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L’Ascension du
Seigneur |
(...) Après ces mots, Jésus s'éleva vers le ciel pendant que tous le regardaient; puis un nuage le cacha à leurs yeux. Ils avaient encore les regards fixés vers le ciel où Jésus s'élevait, quand deux hommes habillés en blanc se trouvèrent tout à coup près d'eux et leur dirent : « Hommes de Galilée, pourquoi restez-vous là à regarder le ciel? Ce Jésus, qui vous a été enlevé pour aller au ciel, reviendra de la même manière que vous l'avez vu y partir. » Les apôtres retournèrent alors à Jérusalem depuis la colline qu'on appelle mont des Oliviers. Cette colline se trouve près de la ville, à environ une demi-heure de marche (Actes 1.6-12). |
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La fête de l’Ascension du Seigneur doit vous rappeler, de manière particulière, le commandement du Seigneur Jésus à ses disciples, d’aller jusqu’aux limites de la terreMessage du Ciel - Jean messager de la lumière - Livre tome 7 : Choisir l'Amour de Dieu - Page 155 : L’Ascension - Message du 17 mai 2012
A l’Ascension de son Fils, la Sainte Vierge Marie, avec son cœur de
maman, ne désirait qu’une seule chose au monde : être avec Jésus, son
Enfant bien-aimé...
Son cœur de Maman a ressenti, malgré tout, une immense joie du fait qu’avec sa chair et son sang, son très cher enfant soit élevé à la droite du Père, de façon mystérieuse, mais bien réelle. C’est bien pour obéir à son Fils qui, au pied de la croix, lui a demandé d’être la Mère de l’Église, qu’elle est restée sur terre. Elle avait la mission d’accompagner et de soutenir les disciples, cela dans l’attente confiante du don de Dieu et dans l’inspiration de l’Esprit Saint. Les disciples du Christ ont ainsi témoigné de la Bonne Nouvelle, jusqu’aux limites de la terre. Et jusqu’à leurs dernières forces, dans leur mission d’évangélisation, ils ont agi de tout leur cœur dans l’amour de Dieu. Vous avez à prendre une part active à la mission de l’Église et rendre le Christ Jésus présent dans le monde, en proclamant l’Évangile, en faisant adhérer les hommes à la foi de l’Église. Comme la Sainte Vierge Marie, vous êtes surtout engagés dans une entreprise qui risque de rester inachevée si vous ne mettez pas toute votre bonne volonté pour faire naître, en vos frères humains, la vie de Dieu. Certes, vous n’êtes pas les maîtres de cette œuvre car seul l’Esprit Saint peut la réaliser et cela à travers votre entière disponibilité ; ainsi, Marie, l’humble servante du Seigneur, est devenue la Mère de Dieu par la puissance de l’Esprit Saint, à qui elle s’est offerte entièrement pour l’Éternité. La fête de l’Ascension du Seigneur doit vous rappeler, de manière particulière, le commandement du Seigneur Jésus à ses disciples, d’aller jusqu’aux limites de la terre. Cette invitation, vous devez la réaliser en défendant l’Église qui est Marie, et, également, en votre propre âme, qui inlassablement est menacée par le Griffu ... Ce qui s’oppose réellement à lui et au mal, ce ne sont pas vos discours car il sait en faire ! Il sait même se servir de la parole de Dieu, comme il le fit avec Jésus au commencement de sa mission, lors des tentations au désert. Demandez à la Sainte Vierge Marie d’augmenter en vous la disponibilité à suivre l’Esprit Saint qui est présent dans votre cœur et qui seul peut transformer votre vie, afin que vous aussi deveniez dignes de participer, avec tous les saints, à la gloire éternelle du ciel, là où le Seigneur Jésus est monté vous préparer une place. Jean, votre messager d’Espérance L’Ascension du Seigneur (...) "Seigneur
! Ils sont là dehors, entre le mont et
Béthanie, tous ceux que tu avais dit à ta
Mère vouloir bénir aujourd’hui" dit
Pierre. Les
dernières recommandations Toujours plus
facile et plus courte sera votre
préparation. Mais je n’exige pas autre chose
de vous. Il me suffit seulement que vous
priiez assidûment, en union avec les
soixante-douze et sous la conduite de ma Mère, que
je vous recommande avec l’empressement d’un
Fils. Elle sera pour vous une
Mère et une Maîtresse d’amour et de
sagesse parfaite. J’aurais pu vous
envoyer ailleurs pour vous préparer à
recevoir l’Esprit-Saint, mais je veux au
contraire que vous restiez ici car c’est
Jérusalem négatrice qui doit s’étonner de
la continuation des prodiges divins,
donnés pour répondre à ses négations. Lisez les
prophètes : en eux tout est prédit. Ma Mère
d’abord, puis l’Esprit Paraclet, vous feront
comprendre les paroles des Prophètes pour ce
temps. Restez
ici jusqu’au moment où Jérusalem vous
répudiera comme elle m’a répudié, et haïra
mon Église comme elle m’a haï, en couvant
des desseins pour l’exterminer.
