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Pluie, sécheresse et prières |
Le message que nous t’avons donné de prier pour avoir de la pluie ne fut pas assez largement répandu. Messages du Ciel donnés à Valentina Papagna de l’Australie - 22 février 2007. Ce matin, pendant que je priais l’Angelus, la Sainte Mère m’est apparue. Elle a dit : « Vous continuez d’avoir du temps très chaud et sec dans ce pays de l’Australie. Le message que nous t’avons donné de prier pour avoir de la pluie ne fut pas assez largement répandu. Tu ne l’as donné qu’à quelques personnes. Ce n’est pas suffisant. Tu dois le répandre parmi beaucoup de gens. Ils doivent savoir et prier sincèrement pour que votre bon Père tout puissant vous envoie d’abondantes pluies. N’aie pas peur. Fais ce que nous te demandons. Nous sommes toujours avec toi. » Ce message nous fut donné par le ciel. Notre Seigneur nous donne ces périodes difficiles et nous retire la précieuse pluie afin que nous nous tournions vers lui et que nous priions pour demander sa miséricorde et son pardon pour les erreurs et les péchés que nous avons commis. Si nous demandons humblement et sincèrement ces choses, notre Seigneur entendra. (Valentina). 6 janvier 2007. Un ange magnifique m’est apparu pendant que je priais à la maison. Ses yeux étaient vraiment beaux, comme le bleu d’un cristal. Il a dit : « Viens, je vais te montrer les souffrances que tu as eues. Elles portent toutes du fruit. » Nous nous sommes retrouvés à un endroit où il y avait une multitude de gens. Ils se baladaient et parlaient. L’ange m’avait dit, avant que je n’éprouve la souffrance, durant la période entre Noël et la fête de la Sainte Famille, que ces gens avaient souffert aux niveaux les pires du purgatoire. Il a expliqué qu’ils devaient traverser plusieurs sombres tunnels étroits avant d’être élevés au niveau suivant. Il a souri et j’ai vu qu’il tenait un chapelet dans sa main et je lui ai demandé : « Priez-vous le chapelet? » Il a dit : « La prière du chapelet est une prière pour expier le péché qui offense Dieu » Pendant que nous étions debout là, des âmes se sont approchées de nous et nous ont salués. Il y avait plusieurs hommes dans le groupe. Ils ont dit : « Nous sommes toujours heureux de vous voir parce que vous êtes notre chemin » Puis ils ont dit : « Nous savons tout au sujet de la sécheresse que vous éprouvez en Australie. Vous créatures, êtes très détendues à ce sujet…vous ne semblez pas vous en faire » J’ai répondu : « Oui, nous avons terriblement besoin de pluie; il faudrait qu’il pleuve pendant au moins quatre mois » Ils se sont regardé et ont souri en disant : « Vous avez réellement besoin de quatre années de pluie pour tremper votre sol; votre terre est sèche à ce point. » (...) JNSR raconte l’histoire de Santa Cruz à Oran Messages du Ciel donnés à JNSR 25 Juillet 2006 - Le croquis panoramique qui suit montre le Fort de Santa Cruz au sommet du Mt Murdjajo et, légèrement plus bas, la première Chapelle de Santa Cruz qui fut bénie le 9 mai 1850. En 1849, une terrible épidémie de choléra s’abattit sur Oran et toute la province. Tous les hôpitaux, et bien tôt les cimetières, manquaient de places. Depuis trois mois l’atmosphère était brûlante avec d’épais brouillards. La médecine était impuissante et seule une pluie providentielle pouvait purifier l’air. Les autorités civiles, militaires et religieuses, se réunirent pour chercher comment endiguer le fléau. Devant l’impuissance de l’assemblée, le Général Pélissier interpella rudement le représentant de l’Évêque d’Oran, le Vicaire général Suchet : « Et alors, Monsieur l’Abbé, vous dormez ? Ne sauriez-vous plus votre métier ? Faites des processions ! ». Et dans le silence, le Général tempêta : « Placez-donc la Vierge là-haut, sur cette montagne, Elle se chargera de jeter le choléra à la mer. » La procession fut fixée au dimanche 4 novembre 1849, c’était toujours la sécheresse et rien ne laissait présager la pluie. Dès le matin, la foule se rassemble près de l’église Saint-Louis. Précédée par le Général Pélissier et son état-major, par les autorités civiles et le Clergé en surplis et suivie par tous les habitants, la statue de la Vierge s’engage sur le sentier conduisant au sommet de la montagne dominée par le vieux fort espagnol. « Notre-Dame du Salut, priez pour nous ! » : la foule, un moment arrêtée à mi-pente pour