Ces deux théories violent mes vrais enseignements que proclame l'Église car
l'enfer est bien éternel et les âmes en enfer souffriront dans les flammes pour toute l'éternité.
Message
du Seigneur donnés à John
Leary (USA) -
Avril 29 2015
Jésus :
"Mon fils, tu as vu récemment deux déclarations hérétiques mentionnées
dans certains articles de magazine. Le premier était que
l'enfer est pas éternel et l'autre que les âmes qui
vont en enfer seront anéanties et n'existeront plus. Ces deux théories violent mes vrais enseignements que proclame l'Église car
l'enfer est bien éternel et les âmes en enfer souffriront dans les flammes pour toute l'éternité.
Si les gens entendaient ces hérésies, ils pourraient être induits en erreur et penser qu'il n'y a
plus aucune raison de craindre mon jugement et ne craindraient plus l'Enfer.
Ce serait leur faire croire qu'ils n'ont pas besoin de repentance et qu'il
n'y a pas de punition pour leurs péchés par ma justice, et puis ma mort et ma résurrection de sauver les âmes de l'enfer serait vide de sens. C'est la raison pour laquelle ces déclarations sont hérétiques et
ces gens qui répandent ces faux enseignements devrait être appelé
hérétiques et ils seront tenus responsables de leurs erreurs.
Vous pouvez comprendre à quel point la propagation de toutes ces faussetés mettent les âmes en grands danger. Méfiez-vous de ces déclarations
qui sont des fausses théories et vous ne devez pas les suivre, peu
importe qui les proclame.
28 Avril 2015
Saint Michel Archange : Je
suis Michel et je me tiens devant Dieu.
Mon fils, je viens te
donner la force et le courage pour que tu te prononcer contre un faux
enseignement dont tu as connaissance et qui est erroné. Vous savez ce que l'Église
enseigne dans le Catéchisme et vraiment vous devez être convaincu que
l'enfer existe pour toujours et je suis mandaté par Dieu
pour jeter les démons en enfer qui y resteront pour l'éternité.
Cela a lieu dans le « maintenant » du temps de Dieu, avant que l'homme et le
temps n'aient été créés. Lorsque vous entendez des déclarations contre les
enseignements de mes apôtres, vous devez vous y opposer, même
si les gens réfutent ce que vous dites. Appelez Jésus et l'Esprit
Saint pour un bon discernement mais vous devez défendre les
enseignements de l'Église traditionnelles contre toute déclarations
hérétiques.
Vos yeux ont été ouverts pour comprendre comment les influences
diaboliques peuvent persuader les bonnes gens de croire aux hérésies ou
aux fausses doctrines. Continuez à me prier pour votre protection contre les
forces du mal et vous pourrez voir clairement comment la
division à venir dans l'Eglise aura lieu.
Le petit reste fidèle sera protégé contre les portes de l'enfer et toutes enseignements
démoniaques.
Tout ce que
Jésus te donne à voir et souffrir des
tourments de l'enfer est pour que tu puisses
les faire connaître au monde
Extrait de vie de Soeur Josefa
Menéndez (1890-1923)
Jésus-Christ s'est apparu souvent pendant les années
1921-22 et 23 à soeur Josefa Menéndez, une
religieuse de la Société du Sacré Coeur de Jesus.
Ses Mémoires sont publiées dans un livre de plus de
500 pages intitulé : Un appel à l'Amour.
Dans ce Livre on explique la persistance de Jésus en
sauver nos âmes par la rencontre avec Son amour
avant "le rapprochement des derniers jours du
monde". Soeur Josefa écrit avec une grande réticence
sur le sujet de l'enfer. Elle l'a seulement fait
pour conformer les désirs bénis de Notre Seigneur.
Notre Dame l'a dit le 25
octobre de 1922 : "Tout
ce que Jésus te donne à voir et souffrir des
tourments de l'enfer est pour que tu puisses les
faire connaître au monde. Par conséquent,
oublie-toi complètement de toi même, et pense à
la gloire du salut des âmes."
Jésus a tenu à le donner à Josefa pour lui montrer,
à l'entrée de la grande épreuve, qu'Il est bien là,
toujours le Même.
Visite de l'Enfer
" Dans la nuit du mercredi au
jeudi 16 mars, vers dix heures - écrit-elle - je
commençai à entendre, comme les jours derniers, un
bruit confus de cris et de chaînes. Je me levai, je
m'habillai et, tremblante de peur, je me mis à
genoux près de mon lit. Le bruit se rapprochait. Je
sortis du dortoir, ne sachant que faire, j'allai à
la cellule de notre bienheureuse Mère, puis je
revins au dortoir.
Le même bruit terrible
m'environnait toujours. Tout à coup, je vis le
démon en face de moi, il criait : "Attachez-lui
les pieds... liez-lui les mains...."
"Instantanément, je ne vis plus où j'étais, je
sentis qu'on me liait étroitement et que l'on
m'entraînait. D'autres voix rugissaient :
"Ce ne sont pas les
pieds qu'il faut lui attacher, c'est le cœur! "
"Et le démon répondait :"Il
n'est pas à moi! "
" Alors, on me tira à travers un long chemin plongé
dans l'obscurité. Je commençai à entendre de toutes
parts des cris horribles. Dans les parois de cet
étroit corridor, les unes en face des autres, il y
avait comme des niches d'où sortait de la fumée
presque sans flamme, et dont l'odeur était
intolérable. De là, des voix proféraient toutes
sortes de blasphèmes et des paroles impures.
Les unes maudissaient leur corps, les autres leurs
parents. D'autres se reprochaient de n'avoir pas
profité de l'occasion ou de la lumière pour
abandonner le mal. Enfin, c'était une confusion de
cris pleins de rage et de désespoir.
" ... Je fus tirée à travers cette sorte de corridor
qui n'avait pas de fin. Puis, on me donna un coup
violent qui m'enfonça, pliée en deux, dans une de
ces niches. Je me sentis comme pressée entre des
planches incendiées et transpercée de part en part
d'aiguilles brûlantes. En face de moi, à côté de
moi, des âmes me maudissaient et blasphémaient.
C'est ce qui me fit souffrir le plus.... Mais ce
qui ne peut avoir de comparaison avec aucun
tourment, c'est
l'angoisse de l'âme de se voir séparée de
Dieu....
" Il me semble que j'ai passé de longues années dans
cet enfer - poursuivent les notes - et cependant
cela n'a duré que six ou sept heures.... Tout à
coup, on me retira violemment et je me trouvai dans
un lieu obscur où le démon, après m'avoir frappée,
disparut et me laissa libre.... Je ne puis dire ce
que je sentis dans mon âme, quand je me rendis
compte que j'étais vivante et que je pouvais encore
aimer Dieu!
" ... Pour éviter cet enfer et bien que j'aie si
peur de souffrir, je ne sais ce que je suis prête à
endurer. Je vois clairement que toutes les
souffrances du monde ne sont rien en comparaison
de la douleur de ne pouvoir plus aimer, car là on
ne respire que haine et soif de la perte des
âmes!..."
Dès lors, Josefa connaît fréquemment cette douleur
mystérieuse. Tout est mystère, en effet, dans ces
longues séances de l'Au-delà ténébreux. Elle les
pressent chaque fois par ces bruits de chaînes et
ces cris lointains qui se rapprochent, l'environnent
et l'accablent. Elle essaie de fuir, de se
distraire, de travailler pour échapper à cette ruée
diabolique qui finit cependant par la terrasser.
Elle a juste le temps de se
réfugier dans sa petite cellule, mais bientôt, elle
n'a plus conscience de ce qui l'entoure. Elle se
trouve d'abord dans ce qu'elle appelle "un lieu
obscur ", en face du démon qui semble
croire qu'elle est en son pouvoir pour toujours.
Il ordonne avec violence qu'on la jette en son
lieu et Josefa, liée étroitement, tombe dans ce
chaos de feu et de douleurs, de rage et de haine.
Elle note tout cela simplement et objectivement,
tel qu'elle le voit, l'entend, l'expérimente.
À l'extérieur, un léger tressaillement à seul
annoncé ce départ mystérieux. À l'instant même, son
corps est devenu entièrement souple et sans
consistance, comme celui dont la vie a disparu
depuis quelques minutes à peine. Sa tête, ses
membres, ne se soutiennent plus, son cœur bat cependant normalement:
Josefa vit comme sans vivre.
