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Messages du Ciel - Dieu parle aux musulmans
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Message du Seigneur et de Marie donné à Monique Marie :
"je te cherche, toi mon peuple musulman"
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A nos frères musulmans Dieu parle du monde musulman "Je te cherche,
toi mon peuple musulman"
Ma rencontre
avec le Christ
Nahed Mahmoud
Future conversion des Juifs et des Musulmans Dieu
parle des autres
religions
Le livre "Je te cherche, toi mon peuple musulman" est disponible en version papier
Diffusion : Étoile Notre Dame - 36 résidence Anjou - 53100 Mayenne
tél : 02 43 30 45 67 - fax : 02 43 30 45 68
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Autres chapitres :  6 témoignages de conversion   ---   Message du Ciel sur le Moyen Orient
Répartition en chapitre
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Jésus-Christ que vous pensez être un prophète est mon Fils, mon Fils Unique, le Verbe de Dieu incarné, ma substance même.
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Non, il n’est pas qu’un prophète !
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Parle aux femmes musulmanes, j’ai besoin d’elles !
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Jésus-Christ, mon Fils Unique, se rend corporellement présent dans chaque Tabernacle, caché sous l’apparence d’une Hostie où il est.
--  C’est vous que j’appelle pour devenir chrétien et pour sauver ensuite ceux de mon peuple chrétien qui m’ont oublié
--  Les miracles de Jésus
--  Le Saint Nom
--  J’ai soif que vous veniez enfin à moi ! J’ai soif de vos âmes ! Qu’elles me connaissent entièrement !
--  La religion musulmane qui vous a aidés à vous élever vers votre Dieu, n’est cependant pas la vraie religion...
--  Votre Dieu est uniquement dans les églises Catholiques. Il faut me chercher dans les églises Catholiques. ... car Je suis uniquement dans les églises et je ne suis pas dans les temples protestants.
--  Maintenant, ô mon peuple musulman, mon Fils lui-même vous enseigne
--  Ne me rejetez plus car, le faisant, vous rejetteriez le père lui-même, votre Dieu !
--  Oui, l’hiver est fini pour toi, ô mon peuple musulman

Jésus-Christ que vous pensez être un prophète est mon Fils, mon Fils Unique, le Verbe de Dieu incarné, ma substance même.

Début février 2006

Le Père Céleste : Parle pour les Musulmans, mes frères, mes amis, parle parce que je veux qu’ils me connaissent. N’aie pas peur, je suis avec toi. Je t’y invite, je t’y presse, mon aimée. N’aie pas peur, c’est moi qui parle, c’est moi qui dis, c’est moi qui guide ta main, ta pauvre main, ton pauvre cœur, ta pauvre âme.

Ils ne savent pas que je les aime. Ils ne savent pas que je suis leur ami, leur doux frère, leur douceur, ils ont tant besoin de douceur, ils ont tant besoin de moi.

Le 7 février 2006

Écris, écris pour eux. Je veux incliner mon visage vers les leurs, je veux leur murmurer les mots d’Amour qu’ils n’ont jamais entendus, je veux leur révéler qui je suis en Vérité.

Je sais que tu n’es rien, mon aimée, que tu es faible et petite et ignorante, mais je te le demande : écris pour eux, écris pour mes enfants musulmans, pour qu’ils me connaissent enfin dans mon essence, dans ma réalité, dans toute ma miséricorde, dans toute ma substance.

Le 8 février 2006

Écris :

Beaucoup d’entre vous m’aiment vraiment et respectent mes saintes Lois, qui sont des lois de pureté et d’appartenance à ma Royauté. Vous menez des vies honorables, vous apprenez le respect de la vie, de la famille, vous exercez les vertus nécessaires à la sainteté, vous m’honorez en me priant 5 fois par jour en vous inclinant respectueusement vers ma face sublime et vous m’appelez du fond de vos cœurs, sans cesse.

J’entends vos prières, vos cris vers moi, je vois vos bonnes volontés, vos sacrifices, vos vies tournées toutes entières vers moi, votre soif de moi.

Mais je vois aussi que vous ne me connaissez pas vraiment, car écoutez, mes enfants ! Écoutez et ouvrez vos cœurs ! Jésus-Christ que vous pensez être un prophète est mon Fils, mon Fils Unique, le Verbe de Dieu incarné, ma substance même.

Écoutez-moi, O mon peuple que j’aime ! Il est temps que vous connaissiez la Vérité qui réjouira vos âmes. Oh, comme elle réjouira vos âmes, cette Vérité qui est la seule et qui vous est enfin donnée !

Écoutez ! Oh ! Écoutez les paroles de mon Fils bien-aimé :

« C’est la volonté de mon Père qui m’a envoyé, que quiconque voit le fils et croit en lui, ait la vie éternelle. »
« En Vérité, en Vérité, celui qui m’aimera, mon père l’aimera. Nous viendrons en lui et nous ferons en lui notre demeure. »

Oui, celui qui aime et reconnaît mon Fils Jésus comme le Messie, le Sauveur de l’humanité, celui-là m’aime, m’honore, et me connaît.

Mais celui qui ne reconnaît pas Jésus, Fils Unique de Dieu, Verbe incarné de Dieu, ne me connaît pas vraiment, si bien que moi le Père, je ne peux pas me dévoiler, ni me donner totalement à VOUS QUI ME CHERCHEZ ET M’HONORER.

Le Père et le Fils sont Un. C’est cela que vous ne savez pas, c’est cela que je suis venu vous dire, par pure grâce, en ces jours où vous me priez.

Je veux vous dévoiler ma véritable nature, car le temps que vous sachiez la Vérité est venu, le temps de ma grâce totale pour tous ceux d’entre vous qui me cherchent et prient.

Me voici, mes chers enfants, entièrement.

JE SUIS va se donner à vous entièrement pour que vous ne pleuriez plus, pour que vous puissiez recueillir les fruits infinies, les baumes, les parfums innombrables de ma Vérité toute entière. Car ma Vérité est celle-ci :

Dieu, l’Unique qui est AMOUR, est en TROIS PERSONNES. Car l’Amour ne peut-être seul, l’Amour nécessairement demande un mouvement, et cet AMOUR ENTRE LE PÈRE ET LE FILS s’appelle le SAINT-ESPRIT.

Écoutez, mes doux amis, écoutez mes fervents, écoutez ce que valent vos prières et votre sincérité, les cris de vos peuples depuis Agar, les prières de vos peuples depuis Agar !

Je ne suis pas le seul, l’isolé, au milieu des cieux. Je ne suis pas le juge inexorable. Je suis l’Amour qui ne cesse d’aimer, qui ne cesse de bénir, qui ne cesse de rechercher ses enfants. Et je viens aujourd’hui par mes mains blessées que je donne à mon aimée qui a enfin accepté d’écrire pour ma gloire et la vôtre ! Oui, je suis venu vous dire par elle, parce que ses mains sont blessées comme les miennes ! Je suis venu vous dire combien je vous aime, et ne veux plus vous tenir éloignés de mon Amour.

Écoutez ce grand mystère qu’aujourd’hui beaucoup d’entre vous peuvent entendre et comprendre : mon cœur de Miséricorde n’est qu’Amour et pour que cet Amour soit manifesté nous sommes trois en un seul Dieu. Nous sommes : le Père, le Fils Jésus-Christ, Verbe de Dieu, le Saint-Esprit, mouvement d’Amour entre nous.

Or, l’amour, vous le connaissez ! Vous les femmes, les mamans musulmanes prêtes à tous les sacrifices pour vos enfants, vous peuple d’amour et de partage, vous, peuple de solidarité, de générosité, de mains ouvertes. L’amour, vous le connaissez mieux que beaucoup et le vivez ! Vous savez que l’amour ne peut se vivre qu’à plusieurs, vos maisons ouvertes en sont la preuve, vos mains ouvertes, vos cœurs ouverts. Vos vies communautaires en sont un vivant exemple. Vous voyez bien, vous ne pouvez éviter de voir que l’amour se donne, se partage, l’amour ne peut se vivre seul.

Votre Dieu n’est pas seul. Votre Dieu qui est l’Origine de l’Amour que vous vivez ne peut être seul ! C’est le grand mystère de la Sainte Trinité qui vous est révélé aujourd’hui ! Car le temps est venu, les cœurs sont ouverts, les prières sont arrivées à mon cœur blessé, vos âmes se sont purifiées par la prière.

Vous pouvez entendre et reconnaître la Vérité :

Je suis Dieu en trois personnes, le Père, le Fils, le Saint-Esprit, vivant Amour, éternel Amour, Amour sans limite, mouvement indicible et inouï, entre nos trois personnes qui se donnent sans cesse l’une à l’autre, vivante image de l’Amour qui est en vous-mêmes et qui se donne aux autres.

L’Amour ne peut-être solitaire. Vous le savez, vous le sentez, vous en avez une conscience aiguë.

O mes chers enfants, croyez, croyez que mon Fils Unique Jésus-Christ est le Verbe de Dieu, celui que je chéris, il n’est pas un simple prophète, non ! Il est mon Fils bien-aimé en qui j’ai mis toutes mes complaisances et qui est mort sur la Croix pour chacun d’entre vous !

Chacun d’entre vous a été nommé sur la Croix et est inscrit dans les blessures de mon enfant, pour que vous reveniez à la Vérité.

Mes enfants le moment est grave, le moment est unique, le moment est votre moment, car c’est celui où l’Amour vient vous parler personnellement de la Vérité car il est la Vérité.

Ne refusez pas la Vérité. Écoutez-moi !

Vos prières, je les ai écoutées jusqu’à ce jour parce que vous ne saviez pas.

Vous ne savez pas que Jésus-Christ est mon fils bien-aimé le Verbe de Dieu, Dieu même, et que je suis mort avec lui sur la Croix, crucifié pour chacun d’entre vous, pour chacun ! Que toutes les plaies de mon Fils sont les miennes, que le Cœur transpercé de Jésus sur la Croix est le mien, que la couronne d’épines qui a transpercé toute sa tête jusqu’à ses yeux saints, ô combien saints, est la mienne !

J’ai écouté vos prières parce que vous ne saviez pas et que vos âmes n’étaient pas encore prêtes à comprendre ce grand mystère. Car il s’agit d’une révélation, d’une grâce de révélation que je vous accorde aujourd’hui, car les temps sont extrêmes, les temps sont à la fin pour le choix de la Vie.

Ne refusez plus le Verbe de Dieu car alors vous me refuseriez.
Ne le considérez plus comme un simple prophète car alors il aurait été un menteur.

En effet, pendant trois années de son enseignement, Jésus n’a pas cessé de faire comprendre et d’affirmer qu’il était le Fils de Dieu.

Ainsi, quand les scribes et les pharisiens l’interrogent sur lui-même, il leur dit : « Je suis la Lumière du monde. Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres. »
Et comme ils le harcèlent de questions, il leur dit encore :
« Si Dieu était votre Père, vous m’aimeriez, car c’est de Dieu que je suis sorti et que je viens. »

Puis il finit par leur dire : « En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu’Abraham fût, JE SUIS. »

Alors, ils veulent le faire mourir.

Quand Jésus demande à ses disciples, « pour vous, qui suis-je ? » Et que Saint Pierre, son premier disciple, s’exclame :« Tu es le Christ, le Fils du Dieu Vivant ! Le Messie ! »

Jésus lui répond : « Heureux es-tu fils de Jonas, parce que ce n’est pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais mon Père qui est dans les Cieux ! »

Quand les anciens du peuple, les princes des prêtres et les scribes se réunissent pour le condamner, ils lui demandent :« Tu es donc le Fils de Dieu ? »

Il leur répond : « Vous le dites, je le suis. »

Alors ils le font crucifier.

