... si le même
Seigneur ne repoussait les attaques de la part des Enfers, et n'y
réprimait les folies, l'équilibre périrait, et la destruction de
l'équilibre entraînerait la ruine du tout.
Les visions d'Emannuel Swedenborg (1688-1772)
Extrait du livre : Du Ciel (et de ses merveilles) et de l'Enfer, d'après ce qui a été entendu et vu (écrit en 1758 et traduit du latin)
LE SEIGNEUR GOUVERNE LES ENFERS.
Dans ce qui
précède, où il a été traité du Ciel, il a été montré partout que le
Seigneur est le Dieu du Ciel, qu'ainsi tout gouvernement des Cieux
dépend du Seigneur; et comme le rapport du Ciel à l'Enfer est tel que
celui qui existe entre deux opposés qui agissent mutuellement l'un
contre l'autre, et dont l'action et la réaction produisent un équilibre
dans lequel toutes choses subsistent, c'est pourquoi pour que toutes
choses, en général et en particulier, soient tenues dans l'équilibre,
Il est nécessaire que celui qui
gouverne l'un gouverne aussi l'autre; car si le même Seigneur ne
repoussait les attaques de la part des Enfers, et n'y réprimait les
folies, l'équilibre périrait, et la destruction de l'équilibre
entraînerait la ruine du tout. (...)
Il m'a été donné quelquefois de percevoir la sphère du mal émanant de l'Enfer; c'était
comme un continuel effort pour détruire tout bien et tout vrai, effort
joint à la colère et à une sorte de fureur de ne pouvoir y parvenir,cet effort tendant surtout à annihilé et à détruire le Divin du Seigneur , et cela parce que c'est de Lui que procèdent tout bien et tout vrai.
Au contraire, j'ai perçu, émanant du Ciel, la
sphère du vrai d'après le bien, par laquelle était réprimée la fureur
de l'effort qui s'élevait de l'Enfer, répression d'où résultait
l'équilibre: je percevais que cette sphère, émanée du Ciel, procédait
du Seigneur Seul, quoiqu'elle parût procéder des Anges dans le Ciel; si
elle était perçue
procédant du Seigneur seul et non des Anges, c'était parce que chaque
Ange dans le Ciel reconnaît que rien du bien ni du vrai ne vient de
lui-même, mais que tout vient du Seigneur.
Toute puissance, dans le Monde spirituel, appartient au vrai d'après le bien, et le faux d'après le mal n'a absolument aucune puissance;
Si toute
puissance appartient au vrai d'après le bien, c'est parce que le Divin
même dans le Ciel est le Divin Bien et le Divin Vrai, et qu'au Divin appartient toute puissance;
Si le faux d'après le mal n'a absolument aucune puissance,
c'est parce que toute puissance appartient au vrai d'après le bien, et
que dans.le faux d'après le mal il n'y a rien du vrai d'après le bien:
de là vient que toute puissance est dans le Ciel, et qu'il n'y en a aucune dans l'Enfer ;
(...) L'Enfer a été distingué en Sociétés de la même manière que
le Ciel, et aussi en autant de Sociétés qu'il y en a dans le Ciel; car
chaque Société dans le Ciel a une Société qui lui est opposée dans
l'Enfer, et cela à cause de l'équilibre. (...)
(...) qu'il n'existe rien sans rapport avec un opposé, et que d'après
l'opposé on connait la qualité d'une chose, et dans quel degré elle
est, et que de là résulte toute perception et toute sensation. C'est
pourquoi le Seigneur pourvoit continuellement à ce que toute Société du
Ciel ait son opposé dans une Société de l'Enfer, et qu'entre elles il y
ait équilibre.
Il sera dit aussi en peu de mots comment les Enfers sont gouvernés par le Seigneur:
Les Enfers sont gouvernés, dans le commun, par un afflux du Divin Bien
et du Divin Vrai procédant des Cieux, par lequel l'effort commun
émanant des Enfers est modéré et réprimé; et aussi par un afflux
spécial de chaque Ciel et de chaque société du Ciel.
Les
Enfers sont gouvernés, dans le particulier, par des Anges auxquels il
est donné de regarder dans les Enfers, et d'en réprimer les folies et
les tumultes ;
Quelquefois même des Anges y sont envoyés, et par leur présence ils les apaisent. Mais, en général, tous ceux qui sont dans les Enfers sont gouvernés par les craintes,
quelques-uns par des craintes implantées dès le monde et restées
inculquées en eux; mais comme ces craintes ne suffisent point et se
dissipent peu à peu, ils sont gouvernés par les craintes des peines,
par lesquelles principalement ils sont détournés de commettre des maux;
les peines sont en grand nombre, les unes plus douces, les autres plus sévères, selon les maux: le plus souvent
sont préposés aux autres de plus méchants, qui les surpassent en
adresse et en artifices, et peuvent, par des peines et par les terreurs
qu'elles inspirent, les tenir dans l'obéissance et dans la servitude;
ces chefs n'osent pas dépasser les bornes qui leur sont prescrites. Il
faut qu'on sache que l'unique moyen de réprimer les violences et les
fureurs de ceux qui sont dans les Enfers est la crainte de la peine; il
n'existe pas d'autre moyen. (...)
Le Seigneur ne précipite personne dans l'Enfer, mais chacun s'y précipite de lui-même
Les visions d'Emannuel Swedenborg (1688-1772)
Extrait du livre : Du Ciel (et de ses merveilles) et de l'Enfer, d'après ce qui a été entendu et vu (écrit en 1758 et traduit du latin)
(...)
Quand l'homme entre dans l'autre vie, il est d'abord reçu par des Anges
qui lui rendent tous les services possibles et qui lui parlent du
Seigneur, du Ciel, de la vie angélique, et l'instruisent dans les vrais
fit dans les biens:
Mais si l'homme, alors Esprit, est tel, que dans le monde il ait, à la
vérité, reçu des instructions sur de semblables choses, mais qu'il les
ait niées ou méprisées. dans son cœur, alors, après quelques entretiens
avec eux, il désire leur départ et aussi cherche à les quitter;
Or, dès que les Anges s'en aperçoivent, ils le laissent, et lui, après
quelques liaisons avec d'autres, s'associe enfin à ceux qui sont dans
un mal semblable au sien, quand cela arrive, il se détourne du Seigneur
et tourne sa face vers l'Enfer auquel il avait été conjoint dans le
monde, et où résident ceux qui sont dans un semblable amour du mal.
Par là il est évident que le Seigneur
attire tout Esprit à Lui par des Anges et aussi par l'influx du Ciel,
mais que les Esprits qui sont dans le mal résistent absolument, se
détachent pour ainsi dire du Seigneur, et sont entraînés par leur mal,
ainsi par l'Enfer, comme par une corde; et comme ils sont entraînés, et
que d'après l'amour du mal ils veulent être entraîné !, il est constant
qu'ils se jettent d'eux-mêmes librement dans l'Enfer.
Que cela soit ainsi, on ne peut le croire dans notre monde; d'après l'idée qu'on se fait de l'Enfer.
Bien plus, cela ne parait pas être autrement, dans l'autre vie, aux
yeux de ceux qui sont hors de l'Enfer. Il n'en est pas de même pour
ceux qui s'y jettent; car ils y entrent de leur plein gré, et ceux qui
entrent d'après un ardent amour du mal apparaissent comme s'ils étaient
précipités la tête en bas et les pieds en haut;(...)
D'après cela, on peut donc voir que le Seigneur ne précipite personne dans l'Enfer, mais que chacun s'y précipite de soi·même, non·seulement tandis qu'il vit dans le monde, mais aussi après la mort, quand il vient parmi les Esprits. (...)
--
L'Esprit mauvais se précipite de son
plein gré dans l'Enfer, (...)
d'où cela
vient, alors que dans l'Enfer il y a de tels tourments.
Il a été montré ci-dessus, que l'Esprit mauvais se précipite de son
plein gré dans l'Enfer, il sera donc aussi dit en peu de mots d'où cela
vient, alors que dans l'Enfer il y a de tels tourments.
De chaque Enfer s'exhale une sphère de cupidités, dans lesquelles sont
ceux qui y demeurent; quand cette sphère est perçue par un Esprit qui
est dans une semblable cupidité, elle affecte son cœur et le remplit de
plaisir, car la cupidité et le plaisir de la cupidité ne font qu'un;
En effet, ce que quelqu'un désire est pour lui un plaisir; de là vient
qui l'Esprit se tourne vers cet Enfer, et par plaisir de cœur il désire
y être, car il ne sait pas encore qu'il y a là de tels tourments, et
celui qui le sait désire néanmoins y être :
En effet, dans le Monde spirituel personne ne peut résister à sa
cupidité, parce que sa cupidité appartient à son amour, et son amour à
sa volonté, et sa volonté à sa nature, et que là chacun agit d'après sa
nature.
Lors donc
que l'Esprit, de son plein gré ou avec une entière liberté, arrive à
son Enfer et y entre, il est d'abord reçu en ami; il croit par
conséquent qu'il est venu parmi des amis, mais cela dure seulement
quelques heures.
