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L'instant d'après
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Le passage dans l'autre monde

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sur la mort
Messages du Ciel sur la mort   L'instant d'après Le jugement des non baptisés Expériences de mort imminente (EMI)
Le temps fixé de notre mort
Autres chapitres :  Que se passe-t-il après la mort ? (Schéma)   Le paradis   Les Esprits et la vie sur terre

Elles disent toutes une chose "Jamais plus sur la terre ! Si le Seigneur me demandait un tel sacrifice,
je le ferais pour lui, mais, moi, de ma propre volonté, jamais plus sur la terre ".
Mais le Seigneur ne le demande pas

Lire également les chapitres : J'ai perdu un enfant à quelques mois de grossesse. Existe-t-il   --   Les anges

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Toutes mes prières vont sur vous, tout comme je vous regarde


Message donné à John Leary (USA)  Messe de funérailles de Dorothy Macaluso

Dorothy : Je suis heureux de voir toute ma famille et mes amis qui ont partagé ma vie. Je vous aime tous tellement et je vous remercie tous d'être venus à mon enterrement.

Je suis reconnaissant à mon mari pour toutes les belles années de notre mariage et pour l'ensemble de son aide dans mes dernières années. Je l'aime tellement. Je remercie également tous mes gardiens. Je suis avec Jésus et Marie, ainsi que nos parents décédés.

J'étais fidèle dans mes prières et Jésus m'a récompensé avec une place particulière dans le ciel. Je suis en attente pour vous saluer tous ici un jour.

Je prie pour toutes les âmes de ma famille et je demande au Seigneur de protéger chacune d'entre elle induite en erreur. Je ne peux pas exprimer en mots combien je suis heureux d'être avec le Seigneur et le Ciel est si beau et plein d'amour.

Toutes mes prières vont sur vous, tout comme je vous regarde.
Je suis heureux de partager la prière avec mes frères et sœurs carmélites en ce jour de la fête de Notre Dame du Mont Carmel.



Mes dernières souffrances étaient mon purgatoire sur terre, maintenant je suis au Ciel

Message donné à John Leary (USA) Jeudi 26 mai 2016  (Messe des funérailles pour Estelle Wegman)

Estelle : Je suis fier que toute ma famille ait pu venir à mon enterrement, je vous aime tellement. Je remercie toutes les personnes qui m'ont aidé dans mes dernières années, en particulier durant ma période de soins médicaux.

Mes dernières souffrances étaient mon purgatoire sur terre, maintenant je suis au Ciel avec Ed, ma famille et mes amis défunts.

Je veux tous que vous gardiez le cap dans la foi en venant à la messe du dimanche et à la Confession. Je vous regarde et prie pour vous tous parce que je veux vous voir avec moi au Ciel. Souvenez-vous de moi par des photos parce que moi, je ne vous oublierai jamais.

Je vous remercie d'avoir chanté la prière « Mère » à mon intention pour la fête des mères.

Mercredi 25 mai 2016: (messe des funérailles pour Carole DeRuyscher)

Carole : Je suis heureux d'être avec mon Jésus au Ciel et j'y aie été accueilli par mon mari qui m'avait appelé dans un rêve.

Je vous aime tous, vous qui êtes de ma famille et je prierai pour l'ensemble de vos âmes. Je remercie le Père Pierre de dire à ma famille mon souhait qu'ils viennent tous à la messe le dimanche.

Je peux vous dire que le Ciel est vraiment très beau et je vais attendre afin qu'un jour je puisse vous y retrouver, vous, ma famille et mes amis.
Je vous remercie, John et Carol et le groupe de prière pour vos nombreuses années d'amitié.

Que Dieu vous bénisse tous et vous aide à garder la foi.



L'âme est accueillie d'abord par ses parents et amis durant son passage
de la vie terrestre à la vie spirituelle.


Message donné à
John Leary (USA) Mercredi 1 juin 2016

Jésus : (...) Une âme qui est placé devant moi lors de son jugement peut devoir aller souffrir un temps de purgatoire pour se purifier.
L'âme est accueillie d'abord par ses parents et amis durant son passage de la vie terrestre à la vie spirituelle.


Quand une âme arrive au Ciel, elle est dirigé au niveau que ses bonnes actions et son amour ont mérité. Il y a sept niveaux au Ciel et c'est à moi de décider le niveau qui est réservé pour chaque âme.

Je fais des endroits au Ciel pour chacun de vous qui viendront ici. Restez près de moi dans l'obéissance à mes commandements et vous aurez une place réservée dans les Cieux.

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Je vais tous vous regarder
du Ciel et je prierai pour vous

Message du Ciel donné à
John Leary (USA)
Mardi 12 janvier 2016 (messe des funérailles de Joyce Lippa)

Jésus : Mon peuple, merci à vous tous d'être venus à sa dernière messe, sa messe de funérailles. Elle peut s'identifier à cette lecture sur l'amour dans les Corinthiens parce qu'elle aimait énormément Nick et la famille


Elle m'a aussi aimé tendrement dans sa vie, dans ses prières et dans ses bonnes œuvres. Quand elle est arrivée au Ciel, elle a rencontré ses parents décédés. Elle attend le jour où elle pourra tous vous rencontrer à nouveau. Elle est désolée de vous avoir tous quitter si soudainement par la mort et elle est en train de prier et de veiller sur vous.

Vous pouvez tous me remercier pour le don de la vie.


7 janvier 2016

David : Ma chère famille, je suis toujours là et je veille sur vous en priant pour vos besoins. Ma sœur Catherine est confrontée à la perte de son emploi quand sa banque a fermé.
Je demande à Jésus d'intercéder pour l'aider à obtenir un autre emploi afin qu'elle puisse faire face à ses dépenses. Elle doit avoir un peu de patience jusqu'à ce qu'elle puisse trouver un autre emploi à son goût.

Chacun d'entre vous est aussi en train de prier pour elle. Je vous aime tous et je suis heureux que vous ayez placé ma photo dans votre chapelle.
Je vous remercie également pour avoir visité ma tombe. Souvenez-vous de moi comme intercesseur de prière pour vos besoins.