Cet état se prolonge plus ou moins, selon la volonté
de Dieu qui la livre ainsi à l'enfer, mais
la garde dans sa Main très sûre. À l'instant fixé par Lui, un
nouveau et très imperceptible tressaillement, et son
corps abandonné retrouve la vie. Elle
n'est cependant pas délivrée de la puissance du
démon dans ce lieu sombre où il l'accable de
menaces.
Quand il l'abandonne enfin et qu'elle revient
lentement à elle, les heures passées en enfer lui
ont paru des siècles. Elle ne reprend contact que
peu à peu avec les lieux et les personnes qui
l'entourent. " Où suis-je?... qui êtes-vous? est-ce
que je vis encore ? ... " - demande-t-elle. - Ses
pauvres Yeux cherchent à retrouver le cadre d'une
vie qui lui semble si loin dans le passé parfois, de
grosses larmes coulent silencieusement, tandis que
sa physionomie porte l'empreinte d'une douleur que
rien ne peut traduire. Elle achève enfin de
retrouver le sens de l'actuel et comment exprimer
l'émotion intense qui la saisit quand elle réalise
soudain qu'elle peut encore aimer!
Elle l'a écrit plusieurs fois
en des termes dont la simple ardeur ne peut être
interprétée ;
" Dimanche 19 mars 1922, troisième dimanche du
Carême. - Je suis encore descendue dans cet
abîme, il me semble que j'y demeure de longues
années. J'ai beaucoup souffert, mais le plus
grand des tourments est de me croire, pour
toujours, incapable d'aimer Notre-Seigneur.
Aussi, quand je reviens à la vie, je suis folle
de joie. Je crois que je L'aime plus que jamais
et que, pour le Lui prouver, je suis prête à
souffrir tout ce qu'Il voudra. Il me semble
surtout que j'estime et que j'aime ma vocation à
la folie."
Elle ajoute quelques lignes plus loin :
" Ce que je vois me donne un grand
courage pour souffrir. Je comprends le prix des
moindres sacrifices: Jésus les recueille et s'en
sert pour sauver des âmes. C'est un grand
aveuglement d'éviter la souffrance, même en de
très petites choses, car non seulement elle est
d'un grand prix pour nous, mais elle sert à
préserver beaucoup d'âmes de si grands
tourments. "
Josefa a essayé par obéissance de tracer quelque
chose de ces descentes qui se renouvellent
fréquemment à cette époque.
Tout ne pourrait être traduit. Mais quelques pages
encore serviront d'enseignement précieux. Elles
stimuleront les âmes à se dévouer et à se sacrifier
pour le salut de celles qui, chaque jour et à chaque
heure, sur le bord de l'abîme, sont l'enjeu d'une
lutte tragique entre l'Amour et la haine, le
désespoir et la Miséricorde.
" Quand j'arrive en ce lieu -
écrit-elle le dimanche 26 mars - j'entends des cris de rage
et de joie infernale parce qu'une âme de plus
est plongée dans ces tourments ! ...
" Je n'ai plus conscience à ce moment d'être déjà
descendue dans l'enfer; il me semble toujours que
c'est la première fois. Il me semble aussi y être
pour l'éternité et c'est ce qui me fait tant
souffrir, car je me rappelle que je connaissais et
que j'aimais Notre-Seigneur... que j'étais
religieuse, qu'Il m'avait fait de grandes grâces et
donné de nombreux moyens pour me sauver. Qu'ai-je
donc fait pour perdre tant de biens?... Comment
ai-je été si aveugle?...
Et
maintenant, il n'y a plus de remède ! ... Je me
souviens aussi de mes communions, de mon Noviciat.
Mais ce qui me tourmente le plus, c'est que j'aimais
tant le Coeur de Jésus! Je Le connaissais et Il était
tout mon Trésor.... Je ne vivais que pour Lui ! ...
Comment vivre maintenant sans Lui?... sans L'aimer?...
enveloppée de ces blasphèmes et de cette haine?
" Mon âme est oppressée et brisée à un point que je ne
peux pas expliquer, car c'est indicible.... "
Souvent aussi, elle assiste aux efforts
acharnés du démon et de ses satellites pour arracher
à la Miséricorde des âmes dont il est sur le point
de faire sa proie. Ses souffrances semblent bien
être alors, dans les Plans de Dieu, la rançon de ces
pauvres âmes qui lui devront la grâce victorieuse du
dernier instant.
" Le démon - écrit-elle le jeudi 30 mars - est plus
furieux que jamais, car il veut perdre trois âmes. Il
criait avec fureur aux autres :
" - Qu'elles ne
s'échappent pas... elles s'en vont... allez,
allez ferme! "
" Et j'entendais des cris de rage qui lui répondaient
de loin."
Deux ou trois jours de suite, elle
est témoin de cette lutte.
" Je suppliai Notre-Seigneur de faire de moi tout ce
qu'Il voudra, pourvu que ces âmes ne se perdent pas -
écrit-elle en revenant de l'abîme, le samedi 1er
avril. - Je me tournai aussi vers la Sainte Vierge et
Elle me donna une grande paix, car Elle me laissa
décidée à souffrir n'importe quoi pour les sauver. Je
crois qu'Elle ne permettra pas que le démon ait la
victoire. "
Le dimanche 2 avril, dimanche de
la Passion, elle écrit de nouveau :
" Le démon criait : " Ne les lâchez pas! Soyez
attentifs à tout ce qui peut les troubler...
qu'elles ne s'échappent pas ! ... obtenez
qu'elles se désespèrent ! ... "
" C'était une confusion de cris et de blasphèmes. Tout
à coup, jetant un hurlement de rage, il cria : " Peu
importe! il m'en reste encore deux. Enlevez-leur
la confiance! "
" Je compris que l'une de ces âmes venait de lui
échapper pour toujours." Vite,
vite... - rugissait-il - que ces deux-là
n'échappent pas ! Saisissez-les, qu'elles se
désespèrent ! ... Vite... elles s'en vont! "
" Alors, il se fit dans l'enfer comme un grincement de
dents et, dans une fureur indescriptible, le démon
rugit :
" - Oh ! Puissance ! ... Puissance
de ce Dieu ! ... qui a plus de force que moi!...
Une me reste encore... et celle-là je ne Le
laisserai pas s'en emparer. "
" L'enfer
ne fut plus qu'un cri de blasphème dans un désordre
de plaintes et de gémissements. Je compris alors que
ces âmes étaient sauvées. Mon cœur
fut rempli de joie, quoique dans l'impossibilité de
faire un seul acte d'amour, malgré son besoin
d'aimer.... Cependant, je ne sens pas cette haine de
Notre- Seigneur qu'ont ces malheureuses âmes qui
m'entourent, et quand je les entends maudire et
blasphémer, c'est une douleur telle, que je
souffrirais je ne sais quoi pour qu'Il ne soit plus
ainsi outragé et offensé. Ce dont j'ai peur, c'est
qu'avec le temps, je ne devienne comme les autres.
C'est ce qui me fait tant souffrir, car je me rappelle
toujours combien je L'aimais et comme Il était bon
pour moi!
" J'ai beaucoup souffert - continue-t-elle - surtout
ces derniers jours. C'est comme si un ruisseau de feu
passait par ma gorge et traversait tout mon corps, en
même temps qu'il se trouve enserré entre des planches
de feu, comme je l'ai déjà dit, je ne peux pas
exprimer cette douleur, elle est extrême! Il semble
que les yeux sortent de leur orbite comme s'ils en
étaient arrachés, les nerfs sont tirés, le corps plié
en deux ne peut se mouvoir, une odeur infecte envahit
tout (1) .... Et
cependant, tout cela n'est rien en comparaison de
l'âme qui connaît la Bonté de Dieu et se voit obligée
de Le haïr, souffrance encore bien plus grande si elle
L'a beaucoup aimé! "
D'autres mystères de l'Au-delà vont encore se
révéler à Josefa.
L’enfer existe. Nous voudrions tous qu’il
n’existe pas, mais il existe bel et bien, tout
comme le Ciel existe
Luz
Amparo, messagère de L’Escorial (Espagne) . Mai
2000
Luz Amparo : "Et le
Seigneur m’a fait voir que les hommes, et même une
partie de la hiérarchie (de
l’Église), ne
respectent pas l’Évangile; et nous-mêmes, le
respectons-nous ?
