Image ci-dessous :
Charm el-Cheikh (Égypte)
...
que nous recevions tous pour chaque victoire sur
nous-mêmes et chaque bonne action de toute nature...
Anne-Catherine
Emmerich (1774-1824) décrit
Son âme me conduisit dans un lieu qu'il me dit appartenir à la
Jérusalem céleste. Tout y était lumineux et transparent.
J'arrivai
sur une grande place ronde, entourée de beaux palais
resplendissants; au milieu, s'étendait, à travers la place, une grande
table couverte de mets qu'on ne saurait décrire.
De
quatre des palais environnants partaient des arcades de fleurs qui
venaient se réunir au-dessus du centre de la table et y formaient une
couronne élégante autour de laquelle je vis briller les noms de Jésus
et de Marie.
Il n'y
avait là aucun produit de l'art : tout était végétation et
fructification naturelle.
Ces
arcades présentaient un mélange de fleurs très variées, de beaux
fruits et de figures brillantes. Je connus là la signification de
toutes ces choses et de chacune d'elles, car je vis ce qu 'elles
étaient en réalité: ce n'était pas proprement une signification,
c'était plutôt une essence, une substance qui pénétrait dans l'esprit
comme un rayon de soleil multiple et qui en même temps instruisait.
Ici-bas cela ne peut pas s'exprimer avec des paroles.
Il
y avait sur un des côtés, un peu en arrière des palais, deux églises,
l'une plus rapprochée consacrée à Marie, l'autre à l'enfant Jésus.
Elles étaient octogones.
Lorsque j'y fus
arrivée, d'innombrables âmes d'enfants bienheureux
sortirent de tous les côtés, à travers les parois, sur tous les points
des palais resplendissants, et volèrent au-devant de moi pour me
souhaiter la bienvenue.
Ils
se montraient au commencement sous la forme
qu'affectent généralement les âmes dans leurs apparitions'; mais
ensuite je Ies vis habillés de la manière dont ils l'étaient pendant
leur vie et je reconnus plusieurs de mes compagnons d'enfance décédés à
une époque antérieure.
Le petit Gaspard
Je
reconnus avant tous les autres le petit Gaspard, le frère de Diericke,
un enfant espiègle, quoique point méchant d'ailleurs, qui était mort
dans sa onzième année, à la suite d'une longue et très-douloureuse
maladie.
Cet
enfant vint à moi, il me conduisit et m'expliqua tout. Je
m'étonnais de voir si beau et si distingué ce petit Gaspard qui, de son
vivant, n'était ni l'un ni l'autre. Comme j'exprimais ma surprise de me
trouver là, il me dit : "Ce ne sont pas tes pieds qui t'amènent ici,
c'est la vie que tu mènes." Ce discours me réjouit beaucoup.
Comme
au commencement je ne le reconnus pas tout de suite, il me dit: " Ne te
souviens-tu pas comment j'ai aiguisé ton couteau ? Je me suis vaincu
moi-même en cette occasion et cela m'a été avantageux. Ta mère t'avait
donné quelque chose à couper en deux et ton couteau était si émoussé
que tu ne pouvais en venir à bout: tu pleurais et tu avais peur que ta
mère ne se fâchât.
Je
vis cela et je me dis d'abord: " Je veux voir comment sa mère la
traitera; " mais ensuite je fis un effort sur moi et je me dis: " Je
vais repasser le couteau de la pauvre fille." Je le fis en effet, je te
vins en aide et cela a profité à mon âme.
Te
souviens-tu encore qu'un jour où les enfants jouaient d'une manière peu
convenable, tu leur dis que c'était un vilain jeu, qu'il ne fallait.
pas faire cela : puis tu te retiras, tu t'assis dans un fossé et lu
pleuras. Je vins alors à toi et je te demandai pourquoi tu ne voulais
pas jouer avec nous. Tu me répondis que quelqu'un t'avait emmenée en te
prenant par le bras. Je réfléchis là-dessus et je pris sur moi pour ne
plus jouer à des jeux de ce genre. Cela m'a été bon.
