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. (Vincent - 23 juillet 2013) Tout ceux qui ont déjà fait du voyage astral connaissent le plaisir de traverser la matière, mur et plafond. Mais faire passer des objets à travers les murs ? Si on en crois les expériences de Gustavo Adolfo Rol (1903-1994) c'est parfaitement possible. Ben_pk avait déjà lancé des pistes en 2008 avec cette phrase : (...) Parfois le mouvement est irréel, parfois sa vibre, et parfois sa flotte comme sur de l’eau, ça dépend de la musique que j’écoute en même temps. J’ai remarqué que l’objet ne retombe jamais brutalement. Parfois j’ai même l’impression que l’objet devient immatériel et qu'il pourrait traverser la matière. ![]() -------------------------------------------- (à suivre) |
Extrait du chapitre sur le parapsychologue
italien Gustavo
Adolfo Rol (1903-1994) |
Traverser
les murs Témoignage de Monsieur Aldo Provera, entrepreneur, un ami cher de Rol et son exécuteur testamentaire: [Au casino de Menton] «… traversant les salles, nous nous arrêtions un instant aux différentes tables pour assister au moins à un jeu et alors que le croupier faisait tourner la roue, Gustavo écrivait un nombre sur une petite feuille qu’il me mettait dans la main: «Attends un moment» disait-il. Et quand la bille était entrée dans la case, je regardais le billet: invariablement la prévision coïncidait. «Je ne me trompe pas car je ne joue pas» commentait-il». [prof. Ferruccio Fin] «Nous étions six dans mon appartement de Corso Matteotti. Nous avons mis dans les mains de Rol une brindille pris d’un vase et il l’a jeté contre le mur: la brindille n’est pas tombée mais a disparu. Nous sommes allés dans la pièce d’à côté, derrière le mur: la brindille était sur une armoire placée contre le mur». [prof. Guasta] «Un soir, dans les années ’80, Rol vint chez moi, sur les collines de Turin. Nous étions Marisa, lui et moi. Il prit un jeu de cartes et dit: «Regardez: maintenant vous le ferez gonfler car je veux qu’une carte sur deux se retourne». Nous contrôlâmes le paquet: les cartes étaient toutes retournées dans le même sens. Nous le mélangeâmes, nous le posâmes sur la table et Rol passa sa main au-dessus du paquet, sans le toucher. Le paquet gonfla, en s’élevant de plus d’un centimètre et puis peu à peu s’abaissa. Nous le contrôlâmes de nouveau et une carte sur deux était retournée. Il répéta l’expérience plusieurs fois, et dit enfin: «Essayons donc ceci: mettons au-dessus du paquet une bouteille de manière à ce qu’il ne puisse pas gonfler». Ainsi fit-il: le jeu de cartes resta comprimé, mais à la fin, nous constatâmes que les cartes que l’on devait retourner, s’étaient retournées quand même». Lugli dit: «Dans les années ’80, quand Guasta avait son cabinet de dentiste à Turin, Corso Fiume (à moins de 1 km à vol d’oiseau de la maison de Rol), Gustavo l’appelait parfois l’après-midi pour bavarder. Guasta avait peut-être un bon nombre de clients dans la salle d’attente, mais le plaisir de parler avec son ami était tel qu’il ne pouvait pas refuser l’entretien. «Et après les bavardages» dit Guasta, «il était facile que Rol propose de passer à des expériences. Il me disait de prendre un jeu de cartes et d’essayer de le lancer comme il avait l’habitude de le faire, de manière que toutes les cartes se répartissent sur une seule ligne. «Tu veux qu’une carte se retourne? Dis-moi laquelle. «Je disais, par exemple, le cinq de carreau qui apparaissait sous mes yeux. C’était une émotion sensationnelle. Mais je ne me faisais aucune illusion: je faisais seulement le geste, celui qu’il me demandait de faire, à travers notre connexion téléphonique et pas une fois il ne se trompait». [Un jour] «Gustavo m’a dit: «Toi, maintenant, tiens-toi prêt à lancer les cartes en l’air et pense à une carte, mais ne me dis pas laquelle. Quand tu l’auras choisie, lance-les». J’ai pensé à l’as de cœur et puis j’ai lancé, et l’as de cœur s’est retourné. A l’autre bout du fil, Rol était content, il riait. Puis, après que nous ayons fini notre conversation, je me suis naturellement longtemps acharné à les lancer de nouveau en pensant qu’une carte se retournerait, mais en vain». (...) Maria Luisa Giordano reporte certains témoignages d’Arturo Bergandi, homme de confiance et factotum chez Rol pendant de nombreuses années: «Bien des choses arrivaient dans cette maison! Quelquefois, alors que Rol peignait, je voyais courir sur le sol des différentes pièces, de grosses billes d’acier qui sautillaient et dégringolaient des canapés et des fauteuils. J’étais habitué à tout mais tout ceci me faisait peur. Je courais demander de l’aide à Rol, qui, imperturbable, continuait à peindre: «Ah oui», me disait-il, «ce n’est rien, Bergandi, cela