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La bataille de Palikao
Expédition franco-anglaise en Chine (1860)


"On eût dit en effet que nos soldats étaient protégés par une main invisible
qui écartait d'eux les balles et les boulets que l'ennemi lançait avec une profusion sans égale..."

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Wikipedia : La bataille de Palikao est une bataille décisive menée par les troupes de l'expédition franco-anglaise en Chine (Seconde guerre de l'opium),
dans la matinée du 21 septembre 1860. (...)
(Vincent) J'ai lu le livre "Le sac du Palais d'été" (de Bernard Brizey) qui raconte l'expédition militaire franco-anglaise de 1860 en Chine et j'y ai décelé une intervention divine, d’où ce chapitre.
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Diverses raisons ont poussé à cette expédition dont le commerce de l'opium (pour les Anglais) mais la vraie raison était de forcer la Chine à entrer dans l'ère moderne car son obstination à s'ancrer dans les traditions du passé et son immobilisme social avait fini par générer divers problèmes dont la révolte des Taiping qui risquait de plonger la Chine dans un chaos total.

Tout comme les Anglais avaient une motivation concrète avec l'opium, les Français en avaient un par l'objectif (nettement plus glorieux) de rouvrir ses missions catholiques et de permettre aux chrétiens d'exercer librement leur culte. Avec une telle mission, Dieu ne pouvait qu'être dû côté de cette armée et notamment du coté français, ce qui sera effectivement le cas et c'est l'objet de cette page.

L'affrontement clé de cette campagne fut la bataille de Paliko située près d'un vaste pont dans les environs de Pékin. Les 8 000 soldats de la coalition (4 000 français et 4 000 anglais) affrontèrent les 50 000 soldats de l'armée chinoise dont sa puissante cavalerie tatare de 30 000 hommes.

La bataille fut brillamment mené et gagné (lire un extrait ci-dessous) mais, et c'est là que se situe l'action divine et l'intérêt de ce chapitre, c'est qu'il y eut, dans les rangs de la coalition durant cette bataille, que 5 morts (3 français et 2 chez les Anglais) et quelques blessés.

"Cette bataille faisait l'effet d'un rêve, on tuait et personne n'était touché, ou presque personne."

"On eût dit en effet que nos soldats étaient protégés par une main invisible qui écartait d'eux les balles et les boulets que l'ennemi lançait avec une profusion sans égale..."


"La bataille était complètement gagnée. Le prestige d'invincibilité de la cavalerie tartare était détruit et à partir de ce jour nous ne la retrouverons plus devant nous. La route de Pékin nous était ouverte."

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(Vincent) Puis il y eut une autre intervention divine que les Anglais ont eu du mal à accepter tellement il blessait leur orgueil et qui marque bien le choix de Dieu pour l'armée Française.

"C'est ici que se situe un des épisode les plus rocambolesques de la campagne de Chine. Une affaire qui suscita bien des interrogations"


(Vincent) Après cette bataille, le prochain objectif fut la "capture" du Palais d'été, dans les environs de Pékin, joyaux des Empereurs de Chine et honteuse réalité de leur mépris pour la misère du peuple chinois tant la concentration de richesse était excessif et exclusive. Ce pillage du Palais d'été fut décidé afin de faire plier la famille impériale en frappant dans son cœur, épargnant ainsi la capitale et sa population.

Mais finalement cela ne fut pas suffisant, il a fallu menacer de détruire la Cité Interdite et pour être crédible, l'incendie du Palais d'été fut décidé mais ce fut également en représailles aux tortures (qui furent mortelles pour certains) infligées aux prisonniers d'une délégation venue parlementer.


L'armée française (qui marchait en parallèle avec l'armée anglaise) arriva la première et seule au Palais, car l'armée anglaise s'était "perdue en route" sans que personne ne sache comment fut possible une telle chose. Cette armée égarée, qui avait perdu le contacte avec l'armée française, arriva avec une journée de retard au moment le plus crucial de cette expédition, et cela a marqué les annales de l'histoire militaire britannique tellement c'était incompréhensible et inopportun pour la fierté anglaise.


Extrait du livres "Le sac du Palais d'Été" (de Bernard Brizey)

Le récit des dernières minutes de la bataille

(…) Les derniers escadrons tartares se sont débandés. Le pont de Palikao est pris. Un petit nombre de tirailleurs chinois continue cependant de se battre, en ordre dispersé. Le capitaine Charles de Montauban (le fils du général commandant l'expédition) entre dans une pagode, où il compte établir le quartier général. Il est accueilli par une fusillade à bout portant, à laquelle il réchappe par miracle, secouru par le caïd Osman et une section de chasseurs à pied.