Te
rappelles-tu encore qu'un jour où nous allions en troupe ramasser des
pommes tombées d'un arbre, tu nous dis qu'il ne fallait pas faire cela.
Je répondis que, si nous ne le faisions pas, d'autres le feraient. Tu
dis alors qu'il ne fallait donner à personne une occasion de scandale.
Et tu ne pris pas une seule pomme. Je remarquai aussi cela, à part moi,
et j'en tirai profit.
Un jour je voulais te
jeter un os et je vis que quelqu'un détourna de toi le coup. Cela aussi
m'alla au cœur.
Le
petit Gaspard me remit encore en mémoire une quantité de choses du même
genre.
Je vis alors que nous
recevions...
Je vis alors que nous recevions tous pour chaque victoire sur
nous-mêmes et chaque bonne action de toute nature un mets particulier
que nous mangions, en ce sens que nous en avions l'intelligence et
qu'il brillait à travers nous.
Cela ne peut s'exprimer dans le langage humain. Nous n'étions pas assis
à une table, nous volions en quelque sorte d'un bout à l'autre et
chacun ressentait une saveur particulière pour chaque acte de
renoncement.
Au commencement une voix se fit entendre disant: " Celui-là seul peut
comprendre cette nourriture qui la prend. " Mais ces mets étaient la
plupart du temps des fleurs merveilleuses, des fruits, des pierres
brillantes, des figures, des plantes d'une substance spirituelle tout
autre que celle des objets d'ici-bas. Ils étaient servis sur des plats
brillants, transparents, d'une beauté indescriptible, et il en sortait
une force merveilleuse pour ceux qui, par tel ou tel acte de
renoncement accompli sur la terre, s'étaient mis dans une certaine
relation avec l'un ou l'autre de ces mets.
Toute
la table était aussi couverte de petits verres de cristal en forme de
poire, semblables à ceux dans lesquels m'avaient été présentés
quelquefois des breuvages salutaires; nous buvions dans ces vases.
Un
des premiers mets qui furent servis était de la myrrhe qui était
merveilleusement arrangée. D'un plat d'or sortait un petit calice dont
le couvercle avait un petit bouton sur lequel était un beau petit
crucifix. Sur le bord du plat étaient des lettres lumineuses d'un bleu
violet; je ne pus comprendre ce qu'elles disaient : je ne le
comprendrai que dans l'avenir. […] J'eus ma part de ce plat à cause de
toute l'amertume de cœur que j'avais supportée en silence dès mes
premières années.
Pour
ces pommes que j'avais laissées à terre sans y toucher, des pommes
lumineuses me furent données à savourer : il y en avait un grand nombre
réunies sur une même branche.
J'eus
aussi un mets particulier pour le pain sec, que j'avais distribué en
grande quantité à des pauvres. Il avait une grande ressemblance avec ce
pain, mais il était comme du cristal où se réfléchissaient mille
couleurs et il était servi sur une assiette de cristal.
Pour
avoir refusé de prendre part à ce jeu inconvenant, je reçus un vêtement
blanc. Le petit Gaspard m'expliquait tout, et ainsi nous avancions
toujours davantage le long de la table.
Je
vis encore, comme m'étant destinée, une petite pierre toute seule
sur un plat, telle que je l'avais reçue autrefois au couvent.
J'entendis aussi dire là que je recevrais avant ma mort un vêtement
blanc et une pierre blanche sur laquelle serait inscrit un nom que
seule je pourrais lire. C'était à l'extrémité de la table que l'amour
du prochain recevait sa récompense."
Ici
la narratrice s'interrompit pour exhorter le Pèlerin (l'écrivain
qui retranscrit ses visions) à travailler à son salut avec plus
d'ardeur, à tout faire aujourd'hui, à
ne pas remettre au lendemain. Car
la vie est si courte et le compte à rendre si rigoureux! "
Vous avez à bien réfléchir sur
vous-mêmes et que les yeux de l’âme restent toujours actifs afin
de vous conduire sur la bonne route, celle de la Jérusalem céleste
Message du Ciel - Jean messager de la lumière - Livre
Tome 6 : Pour bien passer la
porte du Ciel
- Page 309 : S’attacher aux choses
éternelles - Message du 11 mai 2010
Epître aux Hébreux 13,20-22 : Que
le
Dieu de la paix, qui a ramené de chez les morts celui qui est devenu
par le sang d’une alliance éternelle le grand Pasteur des brebis,
notre Seigneur Jésus, vous rende aptes à accomplir sa volonté en
toute sorte de bien, produisant en nous ce qui lui est agréable par
Jésus-Christ, à qui soit la gloire pour les siècles des siècles !
