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La violence, l'oppresseur, le mal
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Citation anonyme
"Le Mal finit toujours par s'auto-détruire tout seul,
mais si on laisse l'Amour s'en aller des personnes, alors le Mal reviendra sous une autre forme"
Autres chapitres :  Combattre le mal   Aimer ses ennemies   Les malheurs de notre temps           

Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble, comme des idiots.
Martin Luther King - Extrait de Discours - 31 Mars 1968
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La certitude de reproduire le mystère du Christ à travers les persécutions doit prévenir en vous tout étonnement et tout scandale

Message de
Jean Cara, Messager de la lumière - Livre Tome 5 : En route vers la Jérusalem céleste - Page 130 : Soyez du côté des petits et des opprimés - Message du 5 avril 2006

Faites comme Jésus, mettez-vous toujours du côté des petits et des opprimés. Contrairement au Ciel où tout est amour et où les derniers sont les premiers, sur votre terre le dernier mot appartient bien souvent aux orgueilleux et aux agressifs qui tiennent toujours à avoir la première place.

Méditez sur la crucifixion de Jésus.

Comme Jésus l’enseigne, comparez certains dirigeants aux vignerons homicides qui étouffent et écrasent de souffrances leur peuple. Et souvent, hélas! vous êtes entourés de beaucoup d’hommes comparables au figuier couvert de feuilles mais ne produisant pas de fruits et c’est tellement regrettable.

Les faits sont simples : Jésus est dérangeant et vous, en votre qualité de chrétiens vous l’êtes également, car vous donnez l’exemple et de plus vous proclamez la Bonne Nouvelle.

Méditez les Évangiles pour constater qu’autour de la personne de Jésus s’est développée une animosité qui progressivement s’est transformée en violence, une violence aveugle, de plus en plus communicative comme actuellement dans votre monde, ce qui fait planer une atmosphère de mal de vivre...

Pensez à la sauvagerie aveugle, pensez à cette guerre civile qui persiste en Irak entre musulmans, pensez à la hargne des extrémistes de tout bord qui par leur intransigeance sont des semeurs de haine et de désordre. Vous les trouvez en beaucoup d’autres points du monde particulièrement dans les situations de conflit et près de vous avec tous ceux qui cherchent à détruire.

C’est la violence et le pouvoir qui ont tendance à dominer le monde, mais cela ne va pas durer, soyez-en fermement convaincus, le temps est proche où le mal sera détruit.

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Toutes les voies de libération qui utilisent la violence sont toujours vouées à l’échec

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Jésus, comme Son Père, a opposé le pouvoir de l’amour et du pardon à la violence aveugle des hommes. Jésus s’est solidarisé avec les victimes de la violence dans toute l’histoire de l’humanité, toujours vaincues dans l’immédiat par la puissance de leurs agresseurs. Mais en refusant de répondre à la violence par la violence, Il s’est assuré la victoire définitive par les armes de l’amour. Vous, utilisez également ces armes qui vous conduiront sur la voie royale.

La violence est au cœur de chaque homme et au cœur de l’humanité. Comme Jésus, vous avez à vous situer du côté des victimes de la violence et à agir en conséquence à votre niveau, aussi petit soit-il. Toutes les voies de libération qui utilisent la violence sont toujours vouées à l’échec.

Bien entendu, celle de l’amour, qui est celle que Dieu et son Fils ont choisie assure cette victoire. Vous ne pouvez ignorer que des hommes ont haï Jésus. Ce n’était pas d’une haine secrète, tapie au fond des cœurs, mais d’une haine active et efficace, qui est allée jusqu’à la crucifixion. Ceux qui suivent les commandements de Dieu sont persécutés.

Tous les moyens sont bons pour faire taire ceux qui suivent l’exemple des disciples de Jésus ...

Ceux qui refusent Dieu ne peuvent supporter les chrétiens, qui abordent les réalités de l’homme, de son présent et de son avenir avec d’autres critères, d’autres certitudes, et dans d’autres perspectives que celles de la société matérialiste. Vous vivez dans le monde mais n’êtes pas de ce monde, car l’Esprit de Dieu vous apprend d’où le monde vient et où il va.