Ainsi, non seulement Jésus a osé dire et répéter qu’il était le Fils de Dieu incarné, mais il a fait ce qu’aucun prophète n’a jamais fait dans aucune religion, nulle part dans le monde. Il a fait ce qui n’appartient qu’à Dieu : il a PARDONNE LES PECHES !

Oui, souvent, quand Jésus faisait un miracle sur une personne, il lui disait : « tes péchés te sont remis ! »

Cela voulait dire pour les juifs : « je suis Dieu. »

Et c’est pour cela, et c’est cela qu’aujourd’hui vous allez pouvoir comprendre, ô mes enfants !

C’est pour cela, parce que Jésus a constamment affirmé qu’il était le Verbe de Dieu incarné, qu’il l’a montré par ses miracles extraordinaires, par sa Parole, par sa Personne même, par sa Sainteté inégalée, inimitée, inimitable, c’est pour cela que les prêtres juifs, jaloux, et ne pouvant accéder à ce grand mystère, l’ont crucifié. Et c’est pour cela, aussi, que vous ne pouvez plus croire aujourd’hui qu’il est un prophète, car alors il aurait été un prophète menteur !

Or, un prophète peut-il mentir ? Non, c’est impossible ! Un prophète ne peut pas mentir. C’est impossible !

Il ne reste donc aucun autre choix que d’accepter cette grande Joie, ce mystère inouï, cet amour incommensurable, ce bonheur indicible, cette grâce inimaginable, ce don au-delà de tous les dons, ô mes enfants !

Il ne reste donc aucun autre choix, que celui de mon Amour fou pour vous, qui a été jusqu’à envoyer mon Fils Unique chéri, seconde personne de la Trinité, sur la terre, pour vous sauver !

Il ne reste que ce choix d’Amour. Il ne reste, mes chers enfants, qu’à vous jeter dans son Cœur transpercé qui est aussi le mien, et à recevoir tous les dons du Saint-Esprit qui nous unit.

Mes chers enfants, il n’y a plus qu’à vous laissez aimer à la folie, car l’heure est venue où vous pourrez comprendre mes trésors, où vous pouvez les recueillir, goûter à leurs douceurs, à leurs parfums, à leurs miels odorants, à leur délectation.
L’heure est venue enfin, mes enfants, où votre cœur aimant peut recevoir mon Cœur en mon Fils si chéri.
L’heure est venue enfin, mes enfants que je cherche depuis si longtemps, où vous pouvez comprendre que l’Amour est à l’image de votre amour : il est Trois, parce que ne pouvant vivre sans se donner sans cesse, comme vous le faites.

Continue, mon aimée, ma plus que pauvre, ma toute petite, continue. Parle-leur de la pureté de mon Fils Unique, parle-leur de sa Sainteté inégalée.

Jésus n’était comme aucun des hommes qui ont vécu sur la terre depuis le début du monde. JESUS N’A JAMAIS PECHE ! Te rends-tu compte, ô mon peuple, te rends-tu compte, toi qui me cherches, de ce que tu viens de lire : JESUS N’A JAMAIS PECHE !

Les juifs ont été obligés de le reconnaître. En effet, un jour dans la synagogue, où tous étaient réunis, c’est Lui, mon chez enfant qui a été désigné pour lire la Parole. Or c’était, ce jour là, la parole du prophète Isaïe, qui annonçait la venue du Sauveur, le Christ.

Après cette lecture, il se fit un grand silence car tous savaient que Jésus, lorsqu’il prenait la parole, ne parlait pas pour rien. Aussi attendaient-ils ce qu’il allait dire. Et voici qu’il prononça ces mots incroyables : « ce que je viens de lire, s’accomplit aujourd’hui en moi-même ! » Ce qui veut dire : le Messie attendu, c’est moi !

Il y eu alors des mouvements de réprobation dans la synagogue, de vifs mouvements, car qu’elle parole insupportable ! Qu’un homme qui leur ressemble, qui semble extérieurement semblable à eux, né dans un simple village, soit Dieu, c’était blasphématoire ! Alors Jésus leur demanda, calmement, paisiblement : « qui d’entre vous me convaincra de péché ? »

Il y eut alors encore un très long silence… il y avait des centaines de personnes rassemblées pour la prière, des personnes qui le connaissaient depuis des années. Or, pas un n’a pu dire à ce moment-là : « je t’ai vu, à tel moment, faire telle faute ! »

Jésus avait 32 ans, et personne, même parmi ceux qui le connaissaient depuis toujours, n’a pu dire : tu as péché à tel moment !

Le silence se poursuivit. On eut beau se retourner, attendre que quelqu’un, enfin, trouve le plus petit péché dans sa mémoire, la plus petite imperfection. Personne, personne ne put répondre ! Le silence encore se prolongea. Alors Jésus quitta le lieu de la Parole. Personne, personne n’avait jamais vu Jésus faire la moindre petite faute ! Jésus donc était sans péché, ce qui voulait dire aussi qu’il ne pouvait donc pas mentir, et qu’en disant : « cette parole se réalise aujourd’hui, en moi-même ! » il disait la vérité.

Beaucoup se convertirent ce jour-là. Jésus n’eut pas besoin de dire autre chose.

Voyez-vous, mon Fils Unique est si beau, si pur, que vous ne pouvez plus le considérer comme un simple prophète, vous ne pouvez plus. (...) !

Qui choisirez-vous comme guide de votre vie éternelle, mes enfants ?

Le Sans Tache, l’Agneau d’Amour Immolé, la Pureté extrême, le Parfait ? Celui qui n’a jamais commis aucun péché ? Celui que personne, jamais pendant les 33 ans de sa vie terrestre, n’a pu soupçonner d’aucune faute ! Le Saint des Saints, l’Innocent suprême, et à jamais Unique sur la terre des vivants !

Oh, choisissez-le ! Aimez-le ! Chérissez-le ! Reconnaissez-le !

Car J’AI BESOIN DE VOUS.

Moi votre Dieu, j’ai besoin que vous veniez à moi entièrement. J’ai besoin que vous l’aimiez ! Je ne peux plus supporter de le voir opprimé et inconnu et méconnu lui, le sublime, mon Cœur même.

Oh, je vous en prie, mes enfants, consolez mon Cœur ! Je consolerai le vôtre, car je ne suis que consolation, et vous ne le savez pas ! Je dilaterai votre foi, pour en faire des braises d’Amour. Je viens vous sauver encore et encore ! Je viens vous enseigner. N’ayez plus peur, car j’ai besoin de vous.

Le Père Céleste.


(Le même jour)

Non, il n’est pas qu’un prophète !

Je vous aime mes enfants, je vous aime, mais je suis bien plus aimant que vous ne l’imaginez ! Je suis tout Amour, et c’est pour cela que je viens vous parler par les pauvres mains de ma petite et faible aimée qui peine pour vous et qui peinera encore, car il est difficile d’oser dire la vérité.

Mais mes enfants, aujourd’hui, la Vérité est légère et bonne et douce à vos palais et à vos vies, car vous êtes si près de moi dans vos cœurs !

Il suffit que vous compreniez que mon Amour déborde, que mon Amour ne peut se laisser seul, que mon Amour est Trois, pour vous le donner sans cesse ! Que mon Fils vous a tous rachetés sur la Croix et qu’il vous appelle avec moi.

Car son cœur bat de vos multiples cœurs qu’il veut siens, car son cœur bas des multiples grâces qu’il veut vous donner, car son corps supplicié appelle votre amour !

Non, il n’est pas qu’un prophète !

Quel prophète aurait pu souffrir tous ces outrages, toutes cette souffrance, tous ces coups, cette cruelle double couronne d’épines, cette flagellation horrible, cette croix, cette haine ?

Et aucun d’entre les prophètes n’a été sans tache ! Aucun n’a été sans péché, même les plus grands ! Lui est l’Innocent suprême, le Sans Péché ! Oh, aimez-le ! Ne lui retirez pas son véritable Nom ! Cessez de vous tromper ! Aimez-moi dans ma Vérité, dans ma Totalité, dans mon Amour Suprême, ma Miséricorde infinie, qui pleure de vous voir aimants, sans me connaître, de m’aimer en refusant celui qui est tout mon Amour !

Oh, mes chers enfants ! Relisez souvent ce texte qui vous est donné en Grâce. Méditez-le, gardez-le sur votre cœur, donnez-le à vos enfants ! Parlez-leur de mon Amour ; mon Fils Unique, de l’Esprit-Saint qui habite en nos cœurs, et que je veux vous communiquer.

Mon cœur brûle, mon cœur brûle ! O mes enfants !

Votre Père Céleste.


Parle aux femmes musulmanes, j’ai besoin d’elles !

Le 10 février 2006

Parle aux femmes musulmanes, j’ai besoin d’elles !

Regardez, regardez la Vierge Marie, Porte du Ciel que j’ai voulu, pour vous, dans ce cahier.

Icône Marie Porte du Ciel

Cette icône de ma très Sainte Vierge fera de nombreux miracles d’Amour pour vous. Elle est la Porte du Ciel.

Contemplez-la et reconnaissez-vous en Elle. Ne porte-t-elle pas le vêtement que vous portez ? N’est-elle pas habillée comme vous : les cheveux recouverts d’un beau tissu galonné d’or, la robe longue, pudique, qui préserve le corps de tout regard impur ? Oui, la très Sainte Mère s’est toujours habillée comme vous.

Oui, vous avez raison, mes aimées, de préserver vos corps, et d’en faire les temples de Dieu. Car votre corps, oui, est le temps de mon Esprit et il m’est réservé. Il est fait à mon Image et à ma Ressemblance et il est donné pour un seul homme qui sera votre époux. Il n’est pas donné aux autres. Il est un cadeau extrême d’amour qui est réservé à cet époux, et cet époux doit le garder et l’aime avec infiniment de tendresse, de douceur et de respect. C’est un corps saint, fait pour se donner à un homme saint, pour que naisse l’enfant saint qui m’honorera dans sa joie !

Oui, votre corps ne doit pas être dévoilé et jeté aux opprobres comme vous le voyez partout autour de vous. Ma très Sainte Mère vous en remercie. Ma très Sainte Mère que vous aimez, vous a suggéré cet habillement pour rappeler à chacun la Pureté.

Regardez-la bien, longuement, en silence ; laissez-vous pénétrer de son Amour pour chacune d’entre vous. Elle est votre Maman et combien vous savez ce que cela veut dire ! Car la maternité, vous la connaissez, le don total pour eux, vous le connaissez !

Elle va vous aider à comprendre les Secrets du Royaume que vous ignorez encore. Regardez, regardez-la. Qui tient-elle entre ses bras Immaculés ? Qui vous montre-t-elle ? Elle vous montre mon Fils bien-aimé, Jésus. Mais elle fait plus que vous le montrer : elle vous l’offre, elle vous le donne, ce Fils chérit plus que sa vie !

Elle vous supplie de le recevoir. Car il est LE SAINT DES SAINTS, celui qui a toutes les complaisances de Dieu, moi-même, celui qui est l’AGNEAU SANS TACHE qui sera supplicié ignominieusement pour chaque homme, pour le sauver et transformer ses péchés en grâces.

