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J'ai perdu un enfant à quelques mois de grossesse

    Dois-je lui donner un prénom, faut-il prier pour lui ?

Oui, l'enfant a déjà une Âme dans le corps de sa mère
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D'après les révélations de
Mirella Pizzioli

Il faut penser à lui, prier pour lui et lui donner un prénom. Il faut le considéré comme un enfant qui a vraiment vécu.
Un enfant qui aurait du être baptisé
(dans une famille chrétienne) reçoit le baptême en même temps que son petit frère
(s'il n'y a pas de petit frère, on peut penser que Dieu se sert, par exemple, du baptême d'un cousin).


Dieu prend également bien soin des enfants de familles non chrétiennes mais nous ne savons pas de qu'elle façon Il opère.
A.C. Emmerich
l'a su, mais Dieu lui a interdit de le révéler.

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Les enfants morts avant la naissance

Appel aux Jeunes..Message de Jésus reçu le 16 décembre 2005… Par Monique-Marie


Continue ma bien aimée, parle à tous ceux dans les familles desquels il y a eu un avortement, car ceux là souffrent sans savoir pourquoi. On leur a, la plupart du temps, caché le ou les avortements qui ont précédé ou suivi leur naissance.

Et ils ont en eux-mêmes un constant désir de mourir, une dépression latente qu’ils ne peuvent exprimer, puisque autour d’eux tout semble normal, tous semblent jouir de la vie. Il faut que tous les jeunes qui sentent cette tristesse au fond d’eux-mêmes osent demander à leurs parents s’il n’y a pas eu d’avortement avant leur naissance dans leur famille, ou s’il n’y a pas eu une fausse-couche dont on ne leur a jamais parlé.
 
Ils doivent savoir. Car s’il y a eu un avortement, la profonde tristesse qu’ils ressentent ne vient pas d’eux. Elle a été engendrée dans le corps de la maman qui l’a vécu, et le nid d’amour est devenu un nid de mort.

Et s’il y a eu fausse-couche sans qu’on reconnaisse que l’âme de l’enfant est vivante, l’enfant qui vient après souffre pour l’enfant dont on ne parle pas. Ils doivent le savoir. Non pas pour condamner, mais pour guérir. Car dans les deux cas, il faut nommer l’enfant, le prier, lui faire un baptême de désir avec de l’eau bénite, lui demander pardon, le prier, oui, le prier.

Et ainsi se délivrer de cette dépression. Vous avez droit à la vérité. Vous avez le droit de vivre. Peut-être avez-vous un ou plusieurs frères et sœurs qui ont été ainsi rejetés dans le silence. Alors qu’ils ont besoin au contraire qu’on parle d’eux. Et qu’ils soient consolés.

La consolation que vous prodiguerez à ces petits êtres sans défense, la consolation que vous, enfants et adolescents, saurez leur prodiguer – car vos cœurs sont encore ouverts – vos cœurs aspirent à donner – vos âmes sont assoiffées de donner – sera source de guérison pour vous et pour votre famille.

Vous les nommerez, vous les ferez vivre avec vous chaque jour.

Vous aurez un frère, une sœur, venant directement du Ciel, qui vous aidera à retrouver la joie.

Faites-le, car moi, votre Dieu, je veux vous sauver. La vérité est une, la vérité est la vérité, et moi, Jésus-Christ, je suis la vérité et la vie.

Les enfants des fausses-couches vivent, les enfants des avortements vivent, il faut leur donner un baptême de désir avec de l’eau bénite, leur demander pardon de toutes ces années sans les avoir nommés. Et puis les aimer, prier avec eux, agrandir votre famille de celle du Ciel, les consoler de tant d’années d’indifférence, et comme le Ciel n’est qu’Amour, leur demander de vous apprendre l’Amour, leur demander de vous aimer, car vous en avez tant besoin !

Toutes ces âmes vivantes ne cesseront alors de veiller sur vous, de demander au Très Haut votre protection, de vous consoler ainsi que vos parents. Car pères et mères sont infiniment blessés de ces actes ! Ils n’en parlent pas, mais leur corps, leur psychisme et leur âme ne s’en remettront pas, s’ils n’acceptent de faire ce chemin.

Alors vous, les jeunes, privés d’Amour, mais capables de générosité, vous expliquerez cela aux adultes. Vous ne les culpabiliserez pas, mais vous direz, vous prierez, vous nommerez, vous responsabiliserez, et vous vivrez, vous guérirez, vous trouverez sur terre la Joie que vous ne connaissiez pas.

Ayez bon courage, mes chers enfants, mes chers jeunes, "Je suis" est votre ami, "Je suis" va ressusciter les morts, tous les pauvres tristes jeunes, tous les blessés extrêmes.
Ma bien aimée le sait, elle qui était morte depuis 30 ans et qui revit aujourd’hui par moi.

Jésus.

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Une diversité dans le parcours des âmes vers le Ciel.