Et ainsi vous échappez au monde du refus de Dieu et à son entreprise d’autonomie par rapport à Dieu. Cette liberté filiale dans l’obéissance à Dieu, le monde ne vous la pardonne pas et vous êtes appelés à en souffrir. La certitude de reproduire le mystère du Christ à travers les persécutions doit prévenir en vous tout étonnement et tout scandale. Saint Jean disait bien : « Ne vous étonnez pas si le monde vous hait ».

Mais malgré tout, l’amour de Dieu vous saisira au plus intime de votre être, au plus profond de votre intelligence, de votre volonté et de votre affectivité, en ce centre qui n’est accessible qu’à Son Esprit. Détachez-vous des turpitudes de votre monde et vous vivrez heureux.

 Jean, messager d'Espérance


La folie meurtrière de quelques-uns engendre la souffrance d’une multitude d’innocents (...). Pourquoi cela est-il possible ? (...) La réponse est simple : le démon déploie une activité intense...

Message de Jean Cara, Messager de la lumière - Livre tome 6 : En route vers la Jerusalem céleste - Page 223 : Pourquoi la violence ? - Message du 15 mars 2007

"Même si vous ne voudriez pas y penser, les médias ne cessent de vous ramener à la dure réalité de la violence qui sévit dans le monde. Ce qui arrive en Palestine, en Irak, en Afrique et dans bien d’autres contrées vous touche et vous trouble.... La folie meurtrière de quelques-uns engendre la souffrance d’une multitude d’innocents et cela provoque en vous de la compassion, mais aussi de la révolte.

Pourquoi cela est-il possible ? Pourquoi des hommes sont-ils à ce point indifférents à la vie d’un être humain ?
La réponse est simple : le démon déploie une activité intense...

Même si la souffrance ou le radicalisme d’une idéologie peuvent expliquer certaines violences, l’aveuglement d’une telle haine vous est insupportable.
 
La violence ne fait pas partie de Dieu comme tente parfois de le proclamer certains fanatiques religieux ! Volontairement ils se coupent de Dieu, Lui refusent leur confiance ou encore mieux Le renient parce qu’ils le supposent responsable du mal qui ronge ceux qu’ils considèrent leurs ennemis.

Ils n’ont pas compris que Dieu est amoureux de l’homme : même celui qui ne porte pas de fruit, le Seigneur décide de le garder encore.

C’est là que doit s’enraciner l’espérance de l’humanité ! Au cœur de votre désarroi, de vos révoltes, il y a cette espérance que Dieu ne vous oublie pas, qu’Il est présent, souffrant, se réjouissant avec vous. Vous avez peut-être du mal à connaître Dieu, et vous l’affublez trop souvent de vos ressentiments comme ceux de la vengeance ou de l’indifférence...

Jésus vous montre le visage d’un Dieu différent.

Depuis toujours Dieu cherche à se faire proche de l’homme, à lui dire sa confiance dans le respect de son chemin de liberté. Comme pour Moïse, du milieu du buisson ardent, Dieu vous appelle du milieu de la fournaise qu’est parfois votre monde.

Il vous dit son nom, un nom qui ne l’enferme pas dans une définition, un dogme, mais est ouvert sur une relation : Je suis, J’existe depuis toujours et J’existe pour toi. C’est cela, ce Nom de Dieu que vous ne parvenez pas à traduire correctement. Il vous invite à découvrir cette filiation qu’Il vous partage, à comprendre que ce Père vous donne Sa confiance et vous appelle à porter du fruit.

Hélas ! Souvent les hommes trahissent cette filiation, trahissent Son Nom en L’utilisant pour justifier ce qui n’est pas de Lui, ce qui n’est pas Lui.... Ils utilisent Son Nom pour servir leurs propres ambitions, pour sacraliser leur conception du monde, du bien et du mal.

Dieu vous connaît, chacun par votre nom, et Il vous appelle chacun par votre nom, vous révélant que vous êtes unique, appelé à vivre avec Lui une relation unique. Il vous invite à vous regarder les uns les autres, à regarder votre monde avec Ses yeux de Père.

Les violences dont vous êtes témoins, les souffrances que vous partagez avec les victimes de ces violences, tout cela peut vous faire douter de la capacité de votre humanité à construire un monde meilleur, vous faire douter de votre filiation divine.

Pourtant des hommes se révoltent et refusent cette violence, sortent dans la rue pour le dire, ce qui est déjà un signe d’espérance, un signe qui doit vous pousser à croire aussi en l’homme et pas seulement en Dieu ...