En ce qui concerne la hiérarchie, beaucoup de
ses membres prennent dans l’Évangile ce qui leur
plaît et omettent ce qui ne leur plaît pas. Et pourtant, toutes
les parties de l’Évangile sont Parole de Dieu, il
faut donc les respecter et les mettre en pratique.
C’est comme les quinze mystères du Rosaire: quand
vient la joie, la joie, quand vient la
douleur, la douleur, quand vient la
Résurrection, la Résurrection.
Mais ne cachons pas la douleur en fixant notre
regard seulement sur la joie et la Résurrection. La Sainte Vierge m’a
dit souvent qu’il ne faut pas transformer
l’Évangile en métaphores, mais l’accomplir en
entier, et ne pas avoir
peur de parler de certaines choses qui nous
effraient.
Quand l’Évangile nomme l’enfer, il faut en
parler; or on a peur aujourd’hui dans l’Église
de mentionner l’enfer. Mais l’enfer, ce n’est pas
nous qui l’avons inventé. L’enfer existe,
c’est un dogme de Foi.
Pourquoi ne disons-nous pas que l’enfer
existe ?
Vous savez, on peut se sauver de plusieurs façons:
par amour, et c’est le plus parfait, mais aussi
par la crainte: certaines personnes se
convertissent par la crainte du châtiment et
elles parviennent ensuite à mener une bonne vie. Mais s’il est vrai que nous
sommes tous sauvés d’avance,
comme on l’enseigne aujourd’hui par erreur,
il n’y aurait pas besoin de couvents pour prier,
puisque nous sommes tous sauvés.
Les Réparatrices, qui se dévouent pour les pauvres vieillards, ce
sont des sottes !!!!! Si
on est sauvé d’avance, pourquoi faire des choses
difficiles qui ne seraient d’aucune utilité pour
le salut ?????
Je crois donc que l’Évangile, il faut
l’annoncer tel qu’il est.
J’ai vu des personnes importantes qui, pour ne pas
avoir voulu parler de l’enfer, ne sont pas
arrivées au Ciel, mais je les ai vues bel et
bien en enfer. Et cela, c’est très triste. C’est pourquoi, je le répète,
le Seigneur dit: "beaucoup sont appelés et
peu sont élus”.
Oui, nous devons parler de toutes les parties de
l’Évangile, et actuellement nous sommes en train
de l’édulcorer. Or
l’Évangile a été écrit avec le sang du Christ,
donc n’en omettons rien, et n’ayons pas peur de
tout dire.
Et aux prêtres, qui peuvent faire tant de bien aux
âmes, disons-leur: mes enfants, l’enfer existe.
Nous voudrions tous qu’il
n’existe pas, mais il existe bel et bien, tout
comme le Ciel existe. Et celui qui
accumulera des mérites pour gagner le ciel, eh
bien, il ira au ciel.
Et celui qui agira différemment, qui voudra
vivre une vie de libertinage et de confort, il
devra aller en enfer, car il ne se sera privé
d’aucun plaisir sur la terre.
Donc, tous ensemble, vous et nous, quel que
soit l’endroit où nous soyons, nous unirons nos
efforts afin que beaucoup d’âmes qui ne
connaissent pas Dieu se convertissent et que le
Seigneur leur ouvre l’intelligence.
Il est vrai que nous sommes très souvent de vraies
bourriques, nous ne comprenons pas, notre
entendement ne s’ouvre pas, ou nous ne voulons pas
qu’il s’ouvre, mais c’est un manque
d’humilité. Là
où il y a l’humilité, on reconnaît tout et on comprend tout
aussitôt.
Car Dieu est au-dessus de nous tous, et nous, nous
devons faire en sorte que Dieu croisse et que
nous, nous diminuions. Nous
aimons bien avoir une belle image devant les
autres, et qu’on reconnaisse nos titres. Mais, mon Dieu, à quoi nous
serviront nos titres et nos brillantes études
quand nous mourrons? A rien.
La seule chose qui nous servira, c’est le
bien que nous aurons fait.
Donc, nous allons demander tous ensemble à
Dieu qu’il mette de l’ordre dans nos vies et
qu’il nous conduise sur de bons chemins,
afin qu’un jour, quand nous arriverons là-haut,
nous puissions jouir de la présence de Dieu, nous
tous qui sommes ici, en nous voyant tous face
à face comme nous nous voyons ici. »
Le royaume des ténèbres est gouverné par une
triade et il est hiérarchique
Message
de Jésus à Mgr
Ottavio Michelini - 13 novembre 1978
Extrait du livre "Confidences de Jésus à ses
prêtres et à ses fidèles -
Éditions du Parvis
Ces monstres sans amour, incapables même seulement
d’imaginer l’amour, ne
pourront jamais aimer la créature humaine. Ils
l’entoureront de flatteries; ils lui
tendront des pièges uniquement pour la tourmenter
davantage, car ces monstrueuses
créatures, quoique dotées de dons naturels comme
Pintelligence, la volonté et
autres, ne pourront jamais s’en servir pour le bien,
mais seulement pour
le mal.
Froides et glacées dans leurs plans de destruction,
elles éprouvent un sadique
besoin de s’enfoncer toujours plus
dans l’iniquité. Inexorablement, elles pensent le mal, le
veulent et le réalisent.
Actuellement, elles sont en train de préparer, dans
l’obscurité, complots sur complots
qu’elles réalisent par le biais de leurs alliés et
de leur «Eglise», la franc-maçonnerie,
pour déchaîner sur la terre une bataille qui n’a de
précédent que dans le
conflit qui eut lieu dans le ciel entre les anges de
la Lumière et ceux des
ténèbres.
Le royaume des ténèbres est gouverné par une
triade et il est hiérarchique. C’est un royaume de
haine et d’iniquité. Il s’appuie en fait sur les
passions les plus
ignominieuses. C’est un royaume d’horreur qui n’a
d’équivalent dans aucun
autre lieu de l’univers et qui ne peut être décrit
en termes humains.
Les sujets de ce royaume sont tous les anges qui,
avec Lucifer, Belzébuth et
Satan, opérèrent la grande
rébellion.
C’est un royaume cependant en continuelle
expansion, parce que viennent le grossir tous les
hommes qui disent «non» au plan du salut pour dire
«oui» au plan
diabolique des puissances obscures de l’enfer.
Les créatures humaines qui meurent en état de péché
mortel demeurent éternellement
dans le péché. Les anges
et les hommes ont apporté et apportent aussi dans l’enfer
leurs dons naturels, de sorte que
leur peine est d’autant plus
grande que ces dons ont été plus marqués, parce
que Dieu, justice infinie,
donne à chacun en proportion de ce
qu’il a mérité. Aussi souffre-t-on en enfer, on souffre en proportion des
dons qu’on a eus sur la terre.
Oui, je sais que vous
ne croyez pas à l’enfer, mais si je me taisais
devant votre ignorance voulue, est-ce que
l’enfer disparaîtrait pour autant ?
Message du Ciel
donné à la Fille du Oui à Jésus -
Date inconnue - Volume 4 - n° 268
Mes
petits enfants chéris, je vous parle pour votre
bien, car je veux vous faire réaliser que je
suis en train de vous préparer une place sur la
terre et dans le Royaume de mon Père. Mais soyez
avertis qu’il n’y aura pas de place ni sur la
terre ni dans le Royaume de mon Père pour ceux
qui ne voudront pas de moi: leur place sera en
enfer.
Oui, je sais que
vous ne croyez pas à l’enfer, mais si je me taisais devant votre
ignorance voulue, est-ce que l’enfer
disparaîtrait pour autant? Croyez-moi,
cela ne changerait pas ce que mon Père a déjà
fait pour les anges qui n’ont pas voulu
m’adorer. Parce qu’ils se sont révoltés, le
tiers des anges, qui ont suivi Lucifer, ont été
projetés en enfer: l’endroit où ils sont
maintenant.
Ces anges
sont des esprits, c’est Dieu qui les a créés et,
comme ils sont des esprits, ils ne peuvent pas
mourir. Suite à leur révolte, Dieu les a chassés
loin de sa face; il fallait bien qu’ils soient
quelque part et
c’est dans ce lieu, que vous niez, qu’ils
vivent.
Si vous refusez de
croire que cet endroit existe, c’est que vous
avez une peur en vous; vous ne voulez
pas aller là où il y a de la souffrance parce
que, la souffrance, vous connaissez ce que cela
veut dire, n’est-ce pas? Vous êtes sur la terre
pour faire des œuvres d’amour mais, comme vous
n’en faites qu’à votre tête, vous souffrez et
vous dites que l’enfer est sur la terre.