Le chasseur à pied du 2e régiment raconte cette édifiante anecdote : «Son père, qui vient de traverser à son tour le pont. avec la brigade Jamin, apprend cet incident: "Tu sais, dit-il à son fils en le menaçant du doigt, que je ne t'y reprenne plus !" A quoi le capitaine répond : "Avec cela que tu n'en aurais pas fait autant !"

(Photo ci-contre, la prise du pont de Palikao, ouvrant le passage vers pékin)

Hérisson (l'interprète français qui accompagne la générale Montauban) est aux anges. Il décrit (dans ses mémoires) la marche triomphale du vainqueur du jour: «Montauban, entouré de tous ses officiers, et salué par les acclamations des soldats, passait devant les lignes en s'épongeant le front.»

Puis il a cette phrase, contradictoire dans les termes, qu'on mettra sur le compte de l'euphorie de la victoire: «Sa figure martiale et sévère était illuminée par un bon sourire de satisfaction.» Sans doute le général Cousin Montauban se voyait il déjà comte de Palïkao, comme il le sera fait un peu plus tard par l'empereur des Français. (Napoléon III)

Quant aux Anglais, à gauche, ils devaient de leur côté rabattre la cavalerie tartare vers le centre des lignes alliées, afin de lui couper toute ligne de retraite et de mieux la culbuter. Les forces britanniques sont en train de s'y appliquer, face à des masses considérables de cavalerie, quand le général Grant entend une vive canonnade du côté des Français. Il veut voir ce qu'il en est, mais il s'égare et se retrouve face à un fort contingent tartare, qui le poursuit jusque vers ses lignes. Il est alors à deux doigts de se retrouver prisonnier des cavaliers ennemis...

Grant envoie les dragons de là Garde et la cavalerie sikh au-devant des Tartares. Un chasseur à pied du 2 bataillon décrit les troupes anglaises, les dragons de la reine « magnifiques soldats aux larges épaules et à la rousse chevelure, vêtus de casques rouges et portant des coiffures en moelle d'aloès recouverte de toile blanche, avec un turban de soie bleue ou rouge », et les cavaliers sikhs « le visage olivâtre encadré par un large turban de mousseline blanche ».

Les Impériaux (comme dit ce même chasseur) se sont retirés derrière un fossé large et profond. Les dragons franchissent l'obstacle, mais les chevaux de la cavalerie sikh, gênés par leur martingale, tombent dans le fossé les uns sur les autres, se brisant les jambes et écrasant leurs cavaliers. Les Anglais parviennent cependant à disperser la cavalerie ennemie.

Ils tombent sur plusieurs camps tartares, abandonnés à la hâte par l'ennemi, à l'exception d'un seul. L'infanterie est appelée en renfort; elle s'en empare sans difficulté. Les Anglais y trouvent deux bannières de soie jaune appartenant à la Garde impériale. Le général Grant en gardera une pour lui. La colonne anglaise longe le canal et arrive au pont de bois, en chassant devant elle des groupes d'infanterie et de cavalerie tartare embusquée dans les bosquets. Les Anglais décident de ne pas le franchir, d'autant que leur artillerie ne peut s'y aventurer. La retraite de l'ennemi en sera en partie facilitée.

Sengge Linqin (Le général en chef des armées chinoises) s'enfuit sur la route dallée de Pékin, dont il fait refermer les portes, «abandonnant ses troupes au hasard de la défaite ». écrira Mgr Favier.

La bataille est finie, le pont de Palikao vient d'être pris par le général Colineau. Les Anglais ont glorieusement contribué à la victoire. Lord Elgin (le diplomate de l'armée anglaise), toujours à cheval lorsque le canon tonne, a accompagné ses compatriotes tout au long de la journée.

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Épilogue

(Photo ci-contre de 1861 - Charles Cousin-Montauban, Comte de Palikao - 1796-1878 - Générale en chef de l'expédition côté français)

Lors de cette journée du 21 septembre, vingt sept canons en bronze (dont une pièce de musée, fondue à Amsterdam en 1674), un nombre considérable de mousquets à mèche, de gin gol, de lances, d'arcs et de flèches et divers engins de guerre sont retrouvés sur le champ de bataille. Des étendards de toutes les couleurs jonchent le sol. La bannière du général Sengge Linqin est récupérée.

Les vainqueurs bivouaquent sur place. Ils occupent les camps abandonnés par les Tartares, avec un immense matériel de toute sorte, notamment de gros tas de poudre à canon. Le sous lieutenant de Boissieu précise que « les tentes semblaient attendre leurs hôtes du matin et dans quelques unes on trouvait le dîner fait et servi ».

