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Enseignement du Seigneur / Parabole
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Je suis attentif à toutes les âmes

Message de Jésus à John Leary (USA) Samedi 16 avril 2016 (16:00 Messe, le bon pasteur)

Jésus : Mon peuple, je connais mes brebis et elles me reconnaissent quand elles entendent ma voix. Vous ne savez peut-être pas grand-chose à propos de bergers mais à mon époque on en voyait fréquemment et les moutons devaient être protégés des loups.

Un berger doit prendre soin de ses brebis. Vous savez que je suis attentif à toutes les âmes et je suis prêt à laisser les quatre-vingt-dix-neuf moutons dans le désert pour aller à la recherche de la brebis perdue.

Il y a beaucoup de tentations pour les âmes. Le démon et les distractions du monde sont toujours des occasions de vous éloigner de moi avec leurs voies mauvaises.

Ma voie est celle de l'amour et des soins pour mes fidèles et je suis toujours à la recherche de votre âme pour vous ramener dans mon Église. Je vous attends que vous reveniez à moi dans la confession afin que je puisse vous pardonner tous vos péchés.

Continuez à suivre ma voie de l'amour et ne suivez pas les voie du monde ou le diable règne par la haine.



Cette parabole n'est qu'une faible image de mon Amour pour les hommes
et de la réponse que J'attends d'eux

Message de Jésus à Soeur Josefa Menendez reçu du Message du 13 juin 1923

« Un père avait un fils unique.

Puissants, riches, entourés de nombreux serviteurs et de tout ce qui fait l'honneur, le bien-être et l'agrément de la vie, rien, ni personne, ne manquait à leur félicité. Le fils suffisait à son père, le père à son fils, tous deux trouvaient l'un dans l'autre le parfait bonheur, tandis que leurs coeurs, nobles et généreux, s'inclinaient, pleins de charité, vers la moindre misère d'autrui.

Or, il arriva qu'un jour, un des serviteurs de ce maître très bon, tomba malade. Sa maladie devint bientôt si grave que, pour l'arracher à la mort, il n'y eut plus d'espoir que dans les soins les plus assidus et les remèdes les plus énergiques.

Mais ce serviteur était chez lui, pauvre et seul. « Que faire pour lui?... L'abandonner et le laisser mourir?... La bonté de son maître ne peut s'y résoudre. Envoyer à l'infortuné l'un de ses autres serviteurs ?... Mais son cœur pourra-t-il se reposer en paix sur des soins donnés par intérêt plus que par affection.

Ému de compassion, il appelle son fils et lui confie son inquiétude. Il lui expose l'état de ce pauvre homme, sur le point de mourir. Il ajoute que des soins attentifs et de tous les instants, pourraient encore le guérir et lui assurer une longue vie.

Le fils, dont le cœur bat à l'unisson de celui de son père, s'offre, si telle est sa volonté, à le soigner avec toute sa vigilance, sans épargner ni peines, ni fatigues, ni veilles, jusqu'à ce qu'il lui ait rendu la santé. Le père y consent. Il fait le sacrifice de la douce compagnie de ce fils qui, s'arrachant à la tendresse paternelle, se constitue serviteur et descend chez celui qui est, en réalité, son propre serviteur.

Il passe ainsi plusieurs mois au chevet du malade, le veillant avec une délicatesse attentive, lui prodiguant mille soins, pourvoyant, non seulement à tout ce que nécessite sa guérison, mais aussi son bien-être, jusqu'à ce qu'il arrive enfin à le rendre à la vie.

Alors, le serviteur, rempli d'admiration à la vue de ce que son maître a fait pour lui, lui demande comment il pourra jamais lui témoigner sa reconnaissance et répondre à une si merveilleuse et insigne charité. Le fils lui conseille d'aller à son père et, puisqu'il est guéri, de s'offrir à lui, en retour de sa grande libéralité, pour être désormais l'un de ses plus fidèles serviteurs.

Cet homme se présente donc à son maître. Dans le sentiment de ce qu'il lui doit, il exalte sa charité et, ce qui est mieux encore, il s'offre à le servir désormais sans aucun intérêt, car il sait bien qu'au service d'un tel maître, il n'a pas besoin d'être payé comme un serviteur, puisqu'il a été traité et aimé comme un fils!