Mes enfants, cela est faux! L’enfer
existe vraiment et les souffrances avec.
Les souffrances sont la conséquence de vos
péchés et cela depuis que les enfants de la
terre vivent avec le bien et le mal en eux.
C’est le mal en vous qui vous fait faire des
mauvaises actions. Il n’y a que le bien qui
éloigne le mal, mais votre faiblesse vous
empêche de faire ce qu’il faut ; oui, vous ne
voulez pas prier. (...)
j'ai été dans les gouffres de l'enfer,
pour en parler aux âmes et témoigner que l'enfer
existe
Vision
de l’Enfer donnée à Sainte Faustine, le 20 octobre
1936 - Extrait du Petit Journal, n°741
« Aujourd'hui j'ai été
dans les gouffres de l'enfer, introduite par un
ange. C'est un lieu de grands supplices, et son
étendue est terriblement grande.
Genres de supplices que
j'ai vus :
-
le
premier supplice qui fait l'enfer c'est la perte de Dieu ;
-
le
deuxième - les
perpétuels remords ;
-
le
troisième - le
sort des damnés ne changera jamais ;
-
le
quatrième supplice - c'est le feu qui va pénétrer
l'âme sans la détruire,
c'est un terrible supplice, car c'est un
feu purement spirituel, allumé par la colère
de Dieu ;
-
le
cinquième supplice - ce sont les ténèbres
continuelles, une terrible
odeur étouffante et malgré les ténèbres, les
démons et les âmes damnées se voient
mutuellement et voient tout le mal des autres
et le leur ;
-
le
sixième supplice - c'est la continuelle
compagnie de Satan ;
-
le
septième supplice - le désespoir terrible,
la haine de Dieu, les malédictions,
les blasphèmes.
Ce
sont des supplices que tous les damnés souffrent
ensemble, mais ce n'est pas la fin des supplices.
Il y a des supplices qui sont destinés aux âmes en
particulier, ce sont les souffrances des sens. Chaque
âme est tourmentée d'une façon terrible et
indescriptible par ce en quoi ont consisté ses
péchés. Il y a de terribles cachots,
des gouffres de tortures où chaque supplice diffère
de l'autre ; je serais morte à la vue de ces
terribles souffrances, si la toute-puissance de Dieu
ne m'avait soutenue.
Que
chaque pécheur sache : il sera torturé durant
toute l'éternité par les sens qu'il a employés
pour pécher.
J'écris cela sur
l'ordre de Dieu pour qu'aucune âme ne puisse
s'excuser disant qu'il n'y a pas d'enfer, ou que
personne n'y a été et ne sait comment c'est. Moi,
Sœur Faustine, par ordre de Dieu, j'ai été dans les
gouffres de l'enfer, pour en parler aux âmes et
témoigner que l'enfer existe.
Je ne peux en parler
maintenant [en 1936], j'ai l'ordre de Dieu de le
laisser par écrit. Les démons ressentaient une
grande haine envers moi, mais l'ordre de Dieu les
obligeait à m'obéir. Ce que j'ai écrit est un faible
reflet des choses que j'ai vues. J'ai remarqué une chose : qu'il y a
là-bas beaucoup d'âmes qui doutaient que l'enfer
existe.
Quand je suis revenue à
moi, je ne pouvais pas apaiser ma terreur de ce que
les âmes y souffrent si terriblement, c'est pourquoi
je prie encore plus ardemment pour la conversion des
pécheurs, sans cesse j'appelle la miséricorde divine
sur eux. Ô mon Jésus, je préfère agoniser jusqu'à la
fin du monde dans les plus grands supplices que de
T'offenser par le moindre péché. »
[Rappelons le
message de Dieu le Père donné à Carol Ameche le 12
août 2010, à l’Adoration : « SAUVEZ LES
AMES, MON PEUPLE ». La mission fondamentale
des apôtres des derniers est bien celle-ci :
sauver les âmes (avant même de sauver les corps)
et donc prier pour leur salut.]
Certains vont jusqu’à
enseigner que l’enfer n’existe pas
Enseignement
de Jésus à Joseph X - transmis par le Père Melvin Doucette
(Canada) - Mardi 24 novembre 2009
«
Aujourd’hui, mes frères et mes sœurs, beaucoup
répandent des erreurs plutôt que la vérité que
je vous ai apportée lorsque j’étais sur la
terre. Beaucoup n’enseignent pas les
commandements de mon Père, mais prétendent que
tous seront sauvés, qu’ils suivent ou non les
commandements. Certains vont
jusqu’à enseigner que l’enfer n’existe pas, bien que j’en
aie souvent parlé lorsque j’étais sur la
terre. C’est le lieu destiné au démon et à
tous les esprits mauvais, ainsi qu’à tous
ceux qui ont refusé de croire en moi et de
se repentir de leurs fautes.
« Mes chers
amis, n’écoutez pas ceux qui n’enseignent pas
la vérité, mais
adhérez totalement aux enseignements définis
par mon Église. Tenez ferme dans la
foi et croyez tout ce que l’Église vous
apprend, en particulier en ce qui regarde ma
seconde venue, la puissance des sacrements,
l’importance de la prière, la fidélité à
l’Eucharistie du dimanche et la réception
régulière de la sainte Communion.
N’oubliez
jamais le sacrement de ma miséricorde, qui est
le Sacrement de la Réconciliation. Observez
tous les commandements et aimez-vous les uns
les autres. Vous serez bénis. »
Traduction : RF
La porte
du royaume infâme de Satan sera fermée, boulonnée par
mes anges pour toujours, pour toujours, pour toujours,
un toujours dont le nombre d’années est sans nombre
Révélation donnés à Maria Valtorta -
Dictée et vision du 15 janvier 1944 - extraites
des "Cahiers de 1944"
Jésus décrit l’enfer: un tourment de feu,
de gel, de ténèbres.
Jésus dit : "Une fois, je t’ai fait voir le Monstre
des abîmes [1]. Je vais aujourd’hui te parler de son
royaume. Je ne peux pas toujours te garder au
paradis. Souviens-toi que tu as pour mission de
rappeler certaines vérités à tes frères qui les ont
trop oubliées. Ce sont ces oublis, qui sont en
réalité du mépris pour les vérités éternelles, qui
sont la cause de tant de maux pour les hommes.
Écris donc cette page pénible. Ensuite, tu seras
réconfortée. C’est la nuit du vendredi. Écris en
regardant ton Jésus, qui est mort sur la croix dans
des tourments tels qu’ils sont comparables à ceux de
l’enfer, et qui a voulu cette mort pour sauver les
hommes de la Mort.
Les hommes
d’aujourd’hui ne croient plus à l’existence de
l’enfer. Ils se sont échafaudé un au-delà à
leur convenance et tel qu’il soit moins terrorisant
pour leur conscience, qui mérite bien des
châtiments. Disciples plus ou moins fidèles de
l’Esprit du Mal, ils savent bien que leur conscience
reculerait devant certains méfaits, s’ils croyaient
réellement à l’enfer comme la foi l’enseigne. Ils
savent que leur conscience, une fois leur méfait
commis, ferait retour sur elle-même et trouverait le
repentir dans le remords ou dans la peur et, grâce
au repentir, la voie pour revenir à moi.
Leur malice, instruite pas Satan dont ils sont les
serviteurs ou les esclaves (suivant leur adhésion
aux volontés et aux suggestions du Malin) ne veut
pas de tels reculs et de tels retours sur soi. Par
conséquent, l’homme abandonne la foi à l’enfer tel
qu’il est réellement et s’en fabrique un autre — si
du moins il s’en fabrique un —, qui n’est en fait
qu’une pause pour prendre son élan vers d’autres
élévations futures.
Il va si loin dans cette opinion qu’il croit
de façon sacrilège que le plus grand de tous les
pécheurs de l’humanité, le fils bien-aimé de Satan,
celui qui était voleur comme le dit l’Évangile,
concupiscent et avide de gloire humaine comme je le
dis moi, Judas Iscariote, a pu être sauvé et
parvenir jusqu'à moi en passant par des phases
successives, alors que, poussé par la triple
concupiscence, il est devenu marchand du Fils de
Dieu et que, moyennant trente pièces et un baiser
comme signe — une valeur monétaire dérisoire et une
valeur affective infinie —, il m’a livré aux mains
des bourreaux.[2]
Non. S’il fut le
sacrilège par excellence, moi je ne le suis
pas. S’il fut l’injuste par excellence, moi je ne le
suis pas. S’il fut celui qui a répandu
dédaigneusement mon Sang, moi je ne le suis pas.