Pendant cet intervalle on examine quelle est son astuce, et par suite
quelle est sa valeur; après cet examen on commence à l'infester, et
cela, de différentes manières, et successivement avec plus de force et
plus de véhémence, ce qui se fait en l'introduisant plus intérieurement
et plus profondément dans l'Enfer, car plus on y est intérieurement et
profondément, plus les Esprits sont méchants: après les infestations,
on se met à lui infliger des peines rigoureuses, et cela jusqu'à ce
qu'il ait été réduit en servitude.
Mais là, comme il existe continuellement des mouvements de rébellion,
parce que chacun y veut être le plus grand et brûle de haine contre les
autres, il en résulte de nouvelles séditions: ainsi une scène se change
en une autre, de sorte que ceux qui avaient été réduit en servitude
sont délivrés, afin de prêter secours à quelque nouveau diable pour
subjuguer les autres;
Alors ceux qui ne se soumettent pas et ne servent pas selon le caprice
du vainqueur sont de nouveau tourmentés de diverses manières, et ainsi
continuellement. Tels sont les tourments de l'Enfer, qui sont appelés Feu infernal. (...)
Ces deux théories violent mes
vrais enseignements que proclame l'Église car
l'enfer est bien éternel et les âmes en enfer souffriront dans les
flammes pour toute l'éternité.
Message du Seigneur donnés à John Leary (USA) - Avril 29 2015
Jésus :
"Mon fils, tu as vu récemment deux déclarations hérétiques mentionnées
dans certains articles de magazine. Le premier était que
l'enfer est pas éternel et l'autre que les âmes qui
vont en enfer seront anéanties et n'existeront plus. Ces deux théories
violent mes vrais enseignements que proclame l'Église car
l'enfer est bien éternel et les âmes en enfer souffriront dans les
flammes pour toute l'éternité.
Si les gens entendaient ces
hérésies, ils pourraient être induits en erreur et penser qu'il n'y a
plus aucune raison de craindre mon jugement et ne craindraient plus
l'Enfer.
Ce serait leur faire croire
qu'ils n'ont pas besoin de repentance et qu'il
n'y a pas de punition pour leurs péchés par ma justice, et puis ma mort et ma résurrection de sauver les
âmes de l'enfer serait vide de sens.
C'est la raison
pour laquelle ces déclarations sont hérétiques et
ces gens qui répandent ces faux enseignements devrait être appelé
hérétiques et ils seront tenus responsables de leurs erreurs.
Vous pouvez comprendre à quel
point la propagation de toutes ces faussetés mettent les âmes en grands
danger. Méfiez-vous de ces déclarations
qui sont des fausses théories et vous ne devez pas les suivre, peu
importe qui les proclame.
28
Avril 2015
Saint Michel Archange : Je
suis Michel et je me tiens devant Dieu.
Mon fils, je viens te
donner la force et le courage pour que tu te prononcer contre un faux
enseignement dont tu as connaissance et qui est erroné. Vous savez ce
que l'Église
enseigne dans le Catéchisme et vraiment vous devez être convaincu que
l'enfer existe pour toujours et je suis mandaté par Dieu
pour jeter les démons en enfer qui y resteront pour l'éternité.
Cela a
lieu dans le « maintenant » du temps de Dieu, avant que l'homme et le
temps n'aient été créés. Lorsque vous
entendez des déclarations contre les
enseignements de mes apôtres, vous devez vous y opposer, même
si les gens réfutent ce que vous dites. Appelez Jésus et l'Esprit
Saint pour un bon discernement mais vous devez défendre les
enseignements de l'Église traditionnelles contre toute déclarations
hérétiques.
Vos yeux ont été ouverts pour comprendre comment les influences
diaboliques peuvent persuader les bonnes gens de croire aux hérésies ou
aux fausses doctrines. Continuez à me
prier pour votre protection contre les
forces du mal et vous pourrez voir clairement comment la
division à venir dans l'Eglise aura lieu.
Le petit reste fidèle sera protégé contre les portes de l'enfer et
toutes enseignements
démoniaques.
Tout ce que
Jésus te donne à voir et souffrir des tourments de l'enfer est pour que
tu puisses les faire connaître au monde
Extrait de vie de Soeur Josefa
Menéndez (1890-1923)
Jésus-Christ s'est apparu souvent pendant les années 1921-22 et 23 à
soeur Josefa Menéndez, une religieuse de la Société du Sacré Coeur de
Jesus. Ses Mémoires sont publiées dans un livre de plus de 500 pages
intitulé : Un appel à l'Amour.
Dans ce Livre on explique la persistance de Jésus en sauver nos âmes
par la rencontre avec Son amour avant "le rapprochement des derniers
jours du monde". Soeur Josefa écrit avec une grande réticence sur le
sujet de l'enfer. Elle l'a seulement fait pour conformer les désirs
bénis de Notre Seigneur.
Notre Dame l'a dit le 25 octobre de 1922 :
"Tout ce que Jésus te donne à voir et
souffrir des tourments de l'enfer est pour que tu puisses les faire
connaître au monde. Par conséquent, oublie-toi complètement de toi
même, et pense à la gloire du salut des âmes."
Jésus a tenu à le donner à Josefa pour lui montrer, à l'entrée de la
grande épreuve, qu'Il est bien là, toujours le Même.
Visite de l'Enfer
Dans la nuit du mercredi au jeudi 16 mars, vers dix heures - écrit-elle
- je commençai à entendre, comme les jours derniers, un bruit confus de
cris et de chaînes. Je me levai, je m'habillai et, tremblante de peur,
je me mis à genoux près de mon lit. Le bruit se rapprochait. Je sortis
du dortoir, ne sachant que faire, j'allai à la cellule de notre
bienheureuse Mère, puis je revins au dortoir.
Le
même bruit terrible m'environnait toujours. Tout à coup, je vis le
démon en face de moi, il criait : "Attachez-lui les pieds... liez-lui les mains...."
"Instantanément, je ne vis plus où j'étais, je sentis qu'on me liait
étroitement et que l'on m'entraînait. D'autres voix rugissaient :
"Ce ne sont pas les pieds qu'il faut
lui attacher, c'est le cœur!
"
"Et le démon répondait :"Il n'est pas à
moi! "
Alors, on me tira à travers un long chemin plongé dans l'obscurité.
Je commençai à entendre de toutes parts des cris horribles. Dans les
parois de cet étroit corridor, les unes en face des autres, il y avait
comme des niches d'où sortait de la fumée presque sans flamme, et dont
l'odeur était intolérable. De là, des voix proféraient toutes
sortes de blasphèmes et des paroles impures. Les unes maudissaient
leur corps, les autres leurs parents. D'autres se reprochaient de
n'avoir pas profité de l'occasion ou de la lumière pour abandonner le
mal. Enfin, c'était une confusion de cris pleins de rage et de
désespoir.
... Je fus tirée à travers cette sorte de corridor qui n'avait pas de
fin. Puis, on me donna un coup violent qui m'enfonça, pliée en deux,
dans une de ces niches. Je me sentis comme pressée entre des planches
incendiées et transpercée de part en part d'aiguilles brûlantes. En
face de moi, à côté de moi, des âmes me maudissaient et
blasphémaient. C'est ce qui me fit souffrir le plus.... Mais ce
qui ne peut avoir de comparaison avec aucun tourment, c'est l'angoisse de l'âme de se voir séparée de
Dieu....
" Il me semble que j'ai passé de longues années dans cet enfer -
poursuivent les notes - et cependant cela n'a duré que six ou sept
heures.... Tout à coup, on me retira violemment et je me trouvai dans
un lieu obscur où le démon, après m'avoir frappée, disparut et me
laissa libre.... Je ne puis dire ce que je sentis dans mon âme, quand
je me rendis compte que j'étais vivante et que je pouvais encore aimer
Dieu!
... Pour éviter cet enfer et bien que j'aie si peur de souffrir, je
ne sais ce que je suis prête à endurer. Je vois clairement que
toutes les souffrances du monde ne sont rien en comparaison de la
douleur de ne pouvoir plus aimer, car là on ne respire que haine et
soif de la perte des âmes!..."
Dès lors, Josefa connaît fréquemment cette douleur mystérieuse. Tout
est mystère, en effet, dans ces longues séances de l'Au-delà ténébreux.
Elle les pressent chaque fois par ces bruits de chaînes et ces cris
lointains qui se rapprochent, l'environnent et l'accablent. Elle essaie
de fuir, de se distraire, de travailler pour échapper à cette ruée
diabolique qui finit cependant par la terrasser.
Elle
a juste le temps de se réfugier dans sa petite cellule, mais bientôt,
elle n'a plus conscience de ce qui l'entoure. Elle se trouve
d'abord dans ce qu'elle appelle "un lieu obscur ", en face du
démon qui semble croire qu'elle est en son pouvoir pour toujours. Il
ordonne avec violence qu'on la jette en son lieu et Josefa, liée
étroitement, tombe dans ce chaos de feu et de douleurs, de rage et de
haine.