Alors portez ailleurs le siège de cette
Église que j’aime, car elle ne doit pas
périr. Les battements
du cœur de l’Église, affranchie de tout
lien avec le Temple, éternelle et
victorieuse sur les ruines du Temple mort et
détruit, vivant dans le cœur du
monde pour dire aux hébreux et aux gentils
que Dieu seul triomphe et veut ce qu’Il
veut et que ni la rancœur des hommes, ni
les troupes d’idoles n’arrêtent son
vouloir. Quand le
Seigneur m’a rappelé une lointaine
conversation, j’ai incliné la tête pour dire
: “Que soit fait ce que tu veux”. C’est ce
que je te dirai du moment où, le Seigneur
nous ayant quittés, tu seras son
Représentant sur la Terre. Et nous nous
aimerons en nous aidant dans le ministère
sacerdotal" dit Jacques en s’inclinant de sa
place pour rendre hommage à
Pierre. L'annonce
des persécutions futures Soyez dans la
paix en me sachant toujours prêt à vous
aider pour porter votre croix. Je serai avec
vous dans les fatigues de votre ministère et
à l’heure des persécutions, et vous ne
périrez pas, vous ne succomberez pas même si
cela semblera à ceux qui voient avec les
yeux du monde. Vous serez
accablés, affligés, lassés, torturés, mais
ma joie sera en vous car je vous aiderai
en tout. En vérité je vous dis que
quand vous aurez pour Ami l’Amour vous
comprendrez que tout ce que l’on subit et
vit par amour pour Moi devient léger, même
si c’est la lourde torture du monde. Car
pour celui qui revêt d’amour tout ce qu’il
fait volontairement ou tout ce qui lui est
imposé, le joug de la vie et du monde se
change en un joug qui lui est donné par
Dieu, par Moi. Et je vous répète que la charge que
je vous impose est toujours proportionnée à
vos forces et que mon joug est léger Car je
vous aide à le porter. Et s’ils vous
disent en vous voyant persécutés : “Est-ce
ainsi que Dieu vous aime ? En vous faisant
souffrir, en vous donnant la douleur ? Alors
ce n’est pas la peine d’appartenir à Dieu”,
répondez : “La douleur ne
vient pas de Dieu. Mais Dieu la permet, et nous en
savons la raison et nous nous glorifions
d’avoir la part qu’a eue le Sauveur Jésus,
Fils de Dieu”. Répondez : “Nous
nous glorifions d’être crucifiés et de
continuer la Passion de notre Jésus”.
Répondez par les paroles de la Sagesse : “La mort et la douleur sont entrées
dans le monde par l’envie du démon, mais
Dieu n’est pas l’auteur de la mort et de
la douleur et il ne jouit pas de la
douleur des vivants. Toutes les
choses qui viennent de Lui sont vie et
toutes sont salutaires”[3]. Répondez : “A présent nous
semblons persécutés et vaincus, mais au
jour de Dieu, les sorts sont changés :
nous justes, persécutés sur la Terre, nous
serons glorieux devant ceux qui nous ont
tourmentés et méprises".
Mais il n’y en
a pas d’autre... En vous l’indiquant comme
unique chemin et unique porte, je vous dis
aussi, je vous répète quel est le remède qui
donne la force pour parcourir ce chemin et
entrer par cette porte : c’est l’amour.
