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La confession |
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Ne
soyez pas paresseux en remettant à plus tard
votre
démarche de
Confession quand vous savez que c'est ce dont
vous avez besoin pour
votre âme Jésus : « Mon peuple, pendant le Carême vous devez prier plus, et faire de bonnes Confessions, au moins une fois par mois. [Et] avant d'entrer dans le confessionnal, vous devriez faire un bon examen de conscience pour vous remémorer vos péchés, en particulier chaque péché grave. Vous pouvez tenir un cahier ou [simplement] une liste des choses à vous rappeler, de chaque péché que vous avez oublié. Souvenez-vous aussi de faire la pénitence donnée par le prêtre et de regretter de M'avoir offensé par vos péchés. Je vous ai donné Mon sacrement de Réconciliation, donc vous n'avez aucune excuse de ne pas profiter du pardon que Je suis prêt à vous donner. Ne soyez pas paresseux en remettant à plus tard votre démarche de Confession quand vous savez que c'est ce dont vous avez besoin pour votre âme. Ne Me recevez pas dans la Sainte Communion si vous vivez dans le péché mortel. Si c’est le cas, alors rendez vous à la Confession aussitôt que possible. Si vous deviez mourir [sur l’heure], vous ne voudriez pas Me rencontrer dans votre jugement en état de péché mortel. Je suis à la recherche de tout signe de remords, et Je vous pardonnerai à votre dernier souffle. [Mais] en allant fréquemment à la Confession, vous pouvez garder votre âme pure et toujours prête à Me rencontrer à votre décès. Vous pourriez mourir subitement à tout moment, aussi ayez votre âme aussi pure que possible tout le temps. Si
vous ne voulez voir aucune âme perdue en enfer,
alors encouragez
votre famille et vos amis à avoir de fréquentes
confessions. » Recevez-le
souvent et je vous
bénirai Certains disent préférer aller directement à Dieu, mais je vous dis ceci : vous devez faire ma volonté et non la vôtre Enseignement
de
Jésus à Joseph X - transmis par le Père
Melvin
Doucette (Canada) Lundi 21 juin 2010 «
Après ma résurrection d’entre les morts, j’ai
donné aux apôtres un autre sacrement, appelé le
sacrement de la réconciliation ou confession. Ils
savaient que
j’ai le pouvoir de pardonner les péchés, puisque
je le
leur avais montré par un miracle : celui du
paralysé
qu'on m’avait amené en le descendant sur son
grabat par un trou
pratiqué dans le toit. Pour leur montrer que
j’avais ce pouvoir,
je guéris cet homme. Je donnai
aux apôtres l’Esprit Saint, puis je leur dis que
les
péchés qu’ils pardonneraient seraient
totalement
effacés et que si, pour un motif légitime, ils
refusaient
à quelqu'un de lui pardonner ses péchés, alors
ces
péchés ne lui seraient pas pardonnés. Ce
pouvoir
fait partie intégrante du sacerdoce. «
Par conséquent, mes frères et mes sœurs, si vous
regrettez vos fautes, que vous demandez à un
prêtre de
vous pardonner et qu’il vous absout au nom du
Père, du Fils et
du Saint-Esprit, alors ces fautes sont
véritablement
effacées et pardonnées. Jamais un croyant et membre de mon Église ne doit craindre d’aller vers un prêtre pour lui confesser ses fautes et en demander pardon. Le prêtre me remplace quand il vous donne ce sacrement. Recevez au moins une fois par mois ce sacrement de ma miséricorde. Certains disent préférer aller directement à Dieu, mais je vous dis ceci : vous devez faire ma volonté et non la vôtre. Je veux que vous alliez tous à un prêtre pour recevoir le pardon. C’est de cette façon que je vous montrerai ma miséricorde. Je vous aime. » Traduction
:
RF Vos
prêtres devraient encourager les gens à aller à
la Confession fréquente, au moins une fois par
mois, afin que
vous puissiez être prêts pour le jour du
jugement. Jésus a dit: « Mon peuple, cette vision met l'accent sur l'importance qu'il y a à honorer Mon Saint-Sacrement et à s’incliner devant Moi parce que Je suis Celui qui rend vos églises saintes. Je suis dans le tabernacle pour que tous vous Me visitiez ; être au centre de l'autel est Ma place appropriée, mais pas dissimulé dans une arrière-salle. Il faut regretter qu’il n’y ait pas plus de Catholiques qui reconnaissent vraiment Ma Présence Réelle dans l’Hostie consacrée. De plus, il est important de Me recevoir dans la Sainte Communion, sans aucun péché mortel dans votre âme. Vos prêtres devraient encourager les gens à aller à la Confession fréquente, au moins une fois par mois, afin que vous puissiez être prêts pour le jour du jugement. Les prêtres doivent aussi encourager les gens à Me marquer leur révérence par une génuflexion devant le tabernacle, et [encore] à s'incliner devant l’officiant, avant de recevoir Mon Eucharistie. Il
est plus respectueux de Me recevoir dans la
Sainte Communion sur la
langue que dans la main.
