Nous
devons apprendre à vivre ensemble comme des frères,
sinon nous allons mourir tous ensemble, comme des
idiots.
Martin Luther King -
Extrait de Discours - 31 Mars 1968
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La
certitude de reproduire le mystère du Christ à travers les persécutions
doit prévenir en vous tout étonnement et tout scandale
Message de Jean Cara,
Messager de la lumière
- Livre Tome 5 : En route vers la Jérusalem céleste - Page 130 : Soyez
du côté des petits et des opprimés - Message du 5 avril 2006
Faites comme Jésus, mettez-vous toujours du côté des petits et des opprimés.
Contrairement au Ciel où tout est amour et où les derniers sont les
premiers, sur votre terre le dernier mot appartient bien souvent aux
orgueilleux et aux agressifs qui tiennent toujours à avoir la première
place.
Méditez sur la crucifixion de Jésus.
Comme Jésus l’enseigne, comparez certains dirigeants aux vignerons
homicides qui étouffent et écrasent de souffrances leur peuple. Et
souvent, hélas! vous êtes entourés de beaucoup d’hommes comparables au
figuier couvert de feuilles mais ne produisant pas de fruits et c’est
tellement regrettable.
Les faits sont simples : Jésus est dérangeant et vous, en votre qualité
de chrétiens vous l’êtes également, car vous donnez l’exemple et de
plus vous proclamez la Bonne Nouvelle.
Méditez
les Évangiles pour constater qu’autour de la personne de Jésus s’est
développée une animosité qui progressivement s’est transformée en
violence, une violence aveugle, de plus en plus communicative comme
actuellement dans votre monde, ce qui fait planer une atmosphère de mal
de vivre...
Pensez à la sauvagerie aveugle, pensez à cette guerre civile qui
persiste en Irak entre musulmans, pensez à la hargne des extrémistes de
tout bord qui par leur intransigeance sont des semeurs de haine et de
désordre. Vous les trouvez en beaucoup d’autres points du monde
particulièrement dans les situations de conflit et près de vous avec
tous ceux qui cherchent à détruire.
C’est la violence et le pouvoir qui ont tendance à dominer le monde,
mais cela ne va pas durer, soyez-en fermement convaincus, le temps est
proche où le mal sera détruit.
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Toutes les voies de libération qui utilisent la violence sont toujours vouées à l’échec
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Jésus,
comme Son Père, a opposé le pouvoir de l’amour et du pardon à la
violence aveugle des hommes. Jésus s’est solidarisé avec les victimes
de la violence dans toute l’histoire de l’humanité, toujours vaincues
dans l’immédiat par la puissance de leurs agresseurs. Mais en refusant
de répondre à la violence par la violence, Il s’est assuré la victoire
définitive par les armes de l’amour. Vous, utilisez également ces armes
qui vous conduiront sur la voie royale.
La
violence est au cœur de chaque homme et au cœur de l’humanité. Comme
Jésus, vous avez à vous situer du côté des victimes de la violence et à
agir en conséquence à votre niveau, aussi petit soit-il. Toutes les
voies de libération qui utilisent la violence sont toujours vouées à
l’échec.
Bien entendu, celle de l’amour, qui est celle que Dieu et son Fils ont
choisie assure cette victoire. Vous ne pouvez ignorer que des hommes
ont haï Jésus. Ce n’était pas d’une haine secrète, tapie au fond des
cœurs, mais d’une haine active et efficace, qui est allée jusqu’à la
crucifixion. Ceux qui suivent les commandements de Dieu sont persécutés.
Tous les moyens sont bons pour faire taire ceux qui suivent l’exemple des disciples de Jésus ...
Ceux
qui refusent Dieu ne peuvent supporter les chrétiens, qui abordent les
réalités de l’homme, de son présent et de son avenir avec d’autres
critères, d’autres certitudes, et dans d’autres perspectives que celles
de la société matérialiste. Vous vivez dans le monde mais n’êtes pas de
ce monde, car l’Esprit de Dieu vous apprend d’où le monde vient et où
il va.
Et ainsi vous échappez au monde du refus de Dieu et à son entreprise
d’autonomie par rapport à Dieu. Cette liberté filiale dans l’obéissance
à Dieu, le monde ne vous la pardonne pas et vous êtes appelés à en
souffrir. La certitude de reproduire
le mystère du Christ à travers les persécutions doit prévenir en vous
tout étonnement et tout scandale. Saint Jean disait bien : « Ne vous
étonnez pas si le monde vous hait ».
