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La douleur, les blessures
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(...) Dieu ne condamne pas les larmes des hommes, ni leur répugnance pour la souffrance et la douleur.

Il ne condamne que le péché, (...)

Chapitres complémentaires : La douleur, les blessures  -  Comment supporter la douleur  -  La souffrance  -  Les épreuves
(...) Abhorrer la mort, avoir de la répugnance pour la douleur, pleurer l'abandon de ceux que vous aimez, pleurer pour les supplices douloureux qui frappent les êtres que vous chérissez, vous en plaindre à Dieu, cela n'est pas réprouvé par Dieu.  Au contraire, ces larmes-là, ces répugnances-là sont les moyens les plus efficaces pour conquérir le Ciel. Il suffit qu'au moment où vous en supportez le poids, vous ne sortiez pas de l'amour que vous avez pour votre Dieu, et de sa justice. (...) Extrait du livre "Maria Valtorta - Leçon sur l'épitre de Saint Paul aux romains" (page 182)
Autres chapitres :  Purification   Épreuve de l'abandon   J'ai un problème   Violence    Je viens de perdre un proche   Âmes victimes 
(Vincent) Je viens de lire 2 livres, "Dieu et les hommes" et "la Passion du Seigneur relaté par lui-même" (Ed. Résiac) qui sont des locutions données à Soeur Beghe. Ces livres sont assez intéressants et je vous en conseille la lecture, Dieu y parle du monde invisible et de la relation avec le monde visible. Les livres se composent de chapitres très courts.
Le mécanisme de la mort et la vie dans l'au-delà
sont bien décrits, si vous connaissez des personnes en fin de vie, je vous conseille de leur offrir ces 2 livres, ils auront moins de stress face à la mort.

Accepter votre vie est certes méritoire, mais vos souffrances, vos peines, vos malheurs ne sont pas des monnaies d’échange pour acquérir le bonheur éternel, si vous ne marchez pas avec Dieu dans votre manière d’être et d’agir.

Message du Ciel de Jean Cara "Messager de la lumière" (France)

Tome 4 : Le temps presse, rallumez vos lampes - Page 187 : Lourdes et les malades (10.02.04)

1ère épître de saint Pierre 4,19 : Ainsi, que ceux qui souffrent selon le vouloir divin remettent leurs âmes au Créateur fidèle, en faisant le bien.


"Jésus dit aux gens qui sont devant Lui : «Vous êtes chanceux que Je sois là ». Ces gens sont des pauvres, de vrais pauvres, des gens qui ont faim dans leur corps, qui pleurent leur souffrance, qui sont malades, boiteux, aveugles, lépreux.
Ce sont des gens que vous allez rencontrer à Lourdes, que vous apercevez dans la rue, que vous voyez sur les écrans de télévision.
 
Sincèrement, pensez-vous que Dieu aime voir les gens misérables ?
Pensez-vous qu’Il leur dit : «Vous allez rester comme cela, acceptez votre misère
Non, vous ne pouvez penser à une telle chose !

Votre souffrance fait mal à Dieu, comme la souffrance d’un enfant fait mal à ses parents. Accepter votre vie est certes méritoire, mais vos souffrances, vos peines, vos malheurs ne sont pas des monnaies d’échange pour acquérir le bonheur éternel, si vous ne marchez pas avec Dieu dans votre manière d’être et d’agir.


Aux gens qui sont devant Lui, et à vous également aujourd’hui, Jésus dit : «Vous qui pleurez, qui souffrez ou qui êtes malades, heureux êtes-vous, parce que Je suis là et que J’apporte une réponse, un soulagement à votre misère. Je ne suis pas seul, d’autres me suivent et me suivront, ils sont mes disciples et eux aussi viendront à votre aide. Ensemble, nous construirons un monde nouveau, mon Royaume. » Ce sont là, les Béatitudes ...