Oui, sur la Croix, mon Fils, en Moi, transforme tous les péchés en grâces ! Par notre Amour extrême, par son sacrifice, le Sacrifice de l’Innocent suprême, il transforme le mal en bien. Il réduit à rien Satan et ses œuvres. Il renouvelle l’humanité toute entière. Il offre à chacun de devenir fils et filles de Dieu, il prend en son Corps et son Cœur suppliciés tout le mal, tous les péchés : les plus petits, les plus graves, les plus laids, les plus répétés, les plus ignorés, les plus cachés. Tous les péchés, il les élève avec lui sur la Croix ! Il les élève avec lui sur la Croix !

Chacune de ses souffrances ôte le péché des hommes ! Oui, vos péchés, il les connaît, mais il les a soufferts pour que vous en soyez délivrés ! Il les a pris sur lui-même pour que vous soyez purifiés, pour que vous puissiez rentrer purs et saints dans mon Royaume.

Oui, mon Fils a pris tous les péchés, tous vos péchés, tous, dans sa Passion qui est une passion d’Amour extrême, qui est une passion de Miséricorde pour l’homme !

Et quelques minutes avant de mourir, il cria ces mots qui ont déchirés tous les espaces, tous les abîmes, toutes les planètes et l’enfer même ; des mots qui réjouiront les hommes et les femmes jusqu’à la fin des temps, ces mots qui réjouissent tous les habitants du Royaume du Ciel : « TOUT EST CONSOMME. »

Oui, tout est consommé ! Ce qui veut dire : tous les péchés des hommes depuis le début du monde et jusqu’à la fin des temps, ont été consommés par mon Fils, dans sa Passion.

Tous les péchés ! Pas un qui ait été oublié, pas un qui n’ait été réparé par mon Fils Unique, le Verbe de Dieu.
Tous les péchés ! Mon Fils, en moi-même les a tous rachetés ! C’est cela la merveilleuse nouvelle qui vous est révélée en ces temps nouveaux, mes aimés !

La très Sainte Vierge Marie vous donne le SAINT DES SAINTS !
 
C’est un cadeau extrême, c’est un cadeau royal, c’est un cadeau qu’aucun prophète d’aucun pays ne peut donner.
C’est un cadeau offert aux princes, aux princesses, aux habitants du palais.
C’est un cadeau que personne ne mérité, mais qui vous est donné par pure grâce, pour répondre à vos instantes prières, pour couronner votre foi, pour vous délivrer de l’oppression de la faute, pour vous donner la vérité toute entière !

Regardez la très Sainte Vierge Marie, Porte du Ciel !

Elle vous donne ce qu’elle a de meilleur, celui pour qui elle souffrira tant ! Elle est la mère des douleurs. Au pied de la Croix, elle vous donne celui pour qui elle souffre encore tant, le voyant méconnu ou rejeté, le voyant si peu aimé, lui, l’Amour extrême ! Elle vous le donne, lui, la Sagesse incarnée, la Douceur incarnée, lui, votre Roi !

Regardez le visage de votre Mère !

Sur sa joue droite il y a une marque ! C’est celle laissée par un poignard !

Oui, cette icône a une histoire, une histoire vraie ! Elle n’est pas ici par hasard. Ce n’est pas une icône ordinaire. Elle est ici par miracle et elle n’a pas cessé de faire des miracles. Voici cette histoire vraie :

C’était au XIVème siècle. Cette icône était honorée et priée dans une église russe en ces temps malheureux où commença la persécution, inspirée par Satan, qui détruisit la plupart des merveilleuses icônes.

Or, une fidèle et son fils Gabriel cacha l’icône que vous voyez, chez elle.

Mais un jour, on la dénonça et deux soldats pénétrèrent dans sa maison. Dans leur rage, l’un d’entre eux voulut éventrer l’icône et frappa de son épée la joue gauche de la Mère de Dieu. Aussitôt, il en coula du Sang.

Effrayés de ce geste, bouleversés, les deux soldats tombèrent à genoux en pleurant : le visage de la Très Sainte Vierge saignait ! Ils se convertirent et décidèrent alors de sauver l’icône.

La persécution était si violente qu’ils eurent l’idée de faire un acte de Foi. Ils la déposèrent sur les flots, suppliant la très Saint Vierge Marie de se garder de tout danger et de se sauver pour montrer sa Gloire au Ciel.

Ensuite, un des soldats et Gabriel se firent moine et allèrent en Grèce, dans un monastère du Mont Athos, qui donnait sur la mer.

Or, un jour, ils virent flotter quelque chose qui se dirigeait vers le rivage. C’était l’icône de la Mère de Dieu. Imaginez comment ils la recueillirent et quelle joie fut la leur !

Ils la vénérèrent avec infiniment de respect et voulurent la mettre dans la chapelle. A peine l’avaient-ils fait, que le lendemain matin, ils trouvèrent l’icône au-dessus de la porte de la chapelle. Ne comprenant pas, ils la remirent à sa place, dans la chapelle. Le lendemain, elle était encore sur la porte, et de même le surlendemain. Ils comprirent, alors, que la Mère de Dieu voulait être sur la porte, ce qui signifiait qu’elle était LA PORTE DU CIEL.

La suite de cette histoire vraie, de ce récit réel, est que cette icône exsuda très souvent un huile extrêmement parfumée et que, parmi les milliers de reproductions qui en ont été faites et distribuées dans le monde, beaucoup ont exsudé aussi de cette huile !

Ainsi, moi votre Dieu, j’ai choisi pour vous, dans mon Amour, cette icône miraculeuse. Je n’ai pas choisi n’importe qu’elle icône. Regardez bien la blessure de la très Sainte Vierge Marie, cette blessure sur sa joue droite.

C’est la blessure qu’elle vit toujours pour tous ceux de ses enfants qui, croyant connaître Dieu, ignorent son Fils. Elle portera cette blessure, ce saignement, jusqu’à la fin des temps, pour vous, pour que vous croyiez en celui que j’ai envoyé, celui qui vous sauve, CELUI QUI EST.

Il vous a sauvés de tous vos péchés, de vos aveuglements même. Il suffit maintenant de vous abandonner à lui. Tout est fait. Il ne vous est demandé que de l’accepter, que de le reconnaître comme votre Dieu, votre Roi, votre Rédempteur !

Oh, laissez-vous faire, mes enfants, car votre joie sera complète.

Le Père, votre Dieu.


Jésus-Christ, mon Fils Unique, se rend corporellement présent dans chaque Tabernacle, caché sous l’apparence d’une Hostie où il est

Maintenant apprenez de la Très Sainte Mère, apprenez d’elle que mon Fils bien-aimé se trouve aujourd’hui sur la terre, oui, sur la terre, dans chacune de Mes églises !

Apprenez ce mystère inouï, ce mystère de fournaise d’Amour : mon Fils chéri est toujours sur la terre, par un miracle permanent, sous la forme, ô mystère insondable ! D’un simple Hostie, elle-même cachée dans ce que mon Eglise appelle : les très Saints Tabernacles de toutes mes églises !

Il a voulu, j’ai voulu, dans notre Amour extrême, ne pas laisser mon peuple sans ma Présence ; nous avons voulu et fait l’inouï, le jamais entendu, le jamais vu, le jamais conçu : Jésus-Christ, mon Fils Unique, se rend corporellement présent dans chaque Tabernacle, caché sous l’apparence d’une Hostie où il est.

C’est un mystère d’Amour inconcevable, sauf par l’Amour. C’est pourquoi je vous le livre aujourd’hui, car l’Amour appelle l’Amour !

Comment aurais-je pu vous laisser seuls, mes enfants ? Comment moi, qui suis l’Amour extrême, qui vous désire, vous aime, ne vit que pour vous, qui ai racheté en mon Fils tous les fils de la terre, comment aurais-je pu vous abandonner, quitter la terre où mon Fils est venu, s’est incarné, a souffert ? Comment aurais-je pu vous abandonner ? Je n’ai pas pu.

J’ai conçu en mon Fils chéri ce mystère inouï, indicible, de rester parmi les hommes, caché, mais réellement présent dans la sainte Hostie, dans le Tabernacle.

Ceux qui me connaissent et m’aiment savent, sentent, vivent de cette Hostie, en reçoivent toutes grâces, toutes bénédictions, toutes forces, toutes consolations, tous pardons, tous réconforts, toutes joies.

« JE SUIS » descend en leurs corps pour nourrir leur âme, la rendre pure et sans tache, la vivifier, la sanctifier, la protéger de tout mal. Et ce grand Mystère, je veux aujourd’hui vous le donner !

O mes chers enfants ! Je ne veux plus qu’il soit réservé. Je veux vous le dévoiler, car mon Cœur éclate ! Mon Cœur transpercé en Celui de mon Fils fait jaillir sur l’humanité le Sang du Pardon, le Sang de la Vie. Votre Dieu ne peut plus vous laisser ignorer le Trésor des Trésors, car il a pour vous un Amour extrême !

Oh ! Écoutez, mes aimés, écoutez !

Continue, mon aimée, continue, car vous, mes âmes musulmanes, vous avez une mission aujourd’hui, une mission extraordinaire, que je vous confie et que je vous supplie de réaliser, une mission d’amour envers ma Sainteté suprême, envers votre Dieu qui vous aime !

Voyez ma tristesse, voyez la tristesse de votre Dieu, voyez mes larmes, ma Passion, voyez ! Mes églises où mon Très Saint Fils se cache, oui, certaines de mes églises se vident, car on ne me connaît plus !

A qui demander de l’aide ? Beaucoup de chrétiens ont perdu la foi parce qu’on ne leur apprend plus la Vérité. Mes enfants ne viennent plus me visiter. On leur a fait croire que je n’existais plus, on leur a prouvé par mille mensonges que je n’existais pas, et ils se sont éloignés de mon Cœur.

Qui me visitera dans mes saintes églises ? Je cherche, je cherche des âmes qui aiment Dieu ! Je crie, j’appelle ! Qui m’entendra ? Vous ! Vous qui m’aimez, vous qui priez sans me connaître vraiment, comprenez !

Comprenez que l’église est la maison de votre Dieu, que c’est le seul Dieu qui soit véritable et que c’est là que je vous attends. Je sais que, pour vous, il est difficile d’y croire, mais je prépare vos cœurs. Vous m’avez donné trop de prières pour que je vous laisse encore dans l’ignorance de la ma Vérité. Vous m’écouterez, car votre Dieu pleure.

Vous m’aimez et vous passez à côté de ma présence réelle en mon Fils dans les églises, sans vous y arrêter, sans entrer, sans venir le consoler et vous consoler !

Qui, qui viendra ? J’appelle ! Je pleure ! Je gémis ! Qui, qui m’entendra ? Mons peuple m’a oublié. On l’a nourri d’athéisme et d’idées fausses. Il mettra tant de temps à me retrouver ! Il ne me connaît plus et se meurt de désespoir.

J’appelle ! J’appelle ! QUI VIENDRA M’AIDER A SAUVER TOUTES MES ÂMES ?

Vous les femmes musulmanes et les hommes qui m’aimez !

Écoutez mon Cri ! Les églises sont mes maisons, les maisons de votre Dieu qui est en Trois personnes ! Le Dieu des chrétiens est le Dieu véritable. L’église ne doit pas devenir une mosquée, mais ELLE EST VOTRE MAISON, venez-y, priez-y. Demandez à mon chez Fils qu’il vous enseigne toutes choses. Je vous en supplie !