Pardonner à Judas serait un sacrilège envers ma
divinité qu’il a trahie, ce serait une injustice
envers tous les autres hommes, toujours moins
coupables que lui et qui sont pourtant punis pour
leurs péchés, ce serait mépriser mon sang, enfin ce
serait ne pas tenir compte de mes lois.
J’ai dit, moi qui suis le Dieu un et trine, que celui qui est
destiné à l’enfer l’endure pour l’éternité car
aucune nouvelle résurrection ne provient de cette
mort-là. J’ai dit que ce feu est éternel et
que tous les artisans de scandales et d’iniquités
s’y retrouveront. Ne croyez pas non plus que ce sera
au moment de la fin du monde. Non, car au contraire,
la terrible révision de vie sera suivie de cette
demeure, plus impitoyable, de larmes et de tourments
:
en effet, ce qui est encore permis à ses
hôtes comme divertissement infernal — le pouvoir
de nuire aux vivants et la vue de nouveaux damnés
être précipités dans l’abîme — n’existera plus. La
porte du royaume infâme de Satan sera fermée,
boulonnée par mes anges pour toujours, pour
toujours, pour toujours, un toujours dont le
nombre d’années est sans nombre.
En comparaison, si les grains de sable de tous les
océans de la terre devenaient des années, ils
formeraient moins d’une journée de mon éternité
impossible à mesurer, faite de lumière et de gloire
en haut pour les bienheureux, mais de ténèbres et
d’horreur pour les maudits dans les profondeurs.
Je t’ai déjà dit que le purgatoire est un feu
d’amour. Mais l’enfer est un feu de sévérité.
Le purgatoire est un lieu dans lequel vous expiez
vos manques d’amour pour votre Seigneur Dieu en
pensant à lui, dont l’Essence a brillé devant vous
au moment de votre jugement particulier et vous a
remplis du désir de la posséder. Par l’amour, vous
conquérez l’Amour et, en passant par des degrés
croissants de charité enflammée, vous lavez vos
vêtements jusqu’à les rendre purs et lumineux pour
entrer dans le royaume de la Lumière, dont je t’ai
montré les splendeurs il y a quelques jours. [5]
L’enfer est un lieu
où la pensée de Dieu, le souvenir de Dieu entrevu
lors du jugement particulier n’est pas, comme pour
l’âme du purgatoire, un saint désir, une nostalgie
déchirante mais pleine d’espoir, une espérance
faite d’attente tranquille, de paix assurée qui
atteindra la perfection quand elle sera devenue
conquête de Dieu, mais qui donne déjà à l’âme du
purgatoire une joyeuse activité purifiante,
puisque chaque souffrance, chaque instant de
souffrance l’approche de Dieu, son amour. En enfer
la pensée de Dieu est remords, ressentiment,
damnation, haine. Haine contre Satan, haine contre
les hommes, haine contre soi-même.
Après avoir, pendant leur vie, adoré Satan à ma
place, maintenant qu’ils le possèdent et en voient
le véritable aspect, qui n’est plus caché sous le
sourire ensorcelant de la chair, sous l’éclat
lumineux de l’or, sous le signe puissant de la
suprématie, ils le haïssent pour avoir causé leurs
tourments.
Après avoir oublié leur dignité d’enfants de Dieu au
point d’adorer les hommes jusqu’à devenir des
assassins, des voleurs, des escrocs, des marchands
d’immondices pour eux-mêmes, maintenant qu’ils
retrouvent les patrons pour lesquels ils ont tué,
volé, escroqué, vendu leur propre honneur comme
celui de tant de créatures malheureuses, faibles,
sans défense, en se faisant l’instrument d’un vice
que les animaux n’en connaissent pas — la luxure,
cet attribut de l’homme empoisonné par Satan —,
maintenant donc ils les haïssent pour avoir provoqué
leurs tourments.
Après s’être adorés eux-mêmes en accordant toute
satisfaction à la chair, au sang ainsi qu’aux sept
appétits de leur chair et de leur sang, foulant
ainsi aux pieds la Loi de Dieu et celle de la
moralité, ils se
haïssent maintenant parce qu’ils se rendent compte
qu’ils se sont eux-mêmes causé leurs tourments.
Le mot "Haine" recouvre ce royaume immenseLe mot
"Haine" recouvre ce royaume immense; il rugit au
milieu de ces flammes; il hurle sous les ricanements
des démons; il sanglote et crie au milieu des
lamentations des damnés; il résonne, résonne,
résonne, comme une cloche qui sonne éternellement le
tocsin; il retentit comme un buccin éternel; il
remplit chaque recoin de cette prison; il est en
lui-même un tourment car, chaque fois qu’on
l’entend, il ranime le souvenir de l’Amour perdu à
jamais, le remords d’avoir voulu le perdre et la
rage de ne plus jamais pouvoir le revoir.
Au milieu de ces flammes, l’âme morte, à l’instar
de ces corps jetés au bûcher ou dans les fours
crématoires, se tord et crie comme si elle était
de nouveau animée par un mouvement de vie, elle se
réveille pour comprendre son erreur puis meurt et
renaît à chaque instant dans d’atroces douleurs,
car le remords la tue sous un blasphème et ce
meurtre la ramène à vivre un nouveau tourment. Le
crime d’avoir trahi Dieu dans le temps reste
devant l’âme pour l’éternité; l’erreur d’avoir
refusé Dieu dans le temps lui est éternellement
présente, pour son tourment.
Dans le feu, les flammes singent les spectres de ce
qu’ils ont adoré pendant leur vie, les passions se
peignent en ardents coups de pinceau sous leurs
aspects les plus appétissants et elles crient,
crient leur mémento [6] : "Tu as voulu le feu des
passions. Reçois maintenant le feu allumé par Dieu,
dont tu as tourné en dérision le saint Feu."
Le feu répond au
feu. Au paradis, il est feu d’amour parfait. Au
purgatoire, il est feu d’amour purificateur. En
enfer, il est feu d’amour offensé. Puisque
les élus ont aimé à la perfection, l’Amour se donne
à eux avec toute sa perfection. Puisque les âmes du
purgatoire ont aimé tièdement, l’Amour devient
flamme pour les amener à la perfection. Puisque les
maudits ont brûlé de tous les feux, sauf du Feu de
Dieu, le Feu de la colère de Dieu les brûle pour
l’éternité. Or au sein de ce feu se trouve aussi un
froid glacé.
Oh ! Vous ne
pouvez vous imaginer ce qu’est l’enfer. Prenez tout ce
qui tourmente l’homme sur terre : le feu, les
flammes, le gel, les eaux qui submergent, la
faim, le sommeil, la soif, les blessures, les
maladies, les plaies, la mort...
Additionnez-les et multipliez ce total des
millions de fois : vous n’aurez qu’une pâle
image de cette terrible vérité.
Un froid sidéral se
mêlera à une chaleur insoutenable. Les damnés ont
brûlé de tous les feux humains mais n’auront eu
qu’une vie spirituelle glacée pour leur Seigneur
Dieu. C’est donc le gel qui les attend pour les
congeler après que le feu les aura salés comme du
poisson mis à rôtir sur une flamme. Le fait de
passer de la chaleur brûlante qui fait fondre au
froid glacé qui condense est un tourment de plus.
Oh ! Ce n’est pas là un langage métaphorique, car
Dieu peut faire en sorte que les âmes, lourdes des
fautes qu’elles ont commises, aient une sensibilité
égale à celle de la chair, même avant qu’elles ne
revêtent cette chair.
Vous ne savez pas et ne croyez pas. Mais je
vous dis, en vérité, que mieux vaudrait pour vous
subir tous les tourments de mes martyrs plutôt que
passer une seule heure dans les tortures de
l’enfer.
Le troisième tourment, ce sera l’obscurité. Une
obscurité matérielle et spirituelle. Se trouver pour
toujours dans les ténèbres après avoir vu la lumière
du paradis, être étreint par la Ténèbre après avoir
vu la Lumière qui est Dieu ! Se débattre dans
l’horreur noire où seul s’illumine, au réverbère de
l’esprit brûlant, le nom du péché qui leur a valu
d’être plongés dans une telle horreur !