Elle note tout cela simplement et objectivement, tel qu'elle le voit,
l'entend, l'expérimente.
À l'extérieur, un léger tressaillement à seul annoncé ce départ
mystérieux. À l'instant même, son corps est devenu entièrement souple
et sans consistance, comme celui dont la vie a disparu depuis quelques
minutes à peine. Sa tête, ses membres, ne se soutiennent plus, son cœur bat cependant normalement: Josefa vit comme sans
vivre.
Cet état se prolonge plus ou moins, selon la volonté de Dieu qui la
livre ainsi à l'enfer, mais la garde dans sa Main très sûre. À l'instant fixé par Lui, un nouveau et très
imperceptible tressaillement, et son corps abandonné retrouve la vie. Elle n'est cependant pas délivrée de la puissance
du démon dans ce lieu sombre où il l'accable de menaces.
Quand il l'abandonne enfin et qu'elle revient lentement à elle, les
heures passées en enfer lui ont paru des siècles. Elle ne reprend
contact que peu à peu avec les lieux et les personnes qui l'entourent.
" Où suis-je?... qui êtes-vous? est-ce que je vis encore ? ... " -
demande-t-elle. - Ses pauvres Yeux cherchent à retrouver le cadre d'une
vie qui lui semble si loin dans le passé parfois, de grosses larmes
coulent silencieusement, tandis que sa physionomie porte l'empreinte
d'une douleur que rien ne peut traduire. Elle achève enfin de retrouver
le sens de l'actuel et comment exprimer l'émotion intense qui la saisit
quand elle réalise soudain qu'elle peut encore aimer!
Elle l'a écrit plusieurs fois en des termes
dont la simple ardeur ne peut être interprétée ;
Dimanche 19 mars 1922, troisième dimanche du Carême. - Je suis
encore descendue dans cet abîme, il me semble que j'y demeure de
longues années. J'ai beaucoup souffert, mais le plus grand des
tourments est de me croire, pour toujours, incapable d'aimer
Notre-Seigneur. Aussi, quand je reviens à la vie, je suis folle de
joie. Je crois que je L'aime plus que jamais et que, pour le Lui
prouver, je suis prête à souffrir tout ce qu'Il voudra. Il me semble
surtout que j'estime et que j'aime ma vocation à la folie."
Elle ajoute quelques lignes plus loin :
Ce que je vois me donne un grand courage pour
souffrir. Je comprends le prix des moindres sacrifices: Jésus les
recueille et s'en sert pour sauver des âmes. C'est un grand aveuglement
d'éviter la souffrance, même en de très petites choses, car non
seulement elle est d'un grand prix pour nous, mais elle sert à
préserver beaucoup d'âmes de si grands tourments. "
Josefa a essayé par obéissance de tracer quelque chose de ces descentes
qui se renouvellent fréquemment à cette époque.
Tout ne pourrait être traduit. Mais quelques pages encore serviront
d'enseignement précieux. Elles stimuleront les âmes à se dévouer et à
se sacrifier pour le salut de celles qui, chaque jour et à chaque
heure, sur le bord de l'abîme, sont l'enjeu d'une lutte tragique entre
l'Amour et la haine, le désespoir et la Miséricorde.
Quand j'arrive en ce lieu - écrit-elle le dimanche 26
mars - j'entends des cris de rage et de
joie infernale parce qu'une âme de plus est plongée dans ces tourments
! ...
Je n'ai plus conscience à ce moment d'être déjà descendue dans
l'enfer; il me semble toujours que c'est la première fois. Il me semble
aussi y être pour l'éternité et c'est ce qui me fait tant souffrir, car
je me rappelle que je connaissais et que j'aimais Notre-Seigneur... que
j'étais religieuse, qu'Il m'avait fait de grandes grâces et donné de
nombreux moyens pour me sauver. Qu'ai-je donc fait pour perdre tant de
biens?... Comment ai-je été si aveugle?...
Et
maintenant, il n'y a plus de remède ! ... Je me souviens aussi de mes
communions, de mon Noviciat. Mais ce qui me tourmente le plus, c'est
que j'aimais tant le Coeur de Jésus! Je Le connaissais et Il était tout
mon Trésor.... Je ne vivais que pour Lui ! ... Comment vivre maintenant
sans Lui?... sans L'aimer?... enveloppée de ces blasphèmes et de cette
haine?
Mon âme est oppressée et brisée à un point que je ne peux pas
expliquer, car c'est indicible.... "
Souvent aussi, elle assiste aux efforts acharnés du démon
et de ses satellites pour arracher à la Miséricorde des âmes dont il
est sur le point de faire sa proie. Ses souffrances semblent bien
être alors, dans les Plans de Dieu, la rançon de ces pauvres âmes qui
lui devront la grâce victorieuse du dernier instant.
Le démon - écrit-elle le jeudi 30 mars - est plus furieux que jamais,
car il veut perdre trois âmes. Il criait avec fureur aux autres :
Qu'elles ne s'échappent pas...
elles s'en vont... allez, allez ferme! "
Et j'entendais des cris de rage qui lui répondaient de loin."
Deux ou trois jours de suite, elle est témoin de
cette lutte.
Je suppliai Notre-Seigneur de faire de moi tout ce qu'Il voudra,
pourvu que ces âmes ne se perdent pas - écrit-elle en revenant de
l'abîme, le samedi 1er avril. - Je me tournai aussi vers la Sainte
Vierge et Elle me donna une grande paix, car Elle me laissa décidée à
souffrir n'importe quoi pour les sauver. Je crois qu'Elle ne permettra
pas que le démon ait la victoire. "
Le dimanche 2 avril, dimanche de la
Passion, elle écrit de nouveau :
Le démon criait : " Ne
les lâchez pas! Soyez attentifs à tout ce qui peut les troubler...
qu'elles ne s'échappent pas ! ... obtenez qu'elles se désespèrent ! ...
"
C'était une confusion de cris et de blasphèmes. Tout à coup, jetant
un hurlement de rage, il cria : " Peu importe! il m'en reste encore deux.
Enlevez-leur la confiance! "
Je compris que l'une de ces âmes venait de lui échapper pour
toujours.
Vite, vite... - rugissait-il -
que ces deux-là n'échappent pas ! Saisissez-les, qu'elles se
désespèrent ! ... Vite... elles s'en vont! "
Alors, il se fit dans l'enfer comme un grincement de dents et, dans
une fureur indescriptible, le démon rugit :
Oh ! Puissance ! ... Puissance de ce Dieu ! ...
qui a plus de force que moi!... Une me reste encore... et celle-là je
ne Le laisserai pas s'en emparer. "
L'enfer
ne fut plus qu'un cri de blasphème dans un désordre de plaintes et de
gémissements. Je compris alors que ces âmes étaient sauvées. Mon cœur fut rempli de joie, quoique dans l'impossibilité
de faire un seul acte d'amour, malgré son besoin d'aimer.... Cependant,
je ne sens pas cette haine de Notre- Seigneur qu'ont ces malheureuses
âmes qui m'entourent, et quand je les entends maudire et blasphémer,
c'est une douleur telle, que je souffrirais je ne sais quoi pour qu'Il
ne soit plus ainsi outragé et offensé. Ce dont j'ai peur, c'est qu'avec
le temps, je ne devienne comme les autres. C'est ce qui me fait tant
souffrir, car je me rappelle toujours combien je L'aimais et comme Il
était bon pour moi!
J'ai beaucoup souffert - continue-t-elle - surtout ces derniers
jours. C'est comme si un ruisseau de feu passait par ma gorge et
traversait tout mon corps, en même temps qu'il se trouve enserré entre
des planches de feu, comme je l'ai déjà dit, je ne peux pas exprimer
cette douleur, elle est extrême! Il semble que les yeux sortent de leur
orbite comme s'ils en étaient arrachés, les nerfs sont tirés, le corps
plié en deux ne peut se mouvoir, une odeur infecte envahit tout (1) .... Et cependant, tout cela n'est rien en
comparaison de l'âme qui connaît la Bonté de Dieu et se voit obligée de
Le haïr, souffrance encore bien plus grande si elle L'a beaucoup aimé! "
D'autres mystères de l'Au-delà vont encore se révéler à
Josefa.
L’enfer
existe.
Nous voudrions tous qu’il n’existe pas, mais il existe bel et
bien, tout comme le Ciel existe
Luz Amparo, messagère de
L’Escorial (Espagne)
. Mai 2000
Luz Amparo :
"Et le Seigneur m’a fait voir que les hommes, et même une partie de la
hiérarchie (de l’Église),
ne respectent pas l’Évangile; et nous-mêmes, le respectons-nous ?
En ce qui concerne la hiérarchie, beaucoup de ses membres prennent
dans l’Évangile ce qui leur plaît et omettent ce qui ne leur plaît pas. Et pourtant, toutes les parties de
l’Évangile sont Parole de Dieu, il faut donc les respecter et les
mettre en pratique.