Amen. Je vous en prie, frères, faites bon accueil à ces paroles
d’exhortation : aussi bien vous ai-je écrit brièvement.
Si tous
les hommes étaient purs
d’esprit, par la seule pensée ils auraient la faculté de
communiquer ensemble et ce serait merveilleux.
(A ce propos, lire le
chapitre : La
télépathie)
Pensez que Dieu vous
a donné
l’intelligence et l’usage de la parole, afin que vous puissiez
exprimer les pensées de votre cœur et, ainsi, manifester auprès
des autres les bonnes idées diligentées par l’Esprit Saint.
Vous n’avez pas à vous attacher aux
choses temporaires comme si elles étaient éternelles, mais à
bien
apprécier les choses éternelles qui, elles, ne sont pas passagères
et présentent donc tout votre avenir. Oui, la chair passe et
retourne en poussière; comprenez qu’ainsi, vous avez à prendre le
plus grand soin de l’âme qui est immortelle.
Vous
aurez souvent à distinguer ce
qui vous est salutaire de ce qui pourrait vous être nuisible.
Vous
utiliserez vos yeux pour bien
observer le visible, et ensuite vous vous servirez des lumières de
l’Esprit Saint pour bien agir et, encore, pour mieux scruter les
choses spirituelles.
Vous avez
à bien réfléchir sur
vous-mêmes et que les yeux de l’âme restent toujours actifs afin
de vous conduire sur la bonne route, celle de la Jérusalem céleste. Cependant restez vigilants pour
évoluer au milieu des pièges que
votre ennemi dresse de tous les côtés afin de vous faire chuter.
Il est
courant que la tendance de bien
de personnes est de s’occuper de ce qui ne les regarde pas, plutôt
que de songer à elles-mêmes. Elles n’ont pas à s’inquiéter
des fautes et du comportement des autres, elles n’ont en principe
aucun droit de permettre à leur esprit d’examiner leurs
inconduites ; sauf pour leurs propres enfants. Mais elles ont à
tourner les yeux de leur âme vers l’examen d’elles-mêmes.
Plusieurs, suivant la parole du Fils de Dieu, « voient une paille
dans l’œil de leur frère et n’aperçoivent pas une poutre dans
leur propre œil ». Elles ont plutôt à penser à ce qui les
regarde et à examiner si leur vie est conforme aux préceptes de
l’Evangile.
Vous ne
pouvez ignorer qu’une partie
de votre âme est intelligente et raisonnable mais que l’autre
parfois peut être inclinée à des passions folles et brutales. Si
vous n’y prenez pas garde, votre intelligence peut être asservie
et devenir l’esclave de ces passions.
Gardez
dans votre mémoire les biens
que vous avez déjà reçus du Seigneur, ceux qu’Il vous promet et
qu’Il vous réserve pour l’éternité. N’oubliez
pas que vous pouvez, par
vos vertus, vous élever jusqu’à la dignité des anges. Pensez toujours à Dieu et rendez-Lui
grâce de vous avoir dotés d’une intelligence, par laquelle vous
pouvez Le connaître, raisonner sur la nature des choses, cueillir
les fruits utiles de la science et pouvoir avoir une action salutaire
à l’égard de votre prochain.
Jean,
votre messager d’amour
Ne me décevez pas, faites appel à moi, cherchez-moi, priez-moi, et Je
vous embrasserai et Je vous défendrai
Message
de Dieu le Père à Rosanna (province de Bergame - Italie), le 27 octobre
2013
Comme
vous le savez, le mystère de mon immensité a besoin de l'éternité
pour être compris, vécu, jubilatoire, mais, étant infini, il ne sera
jamais complètement connu sans voile, simplement parce qu'il est infini.