Mais malgré tout, l’amour de
Dieu vous saisira au plus intime de votre être, au plus profond de
votre intelligence, de votre volonté et de votre affectivité, en ce
centre qui n’est accessible qu’à Son Esprit. Détachez-vous des
turpitudes de votre monde et vous vivrez heureux.
Jean, messager d'Espérance
La
folie meurtrière de quelques-uns engendre la
souffrance d’une multitude d’innocents (...).
Pourquoi cela est-il possible ? (...) La réponse est
simple : le démon déploie une activité intense...
Message de Jean Cara,
Messager de la lumière - Livre tome 6 : En
route vers la Jerusalem céleste - Page 223 : Pourquoi la
violence ? - Message du 15 mars 2007
"Même si vous ne voudriez pas y penser, les médias ne
cessent de vous ramener à la dure réalité de la violence
qui sévit dans le monde. Ce qui arrive en Palestine, en
Irak, en Afrique et dans bien d’autres contrées vous
touche et vous trouble.... La folie meurtrière de
quelques-uns engendre la souffrance d’une multitude
d’innocents et cela provoque en vous de la compassion,
mais aussi de la révolte.
Pourquoi cela est-il possible ? Pourquoi des hommes
sont-ils à ce point indifférents à la vie d’un être humain
?
La réponse est simple : le démon déploie une activité
intense...
Même si la souffrance ou le radicalisme d’une
idéologie peuvent expliquer certaines violences,
l’aveuglement d’une telle haine vous est insupportable.
La violence ne fait pas partie de Dieu comme tente parfois
de le proclamer certains fanatiques religieux !
Volontairement ils se coupent de Dieu, Lui refusent leur
confiance ou encore mieux Le renient parce qu’ils le
supposent responsable du mal qui ronge ceux qu’ils
considèrent leurs ennemis.
Ils n’ont pas compris que Dieu est amoureux de
l’homme : même celui qui ne porte pas de fruit, le
Seigneur décide de le garder encore.
C’est là que doit s’enraciner l’espérance de l’humanité !
Au cœur de votre désarroi, de vos révoltes, il y a cette
espérance que Dieu ne vous oublie pas, qu’Il est présent,
souffrant, se réjouissant avec vous. Vous avez peut-être
du mal à connaître Dieu, et vous l’affublez trop souvent
de vos ressentiments comme ceux de la vengeance ou de
l’indifférence...
Jésus vous montre le visage d’un Dieu différent.
Depuis toujours Dieu cherche à se faire proche de l’homme,
à lui dire sa confiance dans le respect de son chemin de
liberté. Comme pour Moïse, du milieu du buisson ardent,
Dieu vous appelle du milieu de la fournaise qu’est parfois
votre monde.
Il vous dit son nom, un nom qui ne l’enferme pas dans une
définition, un dogme, mais est ouvert sur une relation
: Je suis, J’existe depuis toujours et J’existe pour
toi. C’est cela, ce Nom de Dieu que vous ne parvenez pas à
traduire correctement. Il vous
invite à découvrir cette filiation qu’Il vous partage,
à comprendre que ce Père vous donne Sa confiance et
vous appelle à porter du fruit.
Hélas ! Souvent les hommes trahissent cette filiation,
trahissent Son Nom en L’utilisant pour justifier ce qui
n’est pas de Lui, ce qui n’est pas Lui.... Ils utilisent
Son Nom pour servir leurs propres ambitions, pour
sacraliser leur conception du monde, du bien et du mal.
Dieu vous connaît, chacun par votre nom, et Il vous
appelle chacun par votre nom, vous révélant que vous
êtes unique, appelé à vivre avec Lui une relation
unique. Il vous invite à vous regarder les uns les
autres, à regarder votre monde avec Ses yeux de Père.
Les violences dont vous êtes témoins, les
souffrances que vous partagez avec les victimes de ces
violences, tout cela peut vous faire douter de la
capacité de votre humanité à construire un monde
meilleur, vous faire douter de votre filiation divine.
Pourtant des hommes se révoltent et refusent cette
violence, sortent dans la rue pour le dire, ce qui est
déjà un signe d’espérance, un signe qui doit vous pousser
à croire aussi en l’homme et pas seulement en Dieu ...
Ne laissez pas la désespérance vous étreindre. N’oubliez
pas que rien ne peut empêcher Dieu de vous aimer, et
surtout qu’Il vous croie capables d’en faire autant !