C’est comme les quinze mystères du Rosaire: quand vient la joie, la
joie, quand vient la douleur, la douleur, quand vient la
Résurrection, la Résurrection.
Mais ne cachons pas la douleur en fixant notre regard seulement sur la
joie et la Résurrection. La Sainte
Vierge m’a dit souvent qu’il ne faut pas transformer l’Évangile en
métaphores, mais l’accomplir en entier, et ne pas
avoir peur de parler de certaines choses qui nous effraient.
Quand l’Évangile nomme l’enfer, il faut en parler; or on a
peur aujourd’hui dans l’Église de mentionner l’enfer.
Mais l’enfer, ce n’est
pas nous qui l’avons inventé. L’enfer
existe, c’est un dogme de Foi.
Pourquoi ne disons-nous pas que l’enfer existe ?
Vous savez, on peut se sauver de plusieurs façons: par amour, et c’est
le plus parfait, mais aussi par la crainte: certaines personnes se
convertissent par la crainte du châtiment et elles parviennent ensuite
à mener une bonne vie. Mais s’il est vrai
que nous sommes tous sauvés d’avance, comme on
l’enseigne aujourd’hui par erreur, il n’y aurait pas
besoin de couvents pour prier, puisque nous sommes tous sauvés.
Les Réparatrices, qui se dévouent pour les
pauvres vieillards, ce sont des sottes !!!!! Si
on est sauvé d’avance, pourquoi faire des choses difficiles qui ne
seraient d’aucune utilité pour le salut ?????
Je crois donc que l’Évangile, il faut l’annoncer tel qu’il
est.
J’ai vu des personnes importantes qui, pour ne pas avoir voulu parler
de l’enfer, ne sont pas arrivées au Ciel, mais je les ai vues bel
et bien en enfer. Et cela, c’est très triste. C’est
pourquoi, je le répète, le Seigneur dit: "beaucoup sont appelés
et peu sont élus”.
Oui, nous devons parler de toutes les parties de l’Évangile, et
actuellement nous sommes en train de l’édulcorer. Or
l’Évangile a été écrit avec le sang du Christ, donc n’en omettons rien,
et n’ayons pas peur de tout dire.
Et aux prêtres, qui peuvent faire tant de bien aux âmes, disons-leur:
mes enfants, l’enfer existe. Nous
voudrions tous qu’il n’existe pas, mais il existe bel et bien, tout
comme le Ciel existe. Et
celui qui accumulera des mérites pour gagner le ciel, eh bien, il ira
au ciel.
Et celui qui agira différemment, qui voudra vivre une vie
de libertinage et de confort, il devra aller en enfer, car il ne se
sera privé d’aucun plaisir sur la terre. Donc,
tous ensemble, vous et nous, quel que soit l’endroit où nous soyons,
nous unirons nos efforts afin que beaucoup d’âmes qui ne connaissent
pas Dieu se convertissent et que le Seigneur leur ouvre l’intelligence.
Il est vrai que nous sommes très souvent de vraies bourriques, nous ne
comprenons pas, notre entendement ne s’ouvre pas, ou nous ne voulons
pas qu’il s’ouvre, mais c’est un manque d’humilité. Là où il y a l’humilité, on reconnaît tout et on comprend tout aussitôt.
Car Dieu est au-dessus de nous tous, et nous, nous devons faire en
sorte que Dieu croisse et que nous, nous diminuions. Nous
aimons bien avoir une belle image devant les autres, et qu’on
reconnaisse nos titres. Mais, mon Dieu, à quoi
nous serviront nos titres et nos brillantes études quand nous mourrons?
A rien.
La seule chose qui nous servira, c’est le bien que nous
aurons fait.
Donc, nous allons demander tous ensemble à Dieu qu’il
mette de l’ordre dans nos vies et qu’il nous conduise sur de bons
chemins, afin qu’un jour, quand nous arriverons là-haut, nous
puissions jouir de la présence de Dieu, nous tous qui sommes ici, en
nous voyant tous face à face comme nous nous voyons ici. »
Le royaume des ténèbres est gouverné par une triade et il
est hiérarchique
Message de Jésus à Mgr
Ottavio Michelini - 13 novembre 1978
Extrait du livre "Confidences de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles
- Éditions du Parvis
Ces monstres sans amour, incapables même seulement d’imaginer l’amour, ne pourront jamais aimer la créature humaine. Ils
l’entoureront de flatteries; ils lui tendront
des pièges uniquement pour la tourmenter davantage, car ces monstrueuses créatures, quoique dotées de dons
naturels comme Pintelligence, la volonté et
autres, ne pourront jamais s’en servir pour le bien, mais seulement pour le mal.
Froides et glacées dans leurs plans de destruction, elles éprouvent
un sadique besoin de s’enfoncer
toujours plus dans l’iniquité. Inexorablement, elles pensent le mal, le veulent et le réalisent.
Actuellement, elles sont en train de préparer, dans l’obscurité,
complots sur complots qu’elles réalisent par le
biais de leurs alliés et de leur «Eglise», la franc-maçonnerie,
pour déchaîner sur la terre une bataille qui n’a de précédent que dans le conflit qui eut lieu dans le ciel entre
les anges de la Lumière et ceux des ténèbres.
Le royaume des ténèbres est gouverné par une triade et il
est hiérarchique. C’est un
royaume de haine et d’iniquité. Il s’appuie en fait sur les passions les plus ignominieuses. C’est un royaume
d’horreur qui n’a d’équivalent dans aucun
autre lieu de l’univers et qui ne peut être décrit en termes humains.
Les sujets de ce royaume sont tous les anges qui, avec Lucifer,
Belzébuth et Satan, opérèrent
la grande rébellion.
C’est un royaume cependant en continuelle expansion, parce
que viennent le grossir tous les
hommes qui disent «non» au plan du salut pour dire «oui» au plan diabolique des puissances obscures de
l’enfer.
Les créatures humaines qui meurent en état de péché mortel demeurent éternellement dans le péché.
Les
anges et les hommes ont apporté et apportent aussi
dans l’enfer leurs dons naturels, de sorte que leur peine
est d’autant plus grande que ces dons ont été
plus marqués, parce que Dieu, justice infinie,
donne à chacun en proportion de ce qu’il a mérité.
Aussi souffre-t-on en enfer, on souffre en
proportion des dons qu’on a eus sur la terre.
Oui, je sais que vous ne croyez pas à
l’enfer, mais si je me taisais devant votre ignorance voulue, est-ce
que l’enfer disparaîtrait pour autant ?
Message du Ciel donné à la Fille du Oui à Jésus -
Date inconnue - Volume 4 - n° 268
Mes petits enfants chéris, je
vous parle pour votre bien, car je veux vous faire réaliser que je suis
en train de vous préparer une place sur la terre et dans le Royaume de
mon Père. Mais soyez avertis qu’il n’y aura pas de place ni sur la
terre ni dans le Royaume de mon Père pour ceux qui ne voudront pas de
moi: leur place sera en enfer.
Oui,
je sais que vous ne croyez pas à l’enfer, mais si je me
taisais devant votre ignorance voulue, est-ce que l’enfer disparaîtrait
pour autant? Croyez-moi, cela ne changerait pas ce que mon Père
a déjà fait pour les anges qui n’ont pas voulu m’adorer. Parce qu’ils
se sont révoltés, le tiers des anges, qui ont suivi Lucifer, ont été
projetés en enfer: l’endroit où ils sont maintenant.
Ces anges sont des esprits,
c’est Dieu qui les a créés et, comme ils sont des esprits, ils ne
peuvent pas mourir. Suite à leur révolte, Dieu les a chassés loin de sa
face; il fallait bien qu’ils soient quelque part et c’est dans ce lieu, que vous niez,
qu’ils vivent.
Si
vous refusez de croire que cet endroit existe, c’est que vous avez une
peur en vous; vous ne voulez pas aller là où il y a de la
souffrance parce que, la souffrance, vous connaissez ce que cela veut
dire, n’est-ce pas? Vous êtes sur la terre pour faire des œuvres
d’amour mais, comme vous n’en faites qu’à votre tête, vous souffrez et
vous dites que l’enfer est sur la terre.
Mes enfants, cela
est faux! L’enfer existe vraiment et les souffrances avec. Les
souffrances sont la conséquence de vos péchés et cela depuis que les
enfants de la terre vivent avec le bien et le mal en eux. C’est le mal
en vous qui vous fait faire des mauvaises actions. Il n’y a que le bien
qui éloigne le mal, mais votre faiblesse vous empêche de faire ce qu’il
faut ; oui, vous ne voulez pas prier. (...)
j'ai été
dans les gouffres de l'enfer, pour en parler aux âmes et témoigner que
l'enfer existe
Vision de l’Enfer donnée à Sainte
Faustine, le 20 octobre 1936 - Extrait du Petit Journal, n°741
«
Aujourd'hui j'ai été dans les gouffres de l'enfer, introduite par un
ange. C'est un lieu de grands supplices, et son étendue est
terriblement grande.