Ne laissez pas la désespérance vous étreindre. N’oubliez pas que rien ne peut empêcher Dieu de vous aimer, et surtout qu’Il vous croie capables d’en faire autant ! C’est là votre dignité réparatrice !

Jean, messager d'Espérance "



Les gens disent : "Pourquoi Dieu permet-il cela ?" S'il vous plaît, sachez que ce n'est que pour un temps

Message de Notre Dame à la messagère de Notre Dame, reçu le 14 novembre 2013 - Le bon grain et l'ivraie dans l'histoire

L'histoire humaine est comme une semence plantée dans un champ, contenant de nombreuses et puissantes forces qui peuvent donner une récolte abondante et bienfaisante. Cependant, d'autres graines ont été plantées dans l'histoire. Celles-ci étouffent les bonnes et portent des fruits de corruption.

Le Père céleste a sagement décidé que, jusqu'à la fin de l'histoire, les bonnes et les mauvaises graines se développeraient côte à côte, de peur qu'en arrachant le mauvais, le bon ne soit également détruit.

Cette décision, si sage et prudente, prête à confusion. Les gens disent : "Pourquoi Dieu permet-il cela ?" S'il vous plaît, sachez que ce n'est que pour un temps. La séparation complète du bon et du mauvais n'aura inévitablement lieu que lorsque les bons seront en sécurité dans le royaume.

Jusque-là, ô lecteur, vous n'aurez besoin que de la sagesse que vous recevrez de mes lèvres.


Celui qui parle en mal de son prochain recevra du mal, car le mal engendre le mal

Message du Ciel donné à la Fille du Oui à Jésus - Volume 2 - n°133 – 2 juin 2001

Marie : Gardez-vous unis en mon Fils. Ma fille, voici le temps où tout ne sera que pour l’amour. L’amour d’une maman est si tendre! Mes enfants que j’aime, aimez votre Maman du Ciel. Il est si bon d’être aimé par ses enfants! Vous qui dites m’aimer, aimez-vous, mes enfants.

Une mère ne peut voir ses enfants en désaccord. Je suis si aimante! Tout enfant sur cette terre est lié par l’Amour. Vous êtes tous des êtres d’amour. Vous venez tous de mon Fils. Si un seul d’entre vous n’aime pas son prochain, il coupe la chaîne d’amour qui vous attache les uns aux autres. Mon Cœur de Mère se déchire. Il pleure sur votre geste d’indifférence.

Lorsque vous parlez contre un enfant, vous lui nuisez et vous vous nuisez. Même si vous ne pouvez voir la souffrance que vous causez à ceux que vous portez en vous, elle est quand même là. Ces enfants sont présents en vous. Ils vivent, par Jésus, en vous. Attention, mes enfants, vos paroles porteront des conséquences.

Lorsque vous parlez en mal, vous faites le mal. Le mal est en vous. Vous vous causez du mal et vous faites naître en vous une douleur. Cette douleur, c’est vous qui la portez; votre corps, mes enfants, en subit les conséquences. Vous ne pouvez continuer à nuire à votre être.

Lorsque vous ne pouvez connaître la source de votre douleur, demandez-vous si cela a été causé par votre ignorance face à l’amour de votre prochain. Il y a si longtemps, mes enfants, que vous vous faites du mal.

--  Les maladies prolifèrent.
-- 
Vos vies sont en souffrance.
-- 
Vos enfants viennent au monde avec des maladies. 

Mes enfants d’amour, ce sont des péchés véhiculés par vous, par vos parents et par vos grands-parents.

Vous ne cessez de vous faire du mal en nuisant à votre intérieur. Cela se fait lorsque vous nuisez à votre prochain qui est en votre intérieur. Votre corps, mes enfants, en porte les marques. Ce sont vos péchés. Ils marquent vos vies. Et vous, mes tout petits, vous pleurez en constatant vos maladies. Vous voyez mourir vos propres enfants. Moi, votre Mère, je vous regarde et mon Cœur, mes enfants, il est dans la douleur. Je suis une maman qui vous parle avec son cœur. Je vous supplie de vous aimer, d’arrêter de vous faire du mal entre vous.