C’est là votre dignité réparatrice !
Jean, messager d'Espérance "
Les gens disent : "Pourquoi Dieu
permet-il cela ?" S'il vous plaît, sachez que ce
n'est que pour un temps
Message de
Notre Dame à la messagère de
Notre Dame, reçu le 14 novembre 2013 - Le
bon grain et l'ivraie dans l'histoire
L'histoire humaine est comme une
semence plantée dans un champ, contenant de nombreuses
et puissantes forces qui peuvent donner une récolte
abondante et bienfaisante. Cependant, d'autres
graines ont été plantées dans l'histoire. Celles-ci
étouffent
les bonnes et portent des fruits de corruption.
Le Père
céleste a sagement décidé que, jusqu'à la fin de
l'histoire, les bonnes et les mauvaises graines se
développeraient côte à côte, de peur qu'en arrachant
le mauvais, le bon ne soit également détruit.
Cette décision, si sage et
prudente, prête à confusion. Les
gens disent : "Pourquoi Dieu permet-il cela ?" S'il
vous plaît, sachez que ce n'est que pour un
temps. La
séparation complète du bon et du mauvais n'aura
inévitablement lieu que lorsque les bons seront en
sécurité dans le royaume.
Jusque-là,
ô
lecteur, vous n'aurez besoin que de la sagesse que
vous recevrez de mes lèvres.
Celui qui parle en mal de
son prochain recevra du mal, car le mal engendre le
mal
Message du Ciel donné à
la Fille
du Oui à Jésus - Volume 2 - n°133 – 2 juin 2001
Marie : Gardez-vous unis en
mon Fils. Ma fille, voici le temps où tout ne sera que
pour l’amour. L’amour d’une maman est si tendre! Mes
enfants que j’aime, aimez votre Maman du Ciel. Il est si
bon d’être aimé par ses enfants! Vous qui dites m’aimer,
aimez-vous, mes enfants.
Une mère ne peut voir ses
enfants en désaccord. Je suis si aimante! Tout enfant
sur cette terre est lié par l’Amour. Vous êtes tous des
êtres d’amour. Vous venez tous de mon Fils. Si un seul d’entre vous
n’aime pas son prochain, il coupe la chaîne d’amour
qui vous attache les uns aux autres. Mon Cœur
de Mère se déchire. Il pleure sur votre geste
d’indifférence.
Lorsque vous parlez contre un enfant, vous lui
nuisez et vous vous nuisez. Même si vous ne pouvez
voir la souffrance que vous causez à ceux que vous
portez en vous, elle est quand même là. Ces
enfants sont présents en vous. Ils vivent, par Jésus, en
vous. Attention, mes enfants, vos paroles porteront
des conséquences.
Lorsque vous parlez en mal, vous faites le mal.
Le mal est en vous. Vous vous causez du mal et vous
faites naître en vous une douleur. Cette douleur,
c’est vous qui la portez; votre corps, mes enfants, en
subit les conséquences. Vous ne pouvez continuer à
nuire à votre être.
Lorsque vous ne pouvez connaître la source de
votre douleur, demandez-vous si cela a été causé par
votre ignorance face à l’amour de votre prochain.
Il y a si longtemps, mes enfants, que vous vous faites
du mal.
-- Les maladies prolifèrent.
-- Vos
vies sont en souffrance.
-- Vos
enfants viennent au monde avec des maladies.
Mes enfants d’amour, ce
sont des péchés véhiculés par vous, par vos parents et
par vos grands-parents.
Vous ne cessez de vous faire du mal en nuisant
à votre intérieur. Cela se fait lorsque vous nuisez à
votre prochain qui est en votre intérieur.
Votre corps, mes enfants, en porte les marques. Ce sont
vos péchés. Ils marquent vos vies. Et vous, mes tout
petits, vous pleurez en constatant vos maladies. Vous
voyez mourir vos propres enfants. Moi, votre Mère, je
vous regarde et mon Cœur, mes enfants, il est dans la
douleur. Je suis une maman qui vous parle avec son cœur.
Je vous supplie de vous
aimer, d’arrêter de vous faire du mal entre vous.
Mes enfants, comme il est
triste de voir ces enfants se détruire! Venez dans mon
Cœur, j’ai en moi l’Amour. Je veux vous protéger contre
vous-mêmes : vous êtes si fragiles. L’ennemi vous a dans ses
filets et il ne cesse de nuire à votre vie. Il attaque
non seulement votre corps, mais votre âme. Il veut
votre mort. Venez dans mon Cœur, là, dans mon
refuge, à l’abri de ses attaques. Je vis, mes enfants,
en mon Fils. Mon Cœur est lié à celui de l’Amour. Je
vous aime tendrement.
