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Expériences de mort imminente
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Tout le monde avait l'air jeune, sain, fort

Extrait du livre Deadline (Expériences de mort imminente) de Jean-Pierre Jourdan


Titres du chapitre : Une expérience particulièrement intéressante

Ce témoignage a été recueilli par le Dr Michael Sabom (1998), cardiologue aux États-Unis et connu pour avoir été, à l'origine, totalement sceptique sur la réalité des EMI. Ce n'est qu'après avoir recueilli et étudié nombre de cas dans son service qu'il a changé d'avis et publié (Sabom 1983) un premier ouvrage très documenté.

(
Hôpital de Phoenix, Arizona, 1991) « J'ai entendu un bruit mécanique. Ça m'a fait penser à la fraise du dentiste. C'était comme si le bruit me poussait, et finalement je suis sortie par le haut de ma tête. Dans cet état, j'avais une vision extrêmement claire de la situation.

J'ai remarqué que mon médecin avait un instrument dans la main qui ressemblait à une brosse à dents électrique. Il y avait un emplacement en haut, ça ressemblait à l'endroit où on met l'embout. Mais quand je l'ai vu, il n'y avait pas d'embout. J'ai regardé vers le bas et j'ai vu une boîte. Elle m'a fait penser à la boîte à outils de mon père quand j'étais enfant. C'est là qu'il rangeait ses clés à douilles.

À peu près au moment où j'ai vu l'instrument, j'ai entendu une voix de femme, je crois que c'était la voix de ma cardiologue. Et la voix disait que mes veines étaient trop étroites pour évacuer le sang ... et le chirurgien lui a dit d'utiliser les deux côtés.

Je ne suis pas restée là plus longtemps, j'ai soudain senti une présence, et quand je me suis retournée, j'ai vu un minus­cule point lumineux :. Il semblait très très éloigné. Et quand je m'en suis approchée, j'ai entendu ma grand-mère m'appeler. Je suis aussitôt allée vers elle, et elle m'a gardée tout près d'elle.

Et plus je me rapprochais de la lumière plus je commençais à voir des gens que je reconnaissais. J'étais impressionnée par le fait que ces gens avaient l'air merveil­leux.
Ma grand-mère n'avait pas l'apparence d'une vieille femme. Elle était radieuse. Tout le monde avait l'air jeune, sain, fort.

Je dirais volontiers qu'ils étaient de la lumière, comme s'ils portaient des vêtements de lumière, ou comme s'ils étaient faits de lumière. Je n'ai pas été autorisée à aller très loin, ils me gardaient près d'eux. Je voulais en savoir plus sur la musique, sur le bruit d'une chute d'eau, sur les chants d'oiseaux que j'entendais, et savoir pourquoi ils ne me laissaient pas aller plus loin.

Ils ont communiqué avec moi. Je n'ai pas d'autres mots pour exprimer cela, car ils ne parlaient pas comme vous et moi. Ils pensaient et j'entendais.
Ils ne voulaient pas que j'entre dans la lumière, ils disaient que si j'allais trop loin ils ne pourraient plus me relier à mon moi physique.

Puis mon oncle m'a ramenée en bas, à travers le tunnel. Pendant tout le voyage j'ai intensément désiré retourner dans mon corps. Cette idée ne me posait pas de problème ; je désirais revenir vers ma famille.

Puis je suis arrivée à mon corps, et je l'ai regardé, et franchement, il avait l'air d'une épave. Il avait l'air de ce qu'il était: mort. Et je n'ai plus voulu y retourner. Mon oncle m'a communiqué que c'était comme sauter dans une piscine. Vas-y, saute dans la piscine ! J'étais toujours réticente à le faire, et puis il s'est passé quelque chose que je ne comprends toujours pas aujourd'hui. Il a accéléré mon retour dans le corps, en me donnant une sorte de coup. Comme quand on pousse quel­qu'un dans la piscine.

Et quand j'ai touché le corps, c'était comme un bassin d'eau glacée, et je n'oublierai jamais, mon corps a fait comme ça ... » (Elle a un sursaut.)
--


(Vincent) Je vous mets la suite du texte qui explique que cette EMI a bien eu lieu alors qu'il n'y avait plus aucune activité cérébrale dans le cerveau.