Lundi 4 janvier 2016 (Messe des funérailles de Frank Toukatly)

Frank : Je vous remercie tous d'avoir pris le temps de venir à ma messe de funérailles célébrée par le père Abe qui a donné une belle homélie et je suis béni d'avoir eu tant de prêtres. J'aime Connie, mes enfants, beaucoup mes petits-enfants et je suis désolé d'avoir dû les quitter.

Je remercie ma famille et le personnel de santé de m'avoir aidé tout ce temps pour mon cancer.
Je remercie tous mes amis d'avoir assisté à ma messe et surtout ces gens qui venaient de sortir de ville comme vous, John et Carol.

Je vais tous vous regarder du Ciel et je prierai pour vous.
Comme dans la vision, ce fut un honneur spécial que Jésus soit venu me prendre au Ciel. Son arrivée à travers le toit était très biblique, comme dans la guérison du paralytique.

Que Dieu vous bénisse tous et souvenez-vous de moi dans vos prières d'intercession.
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Je fus accueilli par l'ensemble de notre famille et les amis défunts

Message du Ciel donné à
John Leary (USA)
Lundi 21 décembre 2015 (messe des funérailles de Bob Lombino)

Bob : Je remercie tous les gens qui ont pensé de venir à ma messe d'enterrement, je vous aime tous, en particulier Karen et ma famille.

Je sais que vous êtes triste à cause de mon départ, mais je voudrais que vous changier vos larmes de tristesse en larmes de joie, parce que je suis avec le Seigneur dans les Cieux.
Je suis même étonné par Jésus dans tout ce que j'éprouve au Ciel sans plus aucune douleur.

Je fus accueilli par l'ensemble de notre famille et les amis défunts. Je remercie toutes les personnes qui m'a aidé sur le chemin de mes souffrances. Je suis tellement ravie par les chants et l'amour du Ciel. Cest au-delà de mes rêves les plus fous.

Je suis en attente de la journée ou vous me rejoindrez au Ciel, lorsque vous ferez l'expérience de l'amour complet et magnifique de Dieu.
Je suis heureux que vous ayez aimé les chansons et les lectures de la messe.

Je prierai pour vous tous.


L’entrée au ciel de Jean Messager de la Lumière

Message du Ciel - Jean messager de la lumière

Il faut partir du principe que la mort est le plus beau cadeau de Dieu, car il permet de retrouver la vraie vie.

Quand on quitte la terre, c’est tellement surprenant, que l’on se demande ce qui nous arrive; aussi, je n’ai pas tout à fait réalisé mon départ de votre monde. Quand l’âme abandonne le corps, on ne s’en rend pas compte et on se retrouve dans l’au-delà ...

Après avoir quitté ce monde, à l’instant même de ce départ, le jugement de Dieu est prononcé. On peut dire que l’âme subit ce jugement, car, sur-le-champ, elle va voir défiler toute sa vie terrestre.

Ainsi, dans ce film, elle va se voir comme dans une glace, comme elle ne s’est jamais vue : tout ce qu’elle a fait, tant dans le bien que dans le mal, toute la souffrance qu’elle a pu provoquer chez les autres, bien souvent sans s’en rendre compte, parfois par de simples paroles. Tout cet ensemble de bien et de mal donne toute la mesure de son séjour au purgatoire pour se laver de tout ce qui a été négatif.

Pour se présenter devant Dieu, devant le Seigneur Notre Père, il est indispensable que l’âme soit pure !

Je n’étais plus avec vous et pourtant j’ai assisté à mon enterrement. C’est très affligeant d’assister à ses obsèques, de voir toute la famille et de constater que son corps est dans un cercueil. Regarder ses propres funérailles est chagrinant, surtout de voir tout le monde pleurer et particulièrement ma petite maman et mon papa qui étaient tellement malheureux.

Notre Mère du ciel, si douce et si gentille, après notre examen de conscience, nous donne indulgences et peines. Elle m’aime beaucoup, aussi, grâce à votre chapelet journalier, je suis à la porte du ciel. Ce sont les saints qui m’aident dans les prières pour ma purification. Ils m’ont chargé de la mission de guide pour aider les âmes.

Marie n’accueille pas toutes les âmes. Elle voit celles qui ont atteint un degré assez élevé, ce sont également les saints et les anges qui sont là pour s’en occuper...

Après avoir quitté mon corps, mon âme a été attirée par une lumière très forte, j’étais dans une joie profonde, c’est comme un chant d’allégresse. Je ressentais une chaleur d’amour, mille fois plus forte que sur terre. Les mots ne suffisent pas pour expliquer tout cela, c’est si beau !

Nous passons par un tunnel et ensuite nous trouvons une grande lumière, des fleurs, des anges qui nous accompagnent. Nous avons la grande joie et le grand bonheur d’être également accueillis par tous les membres de la famille... A leurs visages, nous reconnaissons ceux qui nous ont accompagnés sur terre, mais ceux des générations précédentes sont innombrables...

Tous, ils chantent, ils dansent avec les anges, ils nous font la fête comme lors d’un mariage. Ils sont heureux que je puisse les aider à monter vers la grande lumière.


Après la fête, ils sont nombreux à rejoindre les petites lumières - situées loin de la porte du ciel -, cela est si triste pour eux...

Jean, messager de la lumière



J’ai la permission de te communiquer ce qui m’est arrivé dès que j’eus expiré

Messages céleste du Père Pio (1887-1968) à un prêtre Italien nommé D.T. (Date inconnue)

  Pour en savoir plus sur le Padre Pio : https://fr.wikipedia.org/wiki/Padre_Pio

Cher frère, écris, ne crains pas ! Je suis le Père Pio. Vive éternellement Jésus, Roi et Maître de tout l’univers !

Du trône de ma gloire, je te fais parvenir ma parole, tandis que tu es sur la mer tempétueuse  de cette vie humaine qui se débat  et patauge dans la fange.