Ne trouver aucun
appui dans ce remue-ménage d’âmes qui se haïssent
et se nuisent mutuellement, si ce n’est dans
le désespoir qui les rend fous et toujours plus
maudits. S’en nourrir, s’appuyer sur lui, se tuer
avec lui. La mort nourrira la mort, est-il dit. [7]
Le désespoir est mort et nourrira ces morts pour
l’éternité.
Je vous le dis, moi qui pourtant ai créé cet
endroit : quand j’y suis descendu pour tirer des
limbes ceux qui attendaient ma venue, j’ai eu
horreur, moi qui suis Dieu, de cette horreur, et,
si une chose faite par Dieu n’était immuable parce
que parfaite, j’aurais voulu le rendre moins
atroce, car je suis l’Amour et j'ai souffert de
cette horreur.
Or vous, vous voulez y aller !
Mes enfants, méditez ce que je vous dis. On
donne aux malades des médicaments amers, les
endroits atteints par le cancer sont cautérisés et
le mal excisé. Pour vous, qui êtes malades et
cancéreux, ma parole est médicaments et cautère
chirurgical. Ne la refusez pas. Servez-vous-en pour
vous guérir. La durée de la vie n’est pas ces
quelques jours passés sur la terre. La vie commence
quand elle vous semble finir, et elle ne finit pas.
Faites en sorte qu’elle se déroule là où la lumière
et la joie de Dieu rendent l’éternité belle, et non
pas là où Satan est le bourreau éternel."
Vous
voyez différents niveaux de l’enfer,
et les niveaux les plus bas subissent
encore plus de tourments.
Message
du Seigneur donnés à John
Leary (USA) -
Lundi le 14 janvier 2008.
« Mes amis, je vous donne une autre
vision de l’enfer pour réveiller les gens aux
dangers de leurs actions et styles de vie coupables
qui pourraient les conduire à l’enfer.
Quand vous voyez comment ces âmes souffrent et
préviennent les autres de ne pas y venir, vous
pouvez penser différemment sur la nécessité de se
confesser et de commettre moins de péchés dans vos
vies.
En enfer, il y a
pour ces âmes mauvaises une souffrance constante,
comme une sensation de brûlure, et leur apparence
est enlaidie et sent une puanteur de soufre. Ces âmes sont condamnées à l’enfer pour toute
l’éternité de leur propre choix, et par mon jugement
à ne jamais revoir mon visage.
Elles vivent dans un
désespoir total et sont tourmentées par la haine
des démons. Vous voyez différents niveaux de l’enfer,
et les niveaux les plus bas subissent encore
plus de tourments.
Certaines âmes m’ignorent passivement et sont
occupées par les désirs et conforts
terrestres; ces âmes sont dans des régions
plus élevées de l’enfer. Aux niveaux du milieu, sont ces âmes qui
vendent leur âme à Satan pour pouvoir être riches
et célèbres parmi les hommes.
Aux niveaux
inférieurs se trouvent le clergé, les sorcières et
les sorciers qui ont intentionnellement rendu un
culte à Satan et travaillé à amener des âmes en
enfer.
Ces châtiments en enfer viennent de ma Justice
divine et… vous ne voulez pas que je vous dise que
je ne vous connais pas! Toutes ces âmes qui me
rejettent ou qui adorent des idoles et Satan, se
retrouveront languissant en enfer à cause de leurs
propres mauvais choix dont elles ne se sont jamais
repenties.
Beaucoup d’âmes tombent en enfer en
ce temps mauvais, alors soyez inspirés par ma grâce
de sauver autant d’âmes que possible de cet Enfer
(brasier) éternel. »
Mais certains de mes anges et
des hommes ont refusé de me servir et
c’est pour cette raison que l’enfer fut
créé
Message
du Seigneur donnés à John
Leary (USA) - Vendredi le 15
juin 2007 (Sacré Cœur de Jésus)
Jésus dit : « Mon peuple, pour
toutes les choses créées je suis le centre de
votre univers, et toutes les choses tournent
autour de moi.
Je suis toute
perfection, tout amour et toute cause de tout ce
qui existe.
Cette vision d’un univers en orbite c’est pour
vous montrer la largeur et l’étendue de ma
puissance, tout comme les apôtres se sont
émerveillés lorsque j’ai calmé la mer
agitée. La représentation de mon Sacré Cœur
avec une flamme et une couronne d’épine représente
mon amour pour les gens et avoir même donné ma vie
pour vous sauver tous.
Le cœur est un signe d’amour et la flamme
éternelle signifie que je vous aimerai toujours,
même quand vous péchez contre moi. Ma
miséricorde et mon pardon sont toujours
disponibles pour chaque pécheur dans mon sacrement
de Réconciliation. Vous pouvez confesser vos
péchés au prêtre avec contrition et regret, et je
vous pardonnerai.
Ceux qui ne se
repentissent pas et n’acceptent pas le fait que
vous êtes des pécheurs, risquent les feux de
l’enfer pour toute l’éternité.
Toutes les choses dans l’univers obéissent à ma
volonté et l’homme ne fait pas exception.
Comprenez que je vous ai donné le libre choix de
m’aimer et de faire ma Volonté.
Mais certains de mes anges et des hommes ont
refusé de me servir et c’est pour cette
raison que l’enfer fut créé : pour
les orgueilleux et ceux qui n’ont pas d’amour
dans leurs cœurs. Venez à moi, mes
enfants, et appréciez l’amour et la récompense de
votre Maître en étant fidèles à votre mission et à
ma Divine Volonté. »
Une enfant de 8
ans en ENFER
Extraite des
messages de l'Escorial du
03 novembre 2002. - Texte
trouvé dans le Bulletin de l'Association Vierge
des Douleurs du Pré Neuf de l'Escorial -
n° 60 - novembre 2002 (abonnement tél. : 05 59
84 35 93 - France)
(...) J'ai vu des enfants en enfer. Le premier que j'ai
vu, c'était une petite
fille âgée de 8 ans. J'en
ai été horrifiée. Je ne comprenais comment un
enfant de 8 ans pouvait se trouver en enfer.
J'en
suis arrivée à penser : comment Dieu peut faire
une chose pareille ? Alors
Le Seigneur m'a dit : « Comme tu doutes de Moi » !
Moi
je n'ai pas condamné cette petite fille, elle
s'est condamnée elle-même. De
même qu'il y a des enfants qui sont « adultes »,
de même certaines personnes âgées sont comme des
enfants.
Cette
petite à 8 ans avaient commis beaucoup de
péchés. Et moi j'avais commis un péché
en jugeant Dieu. Un jour aussi, il m'est arrivé
d'avoir de La compassion pour ceux qui étaient en
enfer, alors le Seigneur s'est fâché et il m'a dit
: « Tu es en train de juger comme si Je n'étais
pas Juste envers les âmes.
Combien
de fois t'ai je dit que les âmes qui se
condamnent, Le font de leur plein gré ! Moi J'ai
œuvré avec Justice en tant que Juge Suprême.
Ne
doutes jamais de La Justice de Dieu ! ».
Alors vous voyez, j'avais commis un péché en
doutant de Dieu. Je m'en suis repentie bien sûr.
Souvent je préfère ne pas penser. Je dis souvent à
Dieu que s'il fait les choses, c'est lui Le Maître
de tout. Et iL sait bien ce qu'Il a à faire et
comment IL doit le faire.
Question : L'eau bénite
peut-eLle soulager les âmes du Purgatoire ?
Oui.
Lorsqu'on entre à l'église et que L'on fait Le
signe de croix avec l'eau bénite, on peut effacer
ses propres péchés véniels.
Question : Beaucoup de
prêtres disent que l'enfer n'existe pas !
Les pauvres ! L'Enfer est un dogme de foi. C'est
écrit : « Va-t-en maudit, au feu éternel ! ». Et
combien de fois L'on trouve dans l'EvangiLe le mot
« enfer ». Celui qui ne croit pas à l'enfer est
anathème. L'Enfer existe comme le CieL existe.
Mais nous, nous devons croire en la parole de
Dieu. On ne doit rien ajouter ni rien retrancher à
la parole de Dieu qui est L'Evangile. Ce qui est
écrit, est écrit. Celui qui ajoute ou retranche
quelque chose, quand il se présentera devant Dieu
!...