Genres
de supplices que j'ai vus :
-
le premier supplice qui
fait l'enfer c'est la
perte de Dieu ;
-
le deuxième - les
perpétuels remords ;
-
le troisième - le
sort des damnés ne changera jamais ;
-
le quatrième supplice -
c'est le
feu qui va pénétrer l'âme sans la détruire, c'est un terrible
supplice, car c'est un feu purement spirituel, allumé par la colère de Dieu ;
-
le cinquième supplice -
ce sont les
ténèbres continuelles,
une terrible odeur étouffante et malgré les ténèbres, les démons et les
âmes damnées se voient mutuellement et voient tout le mal des autres et
le leur
;
-
le sixième supplice -
c'est la
continuelle compagnie de Satan ;
-
le septième supplice - le
désespoir terrible, la
haine de Dieu, les malédictions, les blasphèmes.
Ce sont des supplices
que tous les damnés souffrent ensemble, mais ce n'est pas la fin des
supplices. Il y a des supplices qui sont destinés aux âmes en
particulier, ce sont les souffrances des sens. Chaque âme est
tourmentée d'une façon terrible et indescriptible par ce en quoi ont
consisté ses péchés. Il
y a de terribles cachots, des gouffres de tortures où chaque supplice
diffère de l'autre ; je serais morte à la vue de ces terribles
souffrances, si la toute-puissance de Dieu ne m'avait soutenue.
Que chaque pécheur
sache : il sera torturé durant toute l'éternité par les sens qu'il a
employés pour pécher.
J'écris
cela sur l'ordre de Dieu pour qu'aucune âme ne puisse s'excuser disant
qu'il n'y a pas d'enfer, ou que personne n'y a été et ne sait comment
c'est. Moi,
Sœur Faustine, par ordre de Dieu, j'ai été dans les gouffres de
l'enfer, pour en parler aux âmes et témoigner que l'enfer existe.
Je
ne peux en parler maintenant [en 1936], j'ai l'ordre de Dieu de le
laisser par écrit. Les démons ressentaient une grande haine envers moi,
mais l'ordre de Dieu les obligeait à m'obéir. Ce que j'ai écrit est un
faible reflet des choses que j'ai vues. J'ai remarqué une
chose : qu'il y a là-bas beaucoup d'âmes qui doutaient que l'enfer
existe.
Quand
je suis revenue à moi, je ne pouvais pas apaiser ma terreur de ce que
les âmes y souffrent si terriblement, c'est pourquoi je prie encore
plus ardemment pour la conversion des pécheurs, sans cesse j'appelle la
miséricorde divine sur eux. Ô mon Jésus, je préfère agoniser jusqu'à la
fin du monde dans les plus grands supplices que de T'offenser par le
moindre péché. »
[Rappelons le message de Dieu le Père donné à
Carol Ameche le 12 août 2010, à l’Adoration : « SAUVEZ LES
AMES, MON PEUPLE ». La mission fondamentale des apôtres des
derniers est bien celle-ci : sauver les âmes (avant même de sauver
les corps) et donc prier pour leur salut.]
Certains vont jusqu’à
enseigner que l’enfer n’existe pas
Enseignement
de Jésus à Joseph X - transmis par le Père
Melvin Doucette (Canada) - Mardi
24 novembre 2009
Aujourd’hui, mes frères et
mes sœurs, beaucoup répandent des erreurs plutôt que la vérité que je
vous ai apportée lorsque j’étais sur la terre. Beaucoup n’enseignent
pas les commandements de mon Père, mais prétendent que tous seront
sauvés, qu’ils suivent ou non les commandements.
Certains vont
jusqu’à enseigner que l’enfer n’existe pas, bien que j’en aie souvent parlé lorsque
j’étais sur la terre. C’est le lieu destiné au démon et à tous les
esprits mauvais, ainsi qu’à tous ceux qui ont refusé de croire en moi
et de se repentir de leurs fautes.
Mes chers amis, n’écoutez
pas ceux qui n’enseignent pas la vérité, mais adhérez totalement aux enseignements
définis par mon Église. Tenez ferme dans la foi et croyez tout
ce que l’Église vous apprend, en particulier en ce qui regarde ma
seconde venue, la puissance des sacrements, l’importance de la prière,
la fidélité à l’Eucharistie du dimanche et la réception régulière de la
sainte Communion.
N’oubliez jamais le sacrement de ma miséricorde, qui est le Sacrement
de la Réconciliation. Observez tous les commandements et aimez-vous les
uns les autres. Vous serez bénis.
Traduction : RF
La porte du royaume
infâme de Satan sera fermée, boulonnée par mes anges pour toujours,
pour toujours, pour toujours, un toujours dont le nombre d’années est
sans nombre
Révélation donnés à Maria
Valtorta - Dictée et vision du 15 janvier 1944 - extraites des
"Cahiers de 1944"
Jésus
décrit l’enfer: un tourment de feu, de gel, de ténèbres.
Jésus : Une fois, je t’ai fait voir le Monstre des abîmes [1]. Je
vais aujourd’hui te parler de son royaume. Je ne peux pas toujours te
garder au paradis. Souviens-toi que tu as pour mission de rappeler
certaines vérités à tes frères qui les ont trop oubliées. Ce sont ces
oublis, qui sont en réalité du mépris pour les vérités éternelles, qui
sont la cause de tant de maux pour les hommes.
Écris donc cette page pénible. Ensuite, tu seras réconfortée. C’est la
nuit du vendredi. Écris en regardant ton Jésus, qui est mort sur la
croix dans des tourments tels qu’ils sont comparables à ceux de
l’enfer, et qui a voulu cette mort pour sauver les hommes de la Mort.
Les hommes d’aujourd’hui ne
croient plus à l’existence de l’enfer. Ils se sont échafaudé un
au-delà à leur convenance et tel qu’il soit moins terrorisant pour leur
conscience, qui mérite bien des châtiments. Disciples plus ou moins
fidèles de l’Esprit du Mal, ils savent bien que leur conscience
reculerait devant certains méfaits, s’ils croyaient réellement à
l’enfer comme la foi l’enseigne. Ils savent que leur conscience, une
fois leur méfait commis, ferait retour sur elle-même et trouverait le
repentir dans le remords ou dans la peur et, grâce au repentir, la voie
pour revenir à moi.
Leur malice, instruite pas Satan dont ils sont les serviteurs ou les
esclaves (suivant leur adhésion aux volontés et aux suggestions du
Malin) ne veut pas de tels reculs et de tels retours sur soi. Par
conséquent, l’homme abandonne la foi à l’enfer tel qu’il est réellement
et s’en fabrique un autre — si du moins il s’en fabrique un —, qui
n’est en fait qu’une pause pour prendre son élan vers d’autres
élévations futures.
Il va si loin dans cette opinion qu’il croit de façon sacrilège
que le plus grand de tous les pécheurs de l’humanité, le fils bien-aimé
de Satan, celui qui était voleur comme le dit l’Évangile, concupiscent
et avide de gloire humaine comme je le dis moi, Judas Iscariote, a pu
être sauvé et parvenir jusqu'à moi en passant par des phases
successives, alors que, poussé par la triple concupiscence, il est
devenu marchand du Fils de Dieu et que, moyennant trente pièces et un
baiser comme signe — une valeur monétaire dérisoire et une valeur
affective infinie —, il m’a livré aux mains des bourreaux.[2]
Non. S’il fut le sacrilège par
excellence, moi je ne le suis pas. S’il fut l’injuste par
excellence, moi je ne le suis pas. S’il fut celui qui a répandu
dédaigneusement mon Sang, moi je ne le suis pas. Pardonner à Judas
serait un sacrilège envers ma divinité qu’il a trahie, ce serait une
injustice envers tous les autres hommes, toujours moins coupables que
lui et qui sont pourtant punis pour leurs péchés, ce serait mépriser
mon sang, enfin ce serait ne pas tenir compte de mes lois.
J’ai dit, moi qui suis le Dieu un et trine, que celui qui est destiné à l’enfer
l’endure pour l’éternité car aucune nouvelle résurrection ne provient
de cette mort-là. J’ai dit que ce feu est éternel et que tous
les artisans de scandales et d’iniquités s’y retrouveront. Ne croyez
pas non plus que ce sera au moment de la fin du monde. Non, car au
contraire, la terrible révision de vie sera suivie de cette demeure,
plus impitoyable, de larmes et de tourments :
en effet, ce qui est encore permis à ses hôtes comme divertissement
infernal — le pouvoir de nuire aux vivants et la vue de nouveaux damnés
être précipités dans l’abîme — n’existera plus. La porte du royaume
infâme de Satan sera fermée, boulonnée par mes anges pour toujours,
pour toujours, pour toujours, un toujours dont le nombre d’années est
sans nombre.
En comparaison, si les grains de sable de tous les océans de la terre
devenaient des années, ils formeraient moins d’une journée de mon
éternité impossible à mesurer, faite de lumière et de gloire en haut
pour les bienheureux, mais de ténèbres et d’horreur pour les maudits
dans les profondeurs.