N’hésitez pas à aller à Lourdes, qui est un lieu privilégié que la Sainte Vierge Marie, l’Immaculée Conception, a favorisé de sa présence en apparaissant à Bernadette, petite et humble bergère. Allez à Lourdes en ce jour du 11 février célébrer la première apparition de Marie, en y associant la journée mondiale des malades. Parmi vous, il y a tant de personnes limitées par la maladie, la vieillesse et le mal de vivre ...

Trop de malades et de personnes âgées sont seules, abandonnées par leur famille dans des centres d’accueil, des hôpitaux et même dans leur résidence. Sa Sainteté le Pape a institué cette journée des malades en la fête de Notre-Dame de Lourdes pour que les Béatitudes soient vécues, pour que vous disiez aux malades et aux blessés qui vous entourent : « Bienheureux vous les pauvres, vous qui pleurez, vous qui souffrez, parce que Je suis là et que par Moi Jésus est présent.»

Croire que le Bon Dieu vous envoie la souffrance reviendrait à dire que Jésus accepte de vous faire du mal. Or, au fond de vous-même, vous savez bien que ce n’est pas le cas. Relisez et méditez les évangiles et vous serez convaincus que toute la vie du Seigneur Dieu est consacrée à lutter contre le mal et la souffrance.

Dans le jardin d’Eden, le mal existait sous la forme du serpent. Ce mal puissant et dévastateur, il vous appartient de le combattre. C’est votre devoir permanent.
Si la souffrance vous touche, ne vous rebellez pas contre elle. Mais rebellez-vous contre le péché, créateur de la souffrance. Remettez-vous-en à Dieu en Le louant et en Lui faisant pleine confiance.


Jean, messager de la Lumière"
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Dans vos souffrances et problèmes, surtout évitez de penser à ce qui peut vous arriver demain et après-demain

Message de Jean Cara "Messager de la lumière" (France) - 11 janvier 2012

"Mes bien chers frères et sœurs,

Il est normal et logique qu’en règle générale, tous les déboires comme les souffrances soient mal acceptés. Pour le croyant, par contre, c’est dans la paix et dans la confiance, qu’il peut mieux vaincre toute adversité.

Le Seigneur est proche d’en chacun de vos pas, non pas comme un objet mais avec Son Amour qui vous englobe et vous éclaire. Oui, le Seigneur est très proche et cela vous ne devriez pas l’oublier, pour la simple raison qu’Il a donné Sa vie pour vous.

Quand vous êtes dans la prière, il peut vous arriver de vous évader et souvent pour des motifs futiles. Sachant que Dieu est proche, avec confiance vous reprenez aussitôt le cours de la prière. Oui, le Seigneur est proche, Il vous aime et Il vous a aimé le premier, c’est la réalité la plus importante.

Quand vous endurez des problèmes, qu’ils soient familiaux, de santé, matériels, spirituels ou bien encore à la suite de la perte d’un être cher, vous pouvez ressentir le besoin de parler, de vous confier à des personnes et même à de saintes personnes. Mais la première personne à laquelle vous avez à parler, en premier lieu c’est bien avec le Seigneur Jésus.

Oui, autant dans vos joies, que dans vos contrariétés, vous avez à parler avec l’Esprit de Dieu. Par la prière, vous ouvrez votre cœur au Seigneur qui connaît tout de vous et qui est le seul a bien vous bien comprendre. Ainsi, si vous avez la foi, la souffrance désespérée ne peut demeurer car en vous confiant au Seigneur dans les moments de difficulté, vous en sortirez encore plus revigorés et plus vivants.

Vous pouvez constater que ceux qui ont à porter de lourdes croix, qui ont eu une vie de souffrance physique, morale et même spirituelle, sont à même de vous influencer positivement.

Dans vos souffrances et problèmes, surtout évitez de penser à ce qui peut vous arriver demain et après-demain. D’ailleurs, quand vous vous évadez dans le futur, c’est sans Dieu que vous pensez et cela ne peut, en règle générale, que vous déstabiliser. Soyez certains que Dieu qui est en vous, est toujours dans l’instant présent et avec Lui vous pouvez porter toutes croix.