A qui crierai-je ma Peine, moi votre Dieu ? Qui m’écoutera ? Je suis Dieu, mais je suis Dieu Trinitaire et mon Fils Jésus-Christ est Dieu et vous attends dans toutes les églises du monde. A qui, à qui puis-je demander cela, puisqu’on ne connaît plus le Nom de Dieu ?

Comprenez-vous, ô mon peuple musulman ? Convertissez-vous à ma Vérité et venez remplir mes églises vides de votre présence. Adorez-moi et choisissez Jésus-Christ, le Parfait.

Mahomet m’est soumis, Mahomet qui est mort, sait la Vérité. Il sait que l’Eglise du Christ est Celle de mon Royaume. Je viens vous chercher car je veux vous faire partager tout mon Amour, tous mes Trésors, toutes ma Douceur, toutes mes Merveilles !

Regardez la très Sainte Vierge Marie, Porte du Ciel, que je vous donne d’une manière toute particulière. Entendez bien, comprenez bien ! Elle est la Porte du Ciel, elle est celle qui vous fera rentrer au ciel ! Or, elle vous montre mon Divin Fils, Roi du Monde, votre Roi.

Contemplez-la ! Observez ces mains : vous n’apercevez distinctement que quatre doigts.

C’est que, bien qu’elle soit la plus pure des créatures, celle qui a été conçue sans péché, celle qui est l’Immaculée Conception, au-dessus de toute créature, elle est une créature, elle n’est pas Dieu.

Regardez maintenant la main droite de mon cher Fils : ses cinq doigts y sont nettement visibles. Or, ce signe des cinq doigts symbolise traditionnellement la Sagesse. Ce qui signifie qu’il est la totalité de cette Sagesse, qu’il l’incarne totalement, donc qu’il est Dieu.

Quand à la Main gauche de mon cher Fils qui tient un parchemin enroulé qui est la Parole de Dieu : elle a le pouce caché, et c’est ce pouce invisible qui maintient le sceau fermé du parchemin.

Qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie que c’est lui et lui seul qui peut dérouler ce parchemin, donc révéler cette Parole de Dieu qui reste cachée sans lui. C’est lui le VERBE DE DIEU qui éclaire tout homme en ce monde.

Voyez mon Amour pour vous !

Interrogez chaque jour la Vierge Sainte, priez-la, demandez-lui qu’elle vous enseigne, mettez-vous dans ses bras. Elle vous emmènera vers lui et vers moi.

Je vous aime.

Votre Dieu.


C’est vous que je cherche, c’est vous que j’appelle pour devenir chrétien et pour sauver ensuite ceux de mon peuple chrétien qui m’ont oublié, qui ne savent plus de j’existe, pour les faire revenir à moi !

Le 16 février 2006.

Enseigne encore par ma Voix, par mes Mots. Sois confiante. J’ai besoin d’aide.

Souviens-toi ! Pour porter la Croix des péchés du monde, j’ai été aidé par Simon le Cyrénéen qui l’a portée avec moi. J’AI BESOIN DE TOI, J’AI BESOIN DE VOUS, J’AI BESOIN DE MES ENFANTS MUSULMANS. La croix aujourd’hui des péchés est si lourde. J’appelle, j’appelle, pour que l’on m’aide à la porter jusqu’au Golgotha,

QUE JE PUISSE SAUVER LES ÂMES QUI SE PERDENT PAR MILLIERS.

Écoutez, écoutez mon Cri. Regardez-moi sur la Croix. Je crie, je pleure, je demande à boire pour les hommes, de la vraie nourriture, la vraie parole nourrissante, la parole de Vie. Je dis, je répète : j’ai soif… j’ai soif pour tous ceux qui n’ont pas la Vérité, la Boisson céleste, les onguents de ma Miséricorde, de mon Cœur Transpercé d’Amour, les baumes de mon Pardon, les baumes de mes Caresses, de mes Parfums, pour tous les pécheurs qui ne savent pas qui JE SUIS !

J’ai besoin d’aide ! Oui, votre Dieu tout-puissant a besoin d’aide. Et c’est vous que je cherche, vous, mon peuple musulman. C’est vous que je cherche, c’est vous que j’appelle pour devenir chrétien et pour sauver ensuite ceux de mon peuple chrétien qui m’ont oublié, qui ne savent plus de j’existe, pour les faire revenir à moi !

C’EST UN PROJET INOUÏ AUQUEL NUL N’AVAIT SONGE !

Seul Dieu qui vous aime tant peut vous faire une telle confiance car j’entends vos prières, je connais vos cœurs, je sais que vous m’écouterez, je sais que vous aurez pitié de votre Dieu qui pleure ! N’ayez pas peur ! Oh non, n’ayez pas peur ! Je vous aime tant, je vous chéris tant ! N’ayez pas peur, n’ayez plus peur !

A force de me chercher, a force de me prier chaque jour, n’est-ce pas juste que vous me trouviez vraiment ? Qu’enfin je me révèle à vous tel que je suis ?

JE SUIS est Père, Fils, Saint-Esprit. C’est la Vérité. Il n’y a qu’un Vérité et elle est tout entière.

Le Père Céleste, votre Dieu.

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Le même jour.

Les miracles de Jésus

Enseigne, parle des miracles de mon Fils.

Jésus a fait de très nombreux miracles pendant trois années où il a enseigné. Il en a fait plus que tous les prophètes réunis. Il a constamment accompagné ses Paroles de miracles. Il a guéri des milliers de malades, si bien que lorsqu’il se déplaçait, aveugles, lépreux, handicapés, paralysés, tous le suivaient… les prêtes juifs qui le jalousaient se disaient entre eux : « Si on le laisse faire, tous croiront en lui. »

Naturellement, si on avait laissé Jésus vivant, tout le peuple aurait cru en lui, tous !

Comme refuser l’évidence de sa Sainteté ? Quand les 5000 hommes, femmes, enfants qui avaient suivi Jésus, s’étaient sentis affamés et sans rien à manger, et qu’il leur avait donné à manger, alors qu’on n’avait trouvé que 5 pains et 2 poissons, ils avaient tous cru en lui. Tous !

Quand les amis de Lazare avaient vu leur ami mort et mis au tombeau, et qu’ils entendirent Jésus, TROIS JOURS après cette mort, dire d’une voix forte : « Lazare, sors de ton tombeau ! ». Et qu’ils virent Lazare sortir de son tombeau encore tout entouré de bandelettes, ils crurent en Jésus, car personne jamais n’avait fait de tels signes !

Quand les disciples, pourtant pêcheurs chevronnés, se virent engloutis par la tempête sur le lac de Tibériade et que Jésus, qu’ils réveillèrent brusquement, commanda à la mer et au vent de s’apaiser et que cette mer s’apaisa, ils ne purent douter qu’il était Dieu !

Lorsqu’ils le virent marcher sur les eaux, lorsqu’ils l’entendirent commander au paralytique immobilisé depuis 38 ans : « lève-toi, prends ton grabat et marche » et que le paralytique se leva, prit son grabat et s’en alla…

Lorsqu’ils le virent ouvrir les yeux des aveugles, faire entendre les sourds, lorsqu’ils le virent ressusciter la fille de Jaïre, devant tous les témoins, ils surent que Jésus n’est pas un prophète ordinaire, car personne jamais n’avait fait ces signes et personnes jamais n’en fera de semblables !

« Si vous ne croyez pas en Moi, croyez au moins à cause des signes que je fais » disait-il. Car les juifs savaient que le Messie, le Sauveur du monde, ferait ces signes-là. Ils avaient été annoncés dans la Bible : « Les aveugles voient, les boiteux marchent, les sourds entendent, la bonne nouvelle est annoncée aux pauvres. »

Oui, la Bonne Nouvelle est annoncée aux pauvres ! Les pauvres sont tous ceux qui ne me connaissent pas encore, moi, le vrai Dieu en Trois personnes, moi qui ai envoyé mon Fils chéri sur la terre pour vous !

Les pauvres sont ceux qui ne peuvent pas déjà sur la terre vivre ma vie de grâces entièrement, qui n’ont qu’une image déformée est faible de ma Miséricorde, de ma Compassion, de ma folie d’Amour pour les hommes ! Les pauvres sont ceux qui ne me connaissent pas en Jésus-Christ, dans son visage supplicié, dans sa couronne d’épines qu’il a supportée pour chacun d’entre vous, tous ceux qui ne savent pas que moi, le Père, je ne suis qu’un avec ce Fils chéri, que je ne cesse de tenir entre mes bras, dans la douceur du Saint-Esprit !

Moi Dieu, votre Père Céleste.

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Les noces de Cana

Enseigne sur le premier miracle de mon Fils bien-aimé !

Quand Jésus était sur la terre, il y a 2000 ans, son premier miracle a été le miracle des noces de Cana. On l’avait invité à un mariage.

Vous savez, vous mes enfants, combien la cérémonie du mariage et ses festivités sont importantes, et vous réservez à ce moment beaucoup de temps et vous y consacrez beaucoup de vous-même ! Voyez, comme moi, votre Dieu, je suis bon ! J’ai voulu, en mon Fils bien-aimé, me servir justement du lieu et du moment du repas de noces pour faire ce premier miracle, car je vous incluais, dès ce jour, dans la révélation de mes Mystères.

Or, à la fin de ces noces, le marié était dans un grand embarras, car il n’y avait plus de vin à offrir !

La très Sainte Vierge Marie, qui vous regarde avec tant d’Amour dans cette icône de « Marie Porte du Ciel », la Très Sainte Vierge Marie, attentive à chacun, s’en rendit compte elle aussi. Toute compatissante, elle s’approcha de son Fils et lui murmura :

« Ils n’ont plus de vin ! »

Qu’est-ce que cela veut dire ? En plus de la réalité concrète de ce manque, un jour de fête, qu’est-ce que cela veut dire pour chacun des hommes hier et aujourd’hui ? Qu’est-ce que cela veut dire sur le plan spirituel, pour l’âme ?

Cela veut dire que les âmes sont privées de la Boisson Céleste, de la Boisson du Royaume de Dieu, qu’elles ne reçoivent plus la Nourriture Sacrée qui seule peut les réjouir !

La Sainte Maman le voit ! Elle voit ses enfants sans véritable nourriture. Elle voit ses enfants qui ne connaissent pas le véritable Dieu qui rassasie son peuple. Elle voir que vous ne me connaissez pas vraiment et que vos âmes en souffrent. Aussi me dit-elle encore aujourd’hui : « ils n’ont plus de vin ! »

Cette fois encore j’entends son appel, car je ne peux résister à l’appel de la Mère Virginale de mon Fils. Et c’est pourquoi je viens vous enseigner par mon aimée. Je viens vous rassasier du Vrai Vin du Royaume, dont la vigne jusqu’à ces temps vous était cachée, car la vigne du royaume est mon Fils Jésus.

Ce vin qui abreuvera vos âmes assoiffées, sera transformé au Golgotha, en son Sang qui coulera pour chacun d’entre vous.

Oui, sur la Croix, mon Fils chéri vous a nommés chacun personnellement.

Il a prononcé dans son Âme chacun de vos prénoms, pour qu’un jour, et c’est aujourd’hui, vous puissiez entrer en son Cœur Bienheureux qui est le mien. Entrer et ne plus jamais vous en séparer et ne plus jamais perdre la Joie

Écoutez encore, mes chers enfants, le récit et le sens de ce grand miracle.