Cette parabole n'est qu'une faible image de mon Amour pour les hommes et de la réponse que J'attends d'eux. Je l'expliquerai peu à peu, afin que tous connaissent enfin mon Cœur! »
 
Message du 14 juin 1923

« Dieu créa l'homme par amour. Il le plaça sur la terre en de telles conditions, que rien ne pût, ici-bas, manquer à son bonheur, en attendant l'éternelle félicité. Mais pour y avoir droit, il devait garder la loi douce et sage imposée par son Créateur.

L'homme infidèle à cette loi, tomba gravement malade: Il commit le premier péché. « L'homme », c'est-à-dire le père et la mère, la souche du genre humain. Toute sa postérité fut donc souillée de sa souillure. En lui, l'humanité tout entière perdit le droit au parfait bonheur que Dieu lui avait promis et dut, désormais, peiner, souffrir et mourir.

Or, Dieu, dans sa Béatitude, n'a besoin ni de l'homme ni de ses services. Il se suffit à Lui-même. Sa gloire est infinie et rien ne peut la diminuer.

Cependant, infiniment Puissant, Il est aussi infiniment Bon. Laissera-t-Il souffrir, puis mourir, l'homme créé par amour? Bien au contraire, Il lui donnera une nouvelle preuve de cet Amour et, en face d'un mal d'une telle gravité, Il mettra un remède d'un prix infini : une des Trois Personnes de la Très Sainte Trinité prendra la nature humaine et réparera divinement le mal causé par le péché.

Le Père donne son Fils, Le Fils sacrifie sa Gloire. Il descend sur la terre, non en qualité de Seigneur, de Riche ou de Puissant, mais dans la condition de Serviteur, de Pauvre et d'Enfant.

La vie qu'Il mena ici-bas, tous vous la connaissez.

Vous savez comment, dès le premier moment de mon Incarnation, Je Me soumis à toutes les misères de la nature humaine.

Enfant, Je souffris déjà du froid, de la faim, de la pauvreté et des persécutions. Dans ma vie d'ouvrier, Je fus bien souvent humilié et dédaigné comme le fils d'un pauvre charpentier. Que de fois, mon Père adoptif et Moi, après avoir porté le poids d'une longue journée de travail, nous trouvions-nous le soir, avoir à peine gagné de quoi subvenir aux besoins de la famille!... ainsi ai-Je vécu trente ans.

Alors, abandonnant la douce compagnie de ma Mère, Je Me consacrai à faire connaître mon Père Céleste et à tous J'enseignai que Dieu est Charité.

Je passai en faisant le bien aux corps et aux âmes: aux malades, Je donnai la santé ; aux morts, la vie ; aux âmes?... ah! les âmes!... Je leur rendis la liberté perdue par le péché, et leur ouvris les portes de la vraie et éternelle Patrie.

Car l'heure vint où, pour acheter leur salut, le Fils de Dieu voulut donner jusqu'à sa propre Vie.

Et comment mourut-Il?... entouré d'amis?... acclamé comme un Bienfaiteur?... âmes chéries, vous savez bien que le Fils de Dieu n'a pas voulu mourir ainsi: Lui qui n'avait répandu que l'Amour, Il fut victime de la haine.... Lui qui apportait la Paix au monde, Il fut l'objet de la cruauté la plus acharnée.... Lui qui venait rendre la Liberté aux hommes, Il fut emprisonné, lié, maltraité, calomnié et mourut enfin sur une croix, entre deux voleurs, méprisé et délaissé, pauvre et dépouillé de tout!

Ainsi se livra-t-Il pour le salut de l'homme. Ainsi accomplit-Il l’œuvre pour laquelle Il avait quitté la Gloire de son Père: l'homme était malade et le Fils de Dieu descendit vers lui. Non seulement Il lui rendit la vie, mais Il lui mérita les forces et les moyens nécessaires pour acquérir ici-bas le trésor d'une éternelle félicité.