Moi, Padre Pio, amant de Jésus en croix, copie vivante de sa vie crucifiée, j’ai la permission de te communiquer ce qui m’est arrivé dès que j’eus expiré. Le Dieu tout-puissant, très juste et tout aimable, a permis que mon âme demeure trois jours encore au pied du tabernacle, sur la terre, pour réparer toutes les irrévérences qui y avaient été commises à cause de ma présence qui faisait accourir dans le sanctuaire les foules empressées.

Le fait d’être resté trois jours au pied du tabernacle ne signifie pas que j’ai été privé  de la sainteté que l’infinie bonté de Dieu a bien voulu m’accorder.

Au moment où j’ai trépassé, j’ai compris, dans la lumière divine, la nécessité d’un acte de complète réparation pour toutes les âmes qui ont commis, tant d’années durant, à cause de moi, tant de manques de respect devant le T. S. Sacrement.

Quand une âme éprise de Dieu connaît, à la lumière du Soleil divin, que la beauté de Dieu approche, elle se précipite d’elle-même pour donner au Seigneur le dernier témoignage d’amour et de réparation. Rien d’étonnant, par conséquent, que j’ai accompli ces trois jours de réparation.

En même temps, j’ai été jugé digne d’être semblable à Jésus Christ jusqu’à mon entrée dans la gloire fulgurante qui m’attendait. Le Christ n’est-il pas demeuré trois jours au tombeau ? Et le corps virginal de notre très douce Mère immaculée n’est-il pas demeuré trois jours et trois nuits sur la terre ? Desseins divins insondables que la raison humaine à peine à comprendre !

Mais tendis que l’âme très sainte de Jésus jouissait de la gloire béatifique de sa divinité dans le sein de son Père céleste, pour moi, les trois jours passés au pied du tabernacle ont été un peu pénibles. Puis mon âme pris son envol, s’arrêtant dans les demeures du ciel, pour contempler toute la grandeur d’un Dieu tout-puissant. Je franchis ensuite le seuil suprême où mon âme  s’abîma dans la contemplation de tous les mystères dont on jouit au ciel.

Je ne parle pas de la grande récompense due à toutes mes souffrances, car si cela m’avait été possible, j’aurais préféré demeurer sur la terre et y souffrir jusqu’à la fin du monde, pour offrir réparation à l’infinie Majesté divine si outragée, et pour pouvoir  sauver d’autres âmes encore. O âmes négligentes, donner de la valeur à votre vie ! Faites-en un grand trésor pour la vie éternelle !

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L’âme immortelle laisse sa dépouille corporelle pour jouir du vrai bonheur
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Mais ma mission continuera encore ; je ne resterai pas inactif ! J’accompagnerai les âmes qui m’ont été chères, je veillerai sur celles dont la foi vacille. Je serai avec vous tant que la volonté divine  en disposera ainsi.

Invoquez-moi dans vos moments pénibles, durant la vie tourmentée de cette vallée de larmes !  Je vous aiderai et vous assisterai pour que votre foi ne bronche pas et que vous rendiez gloire au Seigneur qui vous a créés de rien. Au ciel, je suis en continuel colloque avec Dieu pour sauver les âmes : mais j’ai recours spécialement à la Reine du ciel et de la terre. Avec elle, je remplis ma mission. Le monde est dans un temps de grande corruption, mais aussi de grande miséricorde de la part de Dieu, qui attend encore qu’on profite de Ses mérites infinis.

Mon purgatoire, je te l’ai dit, je l’ai  fais au pied du tabernacle : tel a été le bon plaisir du Seigneur. Je pouvais en faire davantage, mais d’une autre manière. Mon purgatoire je l’ai fait durant ma vie terrestre, marquées des plaies de Jésus crucifié et l’âme sans cesse  plongée dans une pénible angoisse semblable à celle que souffrit  Jésus sur la croix au cours de sa douloureuse agonie. Si j’ai pu vivre si longtemps, c’est grâce à un secours divin.

Veux-tu savoir quelle est ma gloire ? Tu peux t’en faire une pâle idée. Il y a des joies célestes que l’on découvre toujours plus et dont on demeure sans cesse en extase. Mais tous ne jouissent pas de la même gloire. L’âme qui a aimé le plus, qui a le plus souffert, et qui a gardé la vraie pureté, cette âme-là est capable de goûter pleinement le mystère de la Jérusalem Céleste.

Moi, je me trouve à côté de mon cher père François, entouré des séraphins et des chérubins qui chantent  l’hosanna de l’amour et de la gloire. Dans le monde, on vit sans foi ou avec une foi languissante. Ceux qui sont un peu près du Seigneur pourraient travailler davantage  et enrichir leurs âmes.  Heureuses les âmes qui telles de diligentes abeilles, arrivent au ciel parées de leur couronne bien achevée, tandis qu’on ne pense qu’à jouir, tant qu’on est dans le monde et qu’on commet tant de péchés ! Il y a des menaces de Dieu inexorables. Toute la cour céleste adore et supplie la toute-puissance divine pour qu’Elle s’apaise. Priez donc et offrez !

Tous disent : « Le Père Pio est mort ! le Père Pio est mort ! » Mais comment peut-on appeler mort celui qui arrive à la vraie vie, l’éternité ? L’âme immortelle laisse sa dépouille corporelle pour jouir du vrai bonheur. Les morts ce sont ceux qui vivent loin de Dieu, sans vivre de la vraie vie, c’est-à-dire de la grâce divine. 

(Vincent) Cela me rappelle une lettre du nationaliste et mystique Algérien Abd el-Kader (1808-1883) qui, lorsque les généraux Français lui reprochaient que cette guerre, qu'il ne pouvait que perdre, compte tenu du rapport de forces, faisait trop de morts, il leur répondait "Pour vous Français, la mort est une tragédie mais pour nous, Algérien, c'est juste un passage vers un vie meilleure".

L’âme morte à la grâce en vivant dans les ténèbres, entraîne son corps comme un cadavre ambulant. Car c’est de l’âme que vient toute la vie qui anime le corps. Le mot « mort » est donc absurde, pour ceux qui suivent le Christ. On devrait dire « passage » ou « voyage vers la maison du Père ».