Question : Il y a beaucoup de
prêtres qui ne veulent pas que Les croyants
s'agenouillent pour recevoir la Sainte Communion ! Avec humilité, vous vous levez, et Le Seigneur
voit. Il m'est arrivé de m'agenouiller avant de
recevoir la communion et le prêtre m'a dit :
(...) IL n'y avait que cris et malédictions : les enfants maudissaient Leurs
parents et les parents maudissaient leurs enfants.
Chacun
se renvoyait la faute : les enfants disaient à
Leurs parents : c'est à cause de vous que nous
sommes ici, et les parents disaient à leurs
enfants que c'était Leur faute s'ils se trouvaient
en ce lieu. C'est parce que Les parents avaient
tout consenti à Leurs enfants et que les enfants
en avaient bien profité, n'ayant pas respecté
leurs parents, qu'iLs se trouvaient tous en enfer.
Ces
âmes dont j'ai parlé auparavant, donnaient des
avertissements aux parents en Leur indiquant
qu'ils devaient élever leurs enfants dans La
sainte crainte de Dieu et ne pas leur mettre,
comme dit L'Evangile, « un serpent entre leurs
mains, ni une bouteille de venin pour qu'ils
s'empoisonnent » mais qu'ils devaient les conduire
sur le chemin de l'Evangile. Elles disaient que
pour toutes ces raisons, beaucoup de parents
étaient condamnés. (...)
Peut-on quitter l'ENFER
Extraite des
messages de l'Escorial du
03 novembre 2002. Texte trouvé
dans le Bulletin de l'Association Vierge des
Douleurs du Pré Neuf de l'Escorial -
n° 60 - novembre 2002 (abonnement tél. : 05 59
84 35 93 - France)
(...)
Non. L'enfer est l'unique Lieu qui
est sans issue.
Ceux
qui y vont, y vont de leur plein gré parce qu'ils
maudissent Dieu. ILs ne veulent
pas sortir de L'enfer même s'ils souffrent parce
qu'ils haïssent Dieu.
Si
Satan s'était humilié, s'iL avait été humble, Dieu
lui aurait pardonné. Mais à cause de son orgueil,
iL n'a pas voulu s'abaisser. Dieu
n'oblige aucune âme, elle se condamne
par sa propre volonté. L'orgueil de ces âmes en
arrive à un point teL qu'elles ne reviennent pas
en arrière, même condamnées.
Et les enfants italiens qui sont décédés
au cours du tremblement de terre ?
(le 31 octobre 2002 - fête d'halloween - une
école s'est effondrée)
Imaginez
ce qu'ils étaient en train de fêter !... Dieu
commande et peut sauver les hommes jusqu'au
dernier moment. Dieu peut pardonner à qui il veut
jusqu'au dernier moment. Mais pensez à ce qu'ils
étaient en train de fêter !... (...)
JÉSUS et
VÉRONICA visitent L'ENFER
(Messages
des apparitions de Véronica Lueken (USA)
18 Juin 1990 (...)
Véronica : Oh, mon Dieu! Je
vois que nous, nous dérivons comme dans un trou,
c'est comme un grand trou dans le sol. Et
j'entends, j'entends des gens crier crier à
s'époumoner ! Mais je regarde par en bas
maintenant; Jésus a dit de regarder vers le bas.
Je veux regarder par en haut; la chaleur étant si
intense, je ne veux pas regarder par en bas. Mais
je vais le faire. Très bien.
Oh, bon sens! Oh, je vois--je sais qu'ils sont des
démons, suspendus aux murs d'un endroit qui
ressemble à une caverne où Jésus dit que cela est
la première partie de l'enfer. Et toutes ces âmes
il doit y en avoir des milliers hurlent ! Elles
hurlent et crient, et elles sont comme des braises
brûlantes ! Leurs corps flottent partout; elles
n'ont aucun poids. Ca ressemble à des corps,
cependant c'est comme du charbon qui brûle!
"Oh, Sainte Mère et Jésus, s'il vous plaît,
sortez-moi d'ici!"
Oh! Oh, c'est terrible!
"Oui." (...)
Une
âme damnée parle
Extraite des
messages de l'Escorial
Une âme damnée :
Nous ne voulons rien savoir, ni de vous ni de Dieu.
Nous ne changerions pas les peines ni la douleur
pour aller au Ciel ! Notre mission est la haine, la
destruction, le manque d’amour. C’est un tourment
qui ne finira jamais et ne nous consumera jamais. C’est
un feu dévorant, qui dévore nos entrailles. Mais
nous sommes maudits de Dieu parce que nous, nous
n’avons pas voulu l’aimer. Mais je veux que vous
avertissiez les hommes des tourments si grands de ce
lieu afin qu’ils n’y entrent pas. C’est la
voix de Dieu qui me le commande ! Mais pour moi,
j’entraînerai tout le monde dans ce lieu où ils se
consumeraient par le feu, où la haine, la
destruction sont toujours présents ! Tout
n’est qu’amertume
et notre mission est de détruire les âmes.
Luz Amparo : Quelle
horreur !
Une âme damnée :
Beaucoup parviennent en ce lieu parce que personne
n’a voulu leur dire la vérité et nous nous n’avons
pas voulu la comprendre. Il était plus facile de
vivre dans les commodités, l’abondance, et à notre
guise sans faire la volonté de Dieu. Ceci
est notre salaire. Nous sommes payés par celui
pour lequel nous avons travaillé. Nous
éprouvons de la haine, du mépris. Si Dieu nous
laissait, nous détruirions le monde. Nous
n’éprouvons que le désir d’entraîner tous les hommes
pour qu’ils participent à cette souffrance.
La Très Sainte Vierge :
Ma fille, tu vois quelle différence il y a entre
l’amour et la haine ? Observe la paix qu’il y a en
ce lieu et la haine, le mépris et la rancœur qu’il y
a dans l’autre. Luttez mes enfants, et ne vous
laissez pas conquérir par des paroles qui flattent
vos ouies, par des commodités pour votre corps.
Soyez fidèles à la volonté de Dieu, aimez nos Cœurs,
mes enfants ! Les âmes bonnes jouissent de la
miséricorde si grande que Dieu a eue envers elles
parce qu’elles ont été capables de lutter, de se
détacher, de rejeter les vanités, les rancœurs, les
envies, d’être pauvres, humbles et sacrifiées,
d’imiter Jésus sur la Croix et Marie à Nazareth !
N’as-tu pas vu ton Père Spirituel, ma fille, comme
il est joyeux en la présence de Dieu ? Il a consacré
toute sa vie à Dieu depuis son enfance. A l’âge de 9
ans, il a commencé son chemin ma fille.
Notre Seigneur :
Il s’est consacré entièrement. C’est pourquoi je
vous ai récompensé, lui et toi : je l’ai récompensé
en étant ton directeur spirituel, et je t’ai
récompensée en apprenant de lui. C’est pourquoi je
demande aux hommes : approchez-vous des sacrements,
mes enfants, ne vous relâchez pas dans la prière,
laissez le monde et toutes ses vanités et prenez un
chemin droit et sûr. Dans le monde il y a une crise
de la foi que les hommes ont perdu parce qu’ils
considèrent que tout est bien. L’homme a perdu la
morale et le monde est rempli d’immoralité : car
rien n’est péché. On porte la chair en triomphe et
je te répète, ma fille, que les hommes veulent
changer les lois, chacun ne s’acceptant pas tel
qu’il est, sur le chemin de sainteté, mais dans
l’immoralité et en adultérant leur corps : les
hommes avec les hommes, les femmes avec les femmes.
Mais jusqu’où allez-vous en venir, créatures, car
vous ne respectez pas la loi de Dieu ! Dieu a crée
l’homme et la femme pour procréer, non point pour la
jouissance, les plaisirs ou les passions. L’homme
l’a oublié. Je te répète ma fille que cela ressemble
à Sodome et Gomorrhe. Jusqu’à quand Dieu doit-il
avoir honte des hommes ! Priez mes enfants, priez
pour ne pas tomber en tentation.