Comment l'homme a-t-il répondu à une semblable faveur? À l'exemple du serviteur, s'est-il offert au service de son Maître, sans autre intérêt que les siens?... Ici, il faut distinguer les différentes réponses de l'homme à son Dieu.

Mais c'est assez pour aujourd'hui. Reste dans ma paix, Josefa, et n'oublie pas que tu es ma Victime. Aime et abandonne-Moi tout le reste.



Pourtant, espérant fermement, le père allait attendre son retour avec constance


P336 – Message de la Dame de Borg-en Nadur (Malte), donné à Angélik Caruana, au cours du Rosaire du 15 juin 2011

Mes chers enfants et mes enfants – ceux de mon cœur ! Ceci est un message pour vous à transmettre à la population.

Il était une fois un jeune qui voulait quitter la maison de son père et s'en aller vivre de façon autonome. Il n’avait manqué de rien dans la maison de son père. Après avoir fait ses demandes à son père, il partit. Et il dépensa tout ce qu'il avait. Il gaspilla tout ce que son père lui avait donné. Pourtant, espérant fermement, le père allait attendre son retour avec constance.

Mes enfants, beaucoup aujourd'hui ont pris leurs distances avec l'Eglise. Ils voulaient la quitter, lassés de ce style de vie. Ils voulaient vivre en dehors, et faire tout ce qui se présente sur leur chemin. Ces gens sont [donc] partis. Qu'allez-vous faire pour les ramener ? Sur quel toit allez-vous grimper de façon à regarder dehors pour eux ? Qu'allez-vous faire pour eux ? Continuez à les aimer, tout de même. Ou plutôt, laissez grandir votre amour pour eux.

Méditez le message d'aujourd'hui et passez du temps à réfléchir sur lui – et voyez ce que vous pouvez faire. C’est vous qui avez à faire le premier pas. Soyez un exemple pour les autres.

Merci d'avoir écouté mon appel.




Si vous bâtissez la maison sur ​​le roc, la prière et l'Eucharistie,
si vous l’avez fondée sur celles-ci, la maison ne sera jamais détruite


P319 – Message de la Dame de Borg en-Nadur, donné à Angélik Caruana au cours du Rosaire du 2 mars 2011 

Mes chers enfants et mes enfants – ceux de mon cœur ! Ceci est pour le Père Hayden et le Père David à transmettre à la population.

Mes enfants, mon Fils Jésus m'envoie du Ciel, parce que je peux vous apprendre à construire sur le roc – comme doivent le faire des bâtisseurs sensés. C’est que si le bâtisseur veut tricher ou économiser, il va juste survoler son travail et continuera ainsi, peu importe le résultat. Les conséquences apparaissent lorsque les années passent : quelques problèmes ici, quelques problèmes là ; là une fissure, et ici une cassure.

Mais si le constructeur est bon et avisé dans son travail, il va persévérer jusqu'à ce qu'il trouve la roche. Et de fait, si la roche de fond n’est pas trouvée, il coulera des fondations en béton. En effet, mes enfants, si le bâtiment est construit sur une argile friable, comme ce terrain où vous êtes, il va s'effondrer à la première tempête. Les pluies vont venir et tout emporter. Mais s’il est fondé sur le roc, les pluies peuvent venir, mais le bâtiment ne sera pas emporté, car elle est bâtie sur le roc.​​

La même chose va se passer pour vous, mes enfants, si vous prenez ces choses à la légère ou comme une simple curiosité. Vous pouvez construire votre maison sur le sable ou sur l'argile. Quelques années passeront et tout s'écroulera. Si vous bâtissez la maison sur le roc, la prière et l'Eucharistie, si vous l’avez fondée sur celles-ci, la maison ne sera jamais détruite.​​​​

Prenez à bras-le-corps la situation à laquelle votre pays est confronté à l'heure actuelle, et construisez sur le roc [La Dame fait allusion ici au prochain vote, pour ou contre la libéralisation du divorce, qui aura lieu bientôt à Malte : refuser le divorce, c’est construire sur du roc]. Je fais allusion à l'Eucharistie et à la prière. Priez, et entre autres formes de prière, priez le chapelet [le rosaire].