Toujours l’amour. Tout devient possible
quand nous avons en nous l’amour. Et tout
l’amour vous sera donné par l’Amour qui vous
aime, si vous demandez en mon Nom assez
d’amour pour devenir des athlètes de
sainteté. Les adieux Et avec mon
amour, je te laisse ma Mère. Jean sera son
fils, mais toi sois pour elle une
bonne sœur comme toujours. Tu vois ? Elle ne
pleure pas, ma Mère. Elle sait que si la
nostalgie de Moi sera la lime qui consumera
son cœur, l’attente sera toujours brève par
rapport à la grande joie d’une éternité
d’union, et elle sait aussi que notre
séparation ne sera pas absolue au point de
lui faire dire : “Je n’ai plus de Fils”.
C’était le cri de douleur du jour de la
douleur. Maintenant, dans son cœur, chante
l’espérance : “Je sais que mon Fils monte
vers le Père, mais ne me laissera pas sans
ses spirituels amours”. C’est ce que tu
crois toi, et tous... Voici les uns et les
autres. Voici mes
bergers." Pour savoir
ce que sont devenus les gens de la famille
de Lazare, lire le chapitre : Les
premiers évangélisateurs de France Je vous
remercie tous. Toi, Lazare, mon ami. Toi,
Joseph, et toi, Nicodème, pleins de pitié
pour le Christ quand cela pouvait être un
grand danger. Toi, Manaën, qui as su
mépriser les faveurs sordides d’un être
immonde pour marcher dans mon chemin. Toi, Étienne,
fleur couronnée de justice qui as quitté
l’imparfait pour le parfait et qui seras
couronné d’un diadème que tu ne connais pas
encore mais que t’annonceront les anges. (Lire le
procès de Saint Étienne dans le chapitre dédié à Gamaliel) Toi, Jean, pour
un bref laps de temps frère au sein très pur
et venu à la Lumière plus qu’à la vue. Toi,
Nicolaï, qui, prosélyte, as su me consoler
de la douleur des fils de cette Nation. Et
vous, disciples bonnes et courageuses, dans
votre douceur, plus que Judith.
Le destin de Margziam (Martial), l'enfant
adoptif de Saint Pierre Et toi, Margziam,
mon enfant, et qui dorénavant prends le nom
de Martial,
en souvenir du petit romain tué sur le
chemin et déposé à la grille de Lazare avec
un cartel de défi : “Et maintenant dis au
Galiléen qu’il te ressuscite, s’il est le
Christ et s’il est ressuscité”, le dernier
des innocents qui en Palestine ont perdu la
vie pour me servir bien qu’inconsciemment,
et prémices des innocents de toute Nation
qui, venus au Christ, seront pour cela haïs
et éteints prématurément, comme des boutons
de fleurs arrachés à leur tige avant qu’ils
n’éclosent. Et ce nom, ô Martial, t’indique ton
futur destin : sois apôtre en des terres
barbares et conquiers-les à ton
Seigneur comme mon amour a conquis le jeune
romain pour le Ciel. Martial de
Limoges (France) ou saint Martial, également appelé l'apôtre des Gaules ou l'apôtre
d'Aquitaine est le
premier évêque de Limoges. Élaborée entre le IXe et le XIe siècle, l'hagiographie la plus élaborée de Martial de Limoges est la Vita prolixior composée Adémar de Chabannes, moine de l'abbaye Saint-Martial. (...) Ainsi Adémar de Chabannes écrit : «
Martial vécut au temps de Jésus et le suivit avec sa
famille dès sa plus tendre enfance. Il reçut le
baptême dans les eaux du Jourdain... / ... « Jésus
prit pour exemple le petit Martial en prononçant ces
paroles : “Si vous ne vous rendez pas semblables à
cet enfant, vous n'entrerez pas dans le royaume des
cieux” (Matthieu XVIII,3). Martial est le petit
garçon qui apporta les poissons lors de la
multiplication des pains dans le désert. » De le même
but, Adémar de Chabanne rapporte le récit de
multiples miracles. Le Christ
apparut à Martial, lui ordonnant de quitter la ville
d’Ahun pour continuer sa mission : “Ne crains pas de
descendre à Limoges, où je te glorifierai et serai
toujours avec toi.” Arrivant dans la capitale des
Lémovices, Martial guérit un dément en présence de