Je t’ai déjà dit que le purgatoire est un feu d’amour. Mais
l’enfer est un feu de sévérité.
Le purgatoire est un lieu dans lequel vous expiez vos manques d’amour
pour votre Seigneur Dieu en pensant à lui, dont l’Essence a brillé
devant vous au moment de votre jugement particulier et vous a remplis
du désir de la posséder. Par l’amour, vous conquérez l’Amour et, en
passant par des degrés croissants de charité enflammée, vous lavez vos
vêtements jusqu’à les rendre purs et lumineux pour entrer dans le
royaume de la Lumière, dont je t’ai montré les splendeurs il y a
quelques jours. [5]
L’enfer est un lieu où la pensée
de Dieu, le souvenir de Dieu entrevu lors du jugement particulier n’est
pas, comme pour l’âme du purgatoire, un saint désir, une nostalgie
déchirante mais pleine d’espoir, une espérance faite d’attente
tranquille, de paix assurée qui atteindra la perfection quand elle sera
devenue conquête de Dieu, mais qui donne déjà à l’âme du purgatoire une
joyeuse activité purifiante, puisque chaque souffrance, chaque instant
de souffrance l’approche de Dieu, son amour. En enfer la pensée de Dieu
est remords, ressentiment, damnation, haine. Haine contre Satan, haine
contre les hommes, haine contre soi-même.
Après avoir, pendant leur vie, adoré Satan à ma place, maintenant
qu’ils le possèdent et en voient le véritable aspect, qui n’est plus
caché sous le sourire ensorcelant de la chair, sous l’éclat lumineux de
l’or, sous le signe puissant de la suprématie, ils le haïssent pour
avoir causé leurs tourments.
Après avoir oublié leur dignité d’enfants de Dieu au point d’adorer les
hommes jusqu’à devenir des assassins, des voleurs, des escrocs, des
marchands d’immondices pour eux-mêmes, maintenant qu’ils retrouvent les
patrons pour lesquels ils ont tué, volé, escroqué, vendu leur propre
honneur comme celui de tant de créatures malheureuses, faibles, sans
défense, en se faisant l’instrument d’un vice que les animaux n’en
connaissent pas — la luxure, cet attribut de l’homme empoisonné par
Satan —, maintenant donc ils les haïssent pour avoir provoqué leurs
tourments.
Après s’être adorés eux-mêmes en accordant toute satisfaction à la
chair, au sang ainsi qu’aux sept appétits de leur chair et de leur
sang, foulant ainsi aux pieds la Loi de Dieu et celle de la moralité, ils se haïssent maintenant parce qu’ils se
rendent compte qu’ils se sont eux-mêmes causé leurs tourments.
Le mot "Haine" recouvre ce royaume immenseLe mot "Haine" recouvre ce
royaume immense; il rugit au milieu de ces flammes; il hurle sous les
ricanements des démons; il sanglote et crie au milieu des lamentations
des damnés; il résonne, résonne, résonne, comme une cloche qui sonne
éternellement le tocsin; il retentit comme un buccin éternel; il
remplit chaque recoin de cette prison; il est en lui-même un tourment
car, chaque fois qu’on l’entend, il ranime le souvenir de l’Amour perdu
à jamais, le remords d’avoir voulu le perdre et la rage de ne plus
jamais pouvoir le revoir.
Au milieu de ces flammes, l’âme morte, à l’instar de ces corps jetés au
bûcher ou dans les fours crématoires, se tord et crie comme si elle
était de nouveau animée par un mouvement de vie, elle se réveille pour
comprendre son erreur puis meurt et renaît à chaque instant dans
d’atroces douleurs, car le remords la tue sous un blasphème et ce
meurtre la ramène à vivre un nouveau tourment. Le crime d’avoir trahi
Dieu dans le temps reste devant l’âme pour l’éternité; l’erreur d’avoir
refusé Dieu dans le temps lui est éternellement présente, pour son
tourment.
Dans le feu, les flammes singent les spectres de ce qu’ils ont adoré
pendant leur vie, les passions se peignent en ardents coups de pinceau
sous leurs aspects les plus appétissants et elles crient, crient leur
mémento [6] : "Tu as voulu le feu des passions. Reçois maintenant le
feu allumé par Dieu, dont tu as tourné en dérision le saint Feu."
Le feu répond au feu. Au
paradis, il est feu d’amour parfait. Au purgatoire, il est feu d’amour
purificateur. En enfer, il est feu d’amour offensé. Puisque les
élus ont aimé à la perfection, l’Amour se donne à eux avec toute sa
perfection. Puisque les âmes du purgatoire ont aimé tièdement, l’Amour
devient flamme pour les amener à la perfection. Puisque les maudits ont
brûlé de tous les feux, sauf du Feu de Dieu, le Feu de la colère de
Dieu les brûle pour l’éternité. Or au sein de ce feu se trouve aussi un
froid glacé.
Oh ! Vous ne pouvez vous
imaginer ce qu’est l’enfer. Prenez
tout ce qui tourmente l’homme sur terre : le feu, les flammes, le gel,
les eaux qui submergent, la faim, le sommeil, la soif, les blessures,
les maladies, les plaies, la mort... Additionnez-les et multipliez ce
total des millions de fois : vous n’aurez qu’une pâle image de cette
terrible vérité.
Un froid sidéral se mêlera à une
chaleur insoutenable. Les damnés ont brûlé de tous les feux humains
mais n’auront eu qu’une vie spirituelle glacée pour leur Seigneur Dieu.
C’est donc le gel qui les attend pour les congeler après que le feu les
aura salés comme du poisson mis à rôtir sur une flamme. Le fait de
passer de la chaleur brûlante qui fait fondre au froid glacé qui
condense est un tourment de plus.
Oh ! Ce n’est pas là un langage métaphorique, car Dieu peut faire en
sorte que les âmes, lourdes des fautes qu’elles ont commises, aient une
sensibilité égale à celle de la chair, même avant qu’elles ne revêtent
cette chair.
Vous
ne savez pas et ne croyez pas. Mais je vous dis, en vérité, que mieux
vaudrait pour vous subir tous les tourments de mes martyrs plutôt que
passer une seule heure dans les tortures de l’enfer.
Le troisième tourment, ce sera l’obscurité. Une obscurité matérielle et
spirituelle. Se trouver pour toujours dans les ténèbres après avoir vu
la lumière du paradis, être étreint par la Ténèbre après avoir vu la
Lumière qui est Dieu ! Se débattre dans l’horreur noire où seul
s’illumine, au réverbère de l’esprit brûlant, le nom du péché qui leur
a valu d’être plongés dans une telle horreur !
Ne trouver aucun appui dans ce
remue-ménage d’âmes qui se haïssent et se nuisent mutuellement,
si ce n’est dans le désespoir qui les rend fous et toujours plus
maudits. S’en nourrir, s’appuyer sur lui, se tuer avec lui. La mort
nourrira la mort, est-il dit. [7] Le désespoir est mort et nourrira ces
morts pour l’éternité.
Je vous
le dis, moi qui pourtant ai créé cet endroit : quand j’y suis descendu
pour tirer des limbes ceux qui attendaient ma venue, j’ai eu horreur,
moi qui suis Dieu, de cette horreur, et, si une chose faite par Dieu
n’était immuable parce que parfaite, j’aurais voulu le rendre moins
atroce, car je suis l’Amour et j'ai souffert de cette horreur.
Or vous, vous voulez y aller !
Mes enfants, méditez ce que je vous dis. On donne aux malades des
médicaments amers, les endroits atteints par le cancer sont cautérisés
et le mal excisé. Pour vous, qui êtes malades et cancéreux, ma parole
est médicaments et cautère chirurgical. Ne la refusez pas.
Servez-vous-en pour vous guérir. La durée de la vie n’est pas ces
quelques jours passés sur la terre. La vie commence quand elle vous
semble finir, et elle ne finit pas.
Faites en sorte qu’elle se déroule là où la lumière et la joie de Dieu
rendent l’éternité belle, et non pas là où Satan est le bourreau
éternel."
Vous voyez différents niveaux de
l’enfer,
et les niveaux les plus bas subissent encore plus de tourments.
Message du
Seigneur donnés à John Leary (USA) -
Lundi le 14 janvier 2008.
Mes amis, je vous donne une autre
vision de l’enfer pour réveiller les gens aux dangers de leurs actions
et styles de vie coupables qui pourraient les conduire à l’enfer.
Quand vous voyez comment ces âmes souffrent et préviennent les autres
de ne pas y venir, vous pouvez penser différemment sur la nécessité de
se confesser et de commettre moins de péchés dans vos vies.
En enfer, il y a pour ces âmes mauvaises
une souffrance constante, comme une sensation de brûlure, et leur
apparence est enlaidie et sent une puanteur de soufre. Ces âmes sont condamnées à l’enfer pour
toute l’éternité de leur propre choix, et par mon jugement à ne jamais
revoir mon visage.
Elles vivent dans un désespoir total et
sont tourmentées par la haine des démons.