En vérité, mes enfants, travaillez comme des bâtisseurs avisés et je vous assure que votre travail produira de bons résultats.

Merci d'avoir écouté mon appel.




La parabole du mouton perdu et retrouvé


Enseignement de Jésus donné au Père Melvin Doucette (Canada) - Dimanche 13 février 2011.

Gardez-vous de mépriser l'un de ces petits; je vous l'affirme, en effet, leurs anges se tiennent continuellement en présence de mon Père dans les cieux. Qu'en pensez-vous? Supposons qu'un homme possède 100 moutons et que l'un d'eux s'égare, ne va-t-il pas laisser les 99 autres sur la colline pour partir à la recherche de celui qui s'est égaré? Je vous l'affirme, s'il le retrouve, il ressent plus de joie pour ce mouton que pour les 99 autres qui ne se sont pas égarés. De même, votre Père qui est dans les cieux ne veut pas qu'un seul de ces petits se perde (Évangile de saint Matthieu 18.10-14).

Voici maintenant le message que Joseph Melvin a reçu de notre Seigneur et Sauveur. Il a entendu Jésus lui dire ceci :

« Je vous aime, toi mon frère Joseph Melvin, et vous tous mes frères et sœurs de toutes les parties du monde. J’espère que vous serez tous mes fidèles disciples. Je suis votre Sauveur et j’ai donné ma vie pour votre salut.

« Il arrive cependant à quelques-uns de mes frères et sœurs de s’égarer en chemin. Certains décident d’arrêter de me suivre et refusent de fréquenter l’église ou même de prier chez eux. D’autres tombent dans le péché et vivent sans respecter les Commandements du Père. Ils se laissent entraîner dans des habitudes coupables et dans la soumission au malin plutôt qu’à moi.

« Rappelez-vous que si vous vous êtes égarés, je partirai à votre recherche. Je vous donnerai les grâces qu’il vous faut pour prendre la bonne décision et rebrousser chemin. Mon grand bonheur sera de vous voir revenir et recommencer à me suivre.

Je vous demande de vous repentir entièrement de toutes vos fautes, et alors vous redeviendrez mon grand ami. J’habiterai à nouveau dans votre cœur et nous pourrons entretenir une relation profonde et féconde. Je veux que vous soyez mon ami afin que nous puissions marcher ensemble chaque jour. Vous avez besoin de moi pour faire un succès de votre vie. Alors venez à moi et mettez à profit les dons et les grâces que je vous accorde chaque jour. »


Traduction : RF




La parabole du semeur


Enseignement de Jésus donné au Père Melvin Doucette (Canada) - Jeudi 27 janvier 2011

Ce jour-là, Jésus sortit de la maison  et alla s'asseoir au bord du lac pour enseigner. Une foule nombreuse s'assembla autour de lui, si bien qu'il monta dans une barque et s'y assit. Les gens se tenaient au bord de l'eau. Il leur parlait de beaucoup de choses en utilisant des paraboles et il leur disait : « Un jour, un homme s'en alla dans son champ pour semer. Tandis qu'il lançait la semence, une partie des grains tomba le long du chemin : les oiseaux vinrent et les mangèrent. Une autre partie tomba sur un sol pierreux où il y avait peu de terre. Les grains poussèrent aussitôt parce que la couche de terre n'était pas profonde. Quand le soleil fut haut dans le ciel, il brûla les jeunes plantes : elles se desséchèrent parce que leurs racines étaient insuffisantes. Une autre partie des grains tomba parmi des plantes épineuses. Celles-ci grandirent et étouffèrent les bonnes pousses. Mais d'autres grains tombèrent dans la bonne terre et produisirent des épis : les uns portaient 100 grains, d'autres 60 et d'autres 30. » Et Jésus ajouta : « Écoutez bien, si vous avez des oreilles! » (Évangile de saint Matthieu 13.1-9).

Vous trouverez ci-dessous le message que notre Seigneur et Rédempteur a donné à Joseph Melvin. Jésus lui a parlé en ces termes :

« Je vous remercie tous, toi mon frère Joseph Melvin, et vous mes frères et sœurs qui écoutez mes enseignements.
Quand j’étais sur la terre je parlais souvent aux gens en parabole. L’une de ces paraboles est celle du semeur. Vous avez tous déjà vu des gens semer des grains de différentes sortes dans un champ ou dans un jardin.