On voyage tant, dans le monde, en conduisant son âme dans le misérable corps qui la contient ; puis ce sont les facultés intellectuelles de l’âme  qui agissent. Malheur à ceux qui ne savent pas bien ce que signifie passer de la terre à l’éternité ! On éprouve une grande peur parce qu’on ne vit pas de la vraie vie : c’est pourquoi on accorde tant de place à ce qui est humain, en vivant une vie où l’on ne fait le bien qu’à moitié.

Aimez la vraie vie qui conduit au Christ !  La chair doit servir d’instrument pour acquérir des trésors au cours du voyage qui conduit aux noces éternelles. Pas de peur ! Qui sait voyager trouvera le triomphe pour avoir bien gardé le trésor de son âme immortelle dans cette dépouille terrestre – le corps – qui ressuscitera finalement, resplendissant pour jouir du bonheur du ciel.

Plus on réfrène son corps en mortifiant les passions, plus on reste pur, plus on utilise son corps à faire le bien et plus il resplendira dans l’éternité bienheureuse.
Pour qui a vécu la vie du Christ, la mort n’est pas une mort, c’est une vie !

L’âme est le centre vital de tout l’être humain ; dès qu’elle quitte le corps, elle vole comme une flèche vers Dieu, source de vie, pour commencer la vie sans fin. Les choses étant telles, les âmes en état de grâce ne doivent pas éprouver ce sentiment de terreur à l’approche de l’heure suprême de la rencontre avec leur Créateur.

Certains m’ont jugé acariâtre, irascible. En voici la cause. Que de luttes intimes j’ai dû soutenir contre l’ennemi : l’orgueil, qui me harcelait parfois, ce qui me forçait, en certaines circonstances, à agir diversement. Mais il ne faut pas juger trop hâtivement une âme qui aime humblement, sert et se sacrifie pour la gloire de Dieu. (...)




En réalité, très peu d'âmes vont directement au Ciel

Message de Jésus
à
John Leary (USA), le 30 janvier 2014

Jésus : « Mon peuple, à plusieurs reprises, lorsque vous assistez à des messes de funérailles, vous avez entendu des spéculations selon lesquelles la personne décédée serait déjà au Ciel. En réalité, très peu d'âmes vont directement au Ciel. La majorité des âmes vont au purgatoire ou en enfer. Pour les survivants, il est difficile de savoir avec certitude quelle destination leurs parents ont pris. 

Il vaut mieux prier pour ces âmes, et offrir des messes pour elles, afin qu'elles puissent sortir du purgatoire. Si ces âmes sont au Ciel ou en enfer, vos prières et vos messes vont aider d'autres parents qui sont encore purgatoire. Mes jugements sont justes et miséricordieux, mais n’allez pas croire que toutes les âmes des défunts vont directement au ciel. »



Lors de votre bilan de vie quand vous mourrez, Je vais vous montrer chaque jour de votre vie, et vous verrez dans quelle mesure vous m’avez prié ce jour-là.

Message de Jésus à John Leary (USA), le 29 janvier 2014


Jésus : Mon peuple, Je vous ai donné quelques mots au sujet de votre mort : « Vous n'êtes pas prêts à vivre, tant que vous n’êtes pas prêts à mourir »Ce que Je veux dire, c'est que vous devez M'aimer au point d’être prêts à mourir en martyr plutôt que de renoncer à votre foi en Moi. Chaque jour, vous devez être prêts dans votre âme à mourir dans votre corps. 

Par la confession fréquente, vous serez en mesure de Me répondre à votre jugement avec une âme pure. Lors de votre bilan de vie quand vous mourrez, Je vais vous montrer chaque jour de votre vie, et vous verrez dans quelle mesure vous M’avez prié ce jour-là. Je vous aime tant, et Je veux que vous M'aimiez, et que vous Me le montriez chaque jour dans vos actions. J'ai besoin de Mes guerriers de la prière pour aider à expier les nombreux péchés, dans votre pays et dans le monde, par vos prières et vos bonnes actions. 

Je vous remercie de prier la forme longue de la prière de Saint-Michel pour votre famille. Cela pourra aider à sauver les âmes de votre famille qui sont loin de Moi. Je souhaite que toutes les familles prient ensemble. Ainsi y aurait-il plus d'unité dans les familles et moins de divorces. Restez proches de Moi tous les jours, et vous serez prêts à Me rencontrer à votre jugement.



Rappelez-vous que la mort n'est seulement qu'un passage, n'ayez pas peur, parce que Je vous assure que vous ne voudrez pas revenir en arrière

Message de Marie, Mère de Dieu, à Valeria (Italie), daté du 1er janvier 2014


" Priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. "

Mes enfants, combien de fois en récitant l'Ave Maria vous pensez à ces mots, vous demandez que Je sois avec vous, surtout lorsque vous vous détacherez de votre vie terrestre pour traverser le pont qui vous sépare de l'horizon éternel.

Petits enfants, non seulement Je vais vous conduire à mon Fils, mais votre ange gardien sera avec vous et une foule d'anges va vous entourer pour vous protéger contre les dernières attaques du malin, attaques qui seront si fortes que seuls vous ne seriez pas en mesure d'en sortir sains et saufs. Maintenant que vous comprenez un peu mieux ce que vous demandez dans cette partie de l'Ave Maria, demandez aussi avec le coeur et ce que vous êtes en train de prier avec vos lèvres.

Je vais vous faire un grand cadeau, maintenant, Je vais rendre plus clairs à vos oreilles ces derniers mots de l'Ave Maria afin que vous puissiez mieux saisir le sens de ce que vous demandez.

Rappelez-vous que la mort n'est seulement qu'un passage, n'ayez pas peur, parce que Je vous assure que vous ne voudrez pas revenir en arrière, si beau sera ce que vous allez commencer à entrevoir dans les derniers instants qui vous sépareront de cette terre amère. Le Royaume de Dieu est joie, vous n'y subirez plus la tentation, ne sentirez plus aucun mal, personne ne se permettra plus de vous juger, vous vivrez dans le bonheur parfait, la vérité vous rendra libre enfin, parce que la vérité c'est Dieu lui-même.