Mais dans vos futurs corps glorifiés vous
serez beaucoup plus proche de ma réalité Divine et votre pouvoir de
compréhension embrassera la Grande Réalité Céleste, qui attend tous les
fils de Dieu après l'épreuve terrestre.
Ma
grâce vous fait rencontrer aujourd'hui de nombreuses opportunités
d'éveiller une foi assoupie et de voir
enfin la foi renouvelée par les yeux du cœur plutôt que ceux de la
raison, qui très souvent ne fait que nuire à la foi et à la vérité.
Laissez-vous
pénétrer de l'air nouveau, parfumé de printemps, de l'amour qui
imprègne les cœurs tourmentés de mes petits.
Soyez
les protagonistes de l'éveil de la foi dans mon Église, qui a été
blessée par des ennemis, torturée, malade, mais qui attend de vous tous
un embrassement, des forces vives, une espérance dans les luttes
d'aujourd'hui et de demain.
L'amour
pour Dieu vous procure toute aide pour être en mesure d'exercer toutes
les vertus de l'amour, de la patience, de la compassion et du souci des
autres. Sans mon amour et ma grâce vous ne pouvez pas franchir cette
étape difficile pour vous : aimer les autres avec le cœur de Dieu.
Vous
vous sentirez de plus en plus conscients de l'urgence de supprimer de
votre vie tout ce qui obscurcit vos esprits immortels et de tourner vos
yeux vers moi, pour sublimer chaque geste, chaque pensée, chaque
action, nettoyant aussitôt votre petit univers enfermé dans votre être
pour devenir de plus en plus proche de votre Père d'Amour.
Je
me suis approché de vous, Je vous parle dans le cœur, Je vous cherche,
Je vous aime, Je vous veux avec moi pour que vous participiez à mes
joies. Ne me décevez pas, faites appel à moi, cherchez-moi,
priez-moi, et Je vous embrasserai et Je vous défendrai. Je Suis
l'Amour, et vous avez seulement besoin de cela, aujourd'hui et
éternellement.
Je
vous aime énormément.
Il faut être comme un enfant pour
entrer dans le Royaume de mon Père. Il faut que vous reveniez à l'état
d'enfants de la Divine Volonté
9 octobre 2011 Rencontre d’amour
avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario – Matin - La fille du oui
Jésus :
L'instant présent est un instant rempli d'amour pour tous les enfants
de la terre. En chacun de vous, vous portez tous les enfants de Dieu;
en chacun de vous, Dieu a inscrit tous ceux qui sont dans le Livre
de la Vie. Ceux qui ne sont pas inscrits dans le Livre de la Vie
sont en votre chair, mes enfants. C'est
toujours un combat que vous vivez; vous vivez ce combat : le bien qui
veut se faire connaître et le mal qui veut éteindre le bien.
Vous êtes enfants de la Lumière. Vous devez
briller, mes enfants, en ces ténèbres. J'ai mis de l'amour, mon
amour, en vous. N'éteignez pas cet amour, mes enfants, un seul instant.
Que vos pensées soient des
pensées d'amour.
Que votre regard s'étende
sur la terre entière et qu'il porte l'amour.
Que votre écoute soit
l'écoute de celui qui ne veut qu'entendre l'amour.
Que votre parole nourrisse
frères et sœurs d'amour.
Que vos actions portent des
fruits, ces fruits qui se multiplient dans une vigne faite pour les
enfants du Livre de la Vie.
Que votre cœur laisse
circuler ce Sang, ce Sang purifié par mon amour qui ne cesse de couler
en vous.
Soyez toujours ainsi, mes
enfants. Ne perdez pas un seul instant de votre souffle de vie qui est
le souffle de ma Vie.
Je vous ai donné plus que
ce que vous êtes capables de contenir, car lorsqu'on vieillit, mes
enfants, lorsqu'on devient un être intelligent, on perd, on perd ce que
Dieu a donné. Il faut être comme un enfant pour entrer dans le
Royaume de mon Père. Il faut que vous
reveniez à l'état d'enfants de la Divine Volonté.