L'intervention subie par Parn Reynolds a eu lieu dans le service de neurochirurgie de l'hôpital de Phoenix, Arizona, en 1991. Il s'agissait de l'ablation d'un ané­vrysme cérébral géant, situé à la base du cerveau.

Sur six heures au total, l'intervention proprement dite, au niveau de l'anévrysme, dure une demi-heure. Mais la moindre pression sanguine à l'intérieur de l' anévrysme pourrait conduire à une hémorragie catas­trophique, et durant tout ce laps de temps pas une goutte de sang ne doit circuler dans le cerveau. Malheureusement, à sa température normale ce dernier ne supporte pas d'être privé d'oxygène plus de quelques minutes. La solution : placer le cerveau en hypothermie pro­fonde, à 15,8 °C, puis le vider de son sang.

Durant une telle intervention, tout est enregistré. L'activité du cerveau est surveillée (on enregistre l'EEG), de même que ce qui se passe dans le tronc cérébral (que l'on surveille au moyen des potentiels évoqués auditifs).

Dans ce témoignage, nous disposons tout d'abord de deux éléments précis qui démontrent une acquisition d'informations objectives et vérifiées :

- Ce qu'a vu Pam Reynolds durant son EMI, c'est la scie à trépaner que tenait le chirurgien, ainsi que la boîte contenant ses accessoires. Or une scie à trépaner (le or Sabom avoue lui-même qu'en tant que cardiolo­gue, il ne savait pas à quoi elle pouvait ressembler) fait vraiment penser à une brosse à dents électrique, et la boîte d'accessoires est tout à fait semblable à une boîte à outils, peinte en blanc et le cambouis en moins.

- Le dialogue entre chirurgien et cardiologue que la patiente dit avoir perçu a effectivement eu lieu, le rap­port enregistré de l'intervention a permis de le vérifier.

Venons-en maintenant au point qui en fait un témoi­gnage exceptionnellement intéressant : la confrontation entre le récit de la patiente et les enregistrements de l'intervention permet en effet de situer dans le temps le moment précis où s'est déroulée son expérience.

À cet instant, les enregistrements détaillés montrent que la pression sanguine au niveau du cerveau était nulle afin de pouvoir aborder l'anévrysme sans risque.

Mais laissons parler le Dr Sabom:
« Nous avons les enregistrements médicaux du moment où cette NDE s'est produite, c'est l'une des premières fois que ça arrive. Nous pouvons étudier l'activité EEG. Nous pou­vons aussi étudier tout ce qui s'est passé dans le corps physique au moment où nous savons que cette expé­rience s'est produite. Cela nous permet de répondre à des questions telles que : "La NDE est-elle déclenchée par une crise du lobe temporal, ou par une certaine activité électrique dans le cerveau ?"
Eh bien la réponse est non, car les ondes cérébrales étaient plates et le tronc cérébral inactif au moment précis. où cette expé­rience avait lieu. »


Il est donc évident et irréfutable que toutes les acti­vités du cerveau (aussi bien les activités de base que les fonctions supérieures) avaient cessé à ce moment-là, et il est clair que la conscience que Pam a eu de son expérience, les perceptions qu'elle a eu de son envi­ronnement, ainsi que celles du dialogue entre le chirur­gien et la cardiologue ne peuvent être le résultat d'une quelconque activité cérébrale.







Une maman africaine vit une expérience de mort imminente


Elle voit toute sa vie défiler sur un écran et supplie l'ange qui l'accompagne de la renvoyer sur terre pour obtenir le pardon de Dieu.

Maman Domitilé rapporte : L'ange qui m'accompagnait me dit : "Regarde ce beau pays, tous ceux que tu vois ici sont des chrétiens saints, sans péché, qui meurent tous les jours chez vous, c'est dans ce pays qu'ils viennent se reposer, mais un pécheur ne peut pas entrer.

A un endroit avant ce lieu, je vis un ange qui s’approcha de moi et me dit :
« C’est ici que l’on enregistre tout acte posé par chaque personne dès sa naissance jusqu’à sa mort »

Dans cet endroit, il y a avait aussi deux voies : l’une conduit dans le feu, et l’autre au paradis.
C’est à partir des actes posés sur la terre qu’on est soit condamné pour le feu éternel, soit justifié pour la gloire éternelle.