La peur est bien humaine et c’est avec votre dernier souffle que vous la quitterez. Le Seigneur Jésus lui-même a été touché par la peur, donc avoir peur est bien humain. Quand vous avez peur, rappelez-vous que Jésus est proche et par la prière vous lui ouvrez votre cœur, et alors la peur vous quittera.

Contre le vieil homme qui est encore en vous, c’est-à-dire contre l’égoïsme, l’orgueil, la sensualité, vous avez à lutter sans cesse pour vivre intensément l’instant présent.

Dieu est Amour, et qui vit dans l’amour demeure en Dieu et Dieu demeure en lui. Dieu est confiance, qui vit dans la confiance, la donne et la reçoit vit en Dieu.

Avec toute votre famille du Ciel, sous la Lumière du Père Eternel, tout l’Amour du Seigneur Jésus et de Sa maman la Sainte Vierge Marie, je vous bénis au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Jean, votre messager d’Espérance"



Chaque larme, chaque souffrance, chaque douleur, chaque découragement, chaque tentation, chaque angoisse, chaque inquiétude exagérée, doivent être surmontées par la foi

Message de Jésus via Marie des Philippines, reçu le 11 juin 2010 au cours des mystères joyeux


Jésus, notre Seigneur : Hier, tu as rencontré une âme magnifique. Crois-moi, car mon précieux fils a été toute sa vie fidèle à l'amour et à la miséricorde dont Je l'ai comblé.

Je t’enseigne des leçons de vie. Je ne te montre pas les larmes, ni les souffrances, ni la douleur, ni les angoisses que ce mien fils avait déposées au pied de Ma Croix.
J'ai voulu te montrer que beaucoup de saints dans les cieux ne sont pas connus des mortels, n’ont pas été canonisés par l'église, ni priés sur les autels du monde.

De toute façon, là, dans cette chambre d'hôpital, dans son corps écrasé et humilié par la maladie, Je t’ai montré une âme lumineuse. Sa volonté de vivre est mue par l'amour pour sa famille. Son souci de ne pas quitter ce monde est motivé par l’amour, à cause de ce qui pourrait arriver à sa famille, spécialement les petits-enfants, dont il a guidé la vie dans les années où il était en bonne santé, et qui pourraient s'écarter du droit chemin. Voila la charité en action. L'amour pour les autres.

Bien qu’en proie à la douleur, il essaie de le cacher, pour épargner cela à sa famille. Il offre tout à Ma Mère. En sa Mère, il a une confiance absolue. Elle le protège dans ses plus grandes tentations. Jamais il ne quitte son chapelet. Bien qu’impitoyablement tenté par les méchants, car grande est ma lumière en lui, il surmonte chaque tentation.

Malgré le Découragement, qui frappe en permanence, la Peur et l'Anxiété, qui le serrent de près, il s’en tient à la Foi. Tu n’as vu qu’un homme souffrant, dont je ne t’ai pas montré cependant le mérite qu’avait chacune de ses larmes. Au lieu de cela Je t’ai montré une âme vivante, qui est sur le point de manœuvrer encore ici-bas pour terminer sa dernière bataille.

Je t’ai donné d’entrevoir un grand général de mon armée.

[Pause]

Chaque larme, chaque souffrance, chaque douleur, chaque découragement, chaque tentation, chaque angoisse, chaque inquiétude exagérée, doivent être surmontées par la foi, alors demandez à notre chère Mère la grâce de supporter chaque larme, chaque souffrance ...

Car ces douleurs et ces larmes apportent beaucoup de grâces invisibles et de mérites dans le royaume des Cieux, votre vraie maison.

L'amour est le plus aimé lorsqu'il est offert avec larmes ;
L'amour est le plus aimé lorsqu’il s’unit au sacrifice ;
L’amour est le plus aimé, lorsque les tentations sont surmontées ;
L'amour est le plus aimé lorsque l'inquiétude est écartée ;
L'amour est le plus aimé lorsque la joie déborde sur les autres ;
L'amour est le plus aimé lorsque le don de la vie s’unit à la Volonté de Dieu.