Je préconise cette idée de révérence pour
Mon Saint-Sacrement en particulier pour former
les jeunes enfants,
car beaucoup reçoivent leur Première Sainte
Communion
à
cette époque de l'année. » Le sacrement de réconciliation est le sacrement de la miséricorde de Dieu Enseignement de Jésus à Joseph X - transmis par le Père Melvin Doucette (Canada) Lundi 8 février 2010 « Quand j’étais sur la terre et que j’ai commencé ma vie publique, les malades venaient à moi en grand nombre pour me demander la guérison. Beaucoup souffraient énormément, en particulier ceux qui étaient atteints de ce qu'on appelle la lèpre, une maladie qui attaque le système nerveux et provoque de grandes douleurs dans tout le corps. J’avais grand pitié de ceux qui souffraient de cette maladie et c’était ma joie de les guérir totalement. « Il existe aussi une lèpre spirituelle, qui est une maladie de l’âme. Ceux qui pèchent gravement attirent sur eux cette lèpre spirituelle. Leur âme est dans l’obscurité et se meurt, et ils ne peuvent rien faire pour eux-mêmes. Ils sont écrasés par une grande lourdeur, qu’ils ressentent constamment. C’est pourquoi j’ai institué le sacrement de réconciliation ou confession, afin que ces gens puissent recevoir le pardon de leurs fautes et être délivrés de la lèpre spirituelle. Ils se sentiront très légers et leur cœur sera débordant de joie. « Mes frères et mes sœurs, n’oubliez pas que le sacrement de réconciliation est le sacrement de la miséricorde de Dieu. Vous ne devriez jamais avoir peur de recourir à ce sacrement et vous devriez le recevoir au moins une fois par mois. Tout ce que j’attends de vous, c’est que vous soyez vraiment peinés de toutes vos fautes et que vous promettiez avec ma grâce de ne jamais pécher à nouveau. Je vous bénis tous. » Traduction : RF Comment pouvez-vous savoir si vous observez mes commandements ? Enseignement
de
Jésus à Joseph X - transmis par le Père
Melvin
Doucette (Canada) Mardi 5 janvier
2010 Jésus : «
Comment pouvez-vous savoir si vous observez
mes commandements? Qui vous
donne la certitude que vous êtes dans le bon
chemin? Comment
pouvez-vous savoir si votre conduite me
plait? Mon Père a
donné à chacun de vous une conscience et
quand vous vous
recueillez pour l’examiner, vous savez si
vos actes ont
été corrects ou non. Bien
informée, votre conscience peut juger si vos
actes sont
conformes à la volonté du Père. Si vous avez la
paix du cœur, c’est que vous avez suivi mes
commandements. Si vous
êtes troublé, alors vous savez que vous avez
péché et agi à l’encontre de la volonté de
votre Père. Il y a lieu alors de vous repentir. Si
toutefois vous constatez que vous avez fait du
mal et que vous n’avez
pas suivi mes enseignements, il faut le
regretter et demander pardon
pour tous vos manquements. Qu’importe le péché
que vous
ayez commis, je suis toujours plein de
miséricorde à
votre égard si vous vous repentez de tout votre
cœur. Je vous
bénis. » Messages du Seigneur donnés à John Leary (USA) - Jeudi le 29 mai 2008. Jésus
:
« Mon peuple,
vous essayer toujours de nettoyer vos maisons et
de jeter les rebus et
ordures de votre vie quotidienne. Regardez
la quantité
qui s’empile
quand les éboueurs font la grève. Vos
péchés peuvent aussi être
considérés comme s’entassant dans le coffre
spirituel de
votre âme.