Sans Lui vous ne pourriez plus vivre, vous n'aurez plus besoin de palliatifs pour aller mieux, votre Père comblera tous vos manques. Soyez heureux d'affronter le dernier effort, vous serez récompensés pour tout votre travail, et votre esprit, enfin libre de la chair, s'élèvera dans les airs comme un oiseau.

Je vous aime, mes enfants, et Je ne vais pas laisser Satan se rendre maître de vos cœurs, ils appartiennent au Créateur et ils Lui reviendront pour la bénédiction de toute l'humanité. Mon Fils vous a assuré le salut par sa Croix, mais vous devez vite choisir de quel côté vous voulez être.

Je vous assure que votre fin est la joie.
 Je vous bénis en ce jour spécial et, en tant que Mère de Dieu, Je vous embrasse.





Nous passons par un tunnel et ensuite nous trouvons une grande lumière, des fleurs, des anges qui nous accompagnent. Nous avons la grande joie et le grand bonheur d’être également accueillis par tous les membres de la famille

Yvette et Robert  : Bien chers amis en Jésus et Marie. A la demande du Seigneur Jésus, suivi et conseillé par notre directeur spirituel, à partir de ce jour, nous transmettrons chaque semaine les messages émis depuis 1997. Ces messages ont été relevés dans les premiers livres de Jean, notre guide du Ciel. Extrait du livre : Jean messager de la lumière - Tome 1 - Page 17 : Jean part pour l’Éternité, son arrivée au Ciel.


(Jean, messager du Ciel) : Il faut partir du principe que la mort est le plus beau cadeau de Dieu, car il permet de retrouver la vraie vie.

 Quand on quitte la terre, c’est tellement surprenant, que l’on se demande ce qui nous arrive; aussi, je n’ai pas tout à fait réalisé mon départ de votre monde. Quand l’âme abandonne le corps, on ne s’en rend pas compte et on se retrouve dans l’au-delà ...

Après avoir quitté ce monde, à l’instant même de ce départ, le jugement de Dieu est prononcé. On peut dire que l’âme subit ce jugement, car, sur-le-champ, elle va voir défiler toute sa vie terrestre. Ainsi, dans ce film, elle va se voir comme dans une glace, comme elle ne s’est jamais vue : tout ce qu’elle a fait, tant dans le bien que dans le mal, toute la souffrance qu’elle a pu provoquer chez les autres, bien souvent sans s’en rendre compte, parfois par de simples paroles.

Tout cet ensemble de bien et de mal donne toute la mesure de son séjour au purgatoire pour se laver de tout ce qui a été négatif. Pour se présenter devant Dieu, devant le Seigneur Notre Père, il est indispensable que l’âme soit pure !

Je n’étais plus avec vous et pourtant j’ai assisté à mon enterrement. C’est très affligeant d’assister à ses obsèques, de voir toute la famille et de constater que son corps est dans un cercueil. Regarder ses propres funérailles est chagrinant, surtout de voir tout le monde pleurer et particulièrement ma petite maman et mon papa qui étaient tellement malheureux.

Notre Mère du ciel, si douce et si gentille, après notre examen de conscience, nous donne indulgences et peines. Elle m’aime beaucoup, aussi, grâce à votre chapelet journalier, je suis à la porte du ciel. Ce sont les saints qui m’aident dans les prières pour ma purification. Ils m’ont chargé de la mission de guide pour aider les âmes.

Marie n’accueille pas toutes les âmes. Elle voit celles qui ont atteint un degré assez élevé, ce sont également les saints et les anges qui sont là pour s’en occuper...

Après avoir quitté mon corps, mon âme a été attirée par une lumière très forte, j’étais dans une joie profonde, c’est comme un chant d’allégresse. Je ressentais une chaleur d’amour, mille fois plus forte que sur terre. Les mots ne suffisent pas pour expliquer tout cela, c’est si beau !

Nous passons par un tunnel et ensuite nous trouvons une grande lumière, des fleurs, des anges qui nous accompagnent. Nous avons la grande joie et le grand bonheur d’être également accueillis par tous les membres de la famille... A leurs visages, nous reconnaissons ceux qui nous ont accompagnés sur terre, mais ceux des générations précédentes sont innombrables...

Tous, ils chantent, ils dansent avec les anges, ils nous font la fête comme lors d’un mariage. Ils sont heureux que je puisse les aider à monter vers la grande lumière. Après la fête, ils sont nombreux à rejoindre les petites lumières - situées loin de la porte du ciel -, cela est si triste pour eux...

(Vincent : ce détail est intéressant, car cela veut dire que ceux qui nous accueillent (scène que l'on retrouve souvent dans les récits d'Expérience de mort imminente), ne sont pas tous encore au Ciel et qu'il y a au purgatoire des "permissions de sortie".

Jean, messager de la lumière"





J'ai continué mon ascension jusqu'au moment où je me suis trouvé dans un paysage merveilleux, enveloppé d'une lumière bleutée et douce

Voici le témoignage du Père Jean Derobert sur l'évidente protection dont il fut l'objet de la part du Ciel grâce à l'intercession de saint Pio.


Cher Père, Vous m'avez demandé un résumé écrit au sujet de l'évidente protection dont j'ai été l'objet en août 1958, pendant la guerre d'Algérie. J'étais, à ce moment-là, au service de santé des armées. J'avais remarqué qu'à chaque moment important de ma vie, Padre Pio qui m'avait pris en 1955 comme fils spirituel, me faisait parvenir une carte m'assurant de sa prière et de son soutien. Tel fut le cas avant mon examen de l'Université Grégorienne de Rome, tel fut le cas au moment de mon départ à l'Armée, tel fut le cas au moment où je dus rejoindre les combattants d'Algérie.