Dans l'abandon à Sa volonté, on va trouver le Repos.

Fin du message

Note : la personne dont il est question ici est décédée d'un cancer du côlon en phase terminale, quelques jours après la réception de ce message.


Mes enfants, je suis venue ici afin de soigner vos blessures

P324 – Message de la Dame de Borg-en Nadur (Malte), donné à Angélik Caruana, au cours du Rosaire du 13 avril 2011

Compte tenu de l’importance et de la force du précédent message de La Dame (P323) et du fait que deux semaines s’étaient écoulées depuis, beaucoup attendaient ce nouveau message.

Ayant été invité par la dame à ne pas assister au chapelet précédent du 6 avril, à Borg en-Nadur, Angelik était présent aujourd’hui pour diriger ce chapelet. Quand il fut à quelques pas de l’endroit où il tombe habituellement en extase, comme il attendait l’arrivée de son Ange Gardien Uriel, Angelik a apparemment été attaqué par le diable. Il a été jeté sur le côté sur les seaux de fleurs et le sol rocheux. Quelques instants plus tard il était de retour, sur ses pieds, apparemment sain et sauf mais toujours visiblement ébranlé.

Il a ensuite annoncé que la dame était arrivée avec les mains pleines de pierres précieuses [c’est-à-dire de grâces] et il a dit aux gens de ne pas laisser cette pluie de grâces tomber sur ​​le sol et se perdre, mais d’accueillir précieusement toutes ces grâces. Il a également indiqué que l’intention de ce chapelet était pour la conversion de Malte et du monde.

Angelik resta à genoux pendant tout le chapelet. Après cinq dizaines et le Salve Regina, la Dame a demandé à Michael Attard de venir jusqu’à l’endroit où Angelik se trouvait et a ensuite demandé à Angelik de poser à Michael deux bandes larges qu’elle avait fait apporter. Angelik les enroula donc autour des bras et des jambes de Michael.

Une conversation s’engagea alors entre la dame et Godwin Borg, l’un des membres du Groupe de prière Theotokos, par l’intermédiaire d’Angelik. Le Dr Mark Xuereb, qui étudie les événements de Borg en-Nadur d’un point de vue scientifique, était présent lors de la dictée du message.

La dame pleura pendant la deuxième dizaine du chapelet – les mystères douloureux. Voici le message de la Dame donné ce jour :

La Dame : Godwin, que vous vient-il à l’esprit en voyant une personne avec des bandages ?

Godwin : Je pense qu’il est blessé, Madame.

La Dame : Si cette personne avait une blessure, voudrait-elle garder la plaie couverte et bandée pendant une longue période ?

Godwin : Non, Madame, la personne souhaiterait guérir rapidement.

La Dame : Godwin, seriez-vous d’accord pour dire que si la plaie était exposée à l’air, elle pourrait guérir plus vite ?

Godwin : Je pense que oui, Madame. En règle générale, elle sèchera plus vite.

La Dame : Godwin, on peut dire que Michael, qui se tient derrière vous, est bandé ou lié. N’est-ce pas ?

Godwin : Lié, oui.

La Dame : Godwin, diriez-vous que ces bandages sont une entrave pour Michael ? Qu’il est empêché de marcher. Quelle est votre opinion ?

Godwin : En effet, Madame, mais peut-être doit-il supporter cela jusqu’à ce qu’il soit guéri.

La Dame : Bien. Je vous remercie Godwin. Maintenant défaites lentement les liens de Michael au vu de tous, et remerciez Michael.

