Messages de Jésus à Françoise
La souffrance ne vient pas de Moi, pas la moindre souffrance ne vient de Moi. C'est le démon qui fait mal,
et cela est permis par Moi à cause de la liberté que J'ai donnée à l'homme.

Autres chapitres :  Purification   La confiance en Dieu  L'épreuve de l'abandon  J'ai un problème  Violence  Je viens de perdre un proche
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Porter sa croix  Les âmes victimes et la souffrance rédemptrice 

Rappelez-vous aussi, Mes enfants, que la douleur est purificatrice et, pour cette raison, Je dois la permettre

Message de Dieu le Père à Javier Viesca (Mexique), le 14 août 2014 lors du Premier Mystère Lumineux du Rosaire

Le propos : Offrez aussi les douleurs et les souffrances de ceux qui vivent dans l'erreur, offrez-les, vous qui comprenez Mes Paroles et Mes Enseignements

Dieu le Père parle : Rappelez-vous aussi, Mes enfants, que la douleur est purificatrice et, pour cette raison, Je dois la permettre. Oui vous le voyez bien, les douleurs de cette purification ont progressivement augmenté. Offrez-Moi ce que vous souffrez et ainsi vous allez préparer votre âme, surtout vous, vous qui allez rester, purifiés et prêts à habiter la Nouvelle Terre que Je vous donnerai.

D'autre part, offrez aussi les douleurs et les souffrances de ceux qui vivent dans l'erreur, offrez-les, vous qui comprenez Mes Paroles et Mes Enseignements, offrez ce que vos frères souffrent, pour que Ma Grâce arrive à eux par votre demande car ils sont si attachés au Monde, qu'ils ne le feront pas et Je ne veux pas gâcher ces souffrances parce que, par elles, beaucoup peuvent obtenir le salut éternel par le pardon que Je leur accorderai pour leurs péchés.

La souffrance est très précieuse à Mes Yeux, surtout quand elle est offerte et jointe aux mérites de Mon Fils Jésus-Christ, alors ne gâchez pas les vôtres, vous qui comprenez Mon guidage amoureux, ni vos douleurs ni celles de vos frères, échangez-les Moi contre Ma Miséricorde et Mon Pardon. Vous ferez beaucoup de bien, vous qui déjà êtes prêts à cet échange.

Je vous remercie, Mes chers petits.

Je ne veux pas la souffrance humaine, parce que Je n'ai pas créé l'homme pour être malheureux, mais pour qu'il ait beaucoup de Joie en Moi, non seulement dans le ciel, mais aussi sur la terre.

Message d'Amour donné par la Divine Sagesse à une âme mystique d’Italie, le 14 avril 2011 

Chers élus, Mes amis, les soupirs de ces jours deviendront bientôt pleine Joie en Moi. Chère épouse, n'oublie pas Mes Promesses, que ce soit ta joie, ton espérance.

Même si l'homme, souvent, M’oublie, Moi, Moi, Dieu, Je ne l'oublie jamais. Quand tout va bien, l'homme dit : « Dieu est près de Moi, Il est avec Moi ». Grande est la joie de son cœur, mais quand les choses tournent mal et qu’arrive la douleur dans la vie, voici que revient le refrain : « Dieu ne pense pas à moi, Il ne m’aime pas, Il m’a oublié ».

Tu Me dis : « Doux Amour, pardonne à la folie humaine, pardonne à la faiblesse et à la grande fragilité. Dans la joie la vie semble si belle, mais tout change dans la douleur. Permets à chacun de comprendre que sa vie est un sublime Don de Ton Amour, quand tout va bien comme quand tout va mal ; que personne, par la fatigue de la vie, ne se laisse couler dans le désespoir, comme cela arrive souvent dans cette période particulière. »

Epouse bien-aimée, chère épouse, écoute bien Mes paroles et transmets-les au monde incrédule et rebelle à Mes lois : en vérité, Je ne veux pas la souffrance humaine, parce que Je n'ai pas créé l'homme pour être malheureux, mais pour qu'il ait beaucoup de Joie en Moi, non seulement dans le ciel, mais aussi sur la terre. Comment pourrais-Je créer la vie pour le malheur ? Non, bien sûr, chère épouse, Je crée la vie pour le bonheur. As-tu bien compris cela ?

Tu Me dis : « Amour Infini, Tu es un Océan Infini d'Amour, on ne peut pas penser, même pour un instant, que Tu souhaite le malheur de l'homme. Je vois, cependant, que la souffrance dans le monde croît, et avec elle la grande plainte, la terre des vivants ressemble à un Purgatoire tant résonne le cri de la douleur. »

Chère épouse, que le monde sache que la souffrance ne vient pas de Moi, mais qu’elle est la conséquence du péché, de l’atroce péché social. Si les hommes comprenaient l’énormité du péché et de ses terribles conséquences, s’ils le comprenaient bien, tous feraient tout leur possible pour suivre Mes lois.