Tout d’abord, la Très Sainte Vierge, discrètement, alla voir les serviteurs et leur dit ceci : « FAITES TOUT CE QU’IL VOUS DIRA ! »

Puis Jésus demanda à son tour à ces serviteurs de remplir d’eau les jarres qui servaient aux ablutions, c’est-à-dire les jarres dans lesquelles on mettait l’eau pour se purifier avant d’aller me prier. Elles représentaient en quelque sort le rite religieux auquel tous les juifs se pliaient, et qu’ils respectaient depuis 2000 ans. Elles étaient utilisées pour me servir, moi leur Dieu, auquel ils croyaient de tout leur cœur. Pourquoi les remplir maintenant ? Ce n’était pas le moment de la prière et elles ne devaient servir qu’aux ablutions.

Mais ils obéirent ! Ils obéirent à la parole de la Très Sainte Vierge Marie et à celle de mon Fils qui leur demanda ensuite de porter cette eau au maître de maison et de lui en verser ! Elle était changée en vin !

Voyez-vous, mon cher Fils, pour faire ce premier miracle, que vous comprendrez plus tard, oh la joie, quand vous comprendrez, mes chez enfants ! Oh la Joie ! MON CHER FILS A DEMANDE L’AIDE AUX SERVITEURS. Il aurait très bien pu faire le miracle de transformer cette eau en vin, seul, sans eux, mais il a montré qu’il avait BESOIN DES HOMMES.

Encore une fois, c’était difficile pour eux ! Mais ils ont eu confiance en la Très Sainte Vierge Marie qui leur avait dit : « Faites tout ce qu’il vous dira ! » Alors ils ont obéi. Ils ont écouté. Ils ont rempli les jarres. Et le miracle a eu lieu !

Mais s’ils n’avaient pas écouté, s’ils n’avaient pas eu confiance, s’ils n’avaient pas fait taire en eux la voix qui leur disait que c’était ridicule, que c’était absurde, que c’était l’eau pour les ablutions, qu’on ne devait pas la servir au maître, qu’on se ferait reprendre, renvoyez peut-être. S’ils avaient écouté cette voix, le miracle n’aurait pas eu lieu et moi, Dieu en Jésus-Christ, je ne me serais pas manifesté ce jour-là.

J’ai voulu, moi Dieu, votre maître, que mon Fils ait besoin des hommes pour accomplir sa mission de les sauver.

Il a eu besoin de ces serviteurs obéissants, bravant les interdits et les doutes. Oui, il a eu besoin d’eux, qui ont abandonné les idées reçues, parce qu’ils ont senti son Amour, et ma Vérité, COMME J’AI BESOIN DE VOUS AUJOURD’HUI POUR SAUVER LES ÂMES.

Cependant, mon Fils bien-aimé n’a pas fait là un simple miracle. Il annonçait en plus, à travers lui, sa Mort et son Sacrifice sur la Croix, car le vin est le symbole de son Sang Innocent qui sera versé pour l’humanité !

Oh non ! Ce n’était pas un simple miracle pour satisfaire les invités et le maître ! C’était beaucoup plus ! Les disciples ensuite le comprirent ! Quand Jésus répandit son Sang si pur sur tout le parcours pour aller jusqu’au Golgotha, lorsqu’ils virent son Corps Supplicié, que pas une parcelle de peau n’avait été épargnée ! Ils comprirent ce grand miracle. Le vin annonçait le Sang versé par l’Innocent, le Sans Tache !

Le Vin annonçait les milliers de blessures du corps sublime du tout aimant, du tout Amour. Le Vin était son Sang répandu pour sauver toute l’humanité ! Comprenez-vous mes chers enfants ? Comprenez-vous ?

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"Je ne suis pas dans la mosquée, je ne suis pas dans la synagogue, je ne suis pas dans le temple, je suis dans l’église, caché dans le tabernacle où se trouve le Mystère des Mystères, le Miracle des Miracles"
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Vous les femmes musulmanes, qui aimez tant vos enfants et vos fils, vous pouvez sentir ce que je veux vous dire : l’Amour que j’ai pour mon Fils, le Saint des Saints qui n’a jamais péché, qui a tout donné, tout offert, tout souffert et qui est moi-même.

Ainsi, n’ayez plus peur. Je vous apporte ce que vous attendez, ce que vous demandez par vos prières. Je vous apporte toute Paix, tout Amour, toute miséricorde. Je vous apporte le Pardon de vos péchés, je vous apporte le Sang précieux de mon Fils qui lavera toutes vos blessures. Je vous apporte tout mon Amour dans sa Vérité. Je vous apporte mes Caresses, je vous apporte mes Baumes, je vous apporte mes Parfums, je vous apporte le Bonheur de me connaître entièrement, je vous apporte toute votre propre Espérance !

N’ayez plus peur ! Soyez les serviteurs courageux qui franchiront enfin la porte de mon Cœur en remplissant les jarres d’eau, en acceptant de rentrer dans ma maison et de m’y trouver car je ne suis que là.

Je ne suis pas dans la mosquée, je ne suis pas dans la synagogue, je ne suis pas dans le temple, je suis dans l’église, caché dans le tabernacle où se trouve le Mystère des Mystères, le Miracle des Miracles : mon Fils Unique caché dans la Sainte Hostie, mon Fils Unique Dieu Verbe Incarné, caché, anéanti dans son Amour même, moi-même en Lui, anéanti, et ce jusqu’à la fin des temps, anéanti dans la Sainte Hostie.

C’est là que je suis, mes chers enfants !

Puis-je ne pas vous le dire puisque vous me priez ? Puis-je encore rester caché ? Puis-je encore vous laisser ignorer mes Grâces ? Puis-je encore vous laisser ignorer mon Trésor, le Trésor de votre Dieu ?

Non ! Le Trésor de votre Dieu est à vous ! Vous le demandez chaque jour. Je ne peux plus vous laisser sans la Vérité !

Oh, soyez mes serviteurs, soyez mes vrais amis, reconnaissez-moi en Jésus-Christ. Venez remplir de votre présence que j’aime mes églises vides. Réapprenez à mes enfants perdus la droiture, la morale, la vie en Dieu. Montrez-leur par votre respect, par votre habillement, que vous m’honorez. Apprenez-leur à aimer. Ils ne savent plus.

Mes enfants sont désespérés. Mes enfants crient, mes enfants se suicident ! Ils ne me connaissent pas. Convertissez-vous à Jésus-Christ, mon Fils chéri, et réapprenez aux chrétiens éloignés de mon Cœur ce que ma Sainte Mère vous a appris : la décence, la pureté, la prière quotidienne, le respect des règles saintes de la vie, l’unique amour entre l’homme et la femme, le respect total de la jeune fille et du jeune homme avant le mariage.

Et apprenez, apprenez ce qu’est la Sainte Messe. Apprenez des Chrétiens qui me connaissent et m’aiment ce qu’est la très Sainte Messe, le Mystère des Mystères, où mon Fils se donne encore et toujours, où vous recevrez plus de grâces que vous n’en avez jamais reçues, où vous saurez de votre Dieu est là ! Apprenez de ceux qui savent et m’aiment vraiment.

Suppliez votre Maman la Très Sainte Vierge, priez-la. Demandez à apprendre tout de suite la PRIÈRE DU CHAPELET, allez DANS LES LIEUX OU ELLE APPARAIT et ce qui vous était caché – car les temps n’étaient pas venus – vous sera révélé très vite.

Vous réjouirez mon Cœur, vous serez vous-mêmes dans une Joie et une Reconnaissance que personne jamais ne pourra vous enlever. Oh ! Comme vous me remercierez sans cesse !

N’ayez pas peur !

Commencez par prier ma Sainte Mère ; dites :

« Je vous salue Marie, pleine de grâces
Le Seigneur est avec Vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus, le fruit de Vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous, pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.

Amen »

Dites chaque jour, à chaque heure, constamment, cette prière, car elle vous ouvrira toutes les portes de mon Royaume, de ma vraie présence en vous, toutes les portes, toutes. Moi Dieu, j’en fais la promesse ! Ensuite elle vous guidera, là où vous devez aller. Ne craignez rien. Je suis vraiment votre Dieu, votre ami, votre doux aimant, votre tout aimant, je vous porte dans mes bras.

Faites seulement ce que je vous dis : priez la Très Sainte Vierge Marie à toute heure. Elle s’appelle la « Porte du Ciel », elle ne peut vous tromper et tout se fera dans la Paix, dans la Certitude et la Joie de ma présence.

O mes enfants, vous allez connaître la Joie de ma Présence ! Vous ne pouvez imaginer ce qu’elle est pour moi, vous deviendrez Braises d’Amour ! Oh non ! Vous n’irez pas contre les Chrétiens, car je suis Chrétien. Je suis le Père bien-aimé du Fils bien-aimé, le Christ.

Vous comprendrez, vous saurez, vous vivrez, vous exulterez en moi, votre amant, votre douceur. Vous trouverez toute douceur ! O mes serviteurs, faites, faites, remplissez les jarres de l’obéissance à ma Parole ! Les temps sont venus de me connaître.

O Joie ! Joie dans Ciel ! Joie pour les Anges ! Joie pour Abraham ! Joie pour Sarah ! Joie pour tous les Prophètes ! Joie, Joie au Ciel ! Vous me reviendrez, vous me connaîtrez, vous me louerez, vous me bénirez. O mes Fils, ô mes filles !

Votre Dieu ne cesse plus de vous appeler, de vous étreindre, de vouloir vous consoler, de vouloir vous enseigner, de vous vouloir pour lui seul. Amen.

Le Père Céleste, maître de tout, créateur du Ciel et de la Terre, de l’univers visible et invisible, maître des Anges, maître du Ciel et de l’enfer, maître du Cosmos.

Votre Dieu.

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Le Saint Nom

Le 23 février 2006

Enseigne, enseigne par mon Saint Nom !

Apprenez, mes enfants, apprenez par mon Saint Nom. J’ai voulu qu’il soit devant vous, mon Très Saint Nom, tel qu’Abraham le connaît, tel que tous les prophètes le connaissent.

Mon Saint nom est devant vous tel qu’il est dans la Bible, tel qu’il est écrit dans la Bible, dont le Coran se réclame. Voici mon Saint Nom, ce Saint Nom que les hommes ne prononçaient jamais par respect et crainte de ma Royauté toute entière !

Voici mon Très Saint Nom :

Il est en quatre lettres que vous pouvez contempler et lire de droite à gauche, comme votre propre écriture. Oui ! Contemplez-le, parce qu’en lui se révèle toute Vérité et qu’il suffit de le contempler pour comprendre qui JE SUIS.

Oh ! Je n’aurai presque rien à dire, moi votre Dieu, si vous prenez simplement le temps de le contempler avec amour ! Car mon Amour appelle votre amour et toute la Vérité est contenue dans mon Nom très Saint !

Contemplez, contemplez !

Il y a quatre lettres c’est pourquoi on l’appelle : le tétragramme. Mais observez bien. Deux des lettes sont les mêmes : la deuxième et la quatrième. Il ne reste en définitive que trois lettres différentes !

Oh ! Réjouissez-vous, mes aimés, mon peuple musulman ! Car mon Saint Nom, qui est celui de vos Pères dans la Bible, vous enseigne toutes choses !

Il contient trois lettres différentes, Oui, Trois :

La première lettre à droite, י

Moi le Père, qui suis dans les Cieux.