(Vincent, le 4 juin 2013) Comme la plupart des couples, nous avons connu l'épreuve de la fausse couche avant notre deuxième enfant. Juste après, j'avais fait un rêve me disant qu'ils vivaient réellement (c'était plusieurs enfants) et qu'ils étaient placés dans un endroit où ils étaient à l’abri.

Constatant que pratiquement tous les couples vivaient cette épreuve de la fausse couche ou de l'enfant mort à la naissance. j'eus le sentiment qu'il y avais forcément une utilité à ce phénomène (une volonté de Dieu) et je me suis mis à émettre l'hypothèse que Dieu avait besoin d'âmes pour peupler d'autres planètes, d'autres mondes ou d'autres univers.

Je ne sais pas à quoi sert le destin particulier de ces enfants mais ils doivent avoir très certainement un chemin de vie ailleurs, créant ainsi une diversité dans le parcours des âmes vers le Ciel.

Souviens-toi de moi dans tes prières quotidienne comme faisant continuellement partie de ta famille en tant que ton fils affectueux.

Message du Seigneur donnés à John Leary (USA) - Jeudi le 31 mai 2007 (La Visitation)

David dit :  (Je crois qu’il s’agit du fils de John L. décédé en très bas âge et peut-être même à la naissance.  P.L.)

Mon cher père, je te remercie de témoigner de mon intercession en priant pour les pétitions des gens. Jésus écoute les petits enfants et il a un faible dans son cœur pour écouter les demandes des gens. Je suis comme tout autre saint que tu pries pour avoir des faveurs du ciel.  Alors, rappelle-toi que suis ici pour servir ceux qui ont besoin de choses à valeur spirituelle en cette vie. Souviens-toi de moi dans tes prières quotidienne comme faisant continuellement partie de ta famille en tant que ton fils affectueux. 

Voici 2 extraits des révélations de Mirella Pizzioli

Extrait du livre "Porte ouverte sur l'au-delà"
(Éditions du Parvis)


Rita. O: Maintenant, mon fils est avec moi.

(Page 124) (...)  Je m'appelle Rita et je veux vous conter mon expérience. J'ai connu Mirella en juin 1998 et par elle, j'ai pu écouter les pensées de ma maman (décédée depuis quelques années). Ce fut une émotion immense.

Tout s'est déroulé d'une façon très simple, dans une prière très douce, et j'ai vraiment senti la présence de Dieu. Mirella n'est pas un médium (ni, dit-elle, une sensitive) mais une simple personne à qui le Seigneur a donné des « choses incroyables ». D'entendre ma maman me dire des paroles infiniment saintes, a permis au Seigneur de faire un grand miracle en moi: ma foi a grandi d'une manière démesurée, je me sens bien, je sens Dieu ami, proche de moi, je me sens fille d'un Père infiniment bon et prévenant, je prie avec dévotion, je n'ai plus peur. J'affronte les difficultés avec courage et conscience, même la maladie qui m'a frappée en août.

C'est justement parce que je me sentais encore très faible que j'ai demandé à mon mari s'il pouvait m'accompagner chez Mirella au mois de septembre. Il n'était pas très enthousiaste, ces expériences le dérangent et il n'avait pas envie de me conduire, mais j'ai tellement insisté qu'il m'a accompagnée.

Une dizaine de minutes après notre arrivée chez Mirella, elle se mit à regarder un point du bureau,

elle sourit et elle dit qu'un enfant venait tout juste d'arriver (jamais né sur la terre, dit-elle)
qui était assurément de notre famille.

Le cœur me tressaillit dans la poitrine. Nous avions perdu un bambin. Mirella toujours souriante le décrivit :
«Il est derrière vous, sa petite main droite est appuyée sur le siège (il y avait un siège) et la jambe droite croisée devant l'autre, il porte une chemise rayée, mais ce qui me frappe, ce sont ses grands yeux noirs, son visage est rond et potelé, il a des cheveux noirs qui lui descendent sur le front, c'est un garçon.»

(Pour moi c'était une confirmation, parce que j'avais toujours pensé que c'était un garçon.)

Mirella, continuant à fixer ce point poursuivit: «Ce garçon veut qu'on se souvienne de lui, non comme quelque chose de triste (c'était ce que j'avais toujours fait jusqu' à ce moment)
, il veut faire partie de la famille, de sa famille et il veut un prénom.»

La présence de mon enfant était si vraie, si réelle, si limpide, que Mirella, tandis qu'elle nous le décrivait de nouveau, disait que ce serait beau de pouvoir faire un portrait.


Ainsi avons-nous fait : la famille réunie décida de l'appeler Enrico Maria. Depuis ce jour, je lui parle souvent. II n'y a pas un jour ni un chapelet où il ne soit nommé.

Cela a été comme de retrouver un enfant perdu.

Et la joie de savoir qu' il est avec nous et qu'en même temps il peut se réfugier dans les bras de Jésus et de sa sainte Maman Immaculée, et que moi, à travers Enrico Maria, je peux sentir la proximité de Dieu à côté de moi, plus que ce que je ressentais.
Cela me fait comprendre le grand don que le Seigneur m'a fait.