Moi qui ne savais pas lire, lorsque je suis entrée dans ce lieu, j’ai commencé à lire et j’ai vu mon dossier devant moi qui portait le nom Maman Domitilé.
Je suivais l’histoire de ma vie de la même manière qu’on suit un film sur un écran de télévision. Celui qui ment, qui vole, qui commet l’adultère… se verra en train de poser son acte. J’avais tellement honte de mes forfaits que je regardais en haut, en bas, à gauche et à droite. Mais les images étaient toujours devant moi indétournables.

L’ange me dit : « Sur la terre, vous ne pouvez rien cacher à Dieu ». Tout est vu et enregistré ici. »

Je demandais : « Que dois-je faire pour obtenir le pardon de mes péchés ? »

Il me répondit : « Le pardon des péchés ne s’obtient que sur la terre ». Ce qui veut dire qu’il n’y a plus de pardon après la mort. Je le suppliai de m’envoyer sur terre pour que je demande sincèrement pardon de mes péchés à Dieu au nom de Jésus Christ.

Sur mon insistance, l’ange me montra la terre qui était dans l’obscurité totale. Et je voyais dans cette obscurité des bêtes qui se promenaient dans la boue, mangeaient des déchets, faisaient du bruit, et se bagarraient. L’ange me fit comprendre que ces bêtes, ce sont les hommes non chrétiens véritables. Un homme, même s’il mange bien, s’habille bien, occupe un rang social important sur la terre mais qui n’a pas accepté Jésus Christ comme son Sauveur et ne vit pas selon Sa Parole, est comme un cochon, et ne représente rien devant Dieu. Il n’a aucune valeur. Et il ira en enfer, s’il ne se convertit pas. Il vit pour rien, pour être jeté ensuite dans le feu de la géhenne.

L’ange me montra au loin mon corps physique mort que je ne reconnus pas et que je pris pour une peau de bœuf. Et il me dit : « Sur terre, vous mangez bien, vous vous habillez bien, vous vous croyez être de valeur, mais tu as vu ce que devient ton corps quelques jours seulement après ta mort ? il est bon de soigner vos âmes qui dureront pour l’éternité plutôt que de vous occuper sans cesse de votre corps qui n’est que poussière et boue ».

Il me dit : « Maintenant que nous t’avons tout montré, lorsque tu seras sur terre, prends soin de transmettre aux autres ce que tu as vu et entendu. Ne le garde pas pour toi seule ».

Après ces conseils, il donna l’ordre aux autres de me renvoyer sur terre. Ce qu’ils firent. Et je repris vie.





 

Après quelques secondes dans les airs, j'ai émis le souhait d'aller voir mon ange gardien


(Vincent) Voici un texte trouvé sur un forum que je trouve intéressant car il permet de mieux comprendre le monde des esprits qui nous entoure et il augmente notre niveau de foi.

Posté le 12 03 2015 à 23:51:42 -
Alexandra

Bonjour.

J'ai 25 ans (je me suis ouverte au spirituel il y a 3 ans, j'ai eu un déclic soudain) et depuis 3 ans, la nuit, il m'arrive de faire des débuts de voyages astraux non provoqués et en étant totalement lucide sur le moment et en m'en rappelant au réveil. Je me suis dit qu'il serait bien que je fasse partager mon expérience. Je vais vous en raconter quelques-uns.

Attention, si vous n'aimez pas ces choses-là ou que vous n'y croyez pas, passez votre chemin.

Je ne sais pas si vous croyez aux anges gardiens mais le mien s'est déjà manifesté plusieurs fois (messages télépathiques durant les rêves, synchronicités dans la vie courante) depuis que je me suis ouverte et intéressée au monde de l'intangible.

Une nuit, lors d'un dédoublement de corps, je me suis retrouvée à flotter dans ma chambre.
Au début la sensation est vraiment bizarre... mais on s'y fait vite, on se sent tellement léger.

Après quelques secondes dans les airs, j'ai émis le souhait d'aller voir mon ange gardien. C'est alors qu'un tunnel s'est ouvert à moi d'un seul coup. Je me suis dit "Effectivement, il existe bel et bien !". C'était assez incroyable... il suffit de souhaiter aller quelque part avec la pensée et paf, le changement de dimension s’opère.

Je me suis engouffrée à toute vitesse dans ce tunnel. Il était noir mais il y avait un peu de lumière sur les bords, comme si les parois luisaient.... mais pas de lumière au fond en tout cas (étais-je encore "trop loin" pour la voir ?). Vînt un moment où mon "âme" s'est mise à ralentir toute seule, un peu comme une voiture qui n'aurait plus d'essence.