Mes enfants, comme il est triste de voir ces enfants se détruire! Venez dans mon Cœur, j’ai en moi l’Amour. Je veux vous protéger contre vous-mêmes : vous êtes si fragiles. L’ennemi vous a dans ses filets et il ne cesse de nuire à votre vie. Il attaque non seulement votre corps, mais votre âme. Il veut votre mort. Venez dans mon Cœur, là, dans mon refuge, à l’abri de ses attaques. Je vis, mes enfants, en mon Fils. Mon Cœur est lié à celui de l’Amour. Je vous aime tendrement.

Mes enfants, avez-vous déjà lu dans la sainte Bible le passage qui vous décrit le geste de Pierre? À cause de sa peur, d’un coup d’épée, il trancha l’oreille d’un de ceux qui venaient arrêter mon Fils Jésus.

Ce n’est pas par la violence qu’il faut réagir. Regardez votre Dieu qui fit un miracle en lui guérissant l’oreille. Il n’accepta pas le geste de Pierre. Il le mit en garde contre toute violence en disant : «Celui qui se sert du glaive périra par le glaive.» 

Mon Fils signala par ce geste que tous ceux qui se serviraient de gestes violents contre leur prochain souffriraient; ils connaîtraient à leur tour la violence.

Celui qui parle en mal de son prochain recevra du mal, car le mal engendre le mal. Tout geste contre l’amour ne peut vous rendre heureux, il vous rend malheureux. Lorsqu’un enfant parle contre son prochain, ce qu’il dit sort de lui. Alors, il n’est pas heureux. S’il sème le trouble, il récoltera le trouble; alors, il ne pourra pas être en paix en lui. Parce qu’il a fait du mal à son prochain pour un rien,

--  il devient triste, inquiet, taciturne.
--  Il perd l’espoir de vivre dans le calme, car il est trop pris par son problème qui a pris la place du bien en lui.

--  Il vit dans l’angoisse.
--  Ses jours ne sont pas égayés par des paroles d’amour.
--  Il en vient à ne plus être capable de penser aux autres sans émettre un commentaire désobligeant.

--  Il ne sait plus pourquoi il a toutes ces pensées, il ne se sent pas bien en lui.
--  Tous ceux qui sont autour de lui ressentent sa tension; ils deviennent, eux aussi, comme lui.

--  Leurs conversations ciblent leur prochain.
--  Sa vie est sans amour.
--  Il n’est plus capable de donner gratuitement; s’il donne, il attend en retour.
--  S’il n’a pas reçu, il n’oubliera pas, il gardera en lui sa déception, ce qui lui fera penser de ne plus redonner.
--  Pour lui, tout n’est que retour : œil pour œil, dent pour dent.
--  Il exige des autres ce qu’il exige de lui-même.
--  Il ne croit plus au bonheur où tout ne sera que joie, paix et bonheur éternel.
--  Sa vie est devenue sans joie. Son mal, en lui, a fait de sa vie une vie compliquée.

--  Sa santé est d’autant plus compliquée : il digère difficilement, ou il développe des allergies, ou son être ne se défend plus contre les petites maladies.

--  Il a un sommeil agité. Il vieillit sans qu’il ait de l’humour et de la joie.
--  À la moindre contrariété, il devient si malheureux qu’il n’a plus le goût de vivre.
--  Les maladies graves le guettent et, lorsque son corps est malade, il crie à l’injustice.
--  Il ne s’est pas aperçu que tout a commencé au moment où il a donné, en lui, la place au mal car, en lui, l’amour a disparu.

Lui qui n’était né que pour l’amour, à cause du mal qu’il s’est lui même donné, son être connaîtra la maladie physique et mentale.

Ce mal est un geste d’indifférence envers vous-mêmes. Mes enfants, c’est que vous ne vous aimez pas.

--  Entre vous, vous vous insultez,
--  vous vous critiquez,
--  vous manquez de charité, v
--  vous êtes sans amour pour votre époux,
--  votre épouse et vos enfants.
--  Vous êtes sans confiance envers vos parents.
--  Vous êtes seuls à cause de votre indépendance face à votre prochain.
--  Vous êtes dans une impasse qui vous empêche d’avancer vers l’Amour. C’est votre tribut. Tout ce que vous faites ou dites de mal contre votre prochain, tel un boomerang, c’est vers vous que ça revient.