Tu Me dis : « Amour Très Saint, Tu as Toi-même révélé la gravité du péché et de ses terribles conséquences, tout le monde devrait l'avoir déjà compris, mais il n'en est pas ainsi. J'ai entendu plusieurs fois répéter cette phrase : « Qu'est-ce que le péché ? Quel péché ? » L'homme d’aujourd’hui, en raison de son obstination permanente, a glissé si bas qu’il imite la vie des bêtes sans âme. Doux Jésus, change, par Ton Immense Amour, modifie les équilibres du monde, travaille dans le cœur de chaque fou pour qu’il devienne sage selon Ta Sagesse, intelligent selon Ton Intelligence. Que disparaissent les fous de la terre et qu’il ne s’en trouve plus un, qu’ils disparaissent parce qu'ils se seront tous corrigés. Que disparaissent les méchants de la terre parce qu'ils sont devenus Tes adorateurs pleins de joie. »

Chère épouse, J’accorde au fou toutes les Grâces nécessaires pour se corriger, J’accorde à tous les méchants de la terre les Grâces nécessaires pour devenir dévots et pieux. As-Tu compris cela, Ma petite épouse ?

Tu Me dis : « Bien-aimé, Bien-aimé, Adoré, je comprends ceci : que Tu es l'Amour et que Tu veux le salut des âmes, et que personne ne se perde ; que l'homme, cependant, est souvent très obstiné dans le mal et doit être purifié dès ici-bas par de dures épreuves pour éviter qu’il ne tombe dans l'abîme du désespoir.

Si les hommes comprenaient bien ceci, devant l’épreuve ils devraient dire : « Sois béni, Toi, Dieu Saint, parce que Tu me purifies déjà sur la terre avec ces épreuves et tu laves mes vêtements avec la souffrance pour que l'âme soit sauvée ». C’est ce qu’ils devraient toujours dire, mais les paroles sont assez différentes : « Pourquoi cela m'arrive-t-il à moi ? Pourquoi Dieu m'a-t-Il abandonné ? » Ainsi disent-ils sans penser à leurs erreurs, à leurs propres péchés et à ceux du monde rebelles. Pardonne, Doux Amour, la grande folie et même dans la dureté de l'épreuve purificatrice, prodigue le moment du soulagement et la Caresse qui donne la Paix. »

Epouse bien-aimée, l'épreuve est un Don de Mon Amour, elle est toujours proportionnée, ne dépasse jamais la force [de l’homme], elle est parfois difficile car il ya beaucoup à réparer, mais pour l'âme qui se tourne vers moi, il y a toujours le moment de la joie. Certes ne font défaut ni Mes Caresses ni les consolations, spécialement à celui qui expie les péchés d'autrui, à l'âme victime.

Tu Me dis : « Je vois la souffrance des innocents, très commune aujourd’hui, Je vois beaucoup de jeunes vies brisées. Le cœur enveloppé de tristesse, Je comprends l'importance de cette grande souffrance de l'innocent – mais je ne peux, cependant, laisser la tristesse augmenter chaque fois que je vois de telles souffrances. »

Epouse bien-aimée, même la souffrance de l'innocent sauve le monde, la douleur ne dure qu'un moment, la Joie est pour toujours. Les victimes innocentes sont toutes dans Mes bras, dans le plus grand Bonheur qui jamais ne se flétrira.

Epouse bien-aimée, aie confiance en Moi, abandonne-toi dans l’Onde Suave de Mon amour et sois heureuse. Fais connaître au monde Mes Messages et que chaque homme recherche Mon Pardon. Je t'aime.

Je vous aime.

DIRECTIVES POUR NOTRE TEMPS - Message du mois, tel que Jésus l’a donné à Anne, un apôtre laïque d’Irlande, le 1er octobre 2010

Au début de chaque mois, notre seigneur donne à Anne un nouveau message au sujet de son appel au service. 

Mes chers apôtres, vous vivez votre temps sur terre au milieu de beaucoup de changements. Extérieurement, il y a beaucoup de mouvements et de perturbations, qui affectent les enfants de Dieu. 

Certains sont affectés négativement et certains sont affectés positivement.

Qui est affecté positivement quand il y a la souffrance ? Je vous demande cela parce que Je veux que vous voyiez la souffrance du point de vue de celui qui a confiance en Dieu et qui a confiance dans le plan de Dieu pour tous Ses enfants.

Si vous avez foi en Dieu, alors la souffrance est considérée d’une manière plus simple, que ce soit votre souffrance ou la souffrance de ceux qui vous entourent. Si vous souffrez, alors vous êtes appelés à endurer, mais pas sans Dieu et pas sans la grâce de Dieu. 

Si quelqu’un près de vous souffre, alors vous êtes appelés à offrir votre compassion et même votre assistance si possible. Vous avez la grâce de comprendre votre rôle et de comprendre votre réponse à votre propre souffrance ou à la souffrance de ceux qui vous entourent. 

Dans chaque expérience dans la vie, la tentation est possible. Si tout va bien pour vous, alors vous pouvez être tentés de devenir complaisants vis-à-vis de votre réponse aux nombreuses grâces que Je vous donne. Je préférerais que pendant les temps de bien-être relatif, vous Me louiez et soyez attentifs à aider les autres.

Si tout ne va pas bien, il peut y avoir une tentation de croire que Dieu n'entend pas vos prières. Je préférerais que vous utilisiez ce temps pour pratiquer la confiance en Moi. 

Offrez-Moi votre souffrance avec un cœur qui partage Mon expérience volontairement, non amèrement.