Mes enfants, avez-vous déjà
lu dans la sainte Bible le passage qui vous décrit le
geste de Pierre? À cause de sa peur, d’un coup d’épée,
il trancha l’oreille d’un de ceux qui venaient arrêter
mon Fils Jésus.
Ce n’est pas par la violence qu’il faut réagir.
Regardez votre Dieu qui fit un miracle en lui
guérissant l’oreille. Il n’accepta pas le geste de
Pierre. Il le mit en garde contre toute violence en
disant : «Celui qui se sert du glaive périra par le
glaive.»
Mon Fils
signala par ce geste que tous ceux qui se
serviraient de gestes violents contre leur prochain
souffriraient; ils connaîtraient à leur tour la
violence.
Celui qui parle en mal de son prochain recevra
du mal, car le mal engendre le mal. Tout geste
contre l’amour ne peut vous rendre heureux, il vous rend
malheureux. Lorsqu’un enfant parle contre son prochain,
ce qu’il dit sort de lui. Alors, il n’est pas heureux. S’il sème le trouble, il
récoltera le trouble; alors, il ne pourra pas
être en paix en lui. Parce
qu’il a fait du mal à son prochain pour un rien,
-- il devient triste, inquiet, taciturne.
-- Il perd l’espoir de vivre dans le calme, car
il est trop pris par son problème qui a pris la place
du bien en lui.
-- Il vit dans l’angoisse.
-- Ses jours ne sont pas égayés par des paroles
d’amour.
-- Il en vient à ne plus être capable de penser
aux autres sans émettre un commentaire désobligeant.
-- Il ne sait plus pourquoi il a toutes ces
pensées, il ne se sent pas bien en lui.
-- Tous ceux qui sont autour de lui ressentent sa
tension; ils deviennent, eux aussi, comme lui.
-- Leurs conversations
ciblent leur prochain.
-- Sa vie est sans amour.
-- Il n’est plus capable de donner gratuitement;
s’il donne, il attend en retour.
-- S’il n’a pas reçu, il n’oubliera pas, il
gardera en lui sa déception, ce qui lui fera penser de
ne plus redonner.
-- Pour lui, tout n’est que retour : œil pour œil,
dent pour dent.
-- Il exige des autres ce qu’il exige de lui-même.
-- Il ne croit plus au bonheur où tout ne sera
que joie, paix et bonheur éternel.
-- Sa vie est devenue sans joie. Son mal, en
lui, a fait de sa vie une vie compliquée.
-- Sa santé est
d’autant plus compliquée : il digère difficilement, ou
il développe des allergies, ou son être ne se défend
plus contre les petites maladies.
-- Il a un sommeil agité. Il vieillit sans qu’il
ait de l’humour et de la joie.
-- À la moindre contrariété, il devient si
malheureux qu’il n’a plus le goût de vivre.
-- Les maladies graves le guettent et, lorsque son
corps est malade, il crie à l’injustice.
-- Il ne s’est pas aperçu que tout a commencé au
moment où il a donné, en lui, la place au mal car, en
lui, l’amour a disparu.
Lui
qui n’était né que pour l’amour, à cause du mal qu’il
s’est lui même donné, son être connaîtra la maladie
physique et mentale.
Ce mal est un geste
d’indifférence envers vous-mêmes. Mes enfants, c’est que vous ne vous
aimez pas.
-- Entre vous, vous
vous insultez,
-- vous vous critiquez,
-- vous manquez de charité, v
-- vous êtes sans amour pour votre époux,
-- votre épouse et vos enfants.
-- Vous êtes sans confiance envers vos parents.
-- Vous êtes seuls à cause de votre indépendance
face à votre prochain.
-- Vous êtes dans une impasse qui vous empêche
d’avancer vers l’Amour. C’est votre tribut. Tout ce que
vous faites ou dites de mal contre votre prochain, tel
un boomerang, c’est vers vous que ça revient.
Mes enfants, vous êtes tous égaux. Vous avez tous le
même Amour en vous : c’est mon Fils. Il vit en vous.
Qu’un seul d’entre vous se détache des autres, il se
crée une séparation douloureuse pour mon Fils et moi.