Le docteur Armand recense : «Armes, vêtements, chapeaux ou bonnets à boutons ou à plumes, drapeaux, étendards et fanions, ustensiles, chariots chargés ou renversés, tentes dressées ou garnies de matériel d'expédition, tout était disséminé à profusion.» Il ne se prive pas de faire cette amusante remarque. « On fait flèche de tout bois, dit on; il nous est arrivé là de faire bois de toute flèche. » C'est ainsi que des milliers de carquois remplis de flèches serviront pendant plusieurs jours de combustible aux feux de bivouac

Lord Elgin s'en vient féliciter le vainqueur de Bali qiao, le général de Montauban. Paul Varin (Dupin) fait le bilan de la journée: «La bataille était complètement gagnée. Le prestige d'invincibilité de la cavalerie tartare était détruit et à partir de ce jour nous ne la retrouverons plus devant nous. La route de Pékin nous était ouverte. »

Le lieutenant de Negroni pavoise : « La bataille de Palikao fut tout à gloire de l'armée française ; elle nous donna d'immenses résultats moraux et matériels... Elle démoralisa l'armée tartare, en jetant dans une stupéfaction et une anxiété désolantes le gouvernement chinois, paralysa ses moyens d'action, affaiblit l'énergie indécise des populations. »

Le généra] Blondel explique ainsi la victoire de Bali qiao « Quelques Européens avaient suffi pour mettre en déroute ces forces formidables, organisées par un chef habile et audacieux, défendant les approches de leur capitale. De si merveilleux succès, obtenus dans des conditions si défavorables et sur un terrain préparé à l'avance par l'ennemi, témoignent hautement de la supériorité qu'ont sur le nombre la discipline et la civilisation ; ils rappellent les triomphes constants de ces poignées de soldats romains sur des multitudes barbares. »

Considérant qu'une bataille est surtout grande par ses résultats, le baron de Bazancourt insiste sur la portée de celle Bali qiao « C'était le dernier coup de hache qui renverse et abat le cèdre orgueilleux. C'était l'armée tartare démoralisée, débandée, emportant avec elle dans sa fuite le dernier espoir de l'empereur, réduit à s'enfuir en Tartarie. »

Si l'on en croit le général Ignatiev, les forces tartares se montaient à 50 ou 60 000 hommes, dont 30 000 cavaliers. Les Chinois auraient perdu 1 000 hommes (3 000, selon un mandarin). En revanche c'est un gros élément de surprise les pertes des alliés sont presque insignifiantes : 3 hommes tués et 17 blessés pour les Français, 2 tués et 29 blessés pour les Anglais. L'armée alliée ne compte ainsi qu'une cinquantaine d'hommes mis hors de combat.

Comme le dit Hérisson: « Cette bataille faisait l'effet d'un rêve, on tuait et personne n'était touché, ou presque personne. »

Comment expliquer cette étonnante disproportion, ainsi que les faibles pertes des alliés ? Lesquelles rendent mal compte de l'intensité du combat.

Bazancourt répond à cette question. Pour lui : « On ne peut réellement expliquer que par l'infériorité de l'armement chinois les pertes peu considérables que nous avons subies, malgré la ténacité de leur résistance. On eût dit en effet que nos soldats étaient protégés par une main invisible qui écartait d'eux les balles et les boulets que l'ennemi lançait avec une profusion sans égale... (...)

(Vincent) Il faut savoir que lors d'une précédente bataille pour le contrôle de forts, les alliés avaient libéré tous leurs prisonniers chinois. Cette générosité, dictée par des impératifs de logistique, avait dû se savoir dans les rangs des armées chinoises et cela avait peut-être calmé leurs ardeurs combatives.

À propos de générosité, il faut signaler que lors de la capture des parlementaires franco-anglais, un peu avant la bataille de Palikao (qui furent atrocement torturé et beaucoup moururent sous la torture) les prisonniers chinois de droit commun, qui les ont côtoyés en prison, ont tout fait pour atténuer leur condition de détention.

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Le traité

Le diplomate Georges de Kéroulée se félicite des termes d'un traité, qui maintient, selon lui, la part égale entre les deux alliés, alors que l'importance des forces sur le terrain penche nettement en faveur des Britanniques. Prétendre que le plateau de la balance ne penche pas d'un certain côté du Channel (de la Manche) serait cependant abusif.

Les Anglais obtiennent, en effet, un article additionnel qui leur concède, à bail, le territoire situé en face de l'île de Hong Kong, la pointe de Kowloon. H s'agit là d'une importante concession de la part du gouvernement chinois, comme l'avenir le montrera, même s'il ne s'agit pour le moment que d'une plaine aride.