Chers apôtres nous sommes ensembles vous et Moi. L'unité que nous partageons a toujours été prévue par le Père. Tout est bien.

Ne soyez pas tentés contre Moi si vous souffrez. Je ne vous laisserai jamais et j'utiliserai votre souffrance d’une façon que vous ne comprenez pas encore. Vous comprendrez plus tard et vous serez tellement reconnaissants envers Moi de ce que Je vous aurai offert ces expériences à portée pédagogique. Réjouissez-vous. Je suis toujours avec vous. 

Traduction Robert

J’ai toujours grand pitié de tous ceux qui souffrent de quelque manière

Enseignement de Jésus à Joseph X transmis par le Père Melvin Doucette - (Canada) Mercredi 17 mars 2010

Lorsqu'ils sortirent de Jéricho, une grande foule suivit Jésus. Deux aveugles qui étaient assis au bord du chemin entendirent que Jésus passait; ils se mirent alors à crier : « Maître, Fils de David, aie pitié de nous! » La foule leur faisait des reproches pour qu'ils se taisent, mais ils criaient encore plus fort : « Maître, Fils de David, aie pitié de nous! » Jésus s'arrêta, les appela et leur demanda : « Que voulez-vous que je fasse pour vous? » Ils lui répondirent : « Maître, fais que nos yeux puissent voir. » Jésus eut pitié d'eux et toucha leurs yeux; aussitôt, les deux hommes purent voir, et ils le suivirent (Matthieu 20.29-34).

Vous trouverez ci-après le message que Joseph a reçu de Notre-Seigneur, le Fils de Dieu. Il en entendu Jésus lui adresser les paroles suivantes :

« Mes amis, la maladie, la souffrance et la mort ne viennent pas de Dieu. Elles sont le résultat du péché. Le Père créa Adam et Ève de telle façon qu’ils n’auraient jamais eu à souffrir ni à mourir. Mais leur horrible faute contre le Père fit advenir toutes ces choses.

« J’ai toujours grand pitié de tous ceux qui souffrent de quelque manière. Quand j’aperçus au sortir de Jéricho ces deux aveugles criant à l’aide, je leur demandai ce qu’ils voulaient. Ils me supplièrent de leur rendre la vue. Je posai la main sur leurs yeux et aussitôt ils furent guéris. Ce fut une grande joie pour moi de les voir si heureux d’avoir recouvré la vue. C’étaient des hommes de foi. La foule qui assista à ce miracle fut véritablement touchée. En constatant que j’avais un tel pouvoir, ces gens allaient accepter que j’étais le Messie, le Sauveur, venu dans le monde pour les sauver.

« Comme vous le savez, j’utilisai la souffrance et la mort comme moyens pour vous sauver de vos fautes et pour vous ouvrir le ciel. Par ma Passion, que vous célébrerez bientôt, je fus en mesure de m’offrir en sacrifice au Père pour votre rédemption. Venez maintenant, accueillez-moi comme votre Sauveur, et mon sang vous lavera totalement. Vous serez renouvelés par l’Esprit Saint et vous deviendrez les bien-aimés du Père. Donnez-moi votre oui aujourd’hui et chaque jour. »

Traduction : RF

... mais qu’il vous faut faire un pas de plus pour que votre souffrance soit changée en joie !

Enseignement donné par Jésus à «  Solitude » à partir des écrits de Luisa Piccareta sur la ‘Divine Volonté’ - 20 février 2009

16 février 1924, Luisa, Le Livre du Ciel, Tome 16, p. 100  Chicoutimi - Solitude, 20 février 2009
Souffrances intenses et joies infinies vécues par le Cœur de Jésus. Celui qui, avec amour et soumission, participe à ses souffrances participe aussi à ses joies.

Je veux te dire, ma fille, que plusieurs de mes enfants qui souffrent se donnent des mérites qu’ils n’ont pas. Sais-tu pourquoi ? Ils se donnent des mérites que ma souffrance a obtenus mais, Moi je sais que, dans certains cas, ils souffrent par obligation, non par amour. Je ne veux pas vous culpabiliser, au contraire, mais ce que je veux c’est que vous reconnaissiez l’accomplissement de ma Rédemption avec vous, dans le sens que vous avez ce privilège d’être partie prenante de ma Vie. Pour cela, vous bénéficiez d’être participants à la Rédemption.

Ceci ne veut pas dire que vous ne vous donnez pas à ma « Divine Volonté », mais qu’il vous faut faire un pas de plus pour que votre souffrance soit changée en joie ! C’est parce que vous ne voyez pas plus loin que vos yeux de chair, car la souffrance offerte dans l’abandon, en regardant toute la valeur de cette souffrance unie à la mienne, n’est pas appréciée comme telle, mais souvent comme un poids à votre vie ! Tandis que si vous me la donniez, comme un cadeau de votre cœur, là, tout serait différent.

Pour que cela se produise, il vous faut vous souvenir dans quel état je me suis donné pour vous, alors que vous étiez en danger de vous perdre. Vous devez prendre connaissance de vos mouvements de plaintes, de désarroi et de lamentations.