Mes chers enfants et mes enfants – ceux de mon cœur ! Vous avez tous eu une blessure et vous pouvez en avoir une sur votre corps, même maintenant. Vous la gardez bandée ainsi, comme pour la couvrir alors qu’elle pourrait guérir, ou peut-être aussi de manière à la cacher aux yeux des gens. Pourtant, aujourd’hui, mes enfants, je vous demande d’exposer à l’air chaque blessure bandée que vous pourriez avoir sur votre corps. Ne les empêchez pas de guérir à cause des bandages. Cela peut aussi être une entrave pour vous. Aérez-les.

Mes enfants, je suis venue ici afin de soigner vos blessures et supprimer les bandes et toutes les entraves que vous avez autour de vous. Michael avait des entraves sur les bras et les jambes et c’est pourquoi il ne pouvait pas marcher. Une fois que Godwin les lui eut enlevées, il descendit de la colline, et vint ici.

Souvenez-vous, mes enfants, c’est juste comme mon Fils Jésus fit avec Lazare lorsque il le ressuscita d’entre les morts. Il était mort. Il dégageait déjà des odeurs nauséabondes dans la tombe. C’est ainsi que sont certains d’entre vous : des tombes à l’intérieur.

Après avoir ressuscité Lazare, mon Fils Jésus a ordonné qu’il soit détaché de ses liens. Croyez-vous que mon fils n’était pas en mesure de le délier lui-même ? Pourtant, il voulait que les gens l’aident à se détacher – tout comme je le veux de vous, mes enfants. Je défais vos liens et je guéris vos blessures moi-même. Puis je vous envoie à d’autres pour que vous puissiez relâcher leurs bandages. Et pour de tels liens, vous les délierez au moyen de la prière du chapelet.

En vérité, mes enfants, relevez-vous de la mort dans laquelle vous êtes. Allez vers les autres et amenez-les vers mon Fils Jésus et vers moi.

Merci d’avoir écouté mon appel.



Comme pour Jésus, pour vous aussi, après la croix, enfants bien-aimés, il y a la résurrection

Message d'Amour donné par la Divine Sagesse à une âme mystique d’Italie pour les élus des derniers temps, le 3 avril 2011
 
La Maman parle de la souffrance aux élus :

Chers enfants, tant aimés, soyez patients dans les épreuves, soyez ardents dans l'amour de Dieu et du prochain. Je vous dis cela, Mes enfants, parce que Je vois confusion et tristesse dans le cœur de beaucoup à cause de dures épreuves, comprenez que ce que Dieu permet et veut est toujours pour le plus grand bien des âmes.

Ma chérie, Tu Me dis : « Mère très chère et Très Sainte, il n'est pas facile de saisir la Logique Parfaite de Dieu, ni Sa Pensée Toute Puissante, nous sommes petits et notre compréhension est faible et limitée. Mère bien-aimée, Doux Trésor, vous êtes toujours à nos côtés, surtout quand nous sommes éprouvés ; les souffrances souvent font revenir à la raison, mais, parfois aussi, poussent au désespoir. 

Si Jésus le Très Saint éprouve une âme, c’est toujours pour son plus grand bien, mais l'homme, lui, dans le bonheur, souvent s’éloigne de Dieu, et dans la douleur de l'épreuve a tendance à se laisser prendre par le désespoir.

Mère bien-aimée, dans la présente tempête, je vois beaucoup d'âmes non seulement teintées de tristesse, mais prises de désespoir, au point de haïr le sublime bien de la vie. Je Te supplie, Doux Trésor, de rester proche, d'une manière particulière, de l'âme prise d’égarement et de confusion, afin qu’aucune n’arrive à mépriser le don sublime de la vie. »

Enfants bien-aimés, Je vous ai toujours demandé d’être attentifs et réfléchis. En regardant et adorant la Croix de Mon Fils, imaginez la Douleur qu'Il souffrit pour le salut des âmes, Il s’est laissé prendre tout, dépouiller de tout, par Amour. Chers enfants, ayez toujours la Croix devant les yeux et dans le cœur : Elle vous apprend beaucoup de choses, Elle vous apprend tout. Méditez beaucoup sur la Croix !