Un soir, un commando F.L.N. (Front de Libération Nationale Algérienne) attaqua notre village et je fus bientôt maîtrisé et mis devant une porte avec cinq autres militaires et là, nous fûmes fusillés. Je me souviens que je n'ai pensé ni à mon père, ni à ma mère dont j'éta is pourtant le fils unique, mais j'éprouvais seulement une grande joie car «j'allais voir ce qu 'il y a de l'autre côté». J'avais reçu, le matin même, une carte de la part de Padre Pio avec deux lignes manuscrites: «La vie est une lutte, mais elle conduit à la lumière» (souligné deux et trois fois).

Immédiatement, je fis l'expérience de la «décorporation». Je vis mon corps à côté de moi-même, couché et sanglant au milieu de mes camarades tués, eux aussi. Et je commençai une ascension curieuse dans une sorte de tunnel. De la nuée qui m'entouraient, émergeait des visages connus et inconnus.

Au début, ces visages étaient sombres; il s'agissait de gens peu recommandables, pécheurs, peu vertueux. A mesure que je montais, les visages rencontrés devenaient plus lumineux.

Je m'étonnais de ce que je pouvais marcher. .. et je me dis que, pour moi, j'étais hors du temps, donc déjà ressuscité. Je m'étonnais de voir tout autour de ma tête sans me retourner. Je m'étonnais de n'avoir rien ressenti des blessures occasionnées par les balles de fusils ... et je compris qu'elles étaient entrées dans mon corps tellement vite que j'avais pu ne rien sentir.

Subitement, ma pensée s'envola vers mes parents. Immédiatement, je me suis trouvé chez moi, à Annecy, dans la chambre de mes parents que je vis dormir. J'essayais de leur parler, sans succès. J'ai visité l'appartement notant le changement de place d'un meuble. Plusieurs jours après, écrivant à ma mère, je lui ai demandé pourquoi elle avait déplacé ce meuble. Elle m'écrivit en réponse: «Comment le sais-tu?»

J'ai pensé au Pape Pie XII que je connaissais bien (j'étais étudiant à Rome) et, de suite, je me suis trouvé dans sa chambre. Il venait de se mettre au lit. Nous avons parlé par échange de pensées, car c'était un grand spirituel.

J'ai continué mon ascension jusqu'au moment où je me suis trouvé dans un paysage merveilleux, enveloppé d'une lumière bleutée et douce ... Il n'y avait pourtant pas de soleil «car le Seigneur est leur lumière. » comme dit l'Apocalypse. J'ai vu là des milliers de personnes, toutes à l'âge de trente ans à peu près, mais j'en rencontrais quelques-unes que je connaissais de leur vivant. Telle était morte à 80 ans... et elle semblait en avoir 30... Telle autre était morte à 2 ans ... et elles avaient le même âge.

J'ai quitté ce "paradis" plein de fleurs extraordinaires et inconnues ici-bas. Et je suis monté encore plus haut. .. Là, j'ai perdu ma nature d'homme et je suis devenu une «goutte de lumière.»

Je vis beaucoup d'autres «gouttes de lumière» et je savais que telle était saint Pierre, telle autre Paul ou Jean ou un apôtre, ou tel saint.

Puis je vis Marie, merveilleusement belle dans son manteau de lumière, qui m'accueillait avec un sourire indicible. Derrière elle, il y avait Jésus, merveilleusement beau, et derrière, une zone de lumière dont je savais qu'elle était le Père, dans laquelle je me suis plongé.

J'ai ressenti là l'assouvissement total de tout ce que je pouvais désirer ... J'ai connu le bonheur parfait. ... et brusquement, je me suis retrouvé sur terre, le visage dans la poussière, au milieu des corps sanglants de mes camarades.

Je me suis rendu compte que la porte devant laquelle je me trouvais, était criblée par les balles qui m'avaient traversé le corps, que mon vêtement était percé et plein de sang, que ma poitrine et mon dos étaient maculés de sang à moitié séché, un peu visqueux ... mais que j'étais intact. Je suis allé voir le commandant dans cette tenue. Il vint à moi et cria au miracle. C'était le commandant Cazelle, aujourd'hui décédé.

Cette expérience m'a beaucoup marqué, on s'en doute. Mais lorsque, libéré de l'Armée, je me rendis auprès de Padre Pio, celui-ci m'aperçut de loin dans le salon Saint François. Il me fit signe de m'approcher et me donna, comme d'habitude, un petit signe d'affection. Puis il me dit ces simples mots: «Oh! Que tu as pu me faire courir, toi! Mais ce que tu as vu, c'était très beau!» Et il borna là son explication.

On comprend maintenant pourquoi je n'ai plus peur de la mort, puisque je sais ce qu'il y a de l'autre côté.

Père Jean Derobert

Ce document fait partie des minutes du procès en canonisation de Padre Pio. Cette lettre nous avait été donnée à condition de ne pas la faire connaître avant sa canonisation.

Sœur Benjamine



Par contre, ce qui change radicalement, c’est la vie de l’âme qui sort des lois de la matière, du temps et de l’espace

Message d'une âme au Ciel à Mgr Ottavio Michelini - 31 aout 1979 - Extrait du livre "Confidences de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles, Éditions du Parvis

Écris, frère Don Ottavio, je suis Pie XII.

Cela t’étonne peut-être qu’un Pontife s’adresse à toi. Sur la terre, une grande distance nous séparait; mais pour ceux qui sont sortis de la terre, les distances n'existent plus, au sens strict comme au sens figuré.

Le changement que la mort opère en nous est si grand et si profond qu’il pourrait faire presque penser à une nouvelle création, mais ce n’est pas le cas. L’âme demeure intacte avec sa nature spirituelle qui ne pourra plus changer.

Par contre, ce qui change radicalement, c’est la vie de l’âme qui sort des lois de la matière, du temps et de l’espace, pour être plongée dans cette éternité qu’elle avait peine à imaginer sur la terre.

Avec la mort, au moment où l’âme humaine se détache de cette matière à laquelle elle était unie si intimement qu’elle ne faisait qu’un avec elle, le corps retourne à la terre dont il était originaire. Par contre l’âme. à l’instant même où elle se libère du corps, se trouve devant l’infinie Beauté et Majesté de Dieu.