Mes enfants, vous êtes tous égaux. Vous avez tous le même Amour en vous : c’est mon Fils. Il vit en vous. Qu’un seul d’entre vous se détache des autres, il se crée une séparation douloureuse pour mon Fils et moi. Mes enfants, la séparation qui est causée par vos péchés contre votre prochain produit une souffrance en vous. Tous mes enfants en souffrent. Si un seul se fait du mal, les autres s’en ressentent.

Voyez, mes enfants, combien il est important de vous aimer les uns les autres. Je vous aime, moi, votre douce Maman. Vous êtes mes enfants. Je ne puis avoir de préférence pour un tel ou un tel, je vous porte tous en mon Cœur. Mon Cœur est maternel. Mes enfants, aimez-vous. Aimez l’Amour. Je suis la Maman de l’Amour.


Crois-tu que Je sois sourd aux cris des opprimés ? Je vous le dis, Je ne le suis pas !

Messages du Ciel - Journal de Pelianito : le 1er janvier 2012

Malachie 3, 5 : « Je m'approcherai de vous pour le jugement, Et je me hâterai de témoigner contre les sorciers et les adultères, contre ceux qui jurent faussement, contre ceux qui retiennent le salaire de l’ouvrier, qui oppriment la veuve et l'orphelin, qui font tort à l'étranger, et ne me craignent pas, dit l'Éternel des armées. »

« Mon enfant, crois-tu que Je sois sourd aux cris des opprimés ? Je vous le dis, Je ne le suis pas ! Chaque larme a été comptée et les oppresseurs sentiront la douleur de chaque larme dans leur propre cœur. Et ce jugement est clément autant que juste. A l'oppresseur sera donné le temps de se repentir de son péché, mais s'il ne se jette pas dans ma miséricorde, son juste châtiment sera sévère, en accord avec sa faute.

Mes enfants, n’abandonnez pas vos prières ! Priez pour les opprimés, mais aussi pour l'oppresseur. L'opprimé, Je l’encourage et le réconforte par des moyens inespérés, mais Je ne prends pas plaisir à un cœur impénitent qui préfère le jugement à la miséricorde. Soyez des agents de ma miséricorde et priez sans cesse, surtout pour les plus démunis de ma miséricorde. »

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés. Préservez-nous du feu de l'enfer. Conduisez au ciel toutes les âmes, en particulier celles qui ont besoin de votre miséricorde. Jésus, soyez avec les opprimés et accordez la grâce du repentir à l'oppresseur. Jésus nous avons confiance en vous.


Le contraire de la violence est la pensée

Message de Jean Cara "Messager de la lumière" (France) à ses parents par locutions intérieures - 15 décembre 2011

"La violence apparaît partout dans votre monde, dans d’autres continents ou plus proche de vous, et même jusqu’en votre propre personne. Les violences menacent pratiquement tout le monde aussi, cela demande de votre part et à votre niveau, des actions et des paroles justes et courageuses.

Effectivement, la violence affecte tous les niveaux et frappe toujours les personnes les plus faibles ou considérées comme telles. Oui, la violence touche toutes les couches de la société, que ce soit des femmes au sein du couple ou en dehors, des enfants du fait de leur maltraitance. Les personnes âgées et handicapées sont également malmenées et même escroquées. Il y a aussi le rejet des gens différents en raison de leur race, de leur culture ou de leur religion.

Que de violences ouvertes ou cachées, commises près de chez vous qui peuvent également survenir sur vos lieux du travail, dans les quartiers urbains, dans les lieux de transport et ce sont alors des menaces verbales ou physiques, des dégradations d’équipements collectifs et même des profanations de cimetières et de lieux de culte.

A toutes ces violences, le Seigneur Jésus répond : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de toutes tes forces, et ton prochain comme toi-même, fais ainsi et tu auras la vie ! » En réalité l’homme ne peut vivre qu’en aimant, en aimant Dieu et son prochain comme lui-même. Vous avez à aimer, donner, servir et non haïr, dérober et violenter.

La société a tant besoin des familles qui sont ses cellules de base tout comme de l’entente sociale à l’égard de toutes et chacune des personnes. L’attention à la personne commence dès l’enfance, par le lien façonnant l’enfant à sa mère puis à son père et à son entourage. L’affection familiale et l’éducation sont primordiales, avec l’indispensable transmission de savoirs et des valeurs qui permettront au jeune de se construire, de communiquer et de mûrir dans son affectivité et ses relations.