Merci de m’écouter ! Vous avez un cœur d’amour à m’écouter, mais vous avez aussi cette sensibilité à vos souffrances qui en atténue la valeur. Vous faites comme diminuer les mérites de vos souffrances qui servent à sauver des enfants sur le bord du gouffre et dont beaucoup se perdent à chaque seconde qui passe.

Voyez-vous la valeur de vos souffrances quand elles sont liées aux miennes ? Vous ajoutez des âmes à ma Cité. Que comprenez-vous à cela ? Est-ce que je me suis bien exprimé pour vous ?

Jésus, votre Consolateur, votre Frère en Dieu ! Amen.

Ce que tu souffres n’est rien comparativement à l’héritage céleste

Message de Dieu le Père par l’entremise de Lec des Philippines - 3 novembre 2008 à 6 :55 h. (a.m.)
Note de Lec :  Le message qui suit semble m’être adressé personnellement, toutefois, laissez-moi le partager tout de même, car d’autres peuvent aussi avoir besoin de réconfort.

«Fils Lec, accepte avec une calme résignation toutes les souffrances qui arrivent dans ta vie.  Porte-les toutes avec patience, persévérance et courage.  Elles ne sont pas voulues en permanence, mais uniquement pour réaliser certains projets pour amener l’âme à s’approcher de la perfection.  Quand tu souffres, tu te tournes vers moi d’une manière plus sincère et tes prières sont plus sérieuses.  Ton esprit se tourne plus profondément à l’intérieur de ton cœur.

Je suis très conscient de ce qui arrive à tous mes bien-aimés enfants.  Je ressens toutes leurs peines, douleurs, désappointements et toutes les sortes de frustration.  Mais ceux-ci passent tous, mes enfants, car la gloire éternelle qui vous a été révélée étonnera encore votre imagination.  Ce que tu souffres n’est rien comparativement à l’héritage céleste.  Pense au ciel, ton éternelle demeure où il n’y a plus ni peine ni douleur, mais seulement la paix, la joie et un bonheur sans fin.

Le temps passe si vite.  Un jour tu es ici, le suivant tu es en ma présence.  Réjouis-toi car ta rédemption est proche!

Fin du message à 7 :10 h. (a.m.) - Traduction :  PL

Si tu souffres, mon ami, tu peux être assuré que je suis conscient de ta souffrance et que je te donne les grâces spéciales pour supporter ta croix.

DIRECTIVES POUR NOTRE TEMPS - Message du mois, tel que Jésus l’a donné à Anne une apôtre laïque d’Irlande  - 1er novembre 2008.

«Chers apôtres, êtes-vous conscients de ma présence?  Comprenez-vous que je demeure avec vous à chaque instant?  Parfois vous souffrez et dans votre souffrance vous vous sentez abandonnés.  C’est simplement un sentiment que je permets pour que vous puissiez encore partager avec moi cette portion de ma passion.  Je ne pourrais jamais vous abandonner et je ne vous abandonne pas.  Je demeure avec vous, vous consolant et vous guidant.

Si tu souffres, mon ami, tu peux être assuré que je suis conscient de ta souffrance et que je te donne les grâces spéciales pour supporter ta croix.  De la même manière que je demeure avec chacun de mes bien-aimés apôtres, je demeure avec le monde entier.

Moi, Jésus, j’aime chaque personne déjà crée par le Père.  Je recherche la bonté et la paix pour chaque homme et femme de la terre.  Je porte attention aux intérêts célestes de tous les enfants de Dieu. 

Vous, mes très chers, possédez une vision terrestre limitée.  Je comprends que votre vision est limitée parce que je comprends tout de vous.  Actuellement, je voudrais que mes apôtres bien-aimés acceptent aussi d’avoir une vision limitée.  En recherchant le bien de tous les enfants de Dieu, je dois permettre que des changements arrivent, lesquels auront un impact sur tous les enfants de Dieu.  Je fais cela pour apporter la bonté et la paix dont je fais référence, mais le changement sera graduel au plan des bénéfices à venir.

Faites-moi confiance en tout.  Je n’abandonne pas un seul des enfants de Dieu, et mes bien-aimés apôtres qui me donnent une amitié et une loyauté constantes seront unis avec moi en tout.  Soyez en paix, chers enfants.  Je suis avec vous.

Traduction :  PL

Vous ne créerez jamais un monde où ceux qui ont un corps humain soient libérés de toute souffrance. Ce n’est pas décrété et n’arrivera pas.

Directives pour notre temps - Suite des messages de notre Sainte Mère aux évêques, prêtres et religieux par l’entremise de Anne une apôtre laïque d’Irlande - Note :  Ces messages ont été tirés du 3e volume des messages publiés.

13 août 2003

(...) La souffrance sur la terre a une place dans l’ordre divin des choses.  Vous ne créerez jamais un monde où ceux qui ont un corps humain soient libérés de toute souffrance. 

Ce n’est pas décrété et n’arrivera pas.
 