Le Jugement divin ne peut se décrire en termes humains et il n’y a rien à ajouter à ce que vous savez déjà. Certes, il n’est pas pareil pour tous: l’aspect sous lequel Dieu se manifeste dépend des conditions spirituelles de ceux qui
subissent le Jugement. Pour les âmes qui ne sont pas unies à Lui par la grâce, le Jugement est une chose si terrible qu’elles préféreraient être écrasées, anéanties, plutôt que de le subir une seconde fois.

Rien n’intéresse plus de ce qui intéressait pendant la vie. ni les affections les plus chères, ni aucune autre chose: Dieu seul, le Tout; en dehors de Lui, le Rien, bien plus, pire que le Rien, en dehors de Lui, seulement une souffrance éternelle...


Les âmes sont autorisées à vivre cette attente quelques temps, pour s'adapter à leur nouvelle réalité de créatures sans corps

Message du Seigneur donnés à John Leary (USA) - le 13 octobre 2009

Jésus : Mes amis, je vous ai montré la vision de personnes en attente dans une gare, de la même façon que les âmes attendent d'aller au lieu de Mon jugement. Avant d'aller au ciel, en enfer ou au purgatoire, après leur jugement particulier, les âmes sont autorisées [à vivre cette attente] quelques temps, pour s'adapter à leur nouvelle réalité de créatures sans corps.

C'est durant ce temps que quelques âmes auront la permission d'interagir avec des âmes vivant sur terre, qui ont encore des corps. Ce temps d'interaction peut être court ou long si l'âme va au purgatoire, et demande des prières et des messes. Quelques âmes du purgatoire ou du ciel peuvent donner des messages à des âmes sur la terre ouvertes à les recevoir. Après cette période d'ajustement, l'âme monte dans le train attendu, et est ensuite emmenée vers sa destination.

Ce processus varie d'âme à âme, et selon les dons et l'ouverture des âmes [sur terre] qu'ils essaient de joindre. Vous avez pu lire des livres sur [ce genre de] messages.

Mirella Pizzioli
Ces révélations uniques nous apprennent énormément de choses sur ce qui se passe dans les instants qui suivent la mort.
Elles disent toutes une chose "Jamais plus sur la terre !
Si le Seigneur me demandait un tel sacrifice, je le ferais pour lui, mais, moi, de ma propre volonté, jamais plus sur la terre ".
Mais le Seigneur ne le demande pas

Dieu a donné à une italienne, Mirella Pizzioli, un charisme surprenant, celui de recevoir des messages de l’au-delà. Dieu lui a fait don de recevoir des communications de l'au-delà pour des familles en deuil. "Le ciel est ouvert au-dessus de moi, nous dit-elle, la mort n'existe pas, je les vois, j'entends leurs voix, ils sont vivants, ils nous tendent les bras, nous sourient…"

Mirella Pizzioli raconte dans un livre "Porte ouverte sur l'au-delà" quelques-unes de ses expériences. (Éditions du Parvis)

http://www.parvis.ch/auteurs/mirella_pizzioli_f.htm

Pour contacter Mirella

Extrait du site : (...) Elle lit toutes les lettres mais n'y répond pas; elle n’a jamais voulu envoyer un message par la poste, parce que son interprétation est un moment d’intense émotion. Celui qui reçoit un message doit être présent, participer, pour vivre avec plus d’intensité les merveilles de Dieu.

Mirella Pizzioli
Via P. Borsellino, 24 - I-47822 Santarcangelo di Romagna / Italie


Tél: 00 39 05 41 62 13 49, de préférence après 20 heures - Site internet:
www.mirellapizzioli.it  -  E-Mail:
info@mirellapizzioli.it


Voici des extraits d'un entretien de C. Parmantier tirés de plusieurs articles du journal
STELLA MARIS

(...) J'ai assisté une autre femme âgée, de la famille de mon mari. On a dû lui mettre les barrières de protection, parce qu'en agonie, elle tombait du lit.
Et quand elle est partie, les créatures du Ciel m'ont dit que cette personne est au purgatoire et que sa faute, c'était son grand égoïsme et son attachement à l' argent. J'ai dit quelques mots à sa famille, mais ils se sont offensés, disant qu'il n'était pas possible que cette femme de 80 ans puisse être au purgatoire, parce que son purgatoire, elle l'avait déjà fait sur la terre.

- Que doit faire la famille quand arrive l'agonie ?

Elle doit prier, prier, demander pardon au Seigneur pour cette créature. Si elle est catholique, elle doit demander le prêtre pour le sacrement des malades et l'inviter doucement à se confesser.
Et si on n'y réussit pas, nous, prions pour elle. Si elle n'accepte pas, on prie discrètement pour elle; il suffit d'aller dans le couloir, et de dire : "Seigneur, miséricorde pour cette personne !", parce que la miséricorde que le Seigneur a pour cette personne, un jour, il l'aura pour nous qui l'avons imploré pour les autres.

- Pour un agonisant, la prière des proches est donc très importante. Libère-t-elle le moribond plus vite?

Je pense que oui. Mais, de toute façon, le Seigneur a pitié de cette créature, même si personne ne prie pour elle. Mais, si nous mettons en acte notre foi, nous avons, nous, un bénéfice, qui est toujours réciproque.

Dans les messages que je reçois, selon ce que disent les créatures de leur passage, c'est un moment sans douleurs. Très souvent, elles disent qu'au moment de partir, elles se sentent comme quand elles étaient petites, serrées dans les bras de la maman.

Arrivées au moment de «la mort», - elles ne disent jamais la mort; la mort, pour elles, a un autre sens, pas celui-ci -, après la souffrance, après l'immense lassitude, l'épuisement physique au point de n'en plus pouvoir, alors, elles éprouvent la sensation de rêver, de se sentir si bien, qu'elles sont convaincues de rêver. Et dans ce rêve conscient, elles se disent: «Je ne veux pas ouvrir les yeux», parce cela faisait longtemps qu'elles ne se sentaient pas aussi bien.