C’est par la parole que les violences physiques pourraient être évitées quand les hommes peuvent se parler. A cet effet trop peu de jeunes communiquent bien entre eux. Trop peu d’adultes dialoguent avec eux.

Le contraire de la violence est la pensée. La loi est faite pour l’homme, et pour le bien de tous. Quand elle s’appuie sur les Commandements de Dieu, elle garantit le bien commun. L’association des devoirs et des droits rend chaque citoyen solidaire et responsable.

Que serait de bien vivre ensemble, sans la gratuité de vos rencontres, de vos salutations et de vos sourires, de vos attentions et de vos compassions ?

Vous avez tous besoin, non seulement de la gratuité du don, mais aussi de celle du pardon : c’est une condition de votre survie, de vos personnes et de vos institutions à travers tous les conflits et toutes les épreuves de votre existence : Le pardon est toujours nécessaire, c’est une magnifique signature divine en votre fragile humanité .

Avec toute votre famille du Ciel, sous la Lumière du Père Eternel, tout l’Amour du Seigneur Jésus, de Sa maman la Sainte Vierge Marie, je vous bénis au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Jean, votre messager d’Espérance"



Le mal se trouve seulement dans la volonté de l’homme, non dans sa nature

Message du Ciel donné à
Chicoutimi, Solitude, - 19 déc. 2008 - 8 déc. 1923, Luisa, Le Livre du Ciel, Tome 16, p. 71    

Comment la Vierge Immaculée fut conçue par les mérites du Verbe incarné, lesquels la rendirent apte à concevoir le Verbe devant racheter l’humanité. Le mal se trouve seulement dans la volonté de l’homme, non dans sa nature.

Mon enfant, ce qui te trouble c’est le fait de ne pas connaître les raisons qui ont épargné ma Mère d’être héritière du péché originel : c’est qu’Elle est née de la façon que mon Père l’a créée d’un trait. Vous, mes enfants, vous voyez cela par compartiments, tandis que Nous, tout est fait dans l’ensemble et tout existait avant même que vous compreniez. Nous avons tout réalisé ! Voilà pourquoi en étant née, entourée de tous nos attributs, ma Mère a été épargnée des affres du péché, tandis que vous, vous avez été faits à partir d’un être qui a été laissé libre de volonté. Par cela vous avez eu son lot.

Mais ma Mère a été épargnée des affres du péché originel, parce que voulu par Nous. Cela a été nécessaire à ma venue ! Je ne pouvais venir dans une âme qui avait cette tache originelle. Voilà !


Maintenant, mon enfant, mes enfants doivent saisir que la “Femme” devait être pure pour mettre au monde ma Vie de Fils. Je voudrais faire saisir que mon Corps devait baigner dans la pureté, sans cela Je serais du domaine de l’humain. Mon Père en a décidé ainsi ! Ma Mère a été Celle qu’Il a créée parfaite pour que la Rédemption soit accomplie. Il était nécessaire de composer avec une “Femme parfaite”.

Alors, mes enfants, d’où part le mal ? Ce n’est pas dans le vase dans lequel il existe, mais c’est ce qu’il y a été déposé par la volonté humaine.

Vous devez vous rendre compte que le mal commence par le “vouloir” : soit par une pensée qui est cultivée pour l’amener à du concret. Non pas que ce processus est nouveau, vous le savez, mais seulement pour prendre conscience que cela engendre ce qui est cultivé : votre pensée qui germe en bien ou en mal. Voyez-vous, mes enfants, le fait que Je vous amène à penser que Je suis votre Source vous porte à aller chercher tout ce que vous voulez. Vous avez le choix !

Maintenant, mes enfants, vous avez à penser à votre état présent. Je viens à vous dans un seul acte, par votre “FIAT”, parce que vous êtes déjà en Moi. Pour que cela se réalise, il faut vous préparer à entrer dans ce lieu de vos cœurs et refaire l’Alliance dans vos vies, avec Moi. Je sais que cela vous met dans un état de penser, mais Je vous ferai saisir, au fur et à mesure, des dispositions à prendre pour composer avec Moi.

Ne vous inquiétez pas ! C’est à Moi qu’il incombe de vous donner le chemin. Voilà, mes enfants ! Je vous assiste ! Amen. Jésus.


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