Petite fille, Tu Me dis : « Mère bien-aimée, tout ce qui est douleur et gémissement secoue tout homme, même le plus fort, parce que la nature humaine n’accepte pas cet état. Si vous demandez à un homme de penser en long et en large au mystère de la joie, de la résurrection, il le fait avec enthousiasme, mais quand il s'agit de réfléchir sur le thème de la douleur, il ne se précipite pas, parce que la douleur ne plait pas, bien que ce soit ce qu’il y a de plus constructif pour le Ciel.

Chère Mère, Doux Lys Qui parfume le Ciel et la terre, nous Te supplions de pardonner cela, notre tendance à toujours plus de joie et notre difficulté à nous tourner vers la douleur. Lorsque nous contemplons la Croix, où Jésus, le Très Saint, s’est sacrifié pour nous, nous sentons Son cœur transpercé – pourtant la douleur ne dure pas longtemps, car rapidement nous allons avec la pensée de Jésus Ressuscité, Jésus, rayonnant de lumière, Jésus Vainqueur. »

Enfants bien-aimés, vous vous rendez compte que ce qui semblait être la plus grande défaite est devenu la plus grande victoire. Comme pour Jésus, pour vous aussi, après la croix, enfants bien-aimés, il y a la résurrection. Pensez toujours que le mal et la mort ne sont pas le dernier mot, mais que le sont la joie et la résurrection. Jésus a vaincu la mort, et si vous restez près de Lui, vous vaincrez.

Enfants bien-aimés, Mes Souffrances, aux côtés du Fils bien-aimé, ont été terribles, mais l'espoir n'a jamais manqué, J'ai espéré contre toute espérance au moment même, très difficile, où le Fils bien-aimé est mort dans Mes bras. Pendant que Je Le regardais et L'adorais, Je répétais avec le Cœur : Il ressuscitera, c’est sûr, Il ressuscitera ! Mon Cœur le criait. Souvenez-vous quand les femmes vinrent au tombeau avec des épices : Je n'étais pas là avec elles. Pourquoi ? Y avez-vous réfléchi ? J'étais sûre qu'il serait ressuscité ! Il l’avait dit et répété : « Je serai crucifié et Je mourrai, mais le troisième jour Je ressusciterai ». Enfants bien-aimés, unissez vos souffrances à celles de Jésus et soyez sûrs qu’avec Lui vous ressusciterez.

Je suis toujours avec vous quand vous M'appelez. Ensemble, rendons grâce à Dieu et adorons-Le ! Je vous aime tous.

Je t'aime, Mon Ange.

Maria Santissima


Abhorrer la mort, avoir de la répugnance pour la douleur, pleurer l'abandon de ceux que vous aimez, pleurer pour les supplices douloureux qui frappent les êtres que vous chérissez, vous en plaindre à Dieu, cela n'est pas réprouvé par Dieu.

C'est l'Esprit Saint qui parle.

(...) De même que Jésus et Marie ont eu leur part d'épreuves, de peines, de luttes, d'inquiétudes et d'incompréhensions, vous aussi vous les avez, et vous devez les avoir pour leur ressembler.

Dieu le Père a justifié et glorifié ses deux Elus parmi les élus.
Tiles a justifiés et glorifiés aux yeux des hommes et aux yeux des anges.
Son Fils s'est vu glorifié sur les rives du Jourdam, au mont Tabor, sur le Mona (Jn 12, 27-28) et au Jardin des Oliviers 40 jours après la Pâque.
Ces manifestations ont été des plus solennelles, mais tous les miracles accomplis par le Christ pendant ses trois ans de vie publique ont été le moyen pour le Père de justifier les actes de son Fils face aux accusations de ses ennemis.

Et Marie a eu sa justification au Calvaire, au Tombeau et au Cénacle, avec la douleur déchirante de la plus sainte et affligée des mères.
Enfin aux Oliviers, elle a été glorifiée par son Assomption au Ciel.
Cela s'est passé au cours de sa dernière et ardente extase d'amour; à un moment où son esprit très pur s'était détaché de son corps virginal et innocent.
De même que Dieu a justifié et glorifié ses deux grands Elus, de même vous aussi serez justifiés puis glorifiés, si vous vivez en fils de Dieu.