Moi qui avançais à toute allure au début, j'avais de plus en plus de mal à avancer ne serait-ce qu'un peu. Je devais "forcer" pour avancer. J'ai pensé que ce "forçage" n'était pas naturel et que si je n'y arrivais plus, c'était qu'au fond de moi, je n'étais pas prête pour cette expérience (ou alors, l'heure n'était pas encore venue pour moi d'aller jusqu'au bout). C'est pour ça que je parle que de "début" de voyage astral. Je suis alors retournée immédiatement dans mon corps puis je me suis réveillée quelques minutes après, en me rappelant de tout.


Autres expériences, un peu moins cool cette fois... jusqu'à maintenant, j'ai fait 2 voyages astraux (espacés de quelques mois car ça m'arrive pas souvent) qui se sont mal passés (mais la plupart se sont bien passés).

C'est toujours la même chose, je sors de mon corps durant mon sommeil et... une entité (?) est venue m'attaquer de suite. C'était très désagréable... je me souviens même d'avoir hurlé à l'intérieur de moi (dur à expliquer) tellement c'était désagréable. Mon âme entière avait mal.

C'est vraiment très dur à expliquer (vu qu'il ne s'agit pas d'une agression au sens physique du terme mais d'une agression "d'esprit à esprit" ). Pour me dépêtrer de là et que l'entité me laisse tranquille, je me mets à penser très fort à mon ange gardien pour qu'il m'aide et m'en débarrasse.

A chaque fois ça marche et ce "truc" me laisse tranquille. Mon ange gardien se manifeste extrêmement rarement (j'ai même parfois l'impression qu'il me laisse tomber) mais quand je lui demande de l'aide dans l'astral, j'en reçois toujours, je n'ai jamais été déçu.

(Vincent) J'ai moi-même fait quelques sorties hors du corps, d'où mon intérêt pour ce genre de récit. Je me rappelle une fois m'être trouvé en difficulté et après avoir appelé mon ange gardien, je l'ai vu arriver instantanément sous la forme d'un enfant de cœur.


J'ai remarqué que quand je suis d'humeur calme et joyeuse, ma sortie de corps se passe toujours bien, mais que quand je suis mal (doutes sur ma vie, chagrin, déprime etc), il y a systématiquement des entités qui viennent m'attaquer car je dois être plus vulnérable je pense.

Voilà, il y en a eu d'autres mais je m'arrête là car il y en aurait trop à dire. Merci de m'avoir lu jusqu'ici :) N'hésitez pas à me raconter si vous avez vécu des choses similaires. Vos expériences m'intéressent, je ne vous jugerai pas, j'ai l'esprit ouvert. Je sais qu'il est très difficile d'oser parler de ça car les gens (même notre propre famille) ne nous croient pas.







Témoignage exceptionnel / Un enfant de 3 ans et demi a vu Jésus et le Paradis


En 2003, Colton Burpo, un enfant âgé de trois ans et demi, frôle la mort en raison d’une appendicite. Allongé sur la table d’opération, il fait l’expérience de mort imminente (NDE). Une expérience qui l’amène à rencontrer Jésus et à découvrir le paradis.

Publié  récemment sous le titre : «le paradis, c’est pour de vrai» (Heaven is for real), son témoignage est devenu aujourd’hui un best-seller aux Etats-Unis. Il s’est vendu à plus d’un million d’exemplaires, en ne bénéficiant d’aucune campagne de communication et dans un pays  où il existe pléthore de récits sur l’au-delà. L’âge de l’enfant n’est certainement pas étranger à ce remarquable succès.

Son histoire étonnante, Colton Burpo a commencé à la raconter à ses parents, quatre mois après avoir subi son opération
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Il explique tout d’abord que des anges ont chanté pendant que le chirurgien l’opérait. Puis, il est «sorti de son corps» pour s’asseoir sur les genoux de Jésus, tout en voyant, d’en haut, le chirurgien travailler. Selon son témoignage, il serait resté trois minutes  au paradis, où il y rencontre notamment Jean-Baptiste, des anges et son arrière grand-père décédé bien avant sa naissance.