Un enfant de la
Divine Volonté est un enfant qui n'a plus ses pensées, qui n'a plus son
regard, qui n'a plus son écoute, qui n'a plus ses actions ni ses
sentiments, mais ceux de Dieu.
Quittez l'esprit de ce
monde, mes enfants, et laissez l'Esprit de Dieu vous envahir. Ne
regardez pas, n'entendez pas, ne dites pas des paroles, ne faites pas
des gestes, n'ayez pas des sentiments comme l'esprit de ce monde qui
est contre l'amour. L'esprit de ce monde ne pense qu'à l'argent,
qu'au pouvoir, qu'à la domination sur l'un et sur l'autre.
On dit venir en aide aux
pays qui sont « dévastés », alors qu'ils ne profitent que de
la situation pour s'enrichir, pour maintenir son pouvoir de richesse.
Lorsqu'on ne pense pas à l'amour de Dieu, on ne pense pas à aimer le
prochain tel qu'il est.
Si l'esprit de ce monde
aimait comme moi j'aime,
il n'y aurait plus de
pauvres,
il n'y aurait plus de
maladies,
il n'y aurait plus de
guerres,
il n'y aurait plus
d'épidémies,
il n'y aurait plus de
frontières,
il n'y aurait
qu'un seul peuple : le peuple de Dieu.
L'Esprit de mon Père est
sur tous les enfants de Dieu. Il ne regarde pas à droite, il ne regarde
pas à gauche, en avant, en arrière, il n'a qu'un seul regard et il
enveloppe tout de son regard. Il est unique l'Esprit de mon Père. Je
vous présente, mes enfants, l'Esprit de Dieu : c'est l'amour, un
amour inconditionnel qui ne cesse de se donner, de se donner et de se
donner. Vous êtes ses enfants et il vous veut tout près de lui.
Mes amours, soyez à l'écoute de la Miséricorde. Laissez-vous nourrir
par la Mère de la Miséricorde.
( à suivre,
chapitre sur la miséricorde)
Pensez
que votre vie n'est qu'un passage obligé
et souvent difficile pour entrer dans votre vraie demeure
Message du Ciel - Jean messager de la lumière
- 19 novembre 2012
Mes chers frères et sœurs bien aimés,
Comme
sur le chemin d'Emmaüs, le Seigneur-Jésus vient à la rencontre
des hommes et les rejoint. Lui seul peut les sortir du brouillard de la
solitude spirituelle et leur donner l'espérance.
Pensez que
votre vie n'est qu'un passage obligé et souvent difficile pour entrer
dans votre vraie demeure, ce Royaume si extraordinaire et merveilleux
où vous êtes attendus et que vous connaîtrez bientôt.
Effectivement,
vous vivez dans une civilisation où domine la pleine
satisfaction des désirs individuels, certains de ces désirs étant
encouragés par les démons. Dans ces conditions, le christianisme
combattu par le mauvais peut être un poids lourd à porter. D'autant
plus que pour certains le problème vient de la difficulté d'accepter
des règles de vie et de bonnes mœurs qui sont pourtant nécessaires au
bien de toute l’humanité.
Chacun de
vous, avez reçu un don du Ciel que vous n'avez pas à garder pour vous
seul.
A
l'encontre de tous ceux qui vous entourent et que vous rencontrez, ce
don doit être mis en pratique. Certes, vous pouvez avoir conscience de
vos faiblesses mais comprenez que le service que vous pouvez être en
mesure d'assumer, dépasse toutes les possibilités humaines.
Encore
aujourd'hui, le Seigneur Jésus voit de nombreux hommes
s'engouffrer sur la mauvaise route et d'autres qui errent dans tous les
sens. Ces hommes sont dépourvus de repères et c'est le vrai problème, car le griffu qui joue ses dernières
cartes en profite pleinement.
A votre niveau, agissez et au moins priez
pour que ces personnes puissent vivre en conformité avec les dix
Commandements tout comme avec les Évangiles
qui renvoient à ce que la civilisation Judéo-chrétienne a réalisé sur
le sens de votre vie et du respect de la dignité personnelle de chacun.