son hôtesse Suzanne et de sa fille Valérie. Mais
deux prêtres païens, André et Aurélien, firent
emprisonner les trois compagnons ; les deux
Gallo-Romains furent frappés par la foudre qui les
tua. Martial
les ressuscita, puis aussitôt après les deux païens
confessèrent tous leurs péchés. Après le miracle de
sainte Valérie – voir ci-dessous –, Martial
ressuscita son bourreau et Hildebert, fils du comte
de Poitiers, qui s’était noyé dans la Vienne. Les
trois évangélisateurs partirent convertir le reste
de l’Aquitaine, ils arrivèrent à Bordeaux où Martial
guérit Sigisbert, comte de la cité, qui était
paralysé. La ville fut alors victime d’un incendie,
mais Martial de son bâton éteignit le feu. Il partit
alors pour Poitiers où le Christ lui apparut,
annonçant les martyres de saint Pierre et saint Paul
; quelque temps plus tard, il lui réapparut, lui
affirmant qu’il allait bientôt mourir. Martial
retourna à Limoges et choisit comme successeur
Aurélien, l’ancien prêtre païen ; l’évangélisateur
mourut lors d’une messe à laquelle assistaient de
nombreux fidèles qui virent l’âme de l’apôtre
s’élever vers le ciel. Le premier
évêque de Limoges fut enterré hors de la ville ; sur
le parcours du cortège funéraire un paralytique fut
guéri, le premier d’un long cortège de malades qui
viendraient demander leur guérison sur le tombeau de
saint Martial. » Tous, tous
bénis par Moi dans cet adieu, pour demander
au Père la récompense de ceux qui ont
consolé le douloureux chemin du Fils de
l’Homme. Bénie l’Humanité dans sa partie
choisie qui existe chez les juifs comme chez
les gentils, et qui s’est montrée dans
l’amour qu’elle a eu pour Moi. Bénie la Terre
avec ses plantes et ses fleurs, ses fruits
qui tant de fois m’ont fait plaisir et
m’ont restauré. Et bénis vous
aussi, instruments innocents de ma torture :
épines, métaux, bois, cordages tordus, parce
que vous m’avez aidé à accomplir la Volonté
de mon Père !" L'Ascension Il monte, monte... Le soleil, encore
plus libre de le baiser, maintenant que nul
feuillage même léger ne vient intercepter
ses rayons, frappe de son éclat le
Dieu-Homme qui monte avec son Corps très
Saint au Ciel, et dévoile ses Plaies
glorieuses qui resplendissent comme de
vivants
rubis.
Le reste est un sourire de lumière nacrée. C’est vraiment la Lumière qui se manifeste pour ce qu’elle est, en ce dernier instant comme dans la nuit natale. La Création étincelle de la lumière du Christ qui s’élève. Lumière qui dépasse celle du soleil. Lumière surhumaine et bienheureuse. Lumière qui descend du Ciel à la rencontre de la Lumière qui monte... Et Jésus Christ, le Verbe de Dieu, disparaît à la vue des hommes dans un océan de splendeurs... Sur terre, deux bruits seulement dans le silence profond de la foule extasiée : le cri de Marie quand il disparaît : "Jésus !" et la plainte d’Isaac. Un religieux étonnement a rendu les autres muets, et ils restent là, jusqu’à ce que deux lumières angéliques d’une extraordinaire candeur apparaissent sous une forme humaine, pour dire les paroles rapportées dans le premier chapitre des Actes des Apôtres.
Mon
ascension indiqua que le moment était venu pour
moi de disparaitre Ceux
qui
étaient réunis auprès de Jésus lui demandèrent
alors : « Seigneur, est-ce en ce temps-ci que tu
rétabliras le royaume d'Israël? » Jésus leur
répondit : « Il ne vous appartient pas de savoir
quand viendront les temps et les moments, car le
Père les a fixés de sa seule autorité. Mais vous
recevrez une force quand le Saint-Esprit descendra
sur vous. Vous serez alors mes témoins à
Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et
jusqu'au bout du monde. » Après ces mots, Jésus
s'éleva vers le ciel pendant que tous le
regardaient; puis un nuage le cacha à leurs yeux.