Le seul endroit où aucune souffrance vous sera garantie c’est au ciel.  Regardez attentivement la valeur de la souffrance;  scruter ceux qui sont autour de vous, beaucoup ont accepté la souffrance dans leurs vies.  Ils ne sont ni amers ni abandonnés.  Beaucoup sont parvenus à une grande sainteté.  Vous l’entendez souvent dire que si vous voulez parler à quelqu’un qui a du caractère, parlez à quelqu’un qui a souffert.  Ceux qui n’acceptent pas la souffrance ne peuvent même pas comprendre les autres, ne s’occupent pas de leur prodiguer des soins et de compatir.  Je ne veux pas que vous recherchiez la souffrance, ce n’est pas le point;  je veux que vous l’acceptiez amoureusement et paisiblement quand elle arrive dans votre vie. (...)

Imaginez une conversation où une personne est détournée, occupée à une autre tâche.  La personne qui tente justement de communiquer abandonne parce qu’il n’y a personne qui écoute.  Soyez certains, je le redis, soyez certains que cela ne décrit pas votre relation avec Jésus.  Que vous a-t-il dit aujourd’hui?  S’il n’a rien dit…vous n’écoutez pas.  Tournez-vous maintenant de nouveau vers lui et assoyez en silence, pendant qu’il parle à votre cœur.  Fermez les yeux et voyez le sourire amoureux sur son visage alors qu’il cherche à vous guérir et à vous purifier.  Votre Jésus a beaucoup de choses à vous dire, chère âme. 

Vous pouvez lui crier toute votre peine et il l’emportera pour la remplacer par la joie.  Comme je suis heureuse et bienheureuse d’être la Mère de cette douce créature divine.  Combien de fois il m’a consolée et illuminée.  Je vous le dis enfants, si vous êtes en communication avec Jésus, il n’y a pas de questions à poser.  Alors suivez-moi, votre Mère du ciel et je ferai en sorte que vous soyez unis au Christ. (...)

Graduellement, l’amour dans cet homme s’en va aussi.  Aujourd’hui un homme peut survivre assez agréablement s’il est nourrit par l’amour divin…ce n’est pas un problème.  Mais peu d’âmes acceptent l’amour divin.  Pensez à la plupart des âmes que vous connaissez.  Combien pouvez-vous dire ont une relation vivante avec Jésus Christ? 

Vous les reconnaîtrez parce qu’ils tiennent bon.  Pourquoi tiennent-ils bon? 
Parce qu’ils sont joyeux; 
ils sourient, ils aiment les autres avec simplicité et facilité; 
ils se préoccupent des uns des autres et ils tolèrent et comprennent les fautes des autres; 
ils cherchent à aider les autres quand ils le peuvent; 
ils ne sont pas dirigés par des dépendances et jalousies; 
ils n’acquièrent pas de biens pour l’amour d’acquérir des biens; 
ils disent la vérité;  ils acceptent la responsabilité de leurs actions et ils aiment et respectent les enfants. 

Combien as-tu identifié d’âmes qui correspondent à cette description, mon chéri?  Je vous laisse avec cette pensée et je vous demande de comprendre que cette description devrait être propre à tout le monde.

« Mes chers enfants, vous acceptez la grâce dans vos vies et cela me fait plaisir.  Mon Fils aussi retire beaucoup de consolation de ces âmes qui répondent à mes incitations.  Enfants, je sais que c’est parfois difficile pour vous.  Rappelez-vous que j’ai vécu la vie terrestre et que j’ai tiré beaucoup de réconfort de la foi.  J’étais souvent incertaine de ce que l’avenir détenait pour mon Fils mais je savais que c’était la souffrance.  J’ai vécu avec cette réalité malgré laquelle je suis demeurée gaie, dévouée et joyeuse.  Vous pouvez demander comment j’ai fait cela…je vous dis que je l’ai fait à travers la prière.  Je demandais constamment au Divin Père de me soutenir. 

Lorsque je ressentais le chagrin de l’avenir de mon Fils, j’arrêtais ce que j’étais en train de faire et je faisais un acte d’obéissance à notre Père.  C’est devenu mon habitude de vie et elle m’a bien servie, même durant les heures les plus difficiles. 

Vous trouverez cela aussi.  Quand vous vous sentez incertains de vous-même ou effrayés, faites un acte d’obéissance.  Dites ce qui suit :  « Dieu du ciel, je vous jure ma loyauté.  Je vous donne ma vie, mon travail et mon cœur.  En retour, donnez-moi la grâce d’obéir à toutes vos directives dans la plus grande mesure possible. » 

C’est tout, enfants.  Cette prière simple fera descendre sur vous la consolation, la consolation qui vous stabilisera et vous préparera à agir dans sa volonté.  Nous ne voulons pas vous juger pour vos erreurs, nous ne critiquons pas.  Nous voulons vous guider et si vous prenez la mauvaise route, nous vous corrigerons tout simplement.  N’ayez pas peur de l’échec, parce qu’avec Dieu, l’échec n’est pas possible, ce n’est même pas une possibilité.

Avancez maintenant avec joie, enrichis par mes paroles.  Jésus, votre Sauveur, a aussi beaucoup à vous dire et il continuera cette directive du ciel.  Mes enfants, l’humilité est votre mot de passe et l’amour est votre boussole.  Vous êtes placés sous mon manteau de protection.  Soyez assurés de ma constante et assidue protection.  Que personne n’ose toucher à un enfant de cette Mère du ciel.  Croyez, enfants, en ce plan qui m’a été confié, et sachez que rien ne l’arrêtera. 