En essayant d’exprimer les conséquences de ce double commandement
c'est-à-dire : être chrétien,
c’est croire en Dieu et servir votre prochain.
La sagesse chrétienne doit prendre un rôle important dans
une prise de conscience commune. Dans cette prise de conscience, pensez
que des sages d’autres religions y ont également contribué tout comme
les humanistes de toutes les époques. Malgré certaines orientations
particulières qui demandent à être combattues, vous n'avez pas à
rejeter les acquis et votre histoire.
Vous avez à revenir à l’essentiel de votre foi en
Dieu : votre foi en un Dieu Père, révélé par le Christ, son Fils
unique, et par le don de l’Esprit Saint habitant votre cœur de croyant.
Chez tous les
croyants et même chez les incroyants, il y a certaines règles de
comportement qui dépassent les désirs individuels et qui s’imposent à
tous, à la lumière de la sagesse humaine et de la conscience. Comment
ériger en règle générale, voire absolue, ce que chacun désire ou
expérimente et ce qu’il veut faire reconnaître comme une règle commune
par tous ? Ce message est à bien méditer.
Avec toute votre famille du Ciel, sous la Lumière du Père Éternel, tout l’Amour du Seigneur Jésus, de Sa maman
la Sainte Vierge Marie, je vous bénis au nom du Père, du Fils et du
Saint Esprit.
Jean, votre messager
d’Espérance
Ce sont les
temps de grâce, ce sont les temps ultimes de grâce
Message
de la Maman de l’Amour à Marco Ferrari
(Italie), dimanche 23 septembre 2012
Dimanche 23
septembre 2012, après la procession en l’honneur de la Maman de
l'Amour à Paratico,
la Madone est apparue six minutes à Marco à 15h40 durant la prière sur
la colline des apparitions de Paratico.
Marie était souriante et portait son traditionnel vêtement couleur or.
Chers
petits enfants bien aimés, j'ai prié avec vous et j'ai marché auprès de
chacun de vous, en écoutant vos cœurs
et vos requêtes.
Chers
enfants, beaucoup parmi vous ont entrepris un chemin de prière à la
recherche de la volonté de Dieu sur eux, beaucoup sont à la recherche
de la paix et de l'amour vrai qui les aident et les transforment.
Je
vous invite à chercher refuge dans mon Cœur
de Maman et à poursuivre dans l'engagement que vous m'avez promis pour
le triomphe du règne de Dieu. Trop
de gens aujourd'hui boivent à la source polluée du monde, mais vous,
soyez les témoins, oui, mes enfants, les témoins de l'amour et de la
grandeur de Dieu.
Je
veille sur vous et je vous invite à vivre intensément l'année de la foi
que le pape ouvrira.
C'est un appel au monde entier à revenir à Dieu. Priez
pour
le pape, priez pour l’Église. Priez
pour que beaucoup d'âmes retournent à la foi et se convertissent.
Ce
sont les temps de grâce, ce sont les temps ultimes de grâce. Revenez à
Dieu !
Je
vous bénis, mes enfants, et je vous invite à transformer la prière en œuvres
concrètes. Depuis
ce lieu, je vous invite à répandre la prière et la charité dans
l'attente d’un temps merveilleux. Je
bénis ce lieu qui est un centre de rayonnement mondial de paix, amour
et charité.
Je
vous bénis tous au nom de Dieu qui est Père, de Dieu qui est Fils, de
Dieu qui est Esprit d'Amour. Amen.
Je
vous accompagne chez vous et vous embrasse tous.
Ciao,
mes enfants.
Certains entrent dans le Royaume dès
l’enfance, d’autres à l’adolescence, d’autres encore à l’âge adulte et,
enfin, certains y entrent juste avant de mourir
Enseignement de
Jésus donné au Père
Melvin Doucette (Canada) - Lundi 1er août 2011
Voici maintenant le message que le Père Melvin a reçu de notre Seigneur
et Sauveur. Il a entendu Jésus lui parler en ces termes :
C’est parce que je vous
aime que je vous ai appelés à me suivre : toi, mon frère Melvin et vous
tous, mes frères et mes sœurs répandus à travers le monde. Je vous
appelle à travailler à ma vigne, qui est le Royaume de Dieu. Tant que vous vivrez dans le monde, vous
pourrez répondre à mon appel et je vous donnerai les grâces qu’il vous
faut pour me suivre.