Ils avaient encore les regards fixés vers le ciel
où Jésus s'élevait, quand deux hommes habillés en
blanc se trouvèrent tout à coup près d'eux et leur
dirent : « Hommes de Galilée, pourquoi restez-vous
là à regarder le ciel? Ce Jésus, qui vous a été
enlevé pour aller au ciel, reviendra de la même
manière que vous l'avez vu y partir. » Les apôtres
retournèrent alors à Jérusalem depuis la colline
qu'on appelle mont des Oliviers. Cette colline se
trouve près de la ville, à environ une demi-heure
de marche (Actes 1.6-12). « J’apparus aux
apôtres et à d’autres personnes durant une période
de 40 jours après ma résurrection. C’était
indispensable pour que leur foi en moi
s’affermisse et pour qu’ils croient hors de tout
doute que j’étais ressuscité d’entre les morts et
que j’étais le Messie, le Sauveur promis par le
Père dès après le péché d’Adam et Ève. Une fois la
période de 40 jours écoulée, je les emmenai au
mont des Oliviers et là, sous leurs yeux, je
montai au ciel. Je m’élevai dans les airs jusqu'à
ce qu’un nuage me dissimule à leur vue. Je
reviendrai de la même manière à la fin des temps
pour juger les vivants et les morts. «
Mon ascension indiqua que le moment était venu
pour moi de disparaitre à leur vue et de
retourner au ciel pour y siéger à la droite du
Père. Je commandai aux apôtres d’aller
partout dans le monde annoncer l’Évangile et
établir mon Église. Auparavant, toutefois, ils devaient
attendre la venue de l’Esprit Saint. De fait la Pentecôte
eut lieu dix jours après mon ascension. Maintenant
je
trône en qualité de Roi de vous tous et je suis
constamment à l’œuvre dans mon Église par la
puissance de l’Esprit Saint. Je vous appelle à me
suivre. »
Avant de les quitter, je leur dis que l’Esprit Saint viendrait sur eux et qu’ils recevraient une grande puissance. Ils seraient mes témoins à Jérusalem et dans toutes les parties du monde.
Enseignement de Jésus à Joseph X transmis par le Père
Melvin Doucette (Canada) -
Vendredi 8 mai 2009 Ceux qui
étaient réunis auprès de Jésus lui demandèrent alors
: « Seigneur, est-ce en ce temps-ci que tu
rétabliras le royaume d'Israël? » Jésus leur
répondit : « Il ne vous appartient pas de savoir
quand viendront les temps et les moments, car le
Père les a fixés de sa seule autorité. Mais vous
recevrez une force quand le Saint-Esprit descendra
sur vous. Vous serez alors mes témoins à Jérusalem,
dans toute la Judée et la Samarie , et jusqu'au bout
du monde. » Après ces mots, Jésus s'éleva vers le
ciel pendant que tous le regardaient; puis un nuage
le cacha à leurs yeux. Ils avaient encore les
regards fixés vers le ciel où Jésus s'élevait, quand
deux hommes habillés en blanc se trouvèrent tout à
coup près d'eux et leur dirent : « Hommes de
Galilée, pourquoi restez-vous là à regarder le ciel?
Ce Jésus, qui vous a été enlevé pour aller au ciel,
reviendra de la même manière que vous l'avez vu y
partir. » Les apôtres retournèrent alors à Jérusalem
depuis la colline qu'on appelle mont des Oliviers.
Cette colline se trouve près de la ville, à environ
une demi-heure de marche (Actes 1.6-12).
Voici maintenant le message que Notre-Seigneur a adressé à Joseph. Jésus lui a parlé en ces termes : « Après ma résurrection, j’apparus aux apôtres durant une période de 40 jours, puis je montai aux cieux. Avant de les quitter, je leur dis que l’Esprit Saint viendrait sur eux et qu’ils recevraient une grande puissance. Ils seraient mes témoins à Jérusalem et dans toutes les parties du monde. « Il était important que je m’en aille, afin que l’Esprit Saint puisse descendre sur eux. L’Esprit vient avec son onction et remplit tous ceux qui croient en sa puissance. L’Esprit Saint est appelé aussi "le feu" et Jean Baptiste a dit qu’il vous baptiserait avec le Saint-Esprit et avec du feu. L’Esprit apparut aux apôtres sous la forme de langues de feu et il reposa sur eux. L’Esprit Saint est également est nuage et lumière, comme on le vit lors de la Transfiguration sur la montagne. « C’est par la puissance du Saint-Esprit que ma Mère me conçut et me mit au monde. Il l’avait préparée par sa grâce à réaliser le plan que le Père avait pour elle. Elle était présente avec les apôtres lorsque l’Esprit Saint se manifesta le jour de la Pentecôte. Priez , mes amis, pour l’avènement de la Nouvelle Pentecôte. »
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