En effet, il progresse au moment où on se parle.  Dieu baisse les yeux sur vous et il voit un serviteur de bonne volonté.  Vous passerez l’éternité à le remercier pour cette opportunité de servir. »

Chacun de vous a ses épreuves à supporter dans la vie

Message de Jésus au Père Melvin Doucette 5 août 2007
Ma demi-heure de prière contemplative s’est passée en compagnie du Seigneur Jésus, qui m’a dit les paroles suivantes :

Les souffrances du monde ne durent que peu de temps, tandis que la gloire du ciel ne connaîtra jamais de fin. Venez me recevoir aujourd’hui et goûter un aperçu du ciel, où trône Dieu le Père et où je siège à sa droite, et où l’Esprit Saint réside également. Nous attendons chez nous pour vous y accueillir à jamais.  Je vous aime et je vous bénis. »

Dieu sait que vous êtes dans la douleur, il connaît votre épreuve, tout Lui est connu

Lâchez prise immédiatement ! 

MESSAGE DE MARIE REÇU PAR CAROL AMECHE - LE 31 JUILLET 2005.

Ce message a été transmis publiquement par l’intermédiaire de Carol Ameche, lors du rassemblement du groupe de prières.

Certains peuvent penser que c’est impossible de monter cette échelle jusqu’à la perfection, mais avec Moi, toute chose est possible. 

Message du Seigneur à John Leary - Mercredi le 13 juillet 2005

Messages de Jésus sur la souffrance (à Jean Marc - France)

Extrait du  livre : "Parole de la Très Saint Trinité - tome 1" (Édition Saint-Jean Évangéliste en vente aux Éditions du Parvis)  -  France, 15 mai 1991

Le Seigneur : A tous Mes chers enfants du monde!

Enfants bien-aimés, Je vous bénis et vous garde tous dans l'Amour de la Très Sainte Trinité. En ce jour, Je M'adresse spécialement à tous Mes enfants du monde accablés par les épreuves,
à tous ceux qui souffrent au plus profond de leur âme et de leur corps, à tous les désespérés du monde.

Oh, combien la Très Sainte Trinité souffre de votre propre souffrance, de vos douleurs, de vos désespoirs!

Mes enfants, comprenez bien que vos souffrances, vos douleurs, vos tourments ne sont pas inutiles à la Gloire de Dieu. Au contraire, tout ce que vous souffrez pour Moi, votre Père des Cieux, tout ceci est une souffrance salutaire pour vos propres âmes et celles de tous vos frères et sœurs en Jésus-Christ.

Surtout, gardez confiance, quelle que soit I'intensité de vos épreuves et de vos douleurs, gardez confiance en Moi, votre Dieu et votre Père. Surtout, n'ayez dans le cœur aucune amertume, aucune révolte contre Moi. Acceptez toutes vos épreuves avec Amour„ dans un esprit de pénitence et de contrition.

C'est ainsi, et c'est ainsi seulement, que vos souffrances seront une offrande à la Gloire de Dieu. Unissez toutes vos souffrances et douleurs à toutes celles de votre Rédempteur, mort sur la Croix pour vous sauver tous. En unissant toutes vos peines et douleurs à celles du Christ, vous participez vous aussi au salut de toutes les âmes et vous aurez droit, vous aussi, à la gloire céleste.

Mes enfants, n'écoutez pas le tentateur qui veut vous conduire au désespoir et aux pires actes. Aussi, Je vous le demande, priez et priez beaucoup, ainsi ces souffrances deviendront une grande joie pour votre âme. Vous serez alors couverts du manteau sanglant de Jésus, qui vous protègera et vous donnera Sa Paix infinie.

Mes enfants, acceptez avec joie la Croix que Jésus vous tend chaque jour pour marcher à Sa suite sur le chemin du salut. Celui qui ne veut pas porter sa croix à la suite de Jésus n'est pas digne d'entrer dans le Royaume du Père. Rappelez-vous que seule la Croix vous élèvera vers Dieu.

Vous tous qui êtes malades, vous tous qui souffrez, vous tous qui êtes désespérés, soyez désormais consolés, car une tendre Mère, votre chère Maman du Ciel vient à votre secours et vous donne la force de porter votre croix.

Elle vient vous apporter tout Son Amour de Mère, toute Sa Tendresse, et Ses Larmes bénies s'unissent aux vôtres pour vous purifier. Vous n'êtes pas seuls dans vos épreuves et vos difficultés, mais le Ciel tout entier prie avec vous et pour vous, et vous soutient lorsque vous tombez et n'en pouvez plus. Une main secourable vient vous relever et la Grâce de Dieu est toujours présente pour vous sanctifier.

Enfants bien-aimés, comprenez combien est grande la Miséricorde de Dieu qui vous donne ce message et qui vous montre la voie que vous devez désormais suivre.

Par cette bénédiction, Mes chers enfants, Je viens sécher vos larmes et vous apporter

Quelques extraits des révélations de "Jean, messager de la lumière"

Vos prières s'élèvent dans le ciel portées par les anges, pensez y et sachez que tout ce qui vous arrive c'est par la grâce de Dieu, c'est la Providence qui récompense votre manière d'être. (...)