Dieu ne condamne pas les larmes des hommes, ni leur répugnance pour la souffrance et la douleur.
Il ne condamne que le péché, le refus de sa miséricorde, et l'impénitence.

Que Jésus et Marie soient donc vos exemples. Jésus a été justifié de l'horreur qu'il a eu de sa mort, et quelle mort! Marie a été jus-tifiée de sa plainte angoissée, muette ou gémissante, adressée au Père de son Fils, qui était aussi le sien, à partir du début de la Passion jusqu'à la Résurrection.

Abhorrer la mort, avoir de la répugnance pour la douleur, pleurer l'abandon de ceux que vous aimez, pleurer pour les supplices douloureux qui frappent les êtres que vous chérissez, vous en plaindre à Dieu, cela n'est pas réprouvé par Dieu.

Au contraire, ces larmes-là, ces répugnances-là sont les moyens les plus efficaces pour conquérir le Ciel.
Il suffit qu'au moment où vous en supportez le poids, vous ne sortiez pas de l'amour que vous avez pour votre Dieu, et de sa justice.

Jésus, qui a éprouvé vos souffrances, qui a versé vos lar-mes, qui en a même versées beaucoup, qui a supporté toutes les douleurs possibles en voyant sa Mère souffrir; et en souffrant pour ses propres tortures corporelles, Jésus intercède pour vous auprès du Père. Il sait ce que signifie être Homme, et il vous dit:
"Faites comme j'ai fait. Pleurez, frémissez devant vos peines et devant votre croix. Gémissez, oui. Mais, comme moi, faites la volonté du Père.

Je vous justifierai de tout. Demeurez unis à moi et à Marie, comme moi je suis uni au Père et à ma Mère et nous vous soutiendrons.

Je suis la Vie, et elle est la Mère de la Vie, et votre Mère. Elle vous a acceptés comme ses enfants au moment où elle serait morte de douleur si elle n'avait pas eu le secours de Dieu, car elle a souffert encore plus que moi en me voyant torturé jusqu'a la mort.
Ma Mère et moi, nous avons tout connu: la fatigue, la faim, la pauvre-té, l'angoisse, les persécutions, les dangers, l'épée de la justice et celle de la douleur; celle qui tranche la vie et celle qui transperce le cour et l'âme.

Pour cette raison nous intercédons pour vous. Aimez nous comme nous vous aimons, et vous triompherez de tout ce qui pourrait vous séparer de Dieu.
Aimez nous, et votre amour envers le Dieu Un et Trine, et envers sa Fille-Epouse-Mère, Mère de Dieu et la vôtre, de-viendra votre justification et votre future gloire éternelle. Qui pourra jamais vous séparer de Dieu ?

Qui pourra jamais vous arracher au Ciel auquel vous êtes prédestinés, si vous demeurez unis à Dieu et au Ciel grâce au lien de l'amour ?
Qu'est-ce qui pourra entrer en vous, et vous éloigner ou séparer de Dieu, si moi, l'Amour, après que vous vous êtes vidés de vous-mêmes pour ne recevoir que moi seul, je vous aurai comblés de ma présence?
Qu'est-ce qui pourrait vous donner la vraie mort si moi, la Vie, donc Charité encore, je suis en vous?
Qui pourrait jamais vous vaincre si vous avez en vous Celui qui a vaincu le monde, le démon et la chair?

Rien ne pourra vous séparer de Dieu, vous priver du Ciel, vous rendre esclaves de Satan et des hommes, vous rendre morts à la vraie Vie, si vous ne le voulez pas. Rien ne pourra vous nuire pour l'éternité si avec courage vous voulez appartenir à Dieu. (...)


Lire aussi le chapitre sur la souffrance




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