souffler, reprend sa progression unpeu désespérée et, soudain, arrive la pluie qui dura plusieurs jours. Le 9 novembre 1849, l’éditorial de l’Écho d’Oran annonce que, grâce à Dieu, le terrible fléau avait presque entièrement disparu. Dès le 28 novembre ce journal annonce une souscription pour ériger sur la montagne un monument commémoratif en l’Honneur de Notre-Dame du Salut. La première chapelle, dont la voûte s’était effondrée, fut reconstruite et, en 1873, fut érigée au sommet du clocher une statue monumentale de la Très Sainte Vierge. En 1942, en présence de Monseigneur Mérens et du Chanoine Combe, Monseigneur Durand donna le premier coup de pioche de la nouvelle Basilique de Santa Cruz, remplaçant la chapelle ancienne de dimensions restreintes, et elle sera bénie solennellement le 3 mai 1959. Petits enfants, cette sécheresse pernicieuse annoncée par Mon Fils Chéri à Dozulé ne vous a pas encore réveillés de votre torpeur. Messages du Ciel donnés à JNSR - 25 Juillet 2006 - St Jacques, Apôtre MARIE : Mon enfant, Je viens à toi. Tu as changé de pays, de vie. Ta famille a disparu, ils ne sont plus de la Terre. Tes enfants, comme presque toute la jeunesse d’aujourd’hui, ne savent plus où sont les vraies valeurs. Ce n’est pas de l’égoïsme, ils ne vivent la Charité que par élans. Comme une mode nouvelle qui s’installe, ils suivent le courant. Ils ont encore la chance d’être soutenus par les Prières de leurs parents et n’oubliez pas que Dieu a pitié d’eux. Autour d’eux ils ne voient pas des exemples comme ceux que vous avez eu autrefois. La Foi n’a cessé de déserté toutes les nations et la faute ne peut en être attribuée à Dieu qui continue à vous aimer malgré vos blasphèmes, vos négligences répétées et votre mépris de nos avertissements incessants. Comme une mère soucieuse de cette obstination dans le mal, Je viens vous avertir du danger imminent qui s’est préparé, petit à petit, depuis des années. Même si vous ne le saviez pas, aujourd’hui vous êtes tous au courant et vous êtes avertis que cela ira de pire en pire jusqu’à la fin de cette guerre. Elle a été sournoisement préparée pour anéantir tous les êtres humains : ce sont les enfants de Dieu que le Mal veut anéantir. D’abord, l’esprit du Mal a endormi les esprits, les manipulant pour les inviter à entrer dans son jeu. Et le coupable n’est pas celui que vous croyez, vous découvrirez bientôt celui qui lutte principalement contre le Christ et l’Humanité entière. Comment ne pas vous réveiller devant les signes de votre temps ? Petits enfants, cette sécheresse pernicieuse annoncée par Mon Fils Chéri à Dozulé ne vous a pas encore réveillés de votre torpeur. Elle persistera. Depuis que le soleil brûle si fort, à qui avez-vous demandé Grâce pour sauver encore vos récoltes, revoir l’eau dans vos sources et arrêter ce fléau qui atteint les hommes comme le bétail, car la sécheresse qui s’installe partout est meurtrière. Les organismes ne sont pas capables de résister à pareille épreuve et les épidémies sont en marche. Pauvres enfants ! Dieu attend, Dieu vous attend et vous restez muets… Où sont les processions d’autrefois ? Où sont les hommes d’honneur de l’Armée, de la Loi et de l’Église qui n’ont pas peur de remettre Dieu à Sa véritable place ; Dieu et Son Divin Fils dont la Parole est Vie , Vérité et Voie. JÉSUS Christ, Mon Fils Bien-Aimé, avec Sa Sainte Mère, a sauvé l’Oranie. Le pays était en proie au Mal, l’extermination rapide était imminente et voilà qu’un général a mené la plus grande bataille de ce siècle : contre le Mal, il a ordonné à l’Église de faire son devoir de Fille bien-aimée de Dieu. Un soldat a mené la bataille de la Foi. A son niveau le plus haut, il a réveillé l’Espérance en Dieu. L’Espérance qui agit au nom de tous et sur tout : Je crois en Dieu, je crois en MARIE, Mère de l’Église. Il a fait dire à ce peuple malade : « Notre-Dame du Salut, priez pour nous ! » Et, salvatrice, l’eau du ciel est venue au secours de ce peuple. Et vous, qu’attendez-vous pour élever la Croix de Mon Fils comme Il vous l’a demandé à Dozulé ? Viendra-t-il, cette fois encore, un soldat dire à l’Église où est son devoir d’obéissance à son Dieu ? Ou bien attendez-vous, comme le Pharaon, de subir le pire, les Plaies du Monde entier à cause d’une réflexion d’homme ? Ne voyez-vous pas que le monde meurt… La Vierge aux Larmes de sang vous a parlé, Amen. † |