L'idée d'avoir l'image d'Enrico Maria s'est faite toujours plus forte, et j'ai demandé cette faveur à une cousine très chère. Je la lui ai demandée comme cadeau de Noël et avant de la recevoir, souvent, je pensais avec joie et une grande émotion que pour Noël, je verrais mon bambin.

Un matin, ma cousine m'apporte le portrait en me disant qu'elle l'avait fait trois fois et que par trois fois, elle n'avait même pas réussi à changer les couleurs. Quand je l'ai vu, j'éprouvai une émotion immense, je me sentais enrichie de l'intérieur, et toute la famille connut mon fils. Maintenant, son portrait est dans la salle à manger et mes enfants montrent à leurs amis le portrait d'Enrico Maria. Enrico Maria est avec nous, et c'est une chose naturelle, et pour moi c'est lui, ce n'est pas un portrait, mais une photo.

J'ai porté le portrait à Mirella qui immédiatement a reconnu dans cet enfant le bambin qui était à côté de moi et de mon mari. Merci, Seigneur Jésus, merci aussi à toi, Mirella, je t'aime.

Rita. O


Mirella est rentré dans un église et assiste à un baptême.

(Page 51) (...) Tout à coup, je vois sur l'autel, un bambin très petit qui comme moi est très attentif. Il a de très beau yeux noirs, profonds, intenses, et très sérieux; pas une parole ne lui échappe. Je m'émeus, bien que je ne sache pas qui c'est, je sens que je l'aime et je voudrais l'embrasser.

Dans mon cœur, je lui parle : «Qui es-tu, petite créature ? Je sens que je t'aime, que Dieu t'enveloppe dans ses bras et que la Vierge Marie te chante: "Fais dodo... "»


Le bambin me sourit et dans l'étrange silence qui s'est formé autour de moi,
il me dit :

Je suis le frère aîné de G. (le bambin que le prêtre est en train de baptiser). J'ai voulu donner ma vie pour lui, dans un ultime acte d'amour.


J'ai attendu ce moment parce que au moment où mon frère est baptisé au nom de Dieu le Père, de Jésus le Christ et dans l'amour du Saint Esprit, moi aussi, par la volonté du Seigneur, je serai baptisé avec le même nom. Et puis... voilà... je retournerai au Père qui est dans les cieux. Tout cela pour sanctifier mon frère. Mirella
(et ici la voix se fait triste) ici, personne n'a prié pour moi, toi seulement. Dis-le pour que cela se sache.

Je suis un peu abasourdie, j'ai perdu la notion du temps, et je continue à répéter dans mon cœur:
«Dis-le pour qu'on le sache, dis-le pour qu' on le sache...»

Comment faire ? A qui ? Avec quelles paroles ? Ils vont penser que je suis folle, mais je dois et je veux le dire. Je prie, récite l'acte de contrition en avance pour recevoir la sainte communion et une dame que je connais s'approche de moi; nous nous sourions et elle me dit à voix basse :


Mirella, quelle belle surprise tu m'as faite ! Comment as-tu fait pour savoir que aujourd'hui nous avions le baptême de mon neveu ?


J'ai un frisson et avec la plus grande simplicité je lui dis que je ne le savais pas et que je ne devais pas non plus être dans cette église et que, à la fin de la messe, je voudrais lui parler. La cérémonie terminée, la grand-mère vient près de moi et je lui demande à brûle-pourpoint :

Ta fille a seulement cet enfant ?


- Oh, oui, et quelle joie, Mirella, parce que l'année dernière, elle en a perdu un au troisième mois de sa grossesse. Et alors tu peux imaginer avec quelle anxiété nous avons attendu G.


Je lui ai pris les mains dans les miennes et je lui ai raconté lentement ce que j'avais vu et entendu.
Au fur et à mesure que je lui racontais, elle me serrait les mains de plus en plus fort et quand je lui ai répété les paroles : «Ici personne n'a prié pour moi», un gémissement lui sortit de l'âme et de tout son cœur elle dit :

«Oh ma créature, ma sainte créature !

Nous pleurions et sourions ensemble, l'émotion est si grande, un faisceau d'amour à l'adresse du bambin G. du ciel... J'ai compris! Voilà le but: l'amour, il voulait l'amour. Amour toujours et seulement amour. Je suis convaincu que G. du ciel aura toujours tout l'amour qu' il désirait de sa famille de la terre.

Je m'agenouille à nouveau et je remercie le Seigneur pour ses attentions infinies. Qui ose dire que Dieu est distrait ? Qui ose dire que les morts sont morts ? Sur la route, je me parle à moi-même; j'ai vu un saint bambin, la naissance d'un nouveau petit et éternel.

Pour en savoir plus, lire le livre de Mirella Pizzioli - Porte ouverte sur l'au-delà (Éditions du Parvis)