Évitez de médire, quel que soit le tort qu'on a pu vous faire, oubliez l'offense en jetant un voile sur la blessure qu'on vous a faite. (...)

Message de Jésus au Père MELVIN DOUCETTE

Date: Mercredi le 03 septembre 2003

Ce matin, Jésus m’a donné un message pour vous tous durant la prière. Il a commencé en disant:

"Melvin, mon ami intime, Je t’aime et J’aime tous mes frères et soeurs spécialement ceux qui souffrent d’une façon ou d’une autre. Il y en a tellement qui souffrent de maladies physiques ou psychologiques.

J’ai une grande compassion pour eux tous et durant ma vie terrestre J’en ai guéri plusieurs. Je ne veux pas que personne souffre. C’est pourquoi, Je suis prêt à guérir ceux qui croient en Moi et qui engagent leurs vies pour Moi. J’en ai guéri aussi plusieurs à travers l’intercession de ma chère Mère qui est aussi votre Mère. Quelques-uns de mes amis ont le don de guérison car ils sont mes instruments à travers lesquels Je guéris les malades.

Laissez-les poser leurs mains sur ceux qui souffrent et J’écouterai leurs prières. Vous savez que J’ai utilisé les souffrances pour apporter votre Rédemption. C’était par des souffrances et des douleurs horribles infligées sur Moi que Je suis mort sur la croix.

Vous ne pouvez comprendre le mystère de la douleur seulement qu’en contemplant ma mort sur la croix. Toute souffrance est associée au péché. Au commencement la souffrance est entrée dans le monde à cause du péché du premier couple créé par Dieu.

Ils ont refusé d’obéir au Père et ont péché gravement. Quand le péché est entré dans le monde, la souffrance et la mort sont entrées en même temps. Je suis votre sauveur qui vous guérit spirituellement et parfois physiquement. Je vous bénis
tous."

Souvent la souffrance est nécessaire

France, le Vendredi 16 Juillet 2004 - 11h00 - 15e semaine du Temps Ordinaire Fête de NOTRE DAME du MONT CARMEL

Jean-Marc : Vierge très Sainte, nous nous tournons vers Vous, en votre fête du Mont Carmel, où Vous nous avez remis le précieux scapulaire brun. Bénissez tous ceux et celles que Vous appelez et qui viendront à ce prochain cénacle du Dimanche 25 Juillet 2004 à Saint Loubouer (40).

Je vous salue Marie...

La Sainte Vierge :  Que tous Mes Fils et Filles bien-aimés, soient comblés de Ma Présence Maternelle et de Mes Bénédictions spéciales pour chacun et chacune d’entre vous.

Mes très chers Fils et Filles.

Vous le savez, Je vous l’ai déjà annoncé, vous savez combien votre monde actuel offense Dieu et s’éloigne de Lui un peu plus chaque jour. Certes, il y a aussi des conversions, particulièrement chez les jeunes, qui après avoir fait l’expérience de ce monde, sont revenus déçus, tristes, blessés, en quête de vérité, en recherche de Dieu.

Souvent la souffrance est nécessaire à l’homme pour lui enseigner combien la vie sur Terre n’est qu’un passage, et que seule l’éternité avec Dieu est l’unique nécessaire et doit être votre but et le sens de votre vie.

L’homme a besoin de Dieu, de son Créateur et Père et de Jésus son frère et son Sauveur.
L’homme a besoin aussi d’une Mère qui le comprenne et lui apporte les consolations et l’aide pour continuer son chemin vers l’éternité.

Dans la prière, vous rencontrerez Dieu votre Père, Jésus dans la Sainte Communion. Je vous attends aussi lorsque vous prendrez le temps de prier votre chapelet et mieux encore le très Saint Rosaire. Mes Enfants, Je vous en supplie, détournez-vous de votre vie de pécheur, renoncez aux tentations que le malin mettra inévitablement sur votre route.

Si vous priez chaque jour, Mon Fils vous donnera la force de rejeter votre péché et de vous détourner du mal pour vous attacher seulement à votre Sauveur, qui est le seul chemin vers le Père des Cieux.

Si vous ne priez pas, vous restez faibles et de ce fait, l’ennemi triomphera de votre fragilité, il s’infiltrera tel un serpent dans les failles de votre âme, pour la diviser et la fragiliser davantage par le péché.

Mes enfants, vous mêmes et vos frères et sœurs ont besoin de votre foi vivante, de votre bonne volonté, de votre prière, de votre élan missionnaire. L’Eglise a besoin de vous pour se fortifier et triompher de ses adversaires.

Mes Enfants, soyez victorieux avec Moi, c’est Moi qui vous abrite sous mon large manteau, et les flèches de l’ennemi ne pourront plus vous atteindre.

Participez à ma Victoire qui s’approche, soyez à mes côtés et vous verrez l’ennemi fuir sous vos pas. Recevez, Fils et Filles de Dieu, Ma puissante Bénédiction,

Marie votre Maman du Ciel et de la Terre, Notre Dame du Mont Carmel.