Paul Varin l'exprime avec clairvoyance: (Les Anglais, mieux avisés que nous, qui n'avions pas su préserver le moindre pied à terre sur les côtes du Céleste Empire, les Anglais, outre la belle île de Hong Kong et son admirable port, qu'ils possédaient déjà, avaient trouvé le moyen de se faire céder le vaste territoire de Kowloon, situé sur le continent, en face de Hong Kong, de façon à assurer et à compléter leur superbe position.»

Montauban est amer. Il regrette de devoir évacuer Zhoushan et son port, qui auraient pu, selon lui, faire pièce à la possession de Hong Kong par les Anglais; et également à l'agressivité commerciale des Américains et des Russes. Il en veut au baron Gros (le diplomate de l'armée française) d'avoir cédé sur ce point, afin de ne pas déplaire à lord Elgin, pense t il. «Je trouvais que nous tirions très peu de profit de notre campagne x', se plaint il, ajoutant que ce fut le « seul nuage» entre l'ambassadeur français et lui.

Les récriminations du général agacent le baron Gros, qui souligne par ailleurs les bons rapports qu'il entretient avec lui. «J'espère que mieux inspiré et surtout mieux éclairé, il reviendra sur une détermination dont il n'a sans doute pas encore compris

On ne peut s'empêcher de constater, cependant, que les Anglais, toujours pragmatiques, réclament et obtiennent la cession d'un territoire, tandis que les Français, toujours idéalistes, se contentent de demander la liberté de culte... Différence de mentalité sans doute

Le réalisme temporel d'un côté, la revendication spirituelle de l'autre. Le concret sonnant et trébuchant, contre l'immatériel idéalise et le gratis.

Ce qu'Armand Lucy exprime à sa façon, à la fois provocatrice et sardonique : «Ainsi donc, Anglais et Français, nous sommes arrivés à nos fins selon notre instinct. Ils se sont battus pour leur commerce, et nous pour notre idée. Ils ont rouvert les portes à l'opium, et nous à nos missions. Rule Britannia ! Vive l'Empereur ! »

Montauban se console avec l'article 6 du traité de paix qui rétablit la liberté du culte catholique et restitue les établissements religieux confisqués aux chrétiens. Pour lui, l'influence de la France repose complètement sur les missionnaires catholiques, le seul contrepoids opposable au commerce anglais. La présence de notre légation à Pékin aura aussi un excellent effet, espère t il, car elle disposera d'un intermédiaire puissant, en la personne de Mgr Mouly, auprès du prince Gong, le frère de l'empereur.

Pour le baron Gros également, le rétablissement du culte chrétien dans la capitale chinoise, ainsi que l'installation de légations permanentes paraissent être « les deux battants de la porte à ouvrir pour que la civilisation moderne puisse pénétrer plus vite dans l'empire ».

(Vincent) De la liste des revendications obtenues par les alliés, je vous laisse les 2 plus importantes à mes yeux.

6° Liberté des cultes chrétiens et protection accordée aux ministres des religions chrétiennes. Les établissements religieux confisqués seront rendus;

10° Droit de résidence à Pékin des ambassadeurs des deux nations, lesquels traiteront directement des affaires avec les premiers ministres de l'empereur.

(Vincent) Avant ce traité, les Occidentaux étaient désignés dans les textes officiels chinois de "Barbare". et étaient nommés ainsi "les barbares anglais, les barbares français", et les prisonniers subissaient la torture. Il n'y avait que les Russes qui avait droit à un ambassadeur et au respect. Cette situation devenait intolérable aux Européens, ce qui motiva cette expédition.

Outre l'ouverture de nouveaux ports au commerce occidental, la convention et le traité de Pékin autorisent donc l'installation dans la capitale d'agents diplomatiques, la reconnaissance de la religion chrétienne, ainsi que la permission pour les voyageurs de visiter toutes les régions de Chine, pourvu qu'ils soient porteurs de passeports délivrés par les consuls.

Un nouveau tarif douanier légalise et taxe l'opium, au lieu qu"il soit introduit en contrebande avec la complicité des représentants du gouvernement chinois. La liberté d'émigration des Chinois, désireux de s'établir, au delà des mers, est instituée. Derrière cette mesure en apparence anodine se cache, en réalité, la légalisation du commerce c'est à dire la traite des coolies. Tout comme la liberté de transaction couvre le commerce de l'opium ...

De même, la liberté de circulation couvre l'activité des marchands et également celle des missionnaires. Un article, inclus dans la convention française, précise «Conformément à l'édit impérial (...)


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