Au cours de sa visite, le jeune Colton affirme par ailleurs, avoir vu le trône de Dieu, «vraiment gros», et dépeint Jésus comme un barbu, vêtu de blanc et de violet, et qui a des yeux «tellement beaux». Tout le monde est «jeune» et «sans lunettes»… et chacun porte des ailes de tailles différentes, sauf Jésus qui monte et descend «comme un ascenseur». Plus encore, il possèderait une sorte de «couronne» ainsi qu’un «cheval arc-en-ciel».

A l’écouter, le paradis est riche en couleurs. Ses portes sont d’or et de perles, et des anges s’y tiennent, armés d’épées, afin d’empêcher Satan d’y entrer… en attendant qu’il soit voué à l’enfer.  D’ailleurs, il explique avoir aperçu la bataille de l’Apocalypse. Des hommes se battaient contre «des dragons».

Lorsqu’il raconta son histoire… ses parents, y compris son père qui travaille comme pasteur, ont manifesté un certain scepticisme. Mais lorsque Colton confie qu’il a rencontré sa petite sœur et qu’elle est venue l’embrasser, ses parents ont été stupéfaits. En effet, sa mère avait vécu une fausse couche avant la naissance de Colton, mais ne lui en avait jamais parlé… «Le paradis, c’est pour de vrai… c’est ce que des anges m’ont dit», conclut-il.







LA VIE APRÈS LA VIE
Extraits du livre du Dr Raymond MOODY, célèbre médecin sur l’au-delà et les N.D.E.

Extrait 1, une femme raconte :

Il y a à peu près un an, j'ai été admise à l'hôpital à la suite de troubles cardiaques; le lendemain matin, étendue dans mon lit, je commençais à ressentir une très forte douleur dans la poitrine. J'appuyais sur une sonnette près de mon lit pour appeler les infirmières; elles accoururent et s'empressèrent autour de moi. Me sentant très mal à l'aise couchée sur le dos, je voulus me tourner sur le côté; mais ce faisant je perdis mon souffle et mon cœur s'arrêta.

J'entendis les infirmières donner l'alerte dans le langage codé de l'hôpital et en même temps je me sentais sortir de mon corps et glisser vers le bas entre le matelas et la barre de côté du lit - très exactement, il me semblait que je passais au travers de cette barre - jusqu'au sol.

Puis je m'élevai doucement en l'air, et pendant que je montais, je vis d'autres infirmières pénétrer dans la chambre en courant - il y en avait une douzaine. Par hasard mon médecin se trouvait dans l'hôpital en train de faire sa ronde; elles l'appelèrent, et je le vis entrer lui aussi.

J'ai pensé : " Tiens ! qu'est-ce qu'il peut bien faire ici ? "  Je continuai à m'élever jusqu'au dessus du plafonnier (que j'ai pu voir de côté, et très distinctement), et m'arrêtai, flottant juste au-dessous du plafond, le regard tourné vers le bas. J'avais l'impression d'être un morceau de papier sur lequel on aurait soufflé pour le faire voler en l'air.

De là-haut, j'ai assisté à tout le travail de réanimation. Mon corps gisait là, en bas, étendu sur le lit, bien en vue, et on l'entourait; j'entendis une infirmière s'écrier : " Ah! mon Dieu, elle a passé ", tandis qu'une autre se couchait pour le bouche-à-bouche. J'apercevais le dos de sa tête pendant qu'elle s'y adonnait; je n'oublierai jamais la forme de sa coiffure, elle avait les cheveux coupés court sur la nuque. Tout de suite après, j'observai cet appareil qu'on roulait dans la chambre, on fixait des électrodes sur ma poitrine. Aussitôt, je vis mon corps tout entier bondir au-dessus du lit et j'entendis craquer tous les os, c'était horrible.

Et pendant que je les regardais frapper ma poitrine et frictionner mes bras et mes jambes, je me disais : " Mais pourquoi se donnent-elles tant de mal ? Je me sens très bien maintenant. "

Extrait 2 : l'être de lumière, ch 8, page 83

Je savais que j'allais mourir et que je n'y pouvais plus rien, parce que personne ne pouvait plus m'entendre... J'étais sorti de mon corps, j'en suis sûr, puisque je voyais ce corps étendu, là, sur la table d'opération. Mon âme l'avait quitté ! J'ai été d'abord très bouleversé, mais c'est alors qu'est intervenue cette lumière brillante. Au début, elle m'a paru un peu pâle, mais tout à coup il y a eu ce rayon intense.