Certains entrent dans le Royaume dès
l’enfance, d’autres à l’adolescence, d’autres encore à l’âge adulte et,
enfin, certains y entrent juste avant de mourir. Si vous
persévérez et travaillez jusqu'à la fin, vous recevrez votre
récompense. En vérité, une grande récompense vous attend si vous
travaillez jusqu'à la fin et si vous demeurez unis à moi.
Cette récompense que je
vous donne, c’est la vie éternelle au ciel à jamais. Vous serez avec
moi pour toujours dans un grand bonheur, en compagnie de votre Père
céleste, de l’Esprit Saint et de tous les anges et les saints. Ma Mère
céleste sera remplie de joie en vous accueillant au paradis.
Je
vous exhorte à utiliser sagement le temps que vous avez sur la terre.
Vous avez besoin de travailler pour gagner votre vie, mais vous devez
vous préparer chaque jour pour votre nouvelle vie, qui aura sa
plénitude au ciel. Autrement dit vous suivrez ce que je vous ai
enseigné et vous serez une personne de prière et de grand amour. Vous pardonnerez à tous ceux qui vous ont
blessés de quelque manière. Je vous bénis tous.
Traduction : RF
Comprenez
que votre avenir est bien dans les mains de Dieu. Il est votre Père, un
Père qui aime chacun de vous et qui ne désire que votre bonheur car
vous êtes son bien le plus précieux.
Message
du Ciel - Jean
messager de la lumière - Servir Dieu et indiquer le bon chemin
- 18.04.2011
"Mes
bien aimés frères et sœurs,
Il y a de nombreuses personnes qui ne
connaissent pas Dieu et d'autres qui ne veulent pas le reconnaître car
elles s'imaginent que la vie ne peut exister que sur terre. D'autres
par contre, adhèrent au Nouvel-Age et se créent un Dieu à leur mesure,
aussi parfois deviennent-elles les jouets du démon. Dans ces
conditions,il est évident que ces hommes s'éloignent du bonheur et
courent à leur perte. Votre intime devoir est d'agir au maximum pour
les sauver et donc de les écouter, et sans les brusquer les convaincre
qu'ils marchent sur la mauvaise route.
Reportez-vous
à la Bible qui vous enseigne de servir Dieu et donc les
hommes pour les Sauver. Servir Dieu, c'est L'aimer, et L'aimer, c'est
Le servir et donc à travers Lui, servir le prochain.
Vous vivez au cœur d'un monde qui vous
propose chaque jour de nouvelles valeurs à vivre, et qui ébauche des
modèles de cultures critiquables et parfois dangereux. Et c'est
au cœur d'un monde qui vous poursuit de propositions de tous ordres que
la tentation est grande pour certains, de se créer des idoles. Qu'ils
soient convaincus que toute idolâtrie les rend esclaves à bien des
égards, de l'argent et du matériel en un mot de tous les plaisirs
malsains si souvent mis en relief. (à
méditer) Et c'est ainsi que Dieu et le prochain ne sont plus
pour eux des priorités.
Les personnes les plus démunies sont en
général victimes du culte de l'argent.
Effectivement,
ce qui constitue une des grandes pauvretés est bien le manque du juste
partage des biens et des ressources planétaires.
C'est
l'asservissement du « moi » qui fait reculer les frontières de la
solidarité. Et ce comportement crée un profond déséquilibre dans les
relations entre les peuples et même entre les individus. A cet effet,
méditez les conséquences des événements et disfonctionnements actuels
que ce soit l'imprévisibilité des centrales
nucléaires du Japon et de bien d'autres pays ; ainsi que ces
guerres civiles de la Libye et
en gestation dans bien de pays
d'Afrique, du Moyen Orient et même en Extrême Orient.
Comprenez que votre avenir est bien dans
les mains de Dieu. Il est votre Père, un Père qui aime
chacun de vous et qui ne désire que votre bonheur car vous êtes son
bien le plus précieux.