Mes enfants, la séparation qui est causée par vos péchés
contre votre prochain produit une souffrance en vous.
Tous mes enfants en souffrent. Si un seul se fait du
mal, les autres s’en ressentent.
Voyez, mes enfants, combien il est
important de vous aimer les uns les autres. Je vous
aime, moi, votre douce Maman. Vous êtes mes enfants. Je
ne puis avoir de préférence pour un tel ou un tel, je
vous porte tous en mon Cœur. Mon Cœur est maternel. Mes
enfants, aimez-vous. Aimez l’Amour. Je suis la Maman de
l’Amour.
Crois-tu que Je sois sourd aux cris des
opprimés ? Je vous le dis, Je ne le suis pas !
Messages du Ciel - Journal de Pelianito :
le 1er janvier 2012
Malachie 3, 5 : « Je m'approcherai de vous
pour le jugement, Et je me hâterai de témoigner
contre les sorciers et les adultères, contre ceux
qui jurent faussement, contre ceux qui retiennent
le salaire de l’ouvrier, qui oppriment la veuve et
l'orphelin, qui font tort à l'étranger, et ne me
craignent pas, dit l'Éternel des armées. »
« Mon enfant,
crois-tu que Je sois sourd aux
cris des opprimés ? Je vous le dis, Je ne le suis
pas ! Chaque larme a été comptée et
les oppresseurs sentiront la douleur de chaque larme
dans leur propre cœur. Et ce jugement est clément
autant que juste. A l'oppresseur sera donné le temps de
se repentir de son péché, mais s'il ne se jette pas
dans ma miséricorde, son juste châtiment sera sévère,
en accord avec sa faute.
Mes enfants, n’abandonnez pas vos prières ! Priez pour les opprimés, mais aussi pour
l'oppresseur. L'opprimé, Je l’encourage et le réconforte
par des moyens inespérés, mais Je ne prends pas plaisir
à un cœur impénitent qui préfère le jugement à la
miséricorde. Soyez
des agents de ma miséricorde et priez sans cesse,
surtout pour les plus démunis de ma miséricorde. »
O mon Jésus,
pardonnez-nous nos péchés. Préservez-nous du feu de
l'enfer. Conduisez au ciel toutes les âmes, en
particulier celles qui ont besoin de votre
miséricorde. Jésus,
soyez avec les opprimés et accordez la grâce du repentir
à l'oppresseur. Jésus nous avons confiance en vous.
Le contraire de la violence
est la pensée
Message de Jean Cara "Messager de la
lumière" (France) à ses parents par locutions
intérieures - 15 décembre 2011
"La
violence apparaît partout dans votre monde, dans
d’autres continents ou plus proche de vous, et même
jusqu’en votre propre personne. Les
violences menacent pratiquement tout le monde aussi,
cela demande de votre part et à votre niveau, des
actions et des paroles justes et courageuses.
Effectivement, la violence affecte tous les
niveaux et frappe toujours les personnes les plus faibles
ou considérées comme telles. Oui, la violence touche
toutes les couches de la société, que ce soit des femmes
au sein du couple ou en dehors, des enfants du fait de
leur maltraitance. Les personnes âgées et handicapées sont
également malmenées et même escroquées. Il y a aussi le
rejet des gens différents en raison de leur race, de leur
culture ou de leur religion.
Que de violences ouvertes ou cachées, commises près de
chez vous qui peuvent également survenir sur vos lieux du
travail, dans les quartiers urbains, dans les lieux de
transport et ce sont alors des menaces verbales ou
physiques, des dégradations d’équipements collectifs et
même des profanations de cimetières et de lieux de culte.
A toutes ces violences, le Seigneur Jésus répond :
« Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de toutes tes
forces, et ton prochain comme toi-même, fais ainsi et
tu auras la vie ! » En réalité l’homme ne peut
vivre qu’en aimant, en aimant Dieu et son prochain comme
lui-même. Vous avez à aimer, donner, servir et non haïr,
dérober et violenter.
La société a tant besoin des familles qui sont ses
cellules de base tout comme de l’entente
sociale à l’égard de toutes et chacune des personnes.
L’attention à la personne commence dès l’enfance, par le
lien façonnant l’enfant à sa mère puis à son père et à
son entourage.
L’affection familiale et l’éducation sont
primordiales, avec l’indispensable transmission de
savoirs et des valeurs qui permettront au jeune de se
construire, de communiquer et de mûrir dans son
affectivité et ses relations.