C’est pourquoi le signe qui me représente se trouve uniquement dans la partie supérieure de l’espace réservé aux lettres. Regardez, regardez, contemplez cet enseignement ! Moi le Père, je suis dans les Cieux.  Mais mon Fils, qui est la troisième Lettre en partant de la droite, et qui est représenté au départ par la même forme, s’incarne ו

Si bien que la lettre se prolonge jusqu’en bas de l’espace réservé aux lettres, bas qui signifie la terre. Oui, mon Fils Jésus-Christ, Verbe de Dieu, s’incarne, descend jusqu’à la Terre, pour vous sauver !

O mes aimés, réjouissez-vous ! Contemplez ce qui est et auquel vous ne pouvez résister, car là est tout votre Dieu.

Et la troisième lettre qui revient deux fois, ה

Que représente-t-elle ?

Elle représente le Saint-Esprit, l’Esprit d’Amour qui nous unit et dont je vous ai parlé au début de ce livret, cet Esprit d’Amour qui unit le Père et le Fils. C’est pourquoi il est représenté deux fois, car il nous enserre et nous étreint dans une danse sublime d’Amour et de Joie.

O mes enfants, contemplez cette Merveille écrite depuis le commencement de mes Révélations, écrite avant même que les hommes la comprennent au départ, car les juifs qui honoraient mon Saint Nom ignoraient sa signification, ne la saisissaient pas.

Seuls ceux qui se sont laissés embraser par l’Amour de mon Fils, Jésus-Christ, comprennent le sens de mon Saint Nom. Et aujourd’hui je vous le révèle, je vous dévoile ses secrets, je vous le donne entièrement. O mes aimés, laissez-vous enseigner et entrez, entrez dans l’arche de mon Cœur qui est le Cœur Transpercé de mon Fils sur la Croix.

Votre Dieu.


J’ai soif que vous veniez enfin à moi ! J’ai soif de vos âmes ! Qu’elles me connaissent entièrement !

Enseigne, enseigne par le visage de mon Fils crucifié.

Contemplez, contemplez maintenant, mes enfants, votre Dieu, le visage de votre Dieu sur la Croix !

Regardez sa Beauté, sa Bonté, son Innocence, sa Douleur, ses Blessures, la couronne d’épines qui transperce son chef Sacré, ses Yeux qui vous appellent, son Amour, qui se donne, le Sang qui jaillit de ses Plaies, son Regard, son Cri vers vous, ses Larmes, ses Lèvres Tuméfiées, l’horrible, l’horrible Couronne d’épines.

CE VISAGE EST LE MIEN Car je suis mort avec mon Fils sur la Croix.

J’ai été blessé des milliers de coups reçus par mon Fils, j’ai senti toutes les épines de la Couronne. Mon visage s’est couvert du sang de mon Fils ! Votre Dieu a subi tous les outrages de son Fils : votre Dieu a été flagellé, souffleté, on lui a craché sur le visage et on continue à le faire.

Votre Dieu a crié avec son Fils bien-aimé, dans l’Amour du Saint-Esprit : « J’ai Soif ! »

Et il vous redit aujourd’hui : « J’ai Soif ! »

J’ai soif que vous veniez enfin à moi ! J’ai soif de vos âmes ! Qu’elles me connaissent entièrement ! J’ai soif de vous donner tout mon être. J’ai hâte de vous serrer dans mes bras, de vous serrer dans mes bras et de vous y bercer jusqu’à la fin des temps.

Mais je ne peux plus attendre, je veux, votre Dieu veut, que cela soit maintenant ! Que je puisse, comme une tendre mère, vous étreindre, vous consoler, vous rassurer, et vous chuchoter les paroles mêmes de mon Fils, avant sa Très Sainte Mort : « Je suis la vraie Vigne et mon Père est le Vigneron »

« Je suis la vigne, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure, porte beaucoup de fruits : car séparés de moi, vous ne pouvez rien faire. »

« Comme mon Père m’a aimé, moi aussi je vous ai aimés : demeurez dans mon Amour. »

« Le Père lui-même vous aime, parce que vous m’avez aimé et que vous avez cru que JE SUIS sorti du Père. Je suis sorti du Père et je suis venu dans le monde ; maintenant, je quitte le monde et je vais au Père. »

Puis, ayant levé les yeux au Ciel, il dit : « Père, l’heure est venue, glorifiez votre Fils afin que votre Fils vous glorifie, puisque vous lui avez donné toute autorité sur toute chair, afin qu’à tous ceux que vous lui avez donnés il donne la Vie Eternelle. Or, la Vie Eternelle c’est qu’ils vous connaissent, vous, le seul vrai Dieu, et celui que vous avez envoyé, Jésus-Christ. »

« Je vous ai glorifié sur la terre, j’ai achevé l’œuvre que vous m’avez donnée à faire. Et maintenant, Père, glorifiez-moi auprès de vous, de la gloire que j’avais auprès de vous avant que le monde fût. »

Ces paroles recueillies par Saint Jean, celui qui se tenait toujours contre le cœur de mon Divin Fils, penché sur sa poitrine, celui qui le comprenait tout particulièrement et qui était surnommé « le disciple que Jésus aimait », que ces paroles prononcées juste avant la Passion de mon cher Fils nourrissent vos âmes assoiffées de mon Amour, nourrissent vos cœurs attentifs, nourrissent vos vies faites pour moi, uniquement faites pour le Royaume que je vous apporte, les consolent de toute souffrance, les affermissent dans la Vérité. Que vous reconnaissiez mon enfant chéri, là, crucifié devant vous sur la croix !

Le Père Céleste.


La religion musulmane qui vous a aidés à vous élever vers votre Dieu, n’est cependant pas la vraie religion, car elle se trompe en de nombreux points

Le 24 février, 5 heures du matin

C’est moi, votre Sainte Mère qui veut maintenant vous enseigner. Moi, la Très Sainte Vierge Marie, toujours Vierge, ayant enfanté par l’action de l’Esprit-Saint, Jésus.

Je viens à vous parce que je suis votre Maman, la Maman de chacun d’entre vous et, comme une maman, je me soucie de vous, je veux vous enseigner la Vérité.

Regardez-moi de nouveau. Non seulement j’ai inspiré à vos femmes leur habillement, mais je leur ai communiqué mes vertus : la pureté, la simplicité, l’humilité, la fidélité, la patience, la douceur et la crainte de Dieu. Ce sont toutes les qualités que Dieu m’a données et que j’ai cultivées chaque jour, avec amour, pour sa Gloire.

Vous les cultivez aussi, car Dieu les inspire à celles qui l’invoquent avec ferveur et c’est par cette ferveur même, à cause d’elle, qu’il m’envoie vous instruire.

Sur la terre Dieu m’a souvent envoyée, mais en ce moment si grave pour toute l’humanité il m’envoie d’avantage pour l’aider à sauver l’humanité en plein désarroi. Venez, venez, mes chers enfants, dans les lieux où je suis venue et où j’apparais encore aujourd’hui.

Je vous y attends pour vous donner toutes grâces !

La France, que mon Cœur aime particulièrement, m’a vue venir souvent sur son sol pour l’encourager ou la sauver. Venez à Lourdes, où j’ai donné mon Saint Nom, celui par lequel toute l’humanité me reconnaîtra un jour : « L'IMMACULÉE CONCEPTION ».

Oui, j’ai révélé à Lourdes, à une jeune fille ignorante, la petite Bernadette Soubirous, mon Nom, pour elle complètement inconnu. Je lui ai donné en patois, car elle ne connaissait pas le français.

« QUE SOY ERA IMMACULADA COUNCEPCIOU ».

Ce qui signifie : « JE SUIS L'IMMACULÉE CONCEPTION ».

La pauvre petite Bernadette ne comprenait pas ces termes, mais voulait les communiquer au curé de sa paroisse qui ne croyait pas à ces apparitions et qui lui avait demandé le nom de la belle dame en se moquant.

Elle fut donc obligée de les répéter en courant depuis la grotte où je me tenais jusqu’à la maison du prêtre. Or, elle était asthmatique et il y avait 2 kilomètres, ce qui était beaucoup ! Elle arriva essoufflée devant le prêtre et lui dit : « Que soy era Immaculada Councepciou. »

Le prêtre, incrédule jusqu’alors, fut consterné ! Comment cette petite jeune fille ignorante connaissait-elle ce terme qui était inconnu de tous, sauf de quelques théologiens ? Alors il pleura ! Oui, il pleura, car il sut que Bernadette me voyait vraiment, que ce n’était pas une affabulation. Il devint alors sont plus ardent défenseur, alors qu’il l’avait beaucoup rudoyée jusqu’alors !

Venez à Lourdes !

Je vous y donnerai de nombreuses grâces. J’y guéris depuis plus d’un siècle de nombreux malades. Oh, mes enfants, je vous reconnaîtrai parmi tous et mon Cœur bondira de Joie quand je vous y verrai ! Là, vous viendrez vous laver dans l’eau de la source que j’ai fait faillir sous les doigts de Bernadette et qui coule encore depuis 1858. Oui, elle coule encore et l’on peut y être plongé !

Vous irez ensuite voir le corps de ma petite privilégiée à Nevers, car Sainte Bernadette, après m’avoir vu 18 fois, devint religieuse et fut envoyée dans une congrégation dans cette ville. Là, elle vécut dans l’humilité totale et y mourut.

Cependant, lorsqu’on ouvrit sa tombe 50 ans plus tard, pour voir l’état de son corps, on s’aperçut qu’il était intact. Oui, Dieu a permis ce miracle pour que vous croyiez ! Allez contempler le visage de celle qui m’a vue !

Allez ensuite, mes chers enfants, à Paris, dans le 7ème arrondissement, au lieu dit « la médaille miraculeuse » rue du Bac. Là, vous verrez des hommes et des femmes de tous pays : européens, africains, asiatiques. Là, vous recevrez tant de grâces !

Là, je suis venue pour apporter cette médaille qui est appelée « médaille miraculeuse », parce qu’elle a fait des milliers de miracles. C’est moi-même qui ai indiqué ce qu’il fallait frapper sur cette médaille.

Je l’ai demandé à une religieuse qui s’appelait « sœur Catherine Labouré ». Je lui ai parlé de la France. Je lui ai demandé de prier pour ce pays que j’aime tant. Je lui ai dit que la médaille protégerait tous ceux qui la porteraient, et elle l’a fait, et elle le fait toujours.

Ma petite sœur Catherine Labouré n’a jamais dit, à aucune des religieuses, qu’elle me voyait, car je lui avais demandé de n’en parler qu’à son confesseur qui ne la croyait pas et qui ne voulait pas faire frapper la médaille que je demandais. Catherine souffrit beaucoup et pendant de longues années. On la méprisa.

Ce n’est que quelques jours avant sa mort qu’elle révéla à sa supérieure les apparitions dont elle avait été gratifiée. Elle le lui dit, car ce que j’avais demandé n’était pas encore complètement réalisé. La médaille avait été frappée, car le confesseur de sœur Catherine avait fini par croire sa confidente et cette médaille avait fait tout de suite des milliers de miracles, d’où le nom qu’on lui donna. Mais, tout n’avait pas été réalisé : j’avais demandé aussi qu’on érige à mon intention une statue où je tenais dans ma main le monde, pour l’offrir à Dieu.

Catherine mourut et ma dernière demande fut exaucée.

Le corps de celle qui est Sainte Catherine ne se décomposa jamais et vous pourrez voir, à Paris, dans la chapelle de la médaille miraculeuse, ses yeux magnifiquement bleus qui frappaient tous ceux qu’elle rencontrait. Portez, portez ma médaille. Elle vous protégera, vous instruira, vous sauvera de mille maux.

