soi ce qui est Divin, et ainsi se condamner à une souffrance éternelle et terrible, c’est comme s’arracher son propre coeur.


Tu vois, Mon enfant, Moi, Je me suis offert à Dieu en Sacrifice pour vous sauver. Chaque homme est sauvé et peut revenir à Dieu – à la Plénitude pour laquelle il a été créé. Il le peut dans la mesure où il ne rejette pas ce don et ne méprise pas le don, ni Dieu – auteur du don.






Puisque tu t’es offerte à moi, tu n’a pas le droit d’être indépendante


Message reçues par Alice Lenczewska (1934-2012)  Lire le livre (PDF) dont est issu ce message Exhortations

Message du 2 octobre 1990

J’ai déjà parlé plusieurs fois du péché d’indépendance. Tu vis sur cette terre pour te débarrasser du péché d’indépendance et apprendre l’offrande enfantine envers moi.

Chacune de tes situations et chaque rencontre avec le prochain est différente si tu demeures en moi consciemment et si tu désires que je sois en toi, dans cette situation, et dans ton prochain.

Puisque tu t’es offerte à moi, tu n’a pas le droit d’être indépendante.

C’est-à-dire te mesurer à quoi que ce soit ou qui que ce soit sans être consciemment unie à moi. Ou bien te permettre un flux que pensées, de sentiments, de paroles et d’actions qui ne me sont pas soumis.

Tu n’as pas le droit de suivre, que ce soit par le cœur ou l’esprit, tes désirs égoïstes, tes imaginations, tes projets.
Tu ne devrais pas permettre en général que quelque chose naisse en toi, ou atteigne ton intérieur, sans qu’il soit uni à moi.


Il y a une énorme différence entre rencontrer quelqu’un en faisant abstraction de moi (quand tu manifestes uniquement toi-même : ta faiblesse, ton néant, ta vanité, ton orgueil, etc.) et rencontrer quelqu’un en demeurant consciemment en moi, quand tu manifestes ma sagesse et Mon amour.

La différence est énorme ! Et les gens le sentent quand tu es avec eux. Ou bien ils sont scandalisés par toi, ou bien ils s’empressent vers toi, parce qu’ils me voient en toi. Et, quand tu es consciente de ce mécanisme, tu deviens responsable de m’ignorer avec insouciance et d’entreprendre, indépendamment de moi, des choses dans ton cœur et envers les gens.

L’indépendance est le péché principal de l’homme et de l’humanité. Et d’Adam et d’Ève. Et de Satan.

Et le tien aussi.
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(Vincent le 4 janvier 2017) Je viens de lire le livre "Ceux des baraquements", un ouvrage qui a la particularité d'être tellement prenant qu'on le lit d'une seule traite.
L'homme raconte son parcours de vie, semé d'embuche, commencé enfant dans un bidonville en Bretagne dans les années 50.

En finale, l'auteur et acteur du livre en conclut qu'il est impossible de vivre sans l'aide des autres (des hommes et de Dieu). Cela rejoint le thème de ce chapitre.




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