Soyez confiants en l’aide de Dieu, qui voit tout et s’occupe de tout si vous Lui laissez la première place dans votre vie

France, le Vendredi 7 Mai 2004 - 14h10 - 1er Vendredi du mois, 4ème semaine de Pâques - Fête de Sainte Flavie, martyre

Jean-Marc : Trinité Sainte, que votre nom soit glorifié non seulement au Ciel, mais aussi sur la Terre. Bénissez ce cénacle familial du Dimanche 9 Mai 2004. Gloria Patri et Filio et Spiritui Sancto...

Le Seigneur : Ma Paix vient sur vous, telle une douce rosée descend sur la Terre pour la féconder. Gardez cette âme d’enfant, cette âme priante et emplie de vénération.

Souvenez vous toujours que Ma Divine Main élève ceux qui s’abaissent et abaisse ceux qui s’élèvent et veulent se mettre en valeur. La grandeur d’une âme réside en son humilité.

Que d’âmes s’éloignent de Moi, un peu plus chaque jour, car elles se gonflent d’orgueil en s’attribuant ce qui revient à Ma Gloire. Il y a les dons célestes que J’octroie à chaque créature et il y a vos mérites personnels. Ne confondez pas les deux. Rendez à Dieu ce qui Lui revient, et à vous même ce qui vous appartient.

Vouloir s’octroyer ce qui vient de Moi, c’est s’attribuer à soi-même ce qui ne vous revient pas, mais qui vous est confié.

Oubliez vos mérites, mais n’agissez que pour la seule gloire de Dieu et le Salut des âmes et non pour votre propre compte. Si vous accomplissez une belle action, si vous œuvrez pour une noble cause, gardez le silence à ce sujet.

Ne rechercher pas de vaines louanges ou des honneurs humains. Cherchez avant tout le bien d’autrui, si vous vous attribuez un quelconque bénéfice de vos bonnes actions, c’est à Moi d’en juger et de vous récompenser. Plus vous vous oublierez, et mieux Je pourrai vous combler de Mes Divines Grâces.

Cultivez jour après jour le terreau de l’humilité, en ne cherchant pas à plaire aux hommes, mais à Dieu seul. Soyez confiants en l’aide de Dieu, qui voit tout et s’occupe de tout si vous Lui laissez la première place dans votre vie.

Le découragement, les soucis, l’empressement, sont des obstacles majeurs à l’accomplissement du projet de Dieu en vous et dans vos vies. Rendez grâce à Dieu en toutes situations et soyez toujours dans la louange.

Voyez la Main de Dieu à l’œuvre dans vos vies, et vous aurez trouvé dès ici bas la joie parfaite.

Recevez Ma Paix et partagez la autour de vous.

Votre Père Eternel

... si le Ciel vous semble fermé, c’est que ...

France, le Mardi 16 Mars 2004 - 15h40 - 3e semaine de Carême - Fête de Sainte BÉNÉDICTE

Jean-Marc : Dieu trois fois Saint, que Votre volonté soit faite et non la nôtre. Bénissez tous ceux et celles qui viendront à cette réunion de prière à l’église de Creyssens (81).

Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit...

Le Seigneur :

Fils et Filles de Dieu, réjouissez-vous de Ma Sainte Présence et des grâces, que Je viens vous octroyer dans Ma libérale bonté.

Parfois, vous vous plaignez n’avoir pas reçu de grâces, ni être exaucés par vos prières. Vous avez l’impression de supplier le Ciel, et qu’il reste fermé, sans que vous en obteniez de l’aide. Il est vrai, que le croyant est mis à l’épreuve de sa foi.

Il est juste, que Dieu ne donne pas toujours ce que vous demandez, mais ce qui vous est nécessaire.

Certains ne demandent rien et obtiennent des grâces et des interventions Divines, qui semblent exceptionnelles. L’homme n’a rien à exiger de Son Créateur, de Son Père. Il peut, bien sûr, Lui demander son aide et Le prier avec confiance, et J’accorderai à chacun ce qui lui faut, ce qui est bon pour lui.

Si votre prière, ne s’élève pas jusqu'à Moi, si le Ciel vous semble fermé, c’est que sans doute, il y a en vous un ou des obstacles qui empêchent cette ouverture à la Présence Divine.

N’oubliez pas, que tant que le péché est prédominant en vous, cela signifie que la Grâce Céleste est encore bien faible et de ce fait, les ténèbres que vous avez engendrées empêchent votre prière de s’élever dans le Ciel, dans la Lumière de Dieu.

Aussi, ôtez le voile de péché qui obscurcit votre âme, soyez bons et généreux, soyez ardents et vous verrez combien la Grâce Divine vous inondera de Sa Présence et de Ses bienfaits ; votre prière alors portera du fruit en abondance.

Les soucis de la vie, le trop grand attachement à la matière, l’égoïsme... empêchent votre âme de recevoir les grâces de Dieu.

Soyez un vase vide et Je le remplirai Moi-même. Si vous voulez trop diriger votre vie, vous M’empêchez de vous guider, de vous conduire et alors vous tombez toujours dans des impasses et vous désespérez.

Tout dépend de votre abandon, de votre confiance, de votre charité. Celui qui aime vraiment, connaît Dieu et est véritablement Enfant de Dieu.

Je vous bénis, Mes bien-aimés, Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

Votre Père Eternel

La souffrance ne vient pas de Moi

Message de Jésus à Françoise - Mercredi 31 mai 1995