Je suis aussi apparue à Pontmain, au nord-ouest de la France, à des enfants, dans la nuit au milieu des étoiles. Ils ont lu ensemble les mots qui se sont inscrits autour de ma Vision !

« Priez, priez mes enfants, mon Fils, se laisse toucher. » Ce message est aussi pour vos enfants. Le Père a besoin des prières des petits et des tout-petits.

Pontmain est un lieu privilégié d’Amour pour les enfants et de supplication, afin qu’ils nous aident à sauver l’humanité. Là, aucun adulte ne vit mon apparition. Seuls les enfants eurent cette extrême grâce de lire dans le ciel ce que la main de Dieu écrivait.

Ces faits sont vrais. Mon apparition et les prières que les enfants m’adressèrent sauvèrent alors la France de l’arrivée des prussiens, comme aujourd’hui je veux sauver la France de l’emprise de Satan et en faire le pays de la joie et de la Paix.

Mon pays de préférence et la France, car il est le pays de préférence de mon Dieu. Et vous voyez que c’est ce pays qui vous a accueillis. Malgré ses fautes quelquefois à votre égard, vous y vivez. Pardonnez-lui, car votre Dieu vous le demande, devenez français et chrétiens, entrez complètement dans nos cœurs pour sauver le monde !

Oh, mes enfants, croyez, croyez que je suis envoyée par Dieu pour vous, dans un amour de compassion extrême et dans une grande confiance, je vous appelle, je vous appelle, Dieu me le demande !

Il y a encore de très nombreux lieux où je suis apparue en France, aussi bien dans le nord que dans le sud. Cherchez-les et venez, venez me voir dans ces lieux privilégiés où je vous donnerai beaucoup de grâces ! Le temps est venu où le règne de l’immaculée conception va pénétrer vos cœurs et rendre à Dieu Trinité sa véritable place. Le temps est venu de la Joie !

Je viens aujourd’hui, je parle, je supplie, l’implore ! Priez, priez, priez, car la terre est devenue la proie de Satan ! S’il n’y a pas assez d’âmes qui prient, la terre sera dévastée ! Les épidémies, les maladies de toutes sortes, les guerres en feront un cloaque de détresse. Mes enfants, m’entendrez-vous ?

Et si ce n’était que la terre ! Mais les âmes, les âmes qui vivront éternellement, les âmes de mes enfants qui ne se seront pas converties, iront en enfer pour l’éternité.

Et c’est cela qui, plus que tout, désole votre maman et la très Sainte Trinité. C’est cela qui pousse votre Dieu à m’envoyer encore, par les faibles mains de mon aimée, pour vous dire de vous convertir, car, en vous convertissant au Christ dans la religion dite catholique, vous vous sauverez vous-mêmes et sauverez avec vous des milliers d’âmes !

Le temps est venu, mes aimés le temps est venu ! Ne prenez pas les choses à la légère ne pensez pas qu’il reste beaucoup de temps pour chercher et entrer dans la Vérité toute entière.

Non, il ne reste pas beaucoup de temps, car vous voyez ce qui se passe aujourd’hui sur votre terre ; les lois iniques, l’oubli des lois Saintes, vont désoler la terre ! Les erreurs de religion vont séparer les hommes, alors qu’ils sont faits pour s’aimer et nous louer.

La religion musulmane qui vous a aidés à vous élever vers votre Dieu, n’est cependant pas la vraie religion, car elle se trompe en de nombreux points. Moi, votre Maman, je viens du Ciel vous le dire. N’ayez pas peur de voir la vérité, car la vérité vous rendra Libres et Joyeux !

N’ayez pas peur ! Ce qui est vrai est vrai. Vous saurez d’une manière certaine que vous ne vous trompez pas, car vous ressentirez la Joie et la Paix qui sont les marques du Royaume de Dieu en vous.

Votre Maman du Ciel vient vous suppliez et vous bénit.


Votre Dieu est uniquement dans les églises Catholiques. Il faut me chercher dans les églises Catholiques. ... car Je suis uniquement dans les églises et je ne suis pas dans les temples protestants.

Le même jour, 7 heures du matin.

Vous rentrerez dans les églises, mes chers enfants, vous y entrerez. Non pas dans n’importe quel édifice, car Je suis uniquement dans les églises et je ne suis pas dans les temples protestants.

Votre Dieu est uniquement dans les églises Catholiques. Il faut me chercher dans les églises Catholiques. Il faut me chercher, mes enfants, car je vous cherche, moi, depuis tant de temps et il me tarde de vous voir enfin franchir les portes de Ma Maison !

Oh, ma Joie quand je vous y verrai !

Ici, maintenant cependant, je dois vous faire des confidences qui brisent mon Cœur.

Dans certaines de mes Maisons, de mes Églises, alors que je suis réellement présent dans le Saint-Tabernacle en mon Fils Jésus-Christ, caché dans l’Hostie Sainte, vous ne trouverez pas toujours ce que vous devriez y trouvez !

Vous devriez y trouver l’extrême respect de ma Présence, une Adoration constante, des gestes d’Amour et de Crainte de Dieu. Mais beaucoup de mes enfants chrétiens n’ont plus reçu ma Parole. On les a trompés, on les a sevrés de ma Réalité.

Depuis plus de 50 ans, on ne leur parle plus de Moi.

Ils entrent dans les églises, sans plus savoir que j’y suis. Ils y parlent, y viennent en visiteurs, y admirent l’architecture, les vitraux, les splendeurs que j’ai inspirées aux peintres, aux architectes, aux sculpteurs, mais ils ne viennent pas me visiter, si bien qu’ils passent à côté de moi, leur Dieu, sans me voir !

Ils ne savent pas ! Ils ne savent plus ! C’est pourquoi j’ai pitié d’eux.

Quelques-uns encore heureusement me connaissent et vous trouverez des âmes ferventes agenouillées, en adoration devant ma Face, et vous saurez que vous avez là des frères et des sœurs. C’est vers elles qu’il faudra que vous alliez. Elles vous guideront, car je parlerai en leurs cœurs pour vous.

Avec ces âmes vous m’honorerez. Vous ne rentrerez jamais dans une église sans m’avoir à l’entrée longuement adoré, dans une prosternation d’Amour et de ferveur. Puis vous connaîtrez la Messe où je me donne par mon Fils bien-aimé et votre Joie sera complète. Vous ne serez pas séparés de vos frères encore musulmans, car vous prierez intensément pour eux, et très vite, beaucoup d’entre eux se convertiront, car leur prière attire la Vérité qui vient à eux.

Vos visites dans ma Sainte Église Catholique, Sainte non pas aujourd’hui par tous ceux qui la fréquentent, mais Sainte par ma Présence en mon Fils, vos visites qui réjouiront mon Cœur, interrogeront ceux qui vous y verront, car vous m’honorerez entièrement, vous ne serez distraits par rien, vous viendrez uniquement pour Moi, vous me regarderez, vous me louerez, mous me chanterez en vos âmes, vous me remercierez, vous serez entièrement tournés vers moi, votre corps tout entier en adoration. Et cela mes pauvres enfants si éloignés de moi le verront. Et leurs âmes seront bouleversées et ainsi, peu à peu, comprendront-ils que JE SUIS là.

C’est une œuvre de miséricorde que je vous demande. C’est une œuvre de réparation. C’est aussi une œuvre d’enseignement, car vos tenues respectables, vos vêtements décents, rappelleront aux éloignés, que l’église n’est pas un lieu ordinaire, qu’on ne peut s’y présenter n’importe comment ! Peu à peu, ce respect leur inspirera ce qu’on ne leur a plus enseigné : la Crainte de Dieu.

Mais, mes enfants, quelle joie vous aurez, quand vous serez près de mon cher Fils ! Quelle Joie ! Vous ne pourrez plus vous passez d’y venir. Vous y serez attirés irrésistiblement, comme par un aimant d’Amour et de Feu qui vous appellera sans cesse, et vous chercherez, partout où vous serez, une église. Et vous y rentrerez, poussés par l’Amour, poussés par la reconnaissance et vous ne voudrez pas qu’elle devienne une mosquée, parce que vous saurez définitivement qu’elle est ma Présence-même et que rien ne peut lui être comparé !

Peu à peu vous découvrirez aussi que des Chrétiens que vous ne connaissiez pas m’honorent, m’aiment et donnent leur vie pour moi. Dans certaines églises vous trouverez une ferveur extraordinaire, et dans certaines autres, une adoration constante. Vous serez heureux, car vous les reconnaîtrez vos frères.

Votre Dieu d’Amour en Trois Personnes.

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Maintenant, ô mon peuple musulman, mon Fils lui-même vous enseigne :

O mes chères âmes !

Enfin, enfin est venu le temps où vous pouvez nous écouter et comprendre le grand Mystère de la Sainte Trinité, le grand Mystère de l’Incarnation de votre Dieu en ma personne, sur la terre d’Israël en l’an I, à Bethléem de Judée, dans une simple grotte, plus pauvre que pauvre, pauvre au milieu des pauvres, tout petit, innocent, déjà pourchassé par la méchanceté des hommes, par la haine des grands, et devant être emmené dans les bras de ma Sainte Mère, en pleine nuit, dans le froid et la peur, fuyant la persécution d’Hérode qui veut me tuer, fuyant, grâce à Joseph qui a reçu la nuit même la visite de l’archange qui l’a prévenu.

Oui, c’est moi d’abord qui commence à vous parler. Oui, je suis un enfant pourchassé que ma mère serre dans la nuit, dans le froid de décembre. La route est si sombre, on ne voit rien. Joseph, le chaste époux de la Vierge, cherche le chemin. Il n’y en a pas. Chaque pas est un danger et chaque bruit, l’arrivée probable des soldats. Ma Mère pleure, mais ne le montre pas, elle essuie furtivement ses larmes…

Où iront-ils dans cette nuit ? Vers quel abri ? Où diriger leurs pas ? Qui prendra soin du Fils de Dieu ? Qui l’empêchera de mourir à peine né ?

Marie prie, ma Très Sainte Mère ne cesse de prier et c’est moi, cahoté sur cet âne, sentant derrière moi déjà la haine qui me cherche, ressentant déjà tout le mal qui me crucifiera sur la croix, moi, si petit enfant qui ne pleure pas, mais qui sanglote en mon âme des larmes invisibles de ma Mère.

Oui, c’est moi, ce tout petit enfant dans le froid de décembre qui vient vous parler, celui même qui sera crucifié et qui le suis déjà, à peine né, qui viens vous supplier de m’écouter.

Je suis Dieu, oui, Incarné !

Acceptez ce mystère insondable, indicible, qu’aucun raisonnement humain ne peut comprendre. Et parce qu’aucun raisonnement humain ne peut l’admettre, ni l’envisager, ni le démontrer, sachez, sachez d’une manière certaine qu’il est vrai !

Car Dieu est le tout autre, CELUI DONT NUL HOMME NE PEUT SONDER LA PENSÉE.

Si vous compreniez Dieu, alors vous seriez vous-mêmes Dieu. Il y a – et c’est cela qui est une preuve – le Mystère, le Mystère inouï de l’incarnation que nul croyant, même le plus sincère, ne peut expliquer raisonnablement. Non, il ne l’explique pas. Il tombe prosterné parce qu’il sent que ce mystère dépasse toutes les pensées humaines, qu’il dépasse tout ce qui aurait pu être imaginé par l’homme en ce qui concerne Dieu !