Vous voyez
différents niveaux de l’enfer, et les niveaux les plus bas subissent
encore plus de tourments.
Certaines âmes m’ignorent passivement et
sont occupées par les désirs et conforts terrestres; ces âmes
sont dans des régions plus élevées de l’enfer. Aux niveaux du milieu, sont ces
âmes qui vendent leur âme à Satan pour pouvoir être riches et célèbres
parmi les hommes.
Aux niveaux inférieurs se trouvent le
clergé, les sorcières et les sorciers qui ont intentionnellement rendu
un culte à Satan et travaillé à amener des âmes en enfer.
Ces châtiments en enfer viennent de ma Justice divine et… vous ne
voulez pas que je vous dise que je ne vous connais pas! Toutes
ces âmes qui me rejettent ou qui adorent des idoles et Satan, se
retrouveront languissant en enfer à cause de leurs propres mauvais
choix dont elles ne se sont jamais repenties.
Beaucoup d’âmes tombent en enfer en ce temps mauvais, alors soyez
inspirés par ma grâce de sauver autant d’âmes que possible de cet Enfer
(brasier) éternel. »
Mais
certains de mes anges et des hommes ont refusé de me servir
et c’est
pour cette raison que l’enfer fut créé
Message du
Seigneur donnés à John Leary (USA) - Vendredi le 15 juin 2007 (Sacré Cœur de
Jésus)
Jésus : Mon peuple, pour
toutes les choses créées je suis le centre de votre univers, et toutes
les choses tournent autour de moi.
Je suis toute perfection, tout amour et toute cause de tout ce qui
existe.
Cette vision d’un univers en orbite c’est pour vous montrer la largeur
et l’étendue de ma puissance, tout comme les apôtres se sont
émerveillés lorsque j’ai calmé la mer agitée. La représentation
de mon Sacré Cœur avec une flamme et une couronne d’épine représente
mon amour pour les gens et avoir même donné ma vie pour vous sauver
tous.
Le cœur est un signe d’amour et la flamme éternelle signifie que je
vous aimerai toujours, même quand vous péchez contre moi. Ma
miséricorde et mon pardon sont toujours disponibles pour chaque pécheur
dans mon sacrement de Réconciliation. Vous pouvez confesser vos
péchés au prêtre avec contrition et regret, et je vous
pardonnerai.
Ceux qui ne se repentissent pas
et n’acceptent pas le fait que vous êtes des pécheurs, risquent les
feux de l’enfer pour toute l’éternité. Toutes les choses
dans l’univers obéissent à ma volonté et l’homme ne fait pas
exception.
Comprenez que je vous ai donné le libre choix de m’aimer et de faire ma
Volonté.
Mais
certains de mes anges et des hommes ont refusé de me servir et c’est
pour cette raison que l’enfer fut créé : pour les orgueilleux et
ceux qui n’ont pas d’amour dans leurs cœurs. Venez à moi, mes
enfants, et appréciez l’amour et la récompense de votre Maître en étant
fidèles à votre mission et à ma Divine Volonté. »
Une
enfant de 8 ans en ENFER
Extraite des messages de l'Escorial du 03
novembre 2002.
- Texte trouvé dans le Bulletin de l'Association Vierge des Douleurs du
Pré Neuf de l'Escorial - n° 60 - novembre 2002
(abonnement tél. : 05 59 84 35 93 - France)
(...) J'ai vu des enfants en enfer. Le premier que j'ai vu, c'était
une petite fille âgée de 8 ans. J'en ai été horrifiée. Je
ne comprenais comment un enfant de 8 ans pouvait se trouver en enfer.
J'en
suis arrivée à penser : comment Dieu peut faire une chose pareille ? Alors Le Seigneur m'a dit :
« Comme tu doutes de Moi
» !
Moi je n'ai pas condamné cette petite fille, elle
s'est condamnée elle-même. De même qu'il y a des enfants qui
sont « adultes », de même certaines personnes âgées sont comme des
enfants.
Cette
petite à 8 ans avaient commis beaucoup de péchés. Et moi
j'avais commis un péché en jugeant Dieu. Un jour aussi, il m'est arrivé
d'avoir de La compassion pour ceux qui étaient en enfer, alors le
Seigneur s'est fâché et il m'a dit : « Tu es en train de juger comme si
Je n'étais pas Juste envers les âmes.
Combien
de fois t'ai je dit que les âmes qui se condamnent, Le font de leur
plein gré ! Moi J'ai œuvré avec Justice en tant que Juge Suprême.
Ne
doutes jamais de La Justice de Dieu ! ». Alors vous voyez,
j'avais commis un péché en doutant de Dieu. Je m'en suis repentie bien
sûr. Souvent je préfère ne pas penser. Je dis souvent à Dieu que s'il
fait les choses, c'est lui Le Maître de tout. Et iL sait bien ce qu'Il
a à faire et comment IL doit le faire.
Question
: L'eau bénite peut-eLle soulager les âmes du Purgatoire ?
Oui.
Lorsqu'on entre à l'église et que L'on fait Le signe de croix avec
l'eau bénite, on peut effacer ses propres péchés véniels.
Question
: Beaucoup de prêtres disent que l'enfer n'existe pas !
Les pauvres ! L'Enfer est un dogme de foi. C'est écrit : « Va-t-en
maudit, au feu éternel ! ». Et combien de fois L'on trouve dans
l'EvangiLe le mot « enfer ». Celui qui ne croit pas à l'enfer est
anathème. L'Enfer existe comme le CieL existe. Mais nous, nous devons
croire en la parole de Dieu. On ne doit rien ajouter ni rien retrancher
à la parole de Dieu qui est L'Evangile. Ce qui est écrit, est écrit.
Celui qui ajoute ou retranche quelque chose, quand il se présentera
devant Dieu !...
Question : Il y a beaucoup de prêtres qui ne veulent pas que Les
croyants s'agenouillent pour recevoir la Sainte Communion ! Avec
humilité, vous vous levez, et Le Seigneur voit. Il m'est arrivé de
m'agenouiller avant de recevoir la communion et le prêtre m'a dit :
(...)
IL n'y avait que cris et malédictions :
les enfants maudissaient Leurs parents et les parents maudissaient
leurs enfants.
Chacun se renvoyait la faute : les enfants disaient à Leurs parents :
c'est à cause de vous que nous sommes ici, et les parents disaient à
leurs enfants que c'était Leur faute s'ils se trouvaient en ce lieu.
C'est parce que Les parents avaient tout consenti à Leurs enfants et
que les enfants en avaient bien profité, n'ayant pas respecté leurs
parents, qu'iLs se trouvaient tous en enfer.
Ces
âmes dont j'ai parlé auparavant, donnaient des avertissements aux
parents en Leur indiquant qu'ils devaient élever leurs enfants dans La
sainte crainte de Dieu et ne pas leur mettre, comme dit L'Evangile, «
un serpent entre leurs mains, ni une bouteille de venin pour qu'ils
s'empoisonnent » mais qu'ils devaient les conduire sur le chemin de
l'Evangile. Elles disaient que pour toutes ces raisons, beaucoup de
parents étaient condamnés. (...)
Peut-on
quitter l'ENFER
Extraite des messages de l'Escorial du 03
novembre 2002. Texte trouvé dans le Bulletin de
l'Association Vierge des Douleurs du Pré Neuf de l'Escorial -
n° 60 - novembre 2002 (abonnement tél. : 05 59 84 35 93 - France)
(...)
Non. L'enfer est l'unique Lieu qui est sans issue.
Ceux
qui y vont, y vont de leur plein gré parce qu'ils maudissent Dieu. ILs
ne veulent pas sortir de L'enfer même s'ils souffrent parce qu'ils
haïssent Dieu.
Si
Satan s'était humilié, s'iL avait été humble, Dieu lui aurait pardonné.
Mais à cause de son orgueil, iL n'a pas voulu s'abaisser. Dieu
n'oblige aucune âme, elle se condamne par sa propre volonté.
L'orgueil de ces âmes en arrive à un point teL qu'elles ne reviennent
pas en arrière, même condamnées.
Et les enfants italiens qui sont décédés au cours du
tremblement de terre ? (le 31 octobre 2002
- fête d'halloween - une école s'est effondrée)
Imaginez
ce qu'ils étaient en train de fêter !... Dieu commande et peut sauver
les hommes jusqu'au dernier moment. Dieu peut pardonner à qui il veut
jusqu'au dernier moment. Mais pensez à ce qu'ils étaient en train de
fêter !... (...)
JÉSUS et
VÉRONICA visitent L'ENFER
(Messages des
apparitions de Véronica Lueken (USA) 18 Juin 1990
(...)
Véronica : Oh, mon Dieu! Je vois que nous,
nous dérivons comme dans un trou, c'est comme un grand trou dans le
sol. Et j'entends, j'entends des gens crier crier à s'époumoner ! Mais
je regarde par en bas maintenant; Jésus a dit de regarder vers le bas.
Je veux regarder par en haut; la chaleur étant si intense, je ne veux
pas regarder par en bas. Mais je vais le faire. Très bien.