signifie que nous ne sommes pas seuls, n’ayez pas peur». Et ensuite tout redevenait normal.» -------------------------------------- " Il était passé à travers trois murs" -------------------------------------- « Je me trouvais sur le balcon avec un forgeron qui était en train de faire des travaux un marteau à la main. Au même moment arriva Gustavo Rol. Et en plaisantant, je dis au forgeron: "Vous savez qu’il est capable de faire passer la boite à outils à travers le mur?” Le forgeron sourit curieusement étonné et incrédule. Alors Rol se fit donner le marteau et le lança contre un mur. Le marteau disparut, nous allâmes dans l’entrée, il se trouvait sur le fauteuil à côté de la statue de Napoléon: il était passé à travers trois murs». (...) «Nous étions invités dans une maison très chic. Des gens très connus de Turin et aussi un peu snobs. Rol n’avait pas envie d’y aller et mais j’insistais car je désirais vraiment qu’il vienne avec moi. Mais dès le début je m’aperçus que ce n’était pas un milieu où il pouvait se sentir à l’aise. Trop d’étiquette, trop de convenance, trop de manières. Rol était très élégant et gentleman, mais aussi simple et sympa. Je m’aperçus qu’il était nerveux car il tapotait ses doigts sur la table et il parlait par monosyllabes. A l’improviste, il me murmura à l’oreille : "Mais qu’est-ce qu’ils boivent dans cette maison!". "Ne commence pas", lui dis-je, avec l’intuition qu’il allait en combiner une. La maîtresse de maison, qui avait perçu le malaise de Rol, essayait d’entamer une conversation, mais il répondait de manière évasive. Un peu plus tard, il me dit de nouveau à l’oreille: «Mais qu’est-ce qu’ils boivent dans cette maison!». «Ce n’est pas vrai», lui répondis-je. «regarde, sur la table il n’y a aucune boisson alcoolisée». Rol me foudroya du regard. Il avait un paquet de cartes dans les mains, il se leva brusquement de sa chaise. «Je t’ai dit qu’ici on boit beaucoup», dit-il à voix haute et lança les cartes contre le mur. Dans la pièce d’à côté, on entendit un hurlement. La maîtresse de maison accourut; j’arrivai aussi avec les autres invités. Les cartes que Rol avait lancé vers le mur l’avaient traversé et étaient tombées sur la serveuse, qui était assise sur un canapé une bouteille de vin à la main. Elle était toute effrayée et pleurait. Nous retournâmes au salon et Rol me dit en souriant: «Je t’avais bien dit qu’ici on buvait”. Mais la scène n’avait pas plu et peu de temps après nous nous en allâmes». . . Traverser le sol «Une fois Rol se fâcha, ici, chez moi. Nous étions encore en train de rénover la maison et il y avait des maçons partout. Parmi eux, un jeune très bon ouvrier, mais plutôt antipathique. Il savaient tous qui était Rol et ils avaient une grande déférence pour lui, sauf ce jeune maçon. "Rol est un escroc", disait-il à ses compagnons de travail. "Il ne m’enchante pas, je ne crois à rien de ce qu’il fait, c’est de l’arnaque, un canular". Je ne sais pas pour quelle raison il était aussi hargneux et méchant contre Rol, alors que Rol au contraire avait pour lui une grande estime et une vive sympathie. «C’est un brave garçon», disait-il, en l’observant alors qu’il travaillait. «C’est un jeune qui se défend vraiment bien». J’étais désolé qu’il ait autant d’estime pour cette personne, qui elle au contraire était aussi prévenue contre lui. Un jour, je lui dis: "Bien sûr qu’il est bon dans son travail, mais il se moque toujours de toi, il ne croit en rien de tout ce que tu fais et il parle mal de toi». Rol ne répondit pas. Mais mes mots l’avaient touché. Quelques jours après, étant venu me rendre visite, et ne voyant pas le jeune maçon, il me demanda: «Où est ce garçon si bon?». “Je crois qu’il est en train de travailler à l’étage du dessous, dans la tavernetta", répondis-je. "C’est vraiment un bon garçon et dégourdi en plus", dit Rol. "Tu l’estimes et lui se moque de toi”, lui répondis-je. «Mais il est bon», insista Rol et il marchait nerveusement à travers la pièce. Puis il s’arrêta à un point précis, où se trouve une chaise. «Il est là sous mes pieds», dit-il d’un ton sérieux. Puis, en regardant autour de lui, il dit: «Donne-moi la brique qui se trouve sur la fenêtre». Je pris la brique et la lui donnai. Il fissa intensément le sol et puis lança fortement la brique par terre. Nous sentîmes un grand bruit et la brique disparut. On entendit un cri provenir du sous-sol. Nous descendîmes. Le jeune était par terre, effrayé. La brique lancée par Rol était à côté de lui, et il regardait le plafond d’où la brique était tombée: il n’y avait aucune trace, même pas une rayure dans le plâtre. «Vous auriez pu me tuer», dit le jeune en colère, et il ne voulut plus jamais venir travaillé chez nous». (...) . |