Ces grains peuvent atterrir un peu partout.

Certains tombent sur un sentier,
d’autres sur un sol rocailleux,
certains au milieu des épines,
d’autres enfin sur un sol fertile.
Un sol médiocre ne produira pas beaucoup.

Par contre des grains qui tombent sur un sol riche produiront une récolte abondante.

« Mes chers amis, je veux que vous soyez ce sol riche. Quand je parle du Royaume de Dieu, je veux que vous m’ouvriez totalement votre cœur et que vous viviez les paroles que je vous communique. Alors vous produirez de merveilleux fruits d'amour, de sollicitude pour les jeunes, les vieillards et les infirmes. Vous aurez un grand amour pour moi, votre Sauveur, et ce sera pour vous une joie de venir à moi dans le silence afin de contempler les paroles que je vous ai transmises. Je veux que vous marchiez avec moi tous les jours. »

Traduction : RF



Je suis le semeur dont il est question ici,
mais quiconque évangélise est également un semeur.


Enseignement de Jésus donné au Père Melvin Doucette (Canada) - Lundi 1er mars 2010

La parabole du semeur - Ce jour-là, Jésus sortit de la maison et alla s'asseoir au bord du lac pour enseigner. Une foule nombreuse s'assembla autour de lui, si bien qu'il monta dans une barque et s'y assit. Les gens se tenaient au bord de l'eau. Il leur parlait de beaucoup de choses en utilisant des paraboles et il leur disait : « Un jour, un homme s'en alla dans son champ pour semer. Tandis qu'il lançait la semence, une partie des grains tomba le long du chemin : les oiseaux vinrent et les mangèrent. Une autre partie tomba sur un sol pierreux où il y avait peu de terre. Les grains poussèrent aussitôt parce que la couche de terre n'était pas profonde. Quand le soleil fut haut dans le ciel, il brûla les jeunes plantes : elles se desséchèrent parce que leurs racines étaient insuffisantes. Une autre partie des grains tomba parmi des plantes épineuses. Celles-ci grandirent et étouffèrent les bonnes pousses. Mais d'autres grains tombèrent dans la bonne terre et produisirent des épis : les uns portaient 100 grains, d'autres 60 et d'autres 30. » Et Jésus ajouta : « Écoutez bien, si vous avez des oreilles! » (Matthieu 13.1-9).

Voici maintenant le message que notre Seigneur et Sauveur a donné à Joseph. Jésus lui a parlé en ces termes :
« Au cours de ma vie publique, je parlais souvent aux gens en parabole. Les paraboles sont éternelles et racontables à toutes les époques. Elles ne sont pas difficiles à comprendre. Je suis le semeur dont il est question ici, mais quiconque évangélise est également un semeur. Ce qui est semé est la parole de Dieu ou parole du Royaume de Dieu. L’état du sol est très important pour la croissance de la semence. Il en est de même pour la parole semée dans votre cœur. Quel genre d’accueil réservez-vous à la Parole de Dieu?

Si vous croyez à peine, elle ne prendra pas racine dans votre cœur et se perdra.
Si vous êtes une personne surtout curieuse, il se peut que vous receviez la Parole aujourd’hui mais que vous l’oubliez demain.
Si vous êtes accaparé par les affaires du monde, vous aurez peu de temps pour nourrir la Parole de Dieu dans votre cœur et elle mourra.

Par contre, si vous êtes une personne de grande foi, vous ferez bon accueil à la Parole dans votre cœur et vous produirez des fruits qui émerveilleront tout le monde.

« Mes chers amis, je veux que vous soyez des frères et des sœurs animés d’une grande foi en moi. Vous avez une relation avec moi, votre Sauveur, et mes paroles vous aident à grandir chaque jour en sainteté. Vivez dans une profonde union de tendresse et nourrissez cette relation par la prière, par l’Eucharistie et par les actions charitables. C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. Je vous bénis tous. »

Traduction : RF


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