Elles goûtent la paix en elles-mêmes. Elles ne ressentent plus les douleurs, elles n'entendent plus le bruit
. Et elles craignent d'ouvrir les yeux, parce que, après ce temps de souffrances, elles vivent une sensation si belle, qu'elles ont peur, en ouvrant les yeux, de se retrouver malades à l'hôpital.


Et à l'improvise, il arrive toujours quelque chose. Ou elles s'entendent appeler, ou elles sont comme obligées d'ouvrir les yeux. Au moment où il y a cette ouverture, elles s'aperçoivent que quelque chose est arrivé. Certaines disent qu'elles se sont senties planer, comme une plume qui flotte dans l'air, comme quelque chose qui se balance, mais toujours quelque chose de très agréable.
La mort, telle que nous en parlons, ne comporte pas de souffrances.
C'est un moment de grâce, c'est un moment de tendresse.

Et alors, il y a le contact avec l'autre réalité. Dès qu'elles ouvrent les yeux, elles se rendent compte immédiatement qu'elles sont «mortes», de l'autre côté...
que c'est une autre situation où elles n'ont plus rien à faire avec la terre.

La terre, elle est fermée ! Et là, pour certains, c'est la terreur, pour d'autres la joie.
Quand l'âme est détachée du corps, elle acquiert la connaissance immédiatement et opère un certain retour, une réflexion profonde sur ce qu'a été sa vie. Sereine et en paix, elle éprouve la sensation d'être arrivée : "Il n'y a plus de problèmes".

Elle veut affronter avec courage la purification qui reste nécessaire.

Pour les créatures qui ont vécu de manière indifférente vis-à-vis de Dieu, ou sans le connaître, celles qui n'ont pas réfléchi, qui n'ont pas encore choisi, lorsqu'elles se trouvent sur le seuil de la Porte, le Seigneur leur donne l'opportunité de comprendre, de voir, d'entendre. Et alors elles se décident à dire oui ou non à Dieu.

Le plus grand nombre, au moment du détachement, se convertit, demande pardon et est sauvé.
Mais il y a des personnes qui malgré tout ne le veulent pas.

Si je pouvais vous raconter tous les messages, reçus ici, dans ce sous-sol, ce serait plein d'écrits, des piles de paquets! Bien que ce soit la même chose, chacun a une sensation différente. Chaque personne est différente d'une autre, différente dans sa vie sur la terre, différente dans sa préparation...

C'est merveilleux, vu que chacun vit ce moment d'une manière qui lui est propre. Mais au fond, à ce moment-là, c'est toujours un réveil; la créature comprend immédiatement sa situation, avec une très grande lucidité. Personne ne dit : "Mais qu'est-ce que je fais là, où suis-je ?" Non, chacun sait ce qu'il lui est arrivé.

Pour certains, j' ai l' impression qu'ils se retournent comme s'ils voulaient revenir en arr
ière, s'échapper de là. Mais c'est impossible. Ceux qui meurent dans la violence, ceux qui se suicident, qui partent immédiatement dans un accident de la route... et se mettent presque en colère. Ceux qui se suicident, c'est presque de la folie. Ils veulent revenir en arrière, parce qu'ils se disent: «Mais qu'est-ce que j'ai fait ? Je n'ai rien compris !» C'est vraiment la perception immédiate de ce qu'ils ont fait.


Beaucoup, dans les accidents de la route, restent sur le lieu même des jours durant; je les vois assis sur le trottoir. Et souvent, quand il y a un accident, un autre survient au même endroit... Elles me parlent de la lumière, mais pas de tunnels. Elles parlent seulement de leur totale lucidité à comprendre où elles sont.

Très souvent si c'est un fils, Dieu envoie la maman qui s'approche pour consoler. En voyant une maman, on n'a pas peur.

Si c'est une personne qui a déjà l'habitude de vivre en Dieu, la sainteté se reflète, et c'est la rencontre proprement dite. Mais je crois que c'est une action immédiate, aussi bien l'une que l'autre, parce qu'il n'est plus question de temps (puisqu'il n'y a plus de matière, il n'y a plus de lieu ni de temps).

Pour des garçons qui s'en vont dans les accidents de la route, d'autres garçons qui sont déjà au Ciel viennent parler avec cette créature. Et voyant des jeunes, ils se tranquillisent entre eux. Ils plaisantent entre eux; je les vois, avec les jeans, les chaussures de sport toutes défaites, ils rient ; puis la personne qui est morte à ce moment, si elle est jeune, très souvent donne des coups de pied à la voiture ! Elle est comme en colère après la voiture.
Et puis, elle se dit: «C'est ma faute, parce que j'allais trop vite, je savais que je ne devais pas le faire, c'est de ma faute».
(...)

Les créatures voient leur corps, et elles ne se plaisent jamais! Quand elles se regardent de l'extérieur de leur corps, c'est comme d'enlever un vêtement sale, déchiré...
Elles n'ont aucune nostalgie du corps. C'est même un plaisir de se détacher de quelque chose qui a fait souffrir. «C'était si pesant» disent-elles. Certaines m'ont avoué avoir bien ri, malgré le déplaisir de voir leurs parents les pleurer. L'âme est dans la joie.
(...)

Les âmes n'oublient rien de la terre, elles se souviennent de tout.


Dans tous les cas, elles viennent nous enseigner à ne pas faire les mêmes erreurs qu'elles ont faites, elles: «Si je n'avais pas fait ceci...» Elles demandent pardon si elles n'ont pas su aimer, elles se repentent de ne pas avoir enseigné l'amour à leurs enfants, de ne pas leur avoir appris à embrasser, à s'embrasser.

Elles disent toutes une chose : "Jamais plus sur la terre ! Si le Seigneur me demandait un tel sacrifice, je le ferais pour lui, mais, moi, de ma propre volonté, jamais plus sur la terre !" Mais le Seigneur ne le demande pas.

Les âmes s'en souviennent de la mort comme d'un moment très doux, le moment le plus important; elles l'appellent la renaissance. C'est pourquoi elles ne fêtent pas le jour de leur anniversaire, mais le jour de leur départ de la terre.
(...)

Merci à STELLA MARIS pour cet extrait.

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