Non, ce Mystère dépasse tout ! Et c’est pour cela qu’il est Vrai, qu’il est la réalité de votre Dieu qui dépasse tout.

Jusqu’ici vous n’avez pas pu l’admettre parce que vous cherchiez à l’expliquer, à le raisonner. Mais justement,
il ne se raisonne pas,
il ne se comprend pas.
Il s’accueille, il se donne,
il s’impose à l’âme priante et aimante.
Il la comble de Joie.
Il s’engouffre en elle, pour ne plus en sortir, car il est inimaginable !
Il est le projet de votre Dieu ! Projet d’Amour au-delà de tout projet, projet de folie d’Amour au-delà de toute pensée humaine, projet de feu, projet de pur Amour.

Jésus,
Votre Doux Ami,
Vrai Dieu, Vrai Homme.



La suite
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Ne me rejetez plus car, le faisant, vous rejetteriez le père lui-même, votre Dieu !

Le 27 février 2006

Moi, Jésus, je continue à vous parler.

Oui enfant, à peine né, j’ai déjà souffert. J’ai souffert à chaque instant de ma vie sur terre, je n’ai pas seulement souffert sur la Croix. Oh non ! Tout sur la terre était cause de souffrances, à l’exception de la présence de ma Très Sainte Mère, exempte de tout péché, et de celle de mon cher Père Adoptif, qui m’honorait de sa Sainteté.

Mais en dehors d’eux, tout m’était souffrance, car Dieu est parfait et ne conçoit que le parfait. Or, la terre d’Israël, ma terre choisie, connaissait le péché. Je le voyais partout et mon être Divin ne pouvait qu’en souffrir. Oui, j’ai souffert à chaque instant de mon existence, mais j’ai souffert dans la joie, car je voulais vous sauver. Je vous aime tant ! Toute souffrance m’était douce car vos âmes seules m’importaient, vos âmes sauvées. Et aujourd’hui encore, vos âmes seules me sont chères. Et c’est pourquoi je viens encore vous parler.

Ne me rejetez plus car, le faisant, vous rejetteriez le père lui-même, votre Dieu !

C’est le tout petit enfant pourchassé qui vous parle, mais c’est aussi celui à qui n’a été épargnée aucune souffrance et qui a désiré d’un ardent désir vivre cette Passion pour vous sauver ! Oh ! Chacune de mes souffrances a été acceptée dans la Joie incomparable de vous voir revenir à moi, Verbe de Dieu, et me revenant, vous voir entrer dans le Cœur même de Dieu.

Regardez maintenant, regardez sur les images que je vais vous offrir, mon Cœur Transpercé, c’est aussi celui du Père, celui de votre Dieu. Pourquoi mon Cœur sur la Croix a-t-il été transpercé ?

En principe, le soldat qui m’a ainsi transpercé ne devait pas le faire. Il avait été envoyé pour me briser les jambes, comme celles des deux condamnés, qui mourraient avec moi, car c’était une coutume de le faire, pour hâter la mort qui est trop longue, puisqu’elle se fait pas asphyxie. Mais j’étais déjà mort ! Alors, me voyant mort, il désobéit à l’ordre qu’on lui avait donné et transperça mon très Saint Cœur.

Il en sortit aussitôt de l’Eau et du Sang ! Oh ! Réjouissez-vous car le Trésor des Trésors vous est révélé en cet instant !

L’EAU DE MON CŒUR EST CELLE QUI PURIFIE TOUS LES PÉCHÉS.
LE SANG DE MON CŒUR EST CELUI QUI DONNE LA VIE ETERNELLE.

Ô mes enfants, écoutez bien ce mystère insondable : l’Eau et le Sang jaillis de mon Cœur Transpercé signifient : L’Eau qui purifie tous les péchés, le Sang qui donne la Vie Éternelle.

Réjouissez-vous, oh, réjouissez-vous !  Sur la Croix, j’ai tout fait ! Il n’y a plus qu’à vous laisser envahir par cette Eau et ce Sang qui sont les preuves d’Amour de votre Dieu.

Contemplez bien cette image et la suivante. Elles ne sont pas les créations d’artistes inspirés. Non ! Elles sont les peintures que deux artistes ont faites d’après les Visions que j’ai accordées à deux âmes privilégiées.

La première d’entre elles était saint Marguerite-Marie Alacocque, religieuse à Paray-le-Monial, au nord de Lyon.

C’était au XVIIème siècle. J’ai honoré cette religieuse toute simple des apparitions de mon Cœur Bienheureux, transpercé, pour le faire connaître à l’humanité, pour que l’humanité puisse comprendre qu’en moi, Verbe de Dieu, Image du Père, il n’y a qu’Amour. Un Cœur transpercé ne signifie-t-il pas cela ?

Suis-je apparu en juge justicier ? NON ! j'ai montré MON CŒUR OUVERT, QUI EST AUSSI CELUI DU PÈRE.

Venez à Paray-le-Monial. Vous trouverez le Cœur de votre Dieu.

J’ai aussi, par pure grâce, accordé à une autre religieuse, sœur Faustine, à Cracovie, en Pologne au début du XXème siècle, des visions de mon Très Saint Cœur, car les hommes n’ont pas entendu ce que j’ai dit à sœur Marguerite-Marie, ils n’ont pas écouté ou ils ont oublié.

J’ai supplié que cette image parcours le monde, pour que chacun puisse y trouver le Pardon de ses péchés, et une nouvelle vie dans mon Cœur. Aujourd’hui, c’est à vous que je viens révéler ces Saintes Images, car tout cela, jusqu’ici, vous l’ignoriez !

Oh ! Cachez-vous dans mon Cœur, je vous en supplie. Oh ! Cachez-vous-y !

Jésus, Verbe de Dieu.


Oui, l’hiver est fini pour toi, ô mon peuple musulman !

AYEZ CONFIANCE,.Ne croyez pas que mes premiers apôtres ont cru tout de suite ! Non !

Même ma Sainteté inégalée, même les très nombreux miracles par lesquels j’ai manifesté ma Puissance, même ma Mort et ma Résurrection – car je suis apparu à beaucoup d’entre eux ressuscité – les ont laissés dans l’incompréhension de ce Mystère incroyable de l’Incarnation du Verbe de Dieu, de DIEU FAIT HOMME.

Comment alors ont-ils cru définitivement ? Voici :

Après avoir manifesté ma Résurrection pendant de nombreux jours, je les ai rassemblés pour les quitter et je suis monté au ciel, devant eux. C’est ce qu’on appelle : mon Ascension. Cependant, avant celle-ci, je leur avais révélé que j’enverrais l’Esprit-Saint, la Troisième Personne de la Sainte Trinité, qui leur expliquerait tout ce qu’ils n’avaient pas compris.

Mais lorsque je fus complètement disparu à leurs yeux, ils furent consternés et ne comprenaient toujours pas. Ils s’en allèrent alors et comme ils avaient très peur des juifs qui m’avaient tué, ils s’enfermèrent avec ma Très Sainte Mère dans une salle qui s’appelle le Cénacle, et là ils prièrent.

Cinquante jours après ma Passion, un Souffle entra dans cette salle et se posa sur chacune de leurs têtes en des langues de feu. C’était l’Esprit-Saint.

Alors qu’ils craignaient tout des juifs, alors qu’ils n’avaient jusqu’ici pas encore réussi à croire entièrement en moi, Verbe de dieu, VOILA QU’ILS COMPRIRENT TOUT A L’INSTANT MÊME, qu’ils n’eurent plus aucune crainte, qu’ils sortirent de cette salle et ils enseignèrent à tous ceux qui étaient à Jérusalem cette Vérité incroyable et si dangereuse à exprimer en public :

CELUI QUE VOUS AVEZ CRUCIFIE, CE JÉSUS DE NAZARETH EST DIEU !

On pouvait à l’instant les emprisonner et les faire mourir. Qu’importe ! Plus rien ne les arrêtait. L’Esprit-Saint, comme je leur avais promis, s’était révélé en eux et leur avait dispensé tous ses Dons. A partir de ce moment là, ils ne doutèrent plus jamais et donnèrent leur vie pour affirmer la Vérité.

OR VOICI QUE MAINTENANT JE FAIS DE MÊME AVEC VOUS.

Je vous envoie l’Esprit-Saint afin que vous compreniez ce que vous ne pouviez comprendre, afin que vous sachiez ce que vous ne saviez pas, afin que vous vous réjouissiez de votre Dieu, afin que vous vous convertissiez.

Que l’Esprit-Saint pénètre dans chacune des âmes qui lira ces écrits et lui enseigne directement !
Que l’Esprit-Saint, troisième personne de la Sainte Trinité, les remplisse de Joie !
Que l’Esprit-Saint pénètre dans cette salle, comme il y a 2000 ans, afin que tous ceux qui y sont, le reçoivent, sentent leurs âmes dilatées de sa Présence, de sa Force, de sa Vérité, et que vous deveniez les apôtres de ma Joie.

Invoquez, invoquez l’Esprit-Saint, qu’il répande ses Langues de Feu sur tous vos esprits ! Amen, amen !

Voici que le Père en moi renouvelle la face de la terre !
Voici qu’il donne à qui a demandé !
Voici qu’il nourrit celui qui a faim !
Voici qu’il donne à boire à celui qui a soif !

Oh, mes aimés ! Voici que je vous ai trouvés ! J’accours vers vous, les yeux baignés de larmes. Plus personne jamais ne vous séparera de moi.

Jésus-Christ, Fils du Dieu Vivant.

Et maintenant, écoute, ô mon peuple musulman, le chant de l’épouse avec le bien-aimé. Oh, écoute ! Savoure et entre dans mon Jardin des Délices !

L’épouse : Mon bien-aimé a pris la parole, il m’a dit : « Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! Car voici que l’hiver est fini. La pluie a cessé, elle a disparu, Les fleurs ont paru sur la terre, Le temps des chants est arrivé, La voix de la tourterelle s’est fait entendre
Dans nos campagnes ; Le figuier pousse ses fruits naissants, La vigne en fleur donne son parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle et viens ! »

(Extrait du Cantique des Cantiques, chapitre 2)

Oui, l’hiver est fini pour toi, ô mon peuple musulman !

Les fleurs ont paru sur la terre, le temps des chants est arrivé, la voix de la tourterelle s’est fait entendre dans les campagnes, le figuier pousse ses fruits naissants, la vigne en fleur, moi-même, te donne son parfum. Tu peur venir, ô mon peuple, t’y embaumer. Lève-toi, viens !

Ton Seigneur.

Grande, grande est la Joie au Ciel, ce livret fera la joie de tant d’âmes ! Oh, grande, grande est la Joie du Ciel ! Sarah trésaille de Joie car Agar, celle qui a été chassée, revient. Oui, elle revient portée par les anges et les archanges ! Elle revient portée par des cohortes de saints, par les prophètes et les chérubins !

Oui, Agar revient avec son peuple.

C’est Sarah qui étreint celle qui revient du désert, qui l’introduit dans la plus belle des tentes où l’attend Abraham prosterné devant son Dieu, le Dieu Trinité qu’il a trouvé et compris en Jésus-Christ. Au sol, des tapis somptueux, des tissus, des velours, des tentures de soie, partout des parfums qui embaument l’espace, partout l’Amour et la Paix.

Amen, amen !

Ton Dieu Amoureux.
Grandes, Grandes et Merveilleuses sont nos Œuvres !
Moi, le Roi des Nations !



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