Parfois vous devez vider ces péchés en venant à
moi en confession. Moi, leur Sauveur, j’ai institué ce sacrement et je veux que tous les chrétiens l’utilisent. Message de Jésus au Père Melvin Doucette - 1er avril 2008 Ma période de prière matinale s’est déroulée en présence de Jésus, notre Seigneur et notre Sauveur, et voici ce qu’il avait à me dire : « Melvin, mon frère et mon ami, je t’aime. Je bénis tous mes frères et toutes mes sœurs qui habitent dans le monde. Vous qui vivez la vie chrétienne, vous êtes la joie de mon Cœur. N’ayez pas peur et soyez remplis de joie, car vous êtes dans mon Royaume. «Je sais que vous êtes faibles et que parfois vous dites oui aux tentations. Sans mon aide, vous ne pouvez rien faire de bon. C’est pourquoi j’ai donné à mes apôtres et à tous ceux qui reçoivent le sacerdoce le pouvoir de pardonner les péchés. Ils utilisent ce pouvoir dans le sacrement de Réconciliation, où vous confessez vos fautes et regrettez de les avoir commises, et alors le prêtre vous absout au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. C’est le sacrement de la miséricorde, miséricorde qui s’épanche de mon Cœur blessé. J’ai une grande compassion envers tous ceux qui ont péché et se repentent d’avoir offensé leur Père. « Aujourd’hui, malheureusement, beaucoup de mes adeptes ne profitent pas de ce sacrement. Beaucoup croient pouvoir aller directement au Père et lui demander de leur pardonner. Ils oublient une chose : moi, leur Sauveur, j’ai institué ce sacrement et je veux que tous les chrétiens l’utilisent. C’est la façon ordinaire d’obtenir le pardon de vos fautes. Le prêtre me remplace et quand il récite pieusement la formule d’absolution, tous vos péchés sont effacés. Vous devenez libres et vous recevez la grâce puissante du sacrement. Recourez souvent à ce sacrement. Je vous aime et je vous bénis. » Tout le monde doit admettre qu’ils sont pécheurs et doivent se confesser au moins une fois par mois. Messages du Seigneur donnés à John Leary (USA) - Vendredi le 13 juillet 2007 (à la messe de funérailles de Joséphine) Jésus : « Mes amis, au cours de la vie, vous venez à moi à travers le prêtre pour que vos péchés soient pardonnés en confession. Malheureusement, parce que la confession n’est pas beaucoup encouragée dans vos églises, très peu sont portés à confesser leurs péchés. Certains ne se sentent poussés à y aller que s’ils ont commis un péché mortel, parce qu’on ne leur enseigne pas sur la confession fréquente, même pour les péchés véniels. En rationalisant leurs péchés graves comme n’étant pas mortels, alors beaucoup de catholiques ne sentent pas que ce soit nécessaire de confesser leurs péchés. Tout le monde doit admettre qu’ils sont pécheurs et doivent se confesser au moins une fois par mois. Vous avez la grâce du sacrement de réconciliation et l’opportunité de recevoir des conseils spirituels de votre confesseur. En gardant votre âme fréquemment nettoyée, votre âme sera pure pour le jour où je vous appellerai à la maison dans la mort. Même dans cette vision de rencontre avec moi, chacun à sa mort me verra lors de son jugement et vous ne voulez pas que je sois un étranger pour vous. Si je ne vous reconnais pas parce que vous n’avez pas prié ou ne vous êtes pas repentis de vos péchés, alors vous risquez d’être condamnés à l’enfer. Mais, si je vous reconnais parce que vous m’avez souvent prié et que vous m’avez rendu un culte le dimanche ou plus, alors certainement, je vous accueillerai à mon banquet de noce après avoir nettoyé vos vêtements de la saleté de vos péchés. Que chaque funérailles à laquelle vous assistez soit pour vous un rappel que cette vie est courte