La luminosité était prodigieuse, rien à voir avec un éclair d'orage, une lumière insoutenable, voilà tout. Et cela dégageait de la chaleur, je me suis senti tout chaud.

C'était d'un blanc étincelant, tirant un peu sur le jaune - mais surtout blanc. Cela brillait formidablement, je n'arrive pas à bien le décrire. Cela éclairait tout alentour, mais cela ne m'empêchait absolument pas de voir tout le reste, la salle d'opération, le docteur et les infirmiers, tout  J'y voyais très distinctement, sans être aveuglé.

Au commencement, quand la lumière est arrivée, je ne me rendais pas très bien compte de ce qui se passait; mais après, la lumière m'a demandé - enfin c'était comme si elle me demandait - si j'étais prêt à mourir. C'était comme quand on parle à quelqu'un, seulement il n'y avait personne. C'était la lumière qui me parlait, elle avait une voix.

J'imagine maintenant que cette voix qui me parlait a dû constater que je n'étais pas du tout prêt à mourir. Elle voulait simplement me mettre à l'épreuve, sans plus. Et cependant, à partir du moment où elle a commencé à me parler, je me suis senti délicieusement bien, protégé et aimé. L'amour qui émanait de la lumière est inimaginable, indescriptible. Et par-dessus le marché, elle dégageait de la gaieté ! Elle avait le sens de l'humour, je vous assure !

Extrait 3 : le retour, ch 11, page 100

Récit d'une jeune mère :

Dieu m'a renvoyé ici, mais j'ignore pourquoi. J'ai nettement ressenti Sa présence, je me sentais reconnue. Il savait qui j'étais. Mais Il n'a pas jugé bon de m'ouvrir le Ciel, je ne sais pour quelle raison. J'y ai souvent réfléchi depuis, et j'imagine que c'est à cause de mes deux enfants que j'ai à élever, ou peut-être que je n'étais pas suffisamment prête.

Je continue à chercher des explications, mais je n'en vois pas d'autre.

Autre témoignage :

J'ai tenu compagnie à une parente très âgée pendant sa dernière maladie, qui traînait en longueur. Je participais aux soins qui lui étaient donnés, et pendant ce temps tous les membres de la famille priaient pour elle, afin qu'elle retrouve la santé. A plusieurs reprises sa respiration s'arrêta, mais on réussissait à la ranimer.

Enfin, un jour, elle m'a regardée et m'a dit : " Jeanne, je suis allée de l'autre côté, dans l'ailleurs, et c'est magnifique là-bas. Je ne demande qu'à y rester, mais ce ne sera pas possible tant que vous serez tous là à prier pour que je reste avec vous. Vos prières me retiennent ici. Je vous en supplie, ne priez plus ! " Nous avons obéi, et elle est morte peu après.

Extrait 5 : répercussions sur la conduite de vie, ch 13, page 110

Depuis lors, je n'ai plus cessé de m'interroger sur ce que j'ai fait de ma vie, sur ce que je vais faire de ma vie... Mais depuis ma " mort ", à la suite de mon expérience, j'ai brusquement commencé à me demander si ce que j'ai fait, je l'ai fait parce que c'était bien, ou seulement parce que c'était bon pour moi.

Auparavant j'agissais sous le coup d'impulsions; maintenant je réfléchis d'abord aux choses, calmement, lentement. Il faut que tout passe d'abord par ma conscience et soit bien digéré d'abord.

Je m'efforce de faire en sorte que mes actes prennent un sens, et mon âme et ma conscience ne s'en portent que mieux. J'essaye d'éviter les préjugés, de ne jamais porter de jugements sur les autres. Je cherche à faire ce qui est bien, parce que c'est bien et non pas parce que c'est bon pour moi.

Et il me semble que ma compréhension des choses s'est infiniment améliorée. Je ressens tout cela à cause de ce qui m'est arrivé, à cause des lieux que j'ai visités et de tout ce que j'y ai vu.

Autre témoignage :

A la suite de ces évènements, j'ai presque eu l'impression d'être remplie d'un esprit nouveau. Depuis lors, on m'a fait souvent remarquer que je produisais un effet calmant sur les gens, agissant de façon immédiate lorsqu'ils se sentent soucieux. Et je me sens mieux accordée avec l'entourage, il me semble que j'arrive à deviner les gens beaucoup plus vite qu'avant.