Oh, bon sens! Oh, je vois--je sais qu'ils sont des démons, suspendus
aux murs d'un endroit qui ressemble à une caverne où Jésus dit que cela
est la première partie de l'enfer. Et toutes ces âmes il doit y en
avoir des milliers hurlent ! Elles hurlent et crient, et elles sont
comme des braises brûlantes ! Leurs corps flottent partout; elles n'ont
aucun poids. Ca ressemble à des corps, cependant c'est comme du charbon
qui brûle!
"Oh, Sainte Mère et Jésus, s'il vous plaît, sortez-moi d'ici!"
Oh! Oh, c'est terrible!
"Oui." (...)
Une
âme damnée parle
Extraite des messages
de l'Escorial
Une
âme damnée :
Nous ne voulons rien savoir, ni de vous ni de Dieu. Nous ne changerions
pas les peines ni la douleur pour aller au Ciel ! Notre mission est la
haine, la destruction, le manque d’amour. C’est un tourment qui ne
finira jamais et ne nous consumera jamais. C’est un feu
dévorant, qui dévore nos entrailles. Mais nous sommes maudits
de Dieu parce que nous, nous n’avons pas voulu l’aimer. Mais je veux
que vous avertissiez les hommes des tourments si grands de ce lieu afin
qu’ils n’y entrent pas. C’est la voix de Dieu qui me le
commande ! Mais pour moi, j’entraînerai tout le monde dans ce lieu où
ils se consumeraient par le feu, où la haine, la destruction sont
toujours présents ! Tout n’est qu’amertume
et notre mission est de détruire les âmes.
Luz
Amparo : Quelle horreur !
Une
âme damnée :
Beaucoup parviennent en ce lieu parce que personne n’a voulu leur dire
la vérité et nous nous n’avons pas voulu la comprendre. Il était plus
facile de vivre dans les commodités, l’abondance, et à notre guise sans
faire la volonté de Dieu. Ceci est notre salaire. Nous sommes
payés par celui pour lequel nous avons travaillé. Nous
éprouvons de la haine, du mépris. Si Dieu nous laissait, nous
détruirions le monde. Nous n’éprouvons que le désir d’entraîner tous
les hommes pour qu’ils participent à cette souffrance.
La
Très Sainte Vierge :
Ma fille, tu vois quelle différence il y a entre l’amour et la haine ?
Observe la paix qu’il y a en ce lieu et la haine, le mépris et la
rancœur qu’il y a dans l’autre. Luttez mes enfants, et ne vous laissez
pas conquérir par des paroles qui flattent vos ouies, par des
commodités pour votre corps. Soyez fidèles à la volonté de Dieu, aimez
nos Cœurs, mes enfants ! Les âmes bonnes jouissent de la miséricorde si
grande que Dieu a eue envers elles parce qu’elles ont été capables de
lutter, de se détacher, de rejeter les vanités, les rancœurs, les
envies, d’être pauvres, humbles et sacrifiées, d’imiter Jésus sur la
Croix et Marie à Nazareth ! N’as-tu pas vu ton Père Spirituel, ma
fille, comme il est joyeux en la présence de Dieu ? Il a consacré toute
sa vie à Dieu depuis son enfance. A l’âge de 9 ans, il a commencé son
chemin ma fille.
Notre
Seigneur :
Il s’est consacré entièrement. C’est pourquoi je vous ai récompensé,
lui et toi : je l’ai récompensé en étant ton directeur spirituel, et je
t’ai récompensée en apprenant de lui. C’est pourquoi je demande aux
hommes : approchez-vous des sacrements, mes enfants, ne vous relâchez
pas dans la prière, laissez le monde et toutes ses vanités et prenez un
chemin droit et sûr. Dans le monde il y a une crise de la foi que les
hommes ont perdu parce qu’ils considèrent que tout est bien.
L’homme a
perdu la morale et le monde est rempli d’immoralité : car rien n’est
péché. On porte la chair en triomphe et je te répète, ma fille, que les
hommes veulent changer les lois, chacun ne s’acceptant pas tel qu’il
est, sur le chemin de sainteté, mais dans l’immoralité et en adultérant
leur corps : les hommes avec les hommes, les femmes avec les femmes.
Mais jusqu’où allez-vous en venir, créatures, car vous ne respectez pas
la loi de Dieu !
Dieu a crée l’homme et la femme pour procréer, non
point pour la jouissance, les plaisirs ou les passions. L’homme l’a
oublié. Je te répète ma fille que cela ressemble à Sodome et Gomorrhe.
Jusqu’à quand Dieu doit-il avoir honte des hommes ! Priez mes enfants,
priez pour ne pas tomber en tentation.
Extraite des messages de
l'Escorial
Septembre 1993
Notre Seigneur : Ils veulent briller sur la terre et ce qui leur
importe, ce sont les récompenses et les flatteries terrestres; ils ne
veulent pas de l'éternité, et c'est pourquoi ils resteront dans le temps
5 août 2000
La
Très Sainte Vierge : Malheur à ceux
qui n'écoutent pas ma voix, malheur à ceux qui, l'ayant entendue,
l'abandonnent ! Pauvres âmes, ceux qui se comportent ainsi, Je les
chasse loin de moi, parce qu'ils ne veulent pas que J'applique ma
miséricorde sur eux. Ils sont si orgueilleux, si superbes, que ni
l'amour de Dieu, ni sa miséricorde, ne leur importent pour leur salut.
Ah, mes enfants, quand viendra le jour où vous devrez vous présenter
devant la Divine Majesté de Dieu, combien d'entre vous voudront entrer
et ne le pourront pas, parce que vous n'aurez pas été dignes de vous
trouver en ma présence !
Révéler
la réalité de l'enfer
(Vincent, 22 mai 2013) Comme c'est souvent le
cas lorsque je mets en ligne un texte
révélant la réalité de l'enfer, le démon laisse rapidement exploser sa
rage.
Mardi 21 mai, je
mets en ligne le texte de Soeur Josefa Menéndez
et la nuit d'après, vers 2 heures, j'entends un bruit bizarre, je n'y
prête pas attention, mais au réveil, je m'aperçois qu'une zone d'un
plafond s'est effondré chez moi (une partie sans importance de ma
maison, photo
ci-contre).
Travailler
à faire connaitre l'existence de l'enfer n'est pas sans risque et il est indispensable d'être solidement protégé.
Ma maison a été bénite, les dégâts sont donc généralement
assez mineurs et ma personne physique est bien à l’abri
grâce à mon scapulaire et surtout, je fais 2 fois par jour une prière à
Saint Michel (en plus d'autres prières) et j'y mets sous sa protection
(en les énumérant) tout ce qui m'est important.
Le cinéaste
franco-polonais Roman Polanski n'a dû prendre aucune de ces
précautions lorsqu’il a accepté de porter à l'écran le livre
"Rosemary's Baby," révélant ainsi au grand jour les cultes satanistes
et lançant la mode des films avec pour thème "Satan", des films qui
ne peuvent que fortement déplaire aux démons dont
la principale force est de faire croire qu'ils n'existent pas.
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(http://fr.wikipedia.org/wiki/)
(...) Polanski est repéré par le producteur
américain Robert Evans qui lui confie la réalisation de son premier
film hollywoodien : Rosemary's Baby, adapté d'un best-seller.
Mia Farrow y interprète une jeune femme victime d'une secte
de sorciers octogénaires adorateurs de Satan qui fait d'elle la mère de
l’Antéchrist.
Ce film d'épouvante se hisse au sommet du
box-office de 1968 et lance la mode des thrillers sataniques
(L'Exorciste, La Malédiction…) et se voit reconnu par la critique comme
l'un des grands chefs-d'œuvre du cinéma fantastique (...)
Au faîte de sa gloire, Polanski est néanmoins ébranlé par un
nouveau drame dans sa vie : alors qu'il est en pleine préparation
d'un film au Royaume-Uni, sa femme Sharon
Tate, enceinte de huit mois, trois de leurs amis proches, et un
ami du jeune gardien de la propriété sont
assassinés dans la demeure du couple, à Los Angeles sur
Cielo Drive, par des proches de Charles Manson, gourou d'une secte.
(...)
Au moment des meurtres, Charles « Tex » Watson dira à l'une des
victimes, Wojciech Frykowski, qui lui demandait qui il était et ce
qu'il voulait, « Je suis le diable, et je suis
ici pour faire son travail » laissant certains journalistes supputer que c'est Polanski qui était initialement visé par la
secte en raison de son film Rosemary's Baby.
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(Vincent) Donc, après avoir fait tuer sa femme et son enfant,
le démon a dû estimer que ce
n'était pas assez et il a trouvé le moyen de le compromettre dans
une affaire de mœurs. Une embrouille qui doit
être assez banal dans ces milieux (on est dans les années 70), mais qui a pris des
proportions démoniaques pour Polanski et
cela empoisonna sa vie de très
nombreuses années.
Conclusion, ne révélez pas la réalité de
l'enfer sans l'équipement approprié.
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