Extraite des messages de l'Escorial
Septembre 1993
Notre Seigneur : Ils veulent
briller sur la terre et ce qui leur importe, ce
sont les récompenses et les
flatteries terrestres; ils ne veulent pas de l'éternité, et c'est pourquoi ils
resteront dans le temps
5 août 2000
La Très Sainte Vierge : Malheur
à ceux qui n'écoutent pas ma
voix, malheur à ceux qui, l'ayant entendue, l'abandonnent ! Pauvres âmes,
ceux qui se comportent
ainsi, Je les chasse loin de moi, parce qu'ils ne
veulent pas que J'applique ma
miséricorde sur eux. Ils sont si orgueilleux, si superbes, que ni l'amour
de Dieu, ni sa miséricorde,
ne leur importent pour leur salut. Ah, mes
enfants, quand viendra le
jour où vous devrez vous présenter devant la
Divine Majesté de Dieu, combien
d'entre vous voudront entrer et ne le pourront pas, parce que vous
n'aurez pas été dignes de vous
trouver en ma présence !
Révéler la
réalité de l'enfer
(Vincent, 22 mai 2013) Comme
c'est souvent le cas lorsque je mets en ligne un texte
révélant la réalité de l'enfer, le démon laisse
rapidement exploser sa rage.
Mardi
21 mai, je mets en ligne le texte de Soeur Josefa
Menéndez et la nuit
d'après, vers 2 heures, j'entends un bruit
bizarre, je n'y prête pas attention, mais au
réveil, je m'aperçois qu'une zone d'un plafond
s'est effondré chez moi (une partie sans
importance de ma maison, photo ci-contre).
Travailler à faire connaitre
l'existence de l'enfer n'est pas sans risque et il est indispensable
d'être solidement protégé.
Ma maison a été
bénite, les dégâts sont donc généralement
assez mineurs et ma personne physique est bien
à l’abri grâce à mon
scapulaire et surtout, je fais 2 fois par jour
une prière à Saint Michel (en plus d'autres
prières) et j'y mets sous sa protection (en
les énumérant) tout ce qui m'est important.
Le
cinéaste franco-polonais Roman
Polanski n'a dû prendre aucune de ces
précautions lorsqu’il a accepté de porter à l'écran
le livre "Rosemary's Baby," révélant ainsi au grand
jour les cultes satanistes et lançant la mode des
films avec pour thème "Satan", des films qui ne
peuvent que fortement déplaire aux
démons dont la principale force est de
faire croire qu'ils n'existent pas.
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(http://fr.wikipedia.org/wiki/)
(...) Polanski est repéré par
le producteur américain Robert Evans qui lui
confie la réalisation de son premier film
hollywoodien : Rosemary's Baby, adapté
d'un best-seller. Mia Farrow y interprète une
jeune femme victime d'une secte de sorciers
octogénaires adorateurs de Satan qui fait d'elle
la mère de l’Antéchrist.
Ce
film d'épouvante se hisse au sommet du
box-office de 1968 et lance la mode des
thrillers sataniques (L'Exorciste, La
Malédiction…) et se voit reconnu par la critique
comme l'un des grands chefs-d'œuvre du cinéma
fantastique (...)
Au faîte de sa gloire, Polanski est néanmoins
ébranlé par un nouveau drame dans sa vie :
alors qu'il est en pleine préparation d'un film au
Royaume-Uni, sa femme
Sharon Tate, enceinte de huit mois, trois
de leurs amis proches, et un ami du jeune gardien
de la propriété sont
assassinés dans la demeure du couple, à
Los Angeles sur Cielo Drive, par des proches de
Charles Manson, gourou d'une secte.
(...) Au moment des meurtres,
Charles « Tex » Watson dira à l'une des
victimes, Wojciech Frykowski, qui lui demandait
qui il était et ce qu'il voulait, « Je suis le diable, et je suis
ici pour faire son travail » laissant certains journalistes
supputer que c'est
Polanski qui était initialement visé par la
secte en raison de son film Rosemary's Baby.
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(Vincent) Donc, après
avoir fait tuer sa femme et son enfant, le démon a dû
estimer que ce n'était pas assez et il a
trouvé le moyen de le compromettre dans une
affaire de mœurs. Une
embrouille qui doit être assez banal dans ces milieux (on
est dans les années 70), mais qui a pris des
proportions démoniaques pour Polanski et
cela empoisonna sa vie de très nombreuses années.
Conclusion, ne
révélez pas la réalité de l'enfer sans
l'équipement approprié.
Voici un extrait du
Catéchisme de l'Eglise
Catholique concernant
L'ENFER
Pour lire l'intégralité du
catéchisme : http://www.clerus.org/clerus/index_fra.html
IV. L’enfer
1033 Nous ne
pouvons pas être unis à Dieu à moins de choisir
librement de l’aimer. Mais nous ne pouvons pas
aimer Dieu si nous péchons gravement contre Lui,
contre notre prochain ou contre nous-mêmes :
" Celui qui n’aime pas demeure dans la mort.
Quiconque hait son frère est un homicide ; or
vous savez qu’aucun homicide n’a la vie éternelle
demeurant en lui " (1 Jn 3, 15). Notre
Seigneur nous avertit que nous serons séparés de
Lui si nous omettons de rencontrer les besoins
graves des pauvres et des petits qui sont ses
frères (cf. Mt 25, 31-46). Mourir en péché mortel
sans s’en être repenti et sans accueillir l’amour
miséricordieux de Dieu, signifie demeurer séparé
de Lui pour toujours par notre propre choix libre.
Et c’est cet état d’auto-exclusion définitive de
la communion avec Dieu et avec les bienheureux
qu’on désigne par le mot " enfer ".
1034 Jésus parle
souvent de la " géhenne " du " feu
qui ne s’éteint pas " (cf. Mt 5, 22.
29 ; 13, 42. 50 ; Mc 9, 43-48), réservé
à ceux qui refusent jusqu’à la fin de leur vie de
croire et de se convertir , et où peuvent être
perdus à la fois l’âme et le corps (cf. Mt 10,
28). Jésus annonce en termes graves qu’il
" enverra ses anges, qui ramasseront tous les
fauteurs d’iniquité (...), et les jetteront dans
la fournaise ardente " (Mt 13, 41-42), et
qu’il prononcera la condamnation :
" Allez loin de moi, maudits, dans le feu
éternel ! " (Mt 25, 41).
1035
L’enseignement de l’Église affirme l’existence de
l’enfer et son éternité. Les âmes de ceux qui
meurent en état de péché mortel descendent
immédiatement après la mort dans les enfers, où
elles souffrent les peines de l’enfer, " le
feu éternel " (cf. DS 76 ; 409 ;
411 ; 801 ; 858 ; 1002 ;
1351 ; 1575 ; SPF 12). La peine
principale de l’enfer consiste en la séparation
éternelle d’avec Dieu en qui seul l’homme peut
avoir la vie et le bonheur pour lesquels il a été
crée et auxquels il aspire.
1036 Les
affirmations de la Sainte Écriture et les
enseignements de l’Église au sujet de l’enfer sont
un appel à la responsabilité avec laquelle l’homme
doit user de sa liberté en vue de son destin
éternel. Elles constituent en même temps un appel
pressant à la conversion : " Entrez par
la porte étroite. Car large et spacieux est le
chemin qui mène à la perdition, et il en est
beaucoup qui le prennent ; mais étroite est
la porte et resserré le chemin qui mène à la Vie,
et il en est peu qui le trouvent " (Mt 7,
13-14) :
Ignorants du jour et de
l’heure, il faut que, suivant l’avertissement du
Seigneur, nous restions constamment vigilants
pour mériter, quand s’achèvera le cours unique
de notre vie terrestre, d’être admis avec lui
aux noces et comptés parmi les bénis de Dieu, au
lieu d’être, comme de mauvais et paresseux
serviteurs, écartés par l’ordre de Dieu vers le
feu éternel, vers ces ténèbres du dehors où
seront les pleurs et les grincements de dents
(LG 48).
1037 Dieu ne
prédestine personne à aller en enfer (cf. DS
397 ; 1567) ; il faut pour cela une
aversion volontaire de Dieu (un péché mortel), et
y persister jusqu’à la fin. Dans la liturgie
eucharistique et dans les prières quotidiennes de
ses fidèles, l’Église implore la miséricorde de
Dieu, qui veut " que personne ne périsse,
mais que tous arrivent au repentir " (2 P 3,
9) :
Voici
l’offrande que nous présentons devant toi, nous, tes
serviteurs, et ta famille entière : dans ta
bienveillance, accepte-la. Assure toi-même la paix de
notre vie, arrache-nous à la damnation et reçois-nous
parmi tes élus (MR, Canon Romain 88).
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