Le Seigneur prend
soin de toutes les créatures qu'il a engendrées. Pour le Seigneur vous
valez bien plus que tous les oiseaux du ciel et l'herbe des champs. Il vous invite instamment à en
tirer toutes les conséquences et à vous en remettre à Lui dans une
confiance absolue.
Écartez-vous de tout soucis et ne
désespérez jamais car le Père du Ciel sait mieux que vous de quoi vous
avez besoin. N'oubliez pas que le danger qui guette chacun de
vous est de perdre de vue l'essentiel et de vous détourner du vrai
chemin.
Soyez
certains qu'en cherchant le Royaume de Dieu et Sa justice, le
Seigneur règnera en vous et vous serez libérés de tous vos esclavages
et deviendrez les porteurs de Son amour auprès de tous vos frères et
sœurs.
En
cette Semaine Sainte, prenez
le temps de contempler Jésus en Croix
et vous dire : qu'Il est l'Amour en personne qui a donné Sa vie pour vous. Cherchez-Le avec les yeux de votre cœur
Avec
toute votre famille du Ciel, sous la Lumière du Père Éternel, tout
l'Amour du Seigneur Jésus, de Sa maman et des frères du Ciel qui
m'accompagnent, nous vous bénissons au nom du Père, du Fils et du Saint
Esprit.
Jean, votre messager du Ciel."
plus qu'avec ceux du corps.
Votre véritable patrie n’est pas la Terre,
mais bien le Ciel.
En effet, Je vous ai créés pour partager avec Moi cette éternité
Message du Ciel donné à Jean-Marc (France) le dimanche 27
septembre 2009 – 15h30 - 26e dimanche du Temps Ordinaire - Fête de
saint Vincent de Paul
Jean-Marc : Très Sainte
Trinité, avez-Vous une parole, un enseignement, un message à nous
offrir à l’occasion de ce cénacle qui aura lieu à Orléans (45) le
samedi 3 octobre 2009. Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit…
Fils et filles de Dieu Votre Père des Cieux.
Votre véritable
patrie n’est pas la Terre, mais bien le Ciel. En effet, Je vous ai
créés pour partager avec Moi cette éternité, pour vivre en Ma sainte
Présence, dans ces lieux de perfection, de beauté, et d’un bonheur sans
fin. C’est bien là au Ciel, que se trouve le lieu de votre repos et le
sens même de votre existence terrestre.
Ces deux mots suffiront à remplir déjà
votre vie sur la Terre, ils expriment ce qui doit être essentiel pour
vous, l’aboutissement de votre Foi en Jésus-Christ. Celui qui dit aimer
Dieu sur la Terre, doit se préparer à L’aimer totalement au Ciel, qui
est la demeure de Dieu Lui-même.
C’est
bien la perle précieuse dont parle Jésus, ce Royaume des Cieux
qui mérite tous vos efforts, vos renoncements. Vous devez être prêt à tout donner pour
l’acquérir, car cette perle est tellement précieuse qu’elle n’a pas de
prix, elle mérite tous vos sacrifices, puisqu’elle vous procurera un
bonheur sans fin.
Songez
à la vie des martyrs qui vous ont précédés, leur espérance en la
Vie éternelle était si grande, qu’ils étaient heureux de supporter
toutes les cruautés, de donner leur vie pour un jour Me rejoindre dans
l’éternité.
Mes enfants, ce chemin du Ciel, vous devez le suivre chaque jour, et
pour cela vous devez rejeter le Tentateur, ses tentations et vos
mauvais penchants. Il mettra tout en oeuvre pour troubler votre esprit,
et pour essayer de vous séduire. Ne l’écoutez pas, chassez-le par la
prière et par la puissance de votre Foi. Les tentations sont les
épines, les pierres, les obstacles qui jonchent ce chemin du Ciel, mais
Je vous donne Ma sainte Grâce pour les vaincre et pour les éviter.
Ma sainte bénédiction accompagne vos pas sur la route lumineuse du
Royaume des Cieux, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit+ Jésus
Votre seul Sauveur.
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