Témoignage suivant :

Depuis mon accident, j'ai souvent l'impression de déchiffrer les pensées et les vibrations qui émanent des gens; je perçois aussi leurs ressentiments. J'ai souvent été capable de savoir d'avance ce que les gens vont dire avant qu'ils n'ouvrent la bouche. On aura du mal à me croire, mais il m'est arrivé des choses bizarres, très bizarres, depuis lors. Un soir, chez des amis, je devinais les pensées des invités, et quelques personnes qui étaient là et qui ne me connaissaient pas se sont levées pour partir; elles m'avaient pris pour un sorcier, je leur avais fait peur.

 Je ne sais pas du tout si c'est quelque chose qui m'a été donné pendant que j'étais mort, ou si je possédais déjà ce don sans le savoir et ne m'en étais jamais servi jusqu'à ces évènements.

Extrait 6 : nouvelles perspectives sur la mort, ch 14, page 115

Je crois bien que cette expérience a introduit un élément nouveau dans ma vie. Je n'étais qu'un enfant quand cela m'est arrivé, j'avais à peine dix ans; mais depuis, et durant toute ma vie, j'ai gardé la conviction que la vie continue après la mort; cela ne fait pas l'ombre d'un doute pour moi, et je n'ai pas peur de mourir.

Pas une seconde. J'ai vu des gens qui ont cette peur, cette terreur. J'ai toujours envie de sourire quand j'entends des gens douter qu'il y ait un au-delà, ou décréter : " Après la mort, il n'y a rien." Je pense alors intérieurement : " Ils ne savent pas ."

Autre témoignage :

(Pendant que je me trouvais de l'autre côté), j'eus le sentiment que deux choses me seraient totalement interdites : me tuer, ou tuer quelqu'un... Si j'en venais à me suicider, ce serait comme si je refusais le don de Dieu en le lui jetant à la face... Tuer quelqu'un d'autre, c'est se mettre en travers du plan que Dieu a conçu pour cet homme...





Au loin (...) j'apercevais une ville.
Il y avait de grandes maisons séparées les unes des autres, qui étincelaient.


Extrait du livre « Lumière nouvelle sur la vie après la vie » (1981) du Dr Raymond Moody - Recherche d’un célèbre médecin sur l’au-delà et les N.D.E.

(…) Voici une description fournie par une femme.

Il s'est produit une espèce de vibration, une vibration tout autour de moi, entourant mon corps, comme si mon corps tout entier vibrait. D'où parvenait cette vibration, je n'en sais rien, mais pendant que tout se mettait à vibrer, j'ai été comme séparée en deux, je pouvais voir mon corps (...).

Je suis restée ainsi un moment, à regarder le docteur et les infirmières qui travaillaient à me ranimer et je me demandais ce qui allait se passer (...).

Je me trouvais à la tête du lit, j'observais leur manège autour de mon corps. A un moment donné, l'une des infirmières s'est penchée au-dessus du lit pour atteindre un masque à oxygène qui se trouvait là, et ce faisant, son geste a passé à travers mon cou... (le cou du corps astral).

Après quoi, j'ai commencé à m'élever en flottant, et je suis passé par un tunnel sombre (...) J'ai traversé ce tunnel noir et à la sortie, j'y ai trouvé une lumière très brillante (...).

Un petit peu plus tard, je me trouvais là avec mes grands-parents, avec mon père et mon frère, qui sont déjà décédés (...). Partout, il y avait une très belle lumière, très brillante et l'endroit où nous nous trouvions était lui-même très beau. C'était rempli de couleurs, de couleurs vives, pas du tout comme sur terre, elles étaient indescriptibles.

Il y avait là des gens, des gens heureux (... ) Ils nous entouraient et certains formaient des groupes. Il y en avait qui travaillaient à s'instruire.

Au loin ( ... ) j'apercevais une ville. Il y avait de grandes maisons séparées les unes des autres, qui étincelaient. Ceux qui y habitaient étaient des gens heureux. On voyait des sources jaillissantes, des fontaines (... ) Une ville de lumière, voilà comment je serais tentée d'appeler cela. C'était splendide. Il y avait aussi de la belle musique. Tout resplendissait, tout était merveilleux ...


… Mais si j'étais entrée là-bas, je crois que je n'en serais jamais ressortie. On m’a dit que si j’y allais, je ne pourrais plus jamais revenir ... et que c'était à moi de décider (…).


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