C’est par la parole que les violences physiques
pourraient être évitées quand les hommes peuvent se
parler. A cet effet trop peu de jeunes communiquent bien
entre eux. Trop peu d’adultes dialoguent avec eux.
Le contraire
de la violence est la pensée. La loi est faite pour
l’homme, et pour le bien de tous. Quand elle s’appuie
sur les Commandements de Dieu, elle garantit le bien
commun. L’association des devoirs et des droits rend
chaque citoyen solidaire et responsable.
Que serait de bien vivre ensemble, sans la
gratuité de vos rencontres, de vos salutations et de vos
sourires, de vos attentions et de vos compassions ?
Vous avez tous besoin, non seulement de la
gratuité du don, mais aussi de celle du pardon : c’est
une condition de votre survie, de vos personnes et de
vos institutions à travers tous les conflits et toutes
les épreuves de votre existence : Le pardon est
toujours nécessaire, c’est une magnifique signature
divine en votre fragile humanité .
Avec toute votre famille du Ciel, sous la Lumière du Père
Eternel, tout l’Amour du Seigneur Jésus, de Sa maman la
Sainte Vierge Marie, je vous bénis au nom du Père, du Fils
et du Saint Esprit.
Jean, votre messager d’Espérance"
Le mal se trouve seulement
dans la volonté de l’homme, non dans sa nature
Message du Ciel
donné à Chicoutimi, Solitude, - 19 déc.
2008 - 8 déc. 1923, Luisa, Le Livre du
Ciel, Tome 16, p. 71
Comment la Vierge
Immaculée fut conçue par les mérites du Verbe
incarné, lesquels la rendirent apte à concevoir le
Verbe devant racheter l’humanité. Le mal se trouve
seulement dans la volonté de l’homme, non dans sa
nature.
Mon enfant, ce qui te
trouble c’est le fait de ne pas connaître les
raisons qui ont épargné ma Mère d’être héritière du
péché originel : c’est qu’Elle est née de la façon
que mon Père l’a créée d’un trait. Vous, mes
enfants, vous voyez cela par compartiments, tandis
que Nous, tout est fait dans l’ensemble et tout
existait avant même que vous compreniez. Nous avons
tout réalisé ! Voilà pourquoi en étant née, entourée
de tous nos attributs, ma Mère a été épargnée des
affres du péché, tandis que vous, vous avez été
faits à partir d’un être qui a été laissé libre de
volonté. Par cela vous avez eu son lot.
Mais ma Mère a été épargnée des affres du
péché originel, parce que voulu par Nous. Cela a
été nécessaire à ma venue ! Je ne pouvais venir
dans une âme qui avait cette tache originelle.
Voilà !
Maintenant, mon enfant, mes enfants doivent saisir que
la “Femme” devait être pure pour mettre au monde ma
Vie de Fils. Je voudrais faire saisir que mon Corps
devait baigner dans la pureté, sans cela Je serais du
domaine de l’humain. Mon Père en a décidé ainsi ! Ma
Mère a été Celle qu’Il a créée parfaite pour que la
Rédemption soit accomplie. Il était nécessaire de
composer avec une “Femme parfaite”.
Alors, mes enfants, d’où part le mal ? Ce
n’est pas dans le vase dans lequel il existe, mais
c’est ce qu’il y a été déposé par la volonté humaine.
Vous
devez vous rendre compte que le mal commence par le
“vouloir” : soit par une pensée qui est cultivée
pour l’amener à du concret. Non pas que ce processus
est nouveau, vous le savez, mais seulement pour
prendre conscience que cela engendre ce qui est
cultivé : votre pensée qui germe en bien ou en mal.
Voyez-vous, mes enfants, le fait que Je vous amène à
penser que Je suis votre Source vous porte à aller
chercher tout ce que vous voulez. Vous avez le choix
!
Maintenant, mes enfants, vous avez à penser à votre
état présent. Je viens à vous dans un seul acte, par
votre “FIAT”, parce que vous êtes déjà en Moi. Pour
que cela se réalise, il faut vous préparer à entrer
dans ce lieu de vos cœurs et refaire l’Alliance dans
vos vies, avec Moi. Je sais que cela vous met dans un
état de penser, mais Je vous ferai saisir, au fur et à
mesure, des dispositions à prendre pour composer avec
Moi.
Ne vous inquiétez pas
! C’est à Moi qu’il incombe de vous donner le
chemin. Voilà, mes enfants ! Je vous assiste ! Amen.
Jésus.
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