et que sur terre vous préparez toujours votre vie éternelle avec moi au ciel. » ... mais je ne peux pas vous forcer à venir me chercher au confessionnal Messages du Seigneur donnés à John Leary - Vendredi le 23 mars 2007 Jésus dit « Mon peuple, la confession est une belle image pour la Carême parce qu’avec ce sacrement, il est question de la guérison des pécheurs repentants qui viennent à Moi à travers le prêtre pour renouer notre relation d’amour. Si vous aimez vraiment quelqu’un et que vous l’offensez, vous recherchez rapidement son pardon pour revenir dans ses bonnes grâces. Le démon essaie de mettre en vous la peur d’aller à la confesse et il trouve toutes sortes d’excuses pour vous retarder d’y aller et qu’ainsi vous oubliiez de venir. Quand vous pensez au prêtre, pensez à lui comme ce que je pensais du père du fils prodigue. Moi aussi j’attends de vous recevoir à bras ouverts. Je vous aime tellement et j’accorde beaucoup de grâces à chaque pécheur repentant qui revient à mon amour. Quand vous venez à moi en confession, c’est comme revenir à la maison à l’amour de vos parents. La plupart des parents ont toujours un faible dans leur cœur pour leurs propres enfants, même s’ils ont fait des actions terribles. La confession nettoie les péchés sur votre âme et soulage votre culpabilité étant donné que vous êtes remplis de la grâce sanctifiante. Ce devrait être votre résolution d’éviter de commettre les mêmes péchés du passé afin d’améliorer votre vie spirituelle. C’est mieux de se confesser au moins une fois par mois, mais ceux qui n’y vont pas aussi souvent devraient à tout le moins accomplir leur devoir pascal de se confesser une fois entre le carême et la fin de la saison pascale. Votre préparation à la confession devrait inclure un examen de conscience adéquat de ces péchés qui viennent à votre mémoire et de tout péché d’omission. Ne négligez pas délibérément de dire des péchés graves parce que vous êtes mal à l’aise, mais dites tout, afin que votre conscience soit claire et libre de tout mal. Ne rationalisez pas les péchés graves comme n’étant que des péchés véniels, parce que vous devez vous confesser aussitôt que possible avant de recevoir la sainte communion ce qui occasionnerait un sacrilège si vous communiez en état de péché mortel. J’aime beaucoup mon peuple, mais je ne peux pas vous forcer à venir me chercher au confessionnal. Je dois attendre patiemment le moment où l’Esprit vous poussera à approfondir votre amour pour moi. » « Mon peuple, il y a des moments où vous voulez supporter le perdant dans un jeu. Vous pouvez être considérés comme des perdants devant les tentations de Satan, mais avec mon aide, vous pouvez combattre le bon combat et gagner la bataille pour votre âme. Vous pouvez être naturellement faibles pour pécher, mais par ma grâce, vous pouvez être forts contre les tentations. Ce n’est pas facile de lutter contre vos inclinations charnelles aux conforts et aux plaisirs. C’est une bataille quotidienne contre le démon que de demeurer saint et de me garder au centre de votre vie. Plus vous avez de grâces et de talents, plus on attendra de vous. Alors, ne perdez pas votre temps sur des choses frivoles, mais travaillez aussi fort que vous le pouvez pour m’emmener des âmes et garder la votre sainte. Réjouissez-vous si vous pouvez être comme St-Paul à la fin de sa vie fructueuse pour la foi quand il a dit : « J’ai combattu le bon combat et j’ai terminé la course » À ce moment-là il était prêt à ce que son Seigneur le prenne à la maison pour le récompenser. Quand vous arriverez à votre jugement et que vos mains seront pleines de bonnes actions, je vous dirai : « Bien fait mon bon et fidèle serviteur. Entre dans mon repos. » |
Assurez-vous d’y
aller au moins
une fois par mois Jésus
dit : « Mon peuple, vous vous
inquiétez
souvent au sujet de votre apparence
extérieure. Cette
vision c’est sur le repassage de chemises afin
qu’elles aient l’air
fraîches et défroissées. C’est une de vos
préoccupations que d’enlever les plis de vos
vêtements. |
|
Mon
neveu, Je
suis
furieux ! Ce fichu canard de « Famille
Chrét… » (beurk, ce mot me fait horreur)
vient de
distribuer dans toutes les paroisses un
supplément gratuit sur
le pardon. Damned ! Nous avions réussi à
vider les
confessionnaux et à éloigner les cathos du
sacrement de
réconciliation grâce à quelques trouvailles
comme
« le péché, c’est
dépassé », « une invention de
curé », « arrêtons de
culpabiliser », etc. Or voilà que ces
minables
journaleux nous glissent des peaux de
bananes Permets-moi
donc, afin de contrer ces insolents, de te
prodiguer quelques conseils
d’urgence : souffle à ton client que tout
ne va pas trop
mal dans Cultive
en lui les tiédeurs, le relâchement et surtout
l’indifférence. Si
jamais le désir d’aller se confesser le démange,
susurre-lui : « Tu iras
demain ! »
Ta première victoire, c’est de retarder ce
moment de
vérité. Inspire-lui des « ça sert
à rien, je répète les mêmes
choses », ou « j’ai trop honte »,
ou
« ça fait si longtemps », ou
« je n’arrive pas à regretter », ou
bien
« je ne sais plus comment faire »… Mets-lui
le nez dans son péché. Grossis, exagère,
déforme. Dramatise aussi. Dégoûte ton client de
lui-même. Qu’il s’assimile à sa faute. Il en
oubliera
qu’un homme ne se réduit jamais à son acte,
aussi
abominable soit-il. Et il se croira condamné au
mal pour
toujours, hip, hip, pourrira ! Si
jamais il se décide à se rendre à l’église,
utilise les embouteillages, les intempéries, les
grèves
de métro. Ridiculise-le aussi : qu’il
rencontre, en chemin,
un ami chrétien qui s’exclame : « Tu
te crois au
Moyen-Âge ? Moi je demande pardon
directement à
Dieu ! » Car il faut beaucoup
d’humilité pour se
mettre à nu devant un autre homme ; or je
hais
l’humilité, c’est l’humus, le terreau de la
sainteté. Joue
enfin sur la peur de D.– enfin, celui dont je ne
peux prononcer le nom
sans me brûler la langue et que je préfère
surnommer CQFD (Celui Qu’il Faut Détruire)
– : cette peur
est l’un des plus beaux héritages de ce péché
premier et magnifique qui fut mon chef d’œuvre. Si
ton client finit par entrer dans cette fichue
boîte à
contrition, fais en sorte qu’il tombe sur un
prêtre grognon,
colérique, ou qui lui fait la morale au lieu de
l’accueillir
comme un père très aimant. Que son aveu reste
général, et que le prêtre évite les conseils
concrets – comme ça, pas de résolutions
précises,
c’est ce qui permet de progresser. Le
but de la lutte, c’est qu’il se dise :
« Dieu ne pourra
jamais me pardonner ». Oui, s’il désespère
de
la miséricorde, son compte d’enfer sera dans le
rouge pour
toujours. Mais
ne sous-estime pas CQFD : il est vraiment
fort (en fait, il a
déjà gagné, mais je ne vais pas te le dire, tu
désespèrerais). Il profite même du
péché pour sauver les pécheurs. De la
misère à la miséricorde, il n’y a qu’une corde.
En
effet, le péché coupe la corde qui unit l’homme
à
D., mais la grâce du pardon renoue les deux
bouts ; et
grâce à ce nœud, la corde est moins longue. D.
et l’homme
plus proches ? C’est mon supplice éternel… Mon
neveu, au boulot, au fourneau ! Cette chronique est inspirée du livre La tactique du diable de l’écrivain C.S. LEWIS. Elle a été rédigée par LUC ADRIAN, avec le père PASCAL IDE